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Première rencontre avec Clémentine – Chapitre 4




XII

Depuis que je fréquente Alex, je ne me reconnais plus. Je ne pense plus qu’au sexe, même quand il n’est pas là je me caresse tout le temps et j’ai l’impression d’être toujours mouillée. Je ne suis plus la Clémentine toute sage, propre sur elle, en tout cas dans ma tête. Il a fait de moi une vraie petite salope perverse. Il me fait faire ce qu’il veut, je lui obéis, j’aime ça, cela m’excite. Avec lui, j’assouvis tous mes fantasmes les plus inavouables et je n’éprouve aucune honte. J’ai juste une irrépréhensible envie d’en découvrir toujours plus, d’aller plus loin dans le plaisir, la découverte de mon corps. Il est même venu chez moi, dans ma chambre sous le prétexte de me donner des cours de maths. Alors que ma mère était présente dans la maison, il m’a baisée, fait boire ma propre pisse, goûter de la cocaïne.. et j’ai aimé, j’ai joui plusieurs fois. Je ne peux plus m’en passer, mon corps réclame ces orgasmes répétés.

Avant de repartir, quand ma mère lui a demandé de venir pour s’entretenir avec elle dans son bureau, je les ai suivis discrètement pieds nus. J’avais peur qu’elle ait entendu, découvert notre petit jeu. J’ai alors plaqué mon oreille à la porte. Je n’entendais pas bien ce qu’ils se disaient. Ils parlaient plutôt à voix basse, ce qui me rassurait, le ton ne montait pas. Puis j’ai entendu des bruits de frottements, de respirations, de petits gémissements. J’ai alors jeté un il par la serrure, ma mère me tournait le dos, elle semblait se tenir à cheval sur lui, ils s’embrassaient. Je n’en revenais pas. Comment avait-il fait pour l’emballer comme ça en si peu de temps, alors qu’ils ne se connaissaient pas quelques heures avant. Je n’aurais jamais imaginé voir ma mère embrasser un jour un autre homme que mon père. Je sentis aussitôt une douce chaleur envahir mon bas ventre. J’étais excitée et inconsciemment, je me mis à caresser ma poitrine, mon entre-jambe. Puis sans réfléchir, j’ai pris le risque d’ouvrir très doucement la porte pour mieux voir le spectacle. Ils ne faisaient pas que s’embrasser. Je découvris ma mère en train de se faire sauter. Son cul rebondissait sur les cuisses d’Alex alors qu’elle glissait sur sa queue en gémissant. Je n’avais pas remis de culotte, il me suffit de remonter ma robe, d’écarter mes cuisses, et je me mis à me toucher. Dans le dos de ma mère, je faisais glisser ma main sur ma chatte. Alex m’aperçut, il sourit et enfonça un doigt dans le cul de ma mère en continuant à la baiser. Je mouillais comme une folle et devais me retenir pour ne pas gémir. Je me doigtais au même rythme que sa queue pistonnait la chatte de ma mère. J’avais comme l’impression qu’il nous baisait toutes les deux en même temps. Elle directement et moi par l’intermédiaire de mes doigts. Ils se mirent à accélérer, moi aussi. Bientôt, je vis sa bite s’enfoncer d’un coup dans le vagin de ma mère qui poussa un cri. À cet instant, mon corps fut parcouru d’un frisson, j’ai joui en même temps que ma mère. Ma main s’inonda de mouille alors que ma mère s’effondrait sur lui. Je sortis de la pièce aussi discrètement que j’étais entrée et regagnai ma chambre toute tremblante de confusion et d’excitation.

