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Nouveau voisin – Chapitre 1




La soirée continue ainsi jusqu’à très tard. Epuisés, nous nous endormons dès nos amis partis.

Le lendemain matin, le chant des oiseaux me tire des bras de Morphée. Je regarde ma montre : onze heures ! Sans réveiller Pat, je me lève et prépare le petit déjeuner. Je file voir s’il reste des croissants. Coup de chance, il en reste quatre. Je reviens donc au mobil home, remarquant en passant une tente qui n’était pas là hier soir. Installée près de nous, ses occupants ne peuvent quand même pas nous voir, ce qui me rassure un peu. J’entre dans la chambre, Pat dort toujours ; nue, sur le dos, les jambes légèrement écartées, sa respiration soulève ses seins dont les bouts, contrairement à cette nuit, sont eux aussi au repos. Je reste à l’admirer puis, presque à contrec?ur, me décide à la réveiller. Je pose le plateau et me penche sur son visage. Mes lèvres embrassent ses paupières, ses joues puis se posent sur la bouche. Ma chérie ouvre les yeux et me sourit. Elle se tend puis s’assied, les jambes croisées sur lesquelles je pose le plateau. Nous dégustons notre petit déjeuner. Allumant une cigarette, elle me dit :

— Dis donc, pour une sacrée soirée, c’était une sacrée soirée !

— Tu peux le dire? tu as aimé au moins ?

— Je t’ai donné l’impression de ne pas apprécier ?

— Non, c’est pas ça ! Mais ce matin, tu en penses quoi ?

— Qu’on a découvert de nouveaux plaisirs et que ça m’a beaucoup plu.

— Tu recommencerais ?

— Je crois? oui? je pense que j’aimerais revivre cela. Et toi ?

— Moi aussi, bien sûr ! ?a m’a énormément excité de te voir avec un autre homme? et avec une autre femme aussi.

— Dans ce cas, rien ne s’oppose à ce que l’on recommence si l’occasion se présente?

— Non? à condition de tomber sur des gens aussi sympas et mignons que Pierre et Sophie. Mais dis donc, cochon, on dirait que ça t’excite rien que d’en parler !

Je ne peux en effet guère lui cacher la bosse qui déforme mon caleçon.

— Je me remémore quelques moments de cette nuit?

— Et, comme je te connais, tu imagines aussi d’autres moments à venir ?

— Je ne peux décidément rien te cacher !

Elle me tend ses lèvres et nous nous embrassons amoureusement. J’ose une main vers sa poitrine. Elle me laisse la caresser puis, brusquement, se retire et me dit en souriant :

— J’ai envie que tu te caresses devant moi.

— Pardon ?

— Ben, oui? je veux te regarder te branler.

Elle saisit ma main et la pose sur ma verge. Je m’allonge à ses côtés, me déshabille et me caresse lentement la queue, qui se redresse encore. Mon autre main frôle mes bourses. Pat ne perd pas une miette du spectacle que je lui offre. Une de ses mains caresse l’intérieur de ses cuisses. Ma queue est maintenant bien raide. Pat me guide un peu :

— Oui, c’est bien. Tire bien sur la peau, montre-moi bien ton gland tout gonflé.

Je me branle ainsi de longues minutes. Elle me demande alors :

— Caresse-toi aussi le cul. J’ai envie de te voir t’enfoncer un doigt dans ton petit trou?

— Tu y vas fort !

— Ose me dire que tu n’aimes pas ça !

— J’aime bien oui? quand tu me mets un de tes doigts.

— Tu n’as jamais eu envie de sentir quelque chose de plus? consistant entre tes fesses ?

— Me faire enculer ??

— Hum? oui? pourquoi pas? tu aimes me le faire, non ?

— Euh? oui? et tu as aimé cela hier, non ?

— Oui ! J’ai adoré même ! Et je suis sûre que toi aussi tu apprécierais !

— Je n’en suis pas si sûr mais qui sait !

— En attendant, branle-toi le cul ! Montre-moi comment tu fais quand il s’agit de mes fesses.

— Tu ne veux pas me le faire ?

— Non ! Je veux te regarder.

Je pose donc mon majeur sur mon petit trou et commence à me caresser doucement l’?illet. Petit à petit, mon doigt s’enfonce. Je continue à me caresser la queue. Pat me regarde, l’?il brillant d’excitation. La vision de ma queue bandée et de mon doigt enfoncé entre mes fesses lui fait visiblement le l’effet car sa main droite ne tarde pas à jouer avec les poils de son pubis.

— Caresse-toi aussi?

— Non, pas tout de suite? je veux te voir jouir d’abord? après, on verra?

Je continue donc mes caresses solitaires. J’ose un second doigt dans mon cul, après l’avoir léché. Il rentre assez facilement et je me surprends à éprouver de plus en plus de plaisir à cette pénétration. Je me branle de plus en plus vite et soudain, le plaisir arrive, violent. Deux doigts dans le cul, je balance de longs jets de foutre qui atterrissent sur mon ventre. Pat s’approche de moi et m’embrasse très tendrement. Je lui caresse tendrement la poitrine mais elle s’esquive, me disant qu’il est l’heure de se lever.

