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Evasion victorienne – Chapitre 4




Samedi 10h37

J’ouvre un il, le soleil perce entre les rideaux, je me retourne, attrape mon portable, petit tour sur mes mails, Twitter et je termine par attraper mon casque audio et me mettre de la musique dans les oreilles pour finir de me réveiller.

Samedi 11h23

Une nana en culotte sort de la chambre de Matth, mon colocataire, se retourne et fût surprise de me trouver là.

« Café ? Lui proposai-je en lui tendant la carafe.

— Euh, non merci, répondit-elle hésitante, tu es… fin toi et Matth…

— Je suis sa coloc, pas de panique. »

Elle soupira de soulagement et fila dans la salle de bain. Mon portable vibra.

« 20h30 ce soir ? » Greg voulait sa revanche sur la soirée d’hier.

« Je t’ai déjà dit que je ne pouvais pas. Dans la semaine prochaine peut-être. Bisous coquins »

Samedi 22h35

La sonnette retentit et j’ouvris la porte à Jess, ma meilleure amie. Ce soir, ce serait soirée fille, apéro à la maison puis direction le Five pour danser toute la nuit. Ragots et cocktails senchaînèrent pendant trois bonnes heures puis nous décollâmes pour retrouver notre bande de copines.

Dimanche 02h56

Je commençais à être bien, l’alcool me désinhibait, et je me déhanchais dans mon short minimaliste sur la piste de danse. Je pris une pause pour boire un verre au bar.

« Joli déhanché » Je me retourna et tomba sur ce mec, environs 25 ans, et un air de déjà vu. Je cherchais quelques secondes dans ma mémoire. Mais oui, Nicolas, le chauffeur de Greg.

« Nicolas, c’est ça ?

— Oh je suis ravi qu’une si jolie fille se rappelle de moi, plaisanta-t-il, tu danses ? »

Je finis mon verre de vodka cul sec, et attrapa sa main. Il se débrouillait pas mal sur une piste, bien bâti, je sentais ses biceps musclés sous mes mains, appétissant. Nous continuâmes ainsi un bon moment. Jess me lançait des clins dil lourds de sens, je ne lui avais pas raconté pour Greg.

Le Dj lança un zouk, Nicolas en profita pour me coller à lui, une main sur le bas de mon dos, une jambe entre les miennes. Le zouk est une danse que j’adore, sensuelle et rythmée, une de celle qui montre comment va être un mec au lit. Je sentais son corps contre le mien, sa queue qui commençait à gonfler, et ça ne me laissait absolument pas indifférente.

Il glissa une main sur mes fesses, me regarda comme pour avoir la permission, je ne m’y opposais pas. Après tout, nous n’avions défini aucun critère de relation avec Greg. Certes, le fait de m’amuser avec son employé n’était pas le plus intelligent, mais on n’a qu’une seule jeunesse.

La musique changea, mais Nicolas ne me lâcha pas et nous restions collés au milieu de la piste. Il m’embrassa puis mentraîna du côté du bar, où il m’offrit un verre. Il me coinça entre le bar et lui, me proposa à l’oreille de changer de lieu pour continuer. J’hésitais. Il posa une main directement sur ma chatte, à travers mon short.

« Tu sais, je sais ce que tu fais avec mon patron, me fait pas croire que t’aimes pas ça. Je n’ai pas 40 piges et des millions sur mon compte, mais dans un lit, crois moi, je ne te décevrai pas. »

Cette phrase finit de m’achever, j’avertis Jess de mon départ pour qu’elle ne s’inquiète pas et je sortis de la boite avec Nicolas. Il appela un taxi, et en attendant, commença à me caresser. Ses baisers étaient plus forts, ses mains plus inquisitrices.

« Je te jure que si ce taxi n’arrive pas immédiatement, je te fais l’amour ici, contre cette vitrine. »

Un coup de klaxon nous fit sursauter, le taxi était là. Chance ou malheur, je ne saurais le dire. Le trajet me paru interminable, les mains de Nicolas ne lâchant pas mon corps une seconde. Il nous déposa devant un immeuble résidentiel.

Une dizaine de minute plus tard, nous étions nus, nos vêtements en vrac dans le couloir, il me souleva dans ces bras musclés et m’allongea sur un lit. La pièce était sombre, et à part le lit, je ne distinguais pas grand chose. Déjà bien excités, nous zappions les préliminaires et Nicolas saisit un préservatif.

Il m’installa sur le dos, posa mes jambes sur mon torse et me pénétra. Je soupira de plaisir d’enfin sentir sa queue en moi après tant de taquineries. Mes jambes autour de son cou, la pénétration était profonde, comme je l’aime. Il me baisa sauvagement, mes cris et les siens se perdant dans le silence de la nuit. Nous nous retrouvions allongés sur le dos, haletant. Il s’assit au bord du lit.