La nuit qui suivit, j’eus clairement du mal à dormir normalement. Je restais trop excitée, mouillée en permanence. Je me souviens m’être masturbée plusieurs fois entre deux phases de demi-sommeil alors que les images se mélangeaient dans ma tête. Celle d’Alex me baisant dans ma chambre, puis baisant ma mère, et enfin, dans mon fantasme nocturne, nous baisant toutes les deux. Je devais aussi réfléchir aux devoirs qu’il m’avait confiée : séduire mon frère était le premier d’entre eux. Cela me faisait peur, mais dans le même temps m’excitait terriblement. Pendant ces vacances qui débutaient, nous allions rester souvent seuls tous les deux à la maison et je savais que l’occasion allait forcément se présenter. Il restait maintenant à savoir si j’aurais le courage de passer à l’action lorsque le moment serait venu.

Mon frère se masturbait souvent dans sa chambre, devant son ordinateur en général, en naviguant sur des sites pornos. Je le savais, même s’il prenait mille précautions pour rester incognito et faire son affaire discrètement. Il m’est arrivé d’entendre le son des vidéos qu’il regardait et qui ne laissait aucun équivoque sur leur contenu. Une fois même la porte de sa chambre était mal fermée et comme il lui tourne le dos depuis son bureau, j’ai pu l’apercevoir subrepticement et deviner par ses mouvements à quelle activité il se livrait. Ma stratégie était donc décidée. Je me disais qu’il serait plus facile de passer à l’acte s’il était déjà en état d’excitation. Il me suffisait donc d’attendre le moment propice en étant attentive et d’y aller !

XIII

L’occasion se présenta trois jours plus tard, l’après midi. Après le repas, mon frère m’informa qu’il avait du travail et qu’il ne fallait pas le déranger. Je devinais quel genre de travail il s’était préparé devant son PC. Je montais dans ma chambre pour me changer dans une tenue plus sexy voire un peu provocante : un mini short qui s’arrêtait juste sous mes fesses découvrant l’intégralité de mes jambes que je laissais nues, un petit top laissant mon bas ventre apparent, bien entendu aucun sous-vêtement et enfin de petites sandales ouvertes avec de petits talons. J’étais prête, mais j’avais toujours peur et manquais de courage malgré l’excitation. Je me souvins alors qu’Alex m’avait laissée un peu de potion magique pour m’aider. Je sortis alors de mon tiroir le petit sachet plastique contenant la poudre, l’étalai sur mon bureau en formant une ligne parfaite et fine à l’aide d’une règle. Je pris un billet de banque, le roulai entre mes doigts et comme la première fois, je me bouchai une narine pour aspirer de l’autre. À nouveau, l’effet fut immédiat et fulgurant. Je me sentis envahie d’une énergie nouvelle et toutes mes inhibitions tombèrent pour ne plus laisser la place qu’à ma seule excitation.

Après avoir franchi les quelques mètres de couloir séparant nos deux chambres, je collai mon oreille sur la porte de sa chambre. Je retins ma respiration pour faire abstraction de tout bruit parasite et quelques secondes plus tard entendis quelques petits gémissements équivoques. Plus de doute, comme je l’avais imaginé, il regardait du porno. J’ai alors doucement abaissé la poignée de sa porte et suis entrée sans un bruit dans sa chambre. Je ne m’étais pas trompée, mon frère était assis à son fauteuil de bureau son attention captée par ce qu’il voyait sur son écran. Je devinais au mouvement de son bras droit qu’il s’astiquait le manche. Discrètement j’ai positionné sur une étagère dans l’angle de sa chambre mon téléphone en mode vidéo pour filmer de qui allait suivre. Sans plus attendre, je me suis alors légèrement décalée et lui ai lancée « Coucou frérot ! ». Je l’ai vu bondir de surprise sur sa chaise, comme au ralenti, et pivoter vers moi sa bite tendue à l’air. Mon frère n’est pas très masculin. Il a le visage très fin, les yeux bleus comme moi, il est de taille moyenne environ 1,75m, très mince, ses cheveux blonds recouvrent une partie de ses oreilles et de sa nuque. Il est complètement imberbe au niveau du visage et du torse. Je pouvais voir maintenant sa queue très fine et plutôt longue, entourée d’une fine toison blonde que l’on devinait à peine. Ses yeux étaient écarquillés, il ne réalisait pas ce qui était en train de se passer.