Après une douche, nous partons faire quelques courses. En passant près de la nouvelle tente, nous entendons crier ’Bonjour’. Nous tournons la tête et découvrons notre nouveau voisin. Nous lui répondons et, quelques pas plus loin, ma chérie me dit :

— Plutôt mignon, le nouveau, non ?

— Tu as raison, un beau gosse.

— Je me demande s’il est seul?

— Toi, je te vois venir !’

Les courses terminées, nous revenons et déjeunons légèrement. Je fais ensuite un café que nous dégustons sur les chaises longues, à l’ombre du parasol. Pat s’est mis en bikini et je me régale de la vision de son corps bronzé. Je pose la main sur son ventre et la caresse légèrement. Ma chérie ferme les yeux et se laisse aller. Mes doigts effleurent le haut de sa poitrine. Devant son manque de réaction, j’empaume un sein que je masse lentement. Je sens sous mes doigts le téton se raidir. Mon autre main baisse la fine bretelle du soutien-gorge. Je me penche et dépose un baiser sur cette petite fraise qui s’allonge encore un peu sous ma caresse. J’abandonne la poitrine et pose mes lèvres sur la bouche de Pat. Nos langues se mêlent dans un baiser passionné. Mes doigts délaissent eux aussi les deux globes et parcourent le ventre de Pat, lui donnant la chair de poule. J’arrive bientôt à la lisière du slip de bain. Je masse le Mont de Vénus par-dessus le tissu puis descend doucement vers la fente, m’amusant à y faire pénétrer le tissu. Une légère humidité trahit l’émoi de ma chérie. Elle écarte un peu les jambes, m’invitant à continuer mes caresses. Je passe alors la main sous le slip et me saisit de son bouton d’amour que je pince entre le pouce et l’index. Je le fais rouler délicatement entre mes doigts, tirant des soupirs des lèvres de Pat. Ma bouche suit le trajet de mes doigts et je dépose mille baisers sur son ventre. Je la débarrasse de son slip et insinue un doigt dans une fente que je découvre déjà bien trempée. Je lui caresse le vagin en même temps que mes lèvres se posent sur le clitoris. Pat gémit et écarte les jambes au maximum. Elle saisit mon autre main et vient la poser sur sa poitrine, m’indiquant de m’occuper de ses seins si sensibles, ce que je fais avec douceur.

Ma langue a remplacé mes doigts dans sa fente et je me régale de son nectar. Je lui relève les jambes et, me reculant un peu, admire sa chatte et son petit trou fripé qu’un doigt fureteur s’amuse à agacer. Je lèche alternativement sa fente et son bouton et il ne lui faut guère longtemps pour parvenir à l’orgasme. Elle étouffe un gémissement et je sens sa liqueur inonder ma bouche. Je bois à cette source avec un grand plaisir.

C’est alors que je l’entends pousser un petit cri. Je lève les yeux vers elle. Son regard est dirigé vers l’entrée de notre emplacement. Je me retourne alors et voit, avec surprise, notre voisin.

— Veuillez m’excuser, mais? euh? je voulais vous demander si vous pouviez me prêter un peu de sucre. J’ai complètement oublié d’en emmener.

— Bien sûr, répond Pat. Au fait, le spectacle vous a plu ?

— Euh? je n’osais pas vous déranger? et? c’est vrai que je n’ai pas pu m’empêcher de vous admirer.

— ?a se voit, rétorque Pat en regardant la bosse qui déforme le short du voisin.

— Excusez-moi encore?

— Ne vous inquiétez pas. Nous sommes aussi un peu fautifs de l’avoir fait dehors.

— Au lieu de nous emprunter du sucre, que diriez-vous de prendre un café avec nous ?

— Cela ne vous dérange pas ?

— Bien sûr que non ! Au fait, je suis Patricia et mon mari Pascal.

— Enchanté, moi c’est Stéphane.

— Je vous laisse, je vais faire un café.

Pat se lève et se dirige vers la cuisine, les fesses nues, les yeux de Stéphane rivés à son postérieur. Je le regarde en souriant et lui dit :

— ’J’ai l’impression que les fesses de Pat te plaisent assez, je me trompe ?

— Non, si vous? si tu le permets, je te dirai même qu’elle a un super cul.

— Merci pour elle.

— Vous êtes toujours aussi? cool ?

— Tu veux savoir si on a l’habitude de se balader à poil devant des inconnus. Non, c’est la première fois. ?a ne te gêne pas ?

— Oh que non ! J’en suis même ravi !’

Pat revient et sert le café, toujours nue. Elle jette un regard à la dérobée sur le short de Stéphane et constate que l’excitation de ce dernier ne semble pas retombée. Elle me regarde en souriant et dit :

— Tu ne trouves pas un peu anormal que l’on soit nus tous les deux et que notre ami reste habillé ?

