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Je suis une salope – Chapitre 1




Bonjour je m’appelle Karine, j’ai 26 ans, j’habite Strasbourg et j’étais marié à Patrick .F ….Gardien de la Paix nulle comme mec nulle comme baiseur. Je suis brune aux yeux bleus, mesure 1 m72 plutôt mignonne et assez menue (mais je fais quand même du 95D).Je suis une bonne grosse salope et tous les moyens sont bons pour se fourrer une bonne bite dans la chagatte.Lors d’un recyclage comptabilité pour ma boite, je suis descendu dans un hôtel près de Belfort qui s’appelait les 3 chênes.

Apres avoir installé mes affaires dans ma chambre, je suis allée boire un verre au bar .j’étais habillé très sexy et je n’hésitais pas à croiser et décroiser mes jambes gainées de jolies bas Dim-up noir.Un homme chauve et grassouillet se présente en m’offrant un verre avec tous le baratin qui s’en suit.Il est marié avec Lucette mais qu’on appelle Lulu mais avec elle ,il ne bande plus…Il est père de famille ,deux jolies mômes qui me montre en photo,le gamin ressemble à Frankenstein et sa fillette à Alice Sapritch jeune,c’est dire le beau métissage…Il m’annonce également qu’il descend souvent aux trois chênes avec sa femme car ils aiment bien la région et qu’il est bien connu des employés de l’hôtel mais aujourd’hui il est là pour affaire.je lui fait encore deux minutes de conversation et lui annonce Franco que j’ai envie de baiser dans les chiottes avec lui.Le petit chauve est abasourdi et me suit au toilette des mecs tous en regardant que personne ne le voit rentrer avec moi dans cette endroit incongru ,.

Des lors je saute sur sa braguette et lui sort sa bite, mon dieu elle est énorme, une grosse tête violacée, des grosses veines apparentes et des grosses baloches pendantes.je luis dis : ’t’as vraiment une sale gueule mais t’as une sacré grosse bite, tu pourrais juste la laver un peu de temps en temps, mais bon elle est tellement grosse’

Il me répond que c’est pour les grosses salopes comme moi.Je le branle un peu, me met à genoux et commence à le pomper comme une pute, je suis experte en la matière, tantôt les regards de chiennes, les branlettes rapides, avec la langue, travaille en profondeur, massage des couilles, le type est sur le point de venir, les râles de plaisir sont plus forts, dans un gros soupir il me demande d’ouvrir mon chemisier et là sa mâchoire manque de traîner par terre :

’ Oh putain les gros lolos, pour les bonnes branlettes espagnoles’.

Le vicieux les sort du balconnet,les malaxent ,mord les tétons tourne autours avec sa langue râpeuse de quadra bedonnant,et après les avoir tripoté,celui-ci s’arrête net car un homme est entré pour uriner.Pendant que le mec pisse je continue de sucer le petit gros stressé par le fait d’entendre l’autre à coté de nous et la peur d’être reconnu ,il pense à sa femme Lulu ,au divorce et tous le reste ,il transpire à grosse gouttes,je sors ma langue et tapote son gland sur ma langue tendue,des petits râles s’échappent et des spasmes se libèrent du corps disgracieux,la porte d’entrée claque ,le type est parti.Roger on va l’appeler comme ça, retire sa monstrueuse bite et me gifle violement en me traitant de pute :

’ Tu vas me le payer, Je vais me branler dans tes loches et je t’enverrai ma sauce dans ta petite gueule de pute !

-comme tu veux j’adore la crème d’homme ’

Il se mit en place et commença les va et viens refermant mes gros nibards sur son vier, pinçant en même temps les tétons très forts.

’ Oh c’est bon t’aime que je te baisse les seins jeune pute?

-Ohh oui continues gros bâtard, vielle baderne, vieux chien, plus vite ’

Quand je pouvais je mettais des coups de langues quand la bite de ’dudule’ arrivait en bout de course.

’ Oh salope ! je vais venir !

L’hideux bonhomme sort son noeud de mon écrin et commence à s’astiquer, j’ouvre la bouche prends la pause et sors la langue en proférant des obscénités :

’ Balance le fromage Léon, jute sur ma petite gueule !

-ohhhhh, ouhhhhhhhh pute, je viens !!!! ’

Je ne voyais plus son gros gland tellement il se branlait vite, joignant le geste à la parole, le premier jet viens dans ma bouche, une très grosse quantité de foutre épais et gras, la moitié retombe dans mes balconnets de soustif et mon chemisier entrouvert le souillant par la même occasion, fermant la bouche le deuxième jet ricoche sur mon menton et tombe sur mes seins, deux autres jets moins puissants arrivent, le gros con les a orientés sur mes nibards :

’ T’es un porc je suis toutes dégueulasse ’

Il s’essuie la bite dans les vêtements et me gifle par deux fois violemment.

’ Maintenant tu vas m’écouter, tu remets tes frusques de pute et tu vas venir manger avec moi comme tu es, souillé de mon foutre ’

je lui répondis une insulte qui me valut un autre aller retours de baffe, et je finis par écouter ses directives.

Je remis mes seins dans les balconnets du soutien-gorge, y avait plein de foutre dedans c’était désagréable, odorant, reboutonna le chemisier avec ses alvéoles de sperme du vieux vicieux, je raclai le gros sur mon visage et suivit mon amant dominateur jusqu’à sa voiture.Je monte dans sa caisse et nous voilà parti en quête d’un restaurant dans la Haute-Saône profonde loin de son fief.pendant le trajet il écarte mon string :

’ Putain t’es une pelouse raide, t’es aussi chauve que moi par là, ça m’excite que tu sois rasée salope ’

Il me doigta un long moment.Nous arrivâmes enfin dans une cargotte minable, idéale pour une pute comme moi comme le dit si bien ce con de Roger, il n’y avait pas grand monde heureusement pour moi, j’étais vraiment la souillon de service, les seins qui barbotaient dans la jute de ce pervers, la tronche grasse, et l’haleine qui puaient le sperme enfin tout pour plaire.