— Putain Clémentine qu’est-ce que tu fous là, je t’avais dit de ne pas me déranger cette après-midi, me lança-t-il rougissant à vue d’il et en essayant laborieusement de remonter son pantalon sur son sexe en érection.

— Eh bien tu m’avais dit que tu travaillais, mais je n’ai pas l’impression que c’est vraiment le cas alors je me suis dit que je pouvais te déranger, dis-je en me rapprochant doucement de sa chaise avec un sourire et mes yeux allant de son sexe à son visage.

— Ce n’est pas une raison, tu n’as pas le droit de rentrer comme ça dans ma chambre et de violer mon intimité, casse-toi maintenant.

— Dis donc frérot, ce n’est pas une manière de parler à sa sur. Surtout que je viens de voir des choses que tu n’aimerais pas que je divulgue à certaines autres personnes comme ta petite amie par exemple

— Putain, tu ne ferais pas ça, je t’interdis d’en parler à Noémie.

— Uniquement si tu te montres raisonnable, d’ailleurs je ne comprends pas pourquoi tu essayes de me cacher ton zizi, je suis ta sur jumelle après tout.

— Mais tu délires complet ma pauvre, c’est justement parce que tu es ma sur que tu ne dois pas voir ça.

— Je ne savais pas que tu avais un si beau sexe, il ne faut pas faire de cachotteries comme ça à ta sur chérie.

Je m’étais rapprochée à quelques centimètres de son siège et me suis penchée en posant ma main droite sur le haut de sa cuisse.

— Tu n’es pas dans ton état normal Clémentine, dit-il visiblement extrêmement gêné mais sans faire un geste pour me repousser.

Ma main remonta alors le long de sa cuisse et vint se poser sur la base de son sexe que je tenais alors dans ma paume à travers le tissu de son pantalon à demi-remonté.

— Visiblement c’est plutôt toi qui n’es pas dans un état normal si j’en crois ce que je vois et ce que je sens entre mes doigts, tu as visiblement besoin d’une présence féminine, et ta petite sur est justement là, lui dis-je avec espièglerie en resserrant mes doigts sur son membre et commençant à les faire glisser tout doucement de bas en haut.

— Non Clémentine, ce n’est pas bien.

Je ne répondis pas. Ma main accrocha le haut de son pantalon et tira vers le bas. Malgré ses protestations, il releva instinctivement ses fesses de son fauteuil, permettant ainsi au tissu de glisser sur ses cuisses libérant sa queue turgescente. Mes yeux ne quittaient plus son sexe dressé à quelques centimètres de mon visage. Je me suis alors laissée tomber à genoux devant lui et j’ai commencé à lui donner quelques petits coups de langue sur la base de son gland rougeoyant. Il ne protestait plus. En levant les yeux, je vis qu’il me regardait ahuri, comme tétanisé par ce qui se passait. Mes lèvres enveloppèrent alors son gland que je me mis à harceler avec ma langue. Je fis couler un petit filet de salive sur le haut de sa bite et l’étala tout le de son membre avec la paume de ma main que je refermais progressivement sur sa queue. Je n’en revenais pas moi-même, je branlais mon propre frère dans sa chambre. La situation m’excitait comme une folle et je sentais que je mouillais. Ma main gauche glissa sous le tissu de mon short pour rejoindre mon intimité.

— Alors frérot, tu ne dis plus rien…tu veux toujours que je parte ?

— Tu es complètement folle Clémentine.putain non, continue maintenant.

— Plus d’états d’âmes vis-à-vis de Noémie à ce que je vois, lui dis-je en plongeant à nouveau ma bouche vers sa queue.