— Je dois reconnaître qu’il y a là une certaine injustice. Qu’en penses-tu Stéphane ?

— Euh? vous voulez que j’ôte mon short ?

— Je n’osais pas te le demander, lui répond Pat avec un grand sourire.

— C’est à dire que? je suis en un état?

— Proche de l’Ohio ??? J’ai déjà remarqué ton érection, ne crains rien. D’ailleurs c’est plutôt un compliment pour moi.

— Dans ce cas?

Il se lève et se débarrasse de son vêtement, nous dévoilant un sexe que ma chérie dévore d’un ?il gourmand. Nous buvons notre café tranquillement, faisant un peu plus ample connaissance. Nous apprenons ainsi que notre voisin a 28 ans, qu’il est célibataire, originaire de l’Est de la France et qu’il est courtier en assurances. Pat lui demande si la rumeur qui dit que les assureurs profitent souvent des femmes seules à leur domicile est fondée. Il nous avoue avoir connu quelques ’entretiens’ assez chauds mais qu’il ne s’agit pas de la majorité.

— Heureusement, d’ailleurs, continue t-il en souriant, on serait souvent sur les genoux le soir?

— Effectivement !

— Il m’est également arrivé une fois une partie à trois avec un très jeune couple. Je les ai d’ailleurs revus plusieurs fois. Et vous ? Vous pratiquez l’échangisme ?

— Nous avons vécu notre première expérience avec un autre couple hier, répond ma chérie.

— Décidément, c’est la semaine des découvertes pour vous !

— On peut le dire, oui.

— Et cela vous a plu ?

— On a passé des moments vraiment agréables, n’est ce pas Pascal ?

— Oh oui ! Je ne pensais d’ailleurs pas que ça pourrait m’exciter autant de voir ma femme faire l’amour avec un autre homme.

— Moi non plus, renchérit Pat.

— Arrêtez ! vous allez me donner des idées.

— Excuse-nous. c’est vrai qu’on est dur avec toi?

— Et moi, dur? je le suis de plus en plus?

— Je vois ça. Dis ma chérie, tu ne vas pas le laisser souffrir ainsi ?

— Tu crois ? Il peut toujours se soigner tout seul. Stéphane, qu’en penses-tu ?

— C’est vrai mais c’est nettement moins bien.

— Tu as envie que je te calme un peu ?

— Si j’en ai envie ? J’en meurs d’envie, plutôt.

— Approche-toi.

Stéphane s’installe debout à côté de Pat. Elle lui caresse un peu le ventre puis sa main descend lentement vers la forêt de poils d’où émerge un sexe fièrement dressé. Le négligeant, elle continue sa descente et se pose sur les bourses gonflées de notre nouvel ami. Elle les caresse doucement, les faisant rouler entre ses doigts. Une main remonte vers la verge dont elle griffe gentiment la hampe qui prend encore de l’ampleur. Pat lève les yeux vers Stéphane et lui demande, dans un sourire, s’il aime ses caresses. Un ’Hum’ de satisfaction lui répond. Elle empoigne alors le membre et entame de lents va-et-vient qui tirent des soupirs à notre ami. Celui-ci s’enhardit, pose une main sur l’épaule de Pat puis, devant le manque de refus, descend se poser sur la poitrine. Il saisit un téton entre ses doigts et le titille, le faisant s’allonger et grossir. Ma femme me regarde et, passant la langue sur ses lèvres, semble me demander mon accord pour sucer Stéphane. Mon sourire la rassure. Elle se penche vers le bas-ventre et pose la bouche sur le gland. Sa langue agace un peu le méat puis les lèvres s’ouvrent et elle absorbe lentement la tige. Je regarde avec plaisir ses lèvres se gonfler. Stéphane, toujours caressant les seins de sa fellatrice, sort de son silence :

— ’Pascal, ta femme est vraiment géniale. Il y a bien longtemps qu’on ne m’a pas pompé ainsi?

— Elle adore les jolis sexes et le tien semble correspondre à ses goûts.

— Tout le plaisir est pour moi. Hum? j’adore sa langue sur mon gland? doucement, Patricia? sinon je ne vais pas pouvoir tenir longtemps? surtout depuis le temps que je suis excité?oh? elle me prend tout entier? c’est la première fois? c’est trop bon?

Pat accélère un peu et notre ami ne semble plus très loin du plaisir. Galant, il la prévient. Il tente de se retirer mais, lui saisissant les fesses, Pat l’en empêche. Je vois son corps se raidir et, dans un long gémissement, il se répand dans la bouche. Pat le garde jusqu’à l’ultime goutte entre ses lèvres et je la vois avaler avec plaisir le jus de son amant. Il reprend ses esprits et remercie ma femme :

— Il y a un bail que je n’avais pas joui aussi fort.

— Je te remercie.

— Je peux vous demander quelque chose ?

— Bien sûr, vas-y.

— J’ai très envie de rendre à Patricia le plaisir qu’elle vient de me donner. Vous voulez bien ?

— Moi je suis partante !

— Je crois que la permission est accordée !

La suite bientôt

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