Il commanda une table et tout de suite le serveur compris le topo, il nous installa dans un coin retranché du restaurant .Roger fouille dans mon sac à main et retire une de mes cartes de visites et me la montre :

’ Avec ça je peux tous raconter à ton cocu de mari alors tu vas être très gentille avec moi, enlèves ton string et donne le moi que je sente ’

J’enlève et lui pressente ce petit bout de tissus mouillé de mes sécrétions .Il le prend ,le hume et le fait disparaître sous la table,il me dis d’enlever mes escarpins, et de tendre mes jambes dans sa direction.il prend mes pieds et les relie à sa bite et se met à faire aller mes pieds de haut en bas ,je sentais son noeud grossir au contact du nylon recouvrant mes pieds ,après quelques minutes il utilise mon string et juta comme un porc,en jurant et soufflant comme un buffle,les yeux révulsés .Le repas s’en suit normalement ,bon j’avais plus de culotte et je ne savais pas à quelle sauce j’allais être manger mais au moment du dessert devant ma tarte ,Robert prends l’assiette et sort de dessous la table le string avec un gros paquet de liqueur de chêne et le voila qui déverse le tout sur mon dessert.’Voilà mange le comme une salope’ ce que je fis quand tous à coup je manque de m’étouffer ce con à foutus des poils et je manque de vomir et lui ce gros con se marre, fils de pute.

Ensuite nous sommes monté dans sa chambre et il me dit de me foutre à poils, il sort sa bite et s’astique pendant mon strip, il me donne plein d’ordre : ’ Mets toi sur le lit, à plat ventre, écartes les fesses, montres moi ton trou qui pue ’ puis il se dirige vers mon nunuse pour m’enculer à sec :

’ Non pitié pas par là t’es trop gros !

-t’as voulu faire la chienne et ben faut assurer connasse ’

Il présente son gland :

’ ’ohhhhhhhhhhhhh ça fait mal ’

Je beuglais comme jamais, le casque passe puis le reste et là je jouis comme jamais, malgré son physique il était doué pour le sexe :

’ Vas y c’est bon j’aime, oh mon amour, ramones moi le conduit, éclates moi les boyaux’

-T’es contente de te faire défoncer la turbine à chocolat’

-Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii oh je viens c’est bonnnnn ! ’

Roger ressort et de suite ,rapidement je gobe sa queue monstrueusement magnifique,elle pue ma merde sa bite mais que c’est bon ,Roger hurle comme un goret et gicle de nouveau dans ma gorge sur mes seins même les draps du lit sont souillé de sperme gluant.

Il reste allongé sur le lit avec moi il me galoche à merveille et son sperme ne l’écoeure pas, puis il me saisit le bras et m’emmène dans la douche me fait mettre à genoux :

’ ’Ouvres la bouche salope ’ et il me pisse dans la bouche.c’est chaud, c’est bon je me sens chienne, perverse comme jamais.

La tempête terminé, nous nous sommes douchés sans nous dire un mot. J’étais à poil dans un fauteuil quand mon portable sonna, c’était Patrick mon mari, rapidement je dis à Roger’c’est mon mari il est flic, il est jaloux comme un poux il pourrait te crever pour ça’ Roger acquiesça de la tête.

Je décroche le portable :

’ Allo !

— allo ma chérie, alors ça va pas trop chiant la compta ?

-Ben ça va le prof est un petit chauve gros et moche et con comme un manche mais bon ça va !!

Roger était vert de rage, il commence à se branler, écarte mes jambes et tapa fortement sur mon bouton, des grands coups comme le professeur qui punit un élève avec la fameuse règle de fer.

’ohaohannn s’échappe de ma bouche ’

-Que se passe t il ma chérie?

-Oh Patrick j’aimerais tant que tu sois là, je suis obligée de me masturber comme une pucelle en pensant à toi.

-Karine moi aussi j’ai envie de toi !

-oh ta queue Patrick, j’aimerais qu’elle me rentre dans le con

et la Roger comprends le message et ses yeux sont étincelants de perversité

-Voua chérie comme tu y vas ça m’excite aussi, attends deux secondes tu la sens qui rentre dans ta connasse. (j’entendis le zip de son pantalon)

Oh oui, Patrick fais moi jouir limes moi comme une salope ! ’

Pendant que mon cocu de mari se branle de l’autre coté, Roger s’en donne à coeur joie retenant ses soupirs ses râles il joue le jeu, accélérant la cadence, je jouissais comme une chienne de cette situation me faisant limer par un inconnu pendant que je téléphone à mon mari :

  ’ Karine je vais jouir sur tes gros nénés !

-non mon chéri dans ma bouche je veux ton jus d’homme, ta sauce, balance ton foutre au fond de mon palais !! ’

Roger sort de ma chatte et jute sur ma tronche j’en reçois partout mais ce con de Roger crie :

— ’ ahhhhhhhhhh,’oh putain c’est bon pfuuuuiuiui !!! ’

— assez fort pour que mon mari entende :

— ’ Chérie j’ai entendu une voix d’homme qui c’esttttttt ??????

-un mec que j’ai rencontré aujourd’hui dans un bar.

Patrick raccrocha.je savais à ce moment là que j’étais redevenu célibataire.

Je regarde Roger et je lui dis :

— ’ si on sortait en boite, je n’ai jamais été prise en sandwiche et je n’ai jamais eu de gang bang, tu es prêts à m’accompagner ?? ’

— Roger hocha la tête mais ça c’est une autre histoire.

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