Mes lèvres glissèrent instantanément vers le bas, puis je fis l’effort d’ouvrir encore plus ma bouche et d’appuyer pour engloutir l’intégralité de sa bite, comme Alex me l’avait appris. Je fis alors couler ma salive sur son sexe qui glissa lentement vers ses couilles. Avec le bout de ma langue, j’ai alors commencé à lécher ma salive sur ses boules, avant de remonter vers sa queue du bas vers le haut. Je me remis alors à le sucer en cadence, en aspirant sa bite, et en l’enroulant avec ma langue. Ma main droite tenait la base de sa queue et le branlait en suivant les mouvements de ma bouche. Ma main gauche de son côté frottait la fente humide entre mes cuisses au même rythme. Je sentis alors une pression à l’arrière de ma tête. Mon frère s’était enfin mis en action et appuyait sur mon crâne pour que je le suce plus profondément. Je décidai alors de lui donner satisfaction en lui prodiguant une gorge profonde. À nouveau un flot de salive sortit de ma bouche.

À ce moment je m’interrompis, car je me doutais qu’il ne tiendrait plus longtemps à ce régime.

— On dirait que tu commences à sérieusement y prendre goût frérot.

— Je ne savais pas que tu étais une telle salope Clémentine, jamais je me serais douté.

— Comme quoi on connaît parfois mal ses proches, et tu n’as encore rien vu.

J’ai alors retiré devant lui mon haut libérant ainsi ma poitrine Mes petites mamelles étaient bien fermes et mes tétons pointaient déjà fièrement. Il me regardait toujours sans l’air de vraiment y croire. Je lui souris, pris sa main dans la mienne et la posa sur mon sein droit.

— Hihi, on dirait que tu n’as jamais vu une paire de néné, pourtant tu connais bien ceux de Noémie.

Sa main se referma par réflexe sur mon sein et il commença à me le malaxer sans rien dire. Mon excitation s’accentua encore, si cela était possible, et je gémis doucement en me mordillant les lèvres.

— Alors comment tu les trouves Lucas.

— Ils sont doux, fermes, très beaux.

— Héhé merci frérot. Ils sont mieux que ceux de Noémie ?

— Ils sont très différents, les siens sont plus gros, mais les tiens vont bien avec ton corps et te rendent terriblement sexy.

— Hmmm tu sais parler à ta sur.

Toujours à genoux entre ses cuisses et devant son sexe bandé, je me suis alors penchée en avant pour venir caresser sa bite du bout de mes tétons en les dirigeant de mes mains. Sa queue réagit instantanément en de petits soubresauts rapprochés. Je pris alors un sein dans chacune de mes mains et vins envelopper son membre entre mes mamelles. Doucement, je me mis alors à aller de bas en haut, mes tétons frottant sur son torse, masturbant sa bite enfermée dans le fourreau de ma poitrine. Seul son gland gonflé de plaisir ressortait périodiquement du haut de ma poitrine. Je faisais couler de la salive dessus en alternant avec de petits coups de langue. Bientôt, mon frère se mit lui aussi à accompagner ce rythme en donnant de petits coups de bassin. Je fus d’abord surprise et sa bite vint taper mon menton puis rapidement nous nous synchronisâmes. Je le branlais, et lui baisait ma poitrine. Puis, il accéléra et dans un ultime coup de rein, sa queue entra violemment en éruption. Son sperme jaillit de son gland et je le sentis s’écraser sur ma bouche, mon menton, mon cou, avant de s’écouler sur le haut de ma poitrine. Je remis sa poutre en bouche pour venir aspirer ses dernières gouttes de foutre. Avec mes doigts je ramenai sa semence étalée sur le bas de mon visage vers l’intérieur de ma bouche. Je me redressai, me mis bien face à ses yeux, ouvris grand la bouche et lui montrai son sperme chaud grouillant au fond de ma gorge. Puis je refermai et avalai d’un coup son nectar. Le sperme de mon frère avait un goût différent de celui d’Alex, moins salé, moins fort, mais je m’en délectais tout autant. Je m’assis alors sur ses genoux et vins écraser ma bouche sur la sienne. Instantanément nos langues se mélangèrent. J’étais en chaleur, excitée comme une folle et je n’avais pas encore joui. Bref ma chatte était en feu.

Je me suis alors redressée, ai déboutonné mon short que j’ai laissé tombé à mes chevilles. J’étais nue face à mon frère, lui exposant ma chatte toute lisse. Je m’assis sur le rebord de son bureau et écartai ostensiblement les cuisses. C’était très amusant d’observer mon frère, sa nouille visqueuse mollement retombée sur son ventre, et dont le regard était scotché sur mon intimité. Il voyait à quelques centimètres de son visage ma chatte juteuse qui s’ouvrait pour lui. Il devait pouvoir sentir les relents de ma moule. Mes lèvres humides étaient gonflées de désir et, sur le bas de ma fente, un trou plus sombre désignait l’entrée du tunnel interdit. Je posai mon index sur mon clitoris et commençai à jouer avec, tout en titillant un de mes tétons turgescents de mon autre main.

— Après la pipe que je viens de te tailler j’espère bien que tu vas t’occuper de mon minou frérot.

— Putain, si j’avais su plus tôt que ma sur était la reine des salopes

Comme tracté par un fil invisible qui le reliait à ma chatte, il se pencha en avant, posa ses mains sur le dessus de mes cuisses et je vis sa tête s’enfouir entre mes jambes que je refermai sur son dos. Sa bouche entra en contact avec mon abricot brûlant. Je sentis sa langue chaude et humide parcourir ma fente, ouvrir mes lèvres. Je gémissais. Le désir s’était accumulé en moi au cours de toutes les minutes précédentes, et ce contact électrisa l’ensemble de mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, derrière sa tête pour l’appuyer plus fort contre moi. Je voulais que sa langue me pénètre plus profondément. Je la sentais fouiller les parois de mon vagin. Son nez écrasait mon clitoris et mon jus coulait sur son visage. « Oui, baise-moi avec ta langue, bouffe ma chatte de salope », haletai-je alors que j’ondulai sur le dessus du bureau sous ses coups de langue et j’étais aux anges. Subitement, je fus prise d’une irrépressible envie de pisser. C’est quelque chose que j’ai remarqué chez moi. Quand je suis très excitée, j’ai envie de faire pipi. J’eus à peine le temps de repousser légèrement la tête de mon frère de mon sexe, qu’un petit jet d’urine que je ne pouvais plus retenir partit lui arroser le bas du visage. Surpris, il recula brusquement et retomba assis dans son fauteuil. Néanmoins, il ne se détourna pas de mon jet de pisse qui venait maintenant inonder son torse, puis son ventre. Il me regardait droit dans les yeux et je soutins son regard la bouche entre-ouverte d’excitation, comme par défi. Il se réajusta pour que mon urine chaude vienne s’écraser sur sa bite. Il aimait ça le salaud. Je voyais sa queue, arrosée de ma douche dorée, bander à vue d’il. Il prit alors son membre en main et commença à se branler face à moi qui continuais à lui pisser dessus. Puis il se pencha à nouveau en avant et son visage à contre-courant du flux d’urine remonta vers ma chatte. Bientôt, sa bouche assura une étanchéité parfaite. Mon frère buvait ma pisse à la source qui finit par se tarir alors que les dernières gouttes descendait au fond de sa gorge. Quand de nouveau je sentis la pression de sa langue sur ma vulve, mon excitation était telle que je ne pus me retenir et jouis dans un puissant orgasme. Mon corps entier se contracta, Lucas se recula légèrement pour recevoir le jet de mouille qui jaillit brutalement de mon sexe en fusion.

Mon frère se redressa et vint m’embrasser tendrement. Sa bouche puait de mes odeurs de sexe et de pisse. Sa langue transportait mon goût dans ma bouche. Je passais mes bras autour de son cou et abandonnait mon corps ramolli par le plaisir contre le sien. J’avais toujours les cuisses bien écartées, enroulées autour de son bassin. Sa queue, elle, n’était plus ramollie et je la sentais bien dure frotter sur le bas de mon ventre. « Baise-moi » lui susurrai-je à l’oreille. Il fit une légère flexion sur ses jambes et avec ses doigts fit glisser vers le bas son gland depuis mon nombril vers mon clitoris. Je le regardais en haletant. À nouveau je sentis cette chaleur caractéristique envahir mon bas ventre. Son gland glissa sur ma fente, écartant délicatement mes lèvres humides qui ne s’asséchaient plus. Puis d’un coup de rein, il poussa son braquemard un peu plus en avant dans ma vulve. Je le sentis entrer en moi et l’accueillis avec un profond gémissement de plaisir. Je n’en revenais pas, mon frère debout, me pénétrait moi sa sur, assise cuisse grande ouverte à poil sur son bureau. Je poussai son bassin vers moi avec mes jambes et sa bite entra complètement dans ma chatte. Pendant un moment, nous ne bougions plus. Je voulais rester comme ça, avec son membre gonflé enfoui dans mes entrailles. Les parois de mon vagin que je contractais enserraient sa belle queue tendue. Très doucement je le sentis glisser vers le bas, au point qu’il ne resta plus que l’extrémité de son gland en moi. Puis, d’un coup il enfila à nouveau l’intégralité de sa verge. Il m’arracha un cri. Il recommença comme ça plusieurs fois me pistonnant de plus en plus fort. Sa queue tapait au fond de ma chatte. Sa tête plongea vers moi poitrine et mon frère commença à me téter, suçant mes tétons bandés l’un après l’autre.

— Tu aimes ma chatte Lucas ?

— Hmm oui tu es bonne, plus serrée que Noémie.

— J’aime ta queue frérot, j’aime la sentir en moi.

— Si tu me dis ça, je crois que je vais y prendre goût, tu sais ?

— J’aime ça, que tu me baises, je suis une salope.

— Oui une belle salope, petite sur.

Il se mit à me baiser plus vite avec des va-et-vient plus courts. Nous gémissions tous les deux. Puis nos bouches se plaquèrent au moment où nous jouîmes de concert. Son chibre enfoncé au plus profond de mon ventre se mit à tressauter délivrant sa semence. Je sentis les petits jets chauds venir tapisser puis remplir ma choune. Mon corps entier fut alors parcouru de frissons et de décharges pendant plusieurs secondes. Nous étions tous les deux en sueur. Doucement, il se retira et s’effondra en arrière sur son fauteuil. Je restai assise sur son bureau le regardant, il était beau. Je sentis en moi son foutre couler hors de mon con. Bientôt son nectar blanc apparut à l’orée de ma vulve et coula en un épais filet vers le sol rejoindre les sécrétions de notre après-midi de débauche, ma mouille et ma pisse.

Sa chambre était vraiment crade, et il allait falloir nettoyer. Comme j’étais un peu responsable, il était naturel que je me propose pour cette tâche. Quelques minutes plus tard je revenais dans sa chambre avec un seau rempli d’eau savonneuse et munie d’une serpillière. J’étais toujours nue, mon frère aussi. Il était assis sur le bord de son lit. Il ne bandait plus mais arborait un large sourire de satisfaction. Sans rien dire, je me mis alors à quatre pattes et commençai à frotter le sol souillé. Je sentais son regard se poser sur moi. Il devait avoir une vue magnifique sur ma croupe que je remuais sous ses yeux au rythme des mouvements que j’imprimais à la serpillière. Il devait reluquer mon cul et apercevoir la fente de ma chatte. Cette idée m’excitait et à nouveau je sentais une douce chaleur envahir mes pommettes. Je décidai alors de pencher mon buste un peu plus vers le sol, relever encore un peu mes fesses et écarter légèrement mes cuisses. Je jetai un coup d’il en arrière et vis que son sexe gonflait. Il s’approcha de moi, se mit à genoux et passa sa main sur la courbure de mes fesses.

— Tu es vraiment une grosse salope petite sur. Ton cul est vraiment sublime, regarde comme je bande par ta faute.

Je ne répondis pas mais fis décrire à mon bassin un petit cercle. Il passa son doigt sur mes lèvres intimes, et un nouveau frisson parcourut la surface de ma peau.

— Encore mouillée, une vraie chienne en chaleur.

— C’est pour toi que je mouille frérot.

— Pour moi ou pour ma queue, petite salope.

— Oui j’aime ta bite, j’en veux encore. Je veux que tu me baises à nouveau.

— Tu n’es jamais rassasiée alors ?

Sans prévenir il me donna une grande claque sur les fesses avec sa main droite. Je sursautai et poussai un petit cri.

— Oui, fesse-moi, je suis une salope qui mérite d’être punie.

Une nouvelle claque. « Pus fort » demandais-je. Il se mit à me fesser plus vite et plus fort. À chaque contact de sa main, je criai. Entre deux fessées, je gémissais. Je sentais mes fesses rougir. Les lèvres de ma chatte gonflaient elles aussi de désir et recevaient l’impact de ses claques dans un mélange de douleur et d’intense plaisir. Je mouillais de plus en plus fort et le jus de ma vulve coulait le long de mes cuisses. Ma tête touchait le sol, ma croupe dressée vers mon frère. Je le voulais, je voulais qu’il me prenne encore. Il arrêta de me fesser et je le sentis écarter mes deux fesses. Il cracha sur mon anus et commença à le masser. Mon état d’excitation crut de manière exponentielle et je me mis à tirer sur mes seins en gémissant.

— Oui continue, prends mon cul

— C’est vrai petite sur ? Tu veux que je t’encule ? Tu es sûre ? Me demande-t-il en faisant pénétrer son majeur dans mon petit trou.

— Oui baise mon cul de pute, je veux ta bite en moi.

— Même de là, tu n’es plus vierge tu caches vraiment bien ton jeu.

Il sortit son doigt de mon anus et le porta à ma bouche. Je me mis à le sucer doucement et le goût de mon cul envahit ma bouche. Je sentis qu’il appuyait son gland sur mon étoile, qui s’ouvrit sous l’effet de son poids. Il se laissa tomber en avant et son membre m’empala brutalement d’un seul mouvement. Je ressentis une forte douleur et poussai un cri, il m’avait littéralement déchiré le cul. Mon anus me brûlait et pour atténuer la douleur je me mis à masser mon clitoris. Mon frère prit de meilleurs appuis et commença ses va-et-vient. Je sentais sa bite me remplir complètement. La douleur s’estompait progressivement pour laisser place à un plaisir de plus en plus fort. Je me massais au même rythme qu’il me pistonnait. Ses couilles tapaient sur ma fente, son bas ventre claquait sur mes fesses. « Ton cul est encore plus serré que ta chatte » me lançait-il. La cyprine dégagée par ma moule en fusion coulait sur nos cuisses lorsque nos corps se rejoignaient au moment où son sexe était complètement englouti par mon trou noir. Très vite nos gémissements se mêlaient au bruit de succion que faisaient alors nos corps. Il tira ma tête en arrière par mes cheveux, et je dus me rattraper avec mes mains pour retrouver la stabilité. Nous étions des bêtes, et je criais à chacun de ses assauts. Je sentis alors sa queue s’enfoncer violemment en moi, gonfler encore et vinrent plusieurs jets intenses. Alors que son sperme enduisait la paroi de mes intestins, une décharge électrique parcourut mon corps qui m’abandonna. Ce violent orgasme me fit trembler au sol pendant plusieurs secondes. Mon frère se redressa brièvement avant se laisser tomber sur le dos sur son lit, son ventre gluant de nos fluides mélangés.

— Je ne te verrais jamais plus comme avant Clémentine.

— Je suis vraiment heureuse tu sais frérot. Je serais toujours là pour te soulager quand tu en ressentiras le besoin.

— J’espère bien salope. Je peux faire avec toi des choses que je n’oserais pas faire avec Noémie.

— Hihi en t’entraînant sur moi tu ne pourras que lui donner plus de plaisirs.

Le temps avait passé vite et nos parents risquaient maintenant de rentrer à tout moment. Je finis de nettoyer la pièce, repris mes habits et mon téléphone qui n’avait rien manqué de nos ébats avant de regagner ma chambre pour me reposer après cette après-midi studieuse.

Le soir de cette après-midi, je m’étais couchée assez tôt et repensais à ce qu’il s’était passé. Cela m’excitait. Je m’étais mise sur le flanc et j’avais commencé à glisser ma main entre mes cuisses sous le pantalon de mon pyjama, pour me rejouer le film avant de m’endormir et me donner une ultime dose de plaisir.

Alors que je commençai à me toucher, la pénombre de ma chambre fut subitement brisée par une faible lumière filtrant par la porte qui s’entrouvrait doucement. Je faisais dos à la porte, surprise je retirai doucement ma main de mon intimité et décidai alors de ne plus bouger simulant alors le sommeil. La porte se referma et quelqu’un approcha dans le noir à pas feutré de mon lit. La couette se souleva dans mon dos et je sentis cette personne rentrer dans le lit. Je faisais toujours semblant de dormir. Bientôt, je sentis des mains se poser sur mes hanches et commencer à caresser mes fesses. Cela ne pouvait être que mon frère. Lui aussi devait repenser à notre après-midi et ce petit salaud m’avait prise au mot. Il venait me rejoindre dans mon lit. Ce contact inattendu attisa un puissant désir en moi que j’avais commencé à effleurer de mes doigts. Je trouvais toutefois intéressant de ne pas réagir et de faire comme si de rien était. Il se rapprocha de moi et, bientôt, je le sentis se plaquer contre mon dos. Son bras m’enroulait et sa main vint se perdre sur ma poitrine qu’il commença à peloter. Au niveau de mes fesses, je pouvais clairement sentir son sexe dur. Il se mit alors à faire de petits mouvements de bassin pour le frotter contre moi. Une vague d’excitation m’envahit, mais je ne bougeais toujours pas. Sa main se dirigea vers l’élastique de mon pantalon et le tira vers le bas découvrant mes fesses vu que je ne portais pas de culotte. Ses doigts s’insinuèrent entre mes cuisses et parcoururent rapidement ma fente qui était bien humide maintenant. Rapidement ses doigts furent remplacés par sa queue qu’il dirigeait sous la couette vers ma chatte. Je restais toujours inerte essayant de maîtriser ma respiration. Je sentis sa bite venir lécher ma vulve puis me pénétrer d’un coup. Je ne pus retenir un petit gémissement. Mon frère commença à me sauter dans mon lit, dans le noir, sans que nous ayons prononcé un seul mot. Je sentais son membre me remplir, rentrer et sortir. Dans cette position sur le côté, je serrai mes cuisses et contractai mon vagin sur sa queue. Ses doigts venaient branler mon clitoris. Je me mordais les lèvres pour ne pas gémir, n’émettre aucun son. Le seul bruit était celui de ses mouvements de piston, le bruit d’une chatte de pute baisée par une queue bien dure. Il se mit à accélérer en moi, signe qu’il allait jouir. Le mouvement de ses doigts sur mon clito suivait la même cadence. Nouvelle décharge, nouvel orgasme, puis quelques secondes après le flot de foutre enfin libéré qui vint taper au fond de ma chatte. Il se retira tout de suite et partit sans un mot, comme il était venu, me laissant là, le ventre remplit de son sperme. Il était venu dans ma chambre juste pour vider ses couilles en moi. Je remontai mon pantalon. Je me sentais salope, heureuse, toute honte m’avait abandonnée. Cette nuit-là je dormis paisiblement.

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