« Alors, je t’avais dit que c’était une vraie salope. »

Quoi ? À qui parlait-il ? Une lumière douce s’alluma dans un coin, et je découvris Greg, assit dans un fauteuil.

« En effet, une vraie salope, répondit-il tout sourire en me regardant. »

Je me levais rapidement, je voulais récupérer mes affaires, sortir de là. Moi qui avait l’habitude de contrôler le jeu, je m’étais fait avoir. Greg me rattrapa dans le couloir.

« Gabi, tu vas où ? Me fais pas croire que l’idée d’avoir deux mecs rien que pour ton plaisir ne te tente pas. »

C’est donc ça qu’il voulait, un coup à trois, et non pas me ridiculiser. Mais cela valait-il le coup ? Je pesais le pour et le contre, mes vêtements pressés contre moi. Greg s’approcha de moi, se colla contre mon dos, posa ses mains sur mes épaules, me faisant frémir. Nicolas s’approcha à son tour, enleva mes vêtements de mes mains et posa sa main encore une fois sur ma chatte brûlante. Mon corps répondait pour moi.

« Gabi, tu es trempée, allez viens, on va régler ça. » Sa voix était douce, envoûtante, et Nicolas me prit la main pour m’entraîner à nouveau sur le lit, et Greg me suivit, toujours une main sur moi. Ils sallongèrent chacun d’un coté. L’un promena sa main sur mes seins, l’autre me caressait les jambes remontant sur mon sexe. C’était inédit pour moi. Je saisis une verge dans chaque main, les masturbant en rythme. Je reçois un baiser dans le cou, puis Nicolas bougea pour se placer entre mes jambes.

Il posa sa bouche sur mon sexe, me faisant crier de plaisir. Greg me présenta sa queue, je la pris en bouche immédiatement. Sucer et se faire sucer en même temps, c’était assez délicieux. Greg jouait avec mes tétons, Nicolas m’introduit un doigt, le combo parfait. La queue dans ma bouche étouffait mes cris.

Ils se retirèrent de manière synchronisée, me retournèrent sur le lit, et je me dis que ça ne devait pas être la première fois qu’ils le faisaient. Nicolas prit une cravate et me banda les yeux. Je ne savais du coup plus à qui appartenait quelle main, ni quel sexe. On me pénétra d’un coup, je reçois une fessée, jexprimai mon plaisir par un long soupir qui se transforma en cri sous les assauts de celui qui me prenait à présent vivement.

Une main s’amusa avec mes tétons, puis je fus soulevée dans les airs pour me retrouver empaler sur une bite. J’aimais être dessus, contrôler le rythme, j’allais prendre appui contre le torse du propriétaire de cette belle queue quand il me plaqua contre lui. Ça devait être Greg, un peu plus grand et musclé que Nicolas.

Une main se posa sur mes fesses, les malaxant, puis je sentis de l’huile glisser jusqu’à mon anus qu’un doigt pénétra. Je compris leur but, une double pénétration. Je n’en avais jamais réalisée, et les seules pénétrations annales que j’avais eu avec mes ex m’avaient laissé franchement froide. Ce doigt m’explorait, m’élargissait doucement pour être rejoint par un deuxième. La sensation était plutôt agréable à ma grande surprise.

Greg avait arrêté tout mouvement dans mon vagin pour permettre à Nicolas de préparer mes fesses du mieux possible. Il me chuchota à l’oreille de me détendre, d’avoir confiance, que Nicolas était très doux et que surtout j’allai adorer la sensation d’avoir deux hommes en moi.

Nicolas rajouta de l’huile et introduit un troisième doigt, il m’élargissait encore et encore. Ces allers-retours me faisait haleter de plaisir. J’avais à la fois hâte de goûter sa bite, et lappréhension de cette nouveauté.

« Voyons si tu es prête maintenant. » Nicolas retira ses doigts, enfila une capote et posa son gland à l’entrée de mes fesses, puis tout doucement poussa pour le faire rentrer. Les premières secondes et les premiers centimètres furent un peu douloureux, et une fois entièrement en moi, les deux hommes s’immobilisèrent pour me laisser le temps de m’y habituer.

D’une concertation commune, ils commencèrent à bouger en rythme. Oh mon dieu ! La sensation d’être remplie à fond était exquise. Me sentir prise comme ça, entre deux hommes, toutes ses mains qui se baladaient sur moi, cela me rendait folle. Je sentais ces messieurs prendre leurs pieds aussi.

Le rythme augmenta et je criais de plus en plus, les coups de butoirs de mes partenaires me rapprochaient de plus en plus de l’orgasme, et lorsque Greg me mordit le téton, j’explosais entre eux deux. Un long et puissant orgasme m’inonda, me fit totalement perdre pied. Nicolas jouit quelques secondes à peine après moi et les derniers spams de mon vagin eurent raison de la queue de Greg.

Nous voilà donc tous les trois entrelacés, en sueur, haletant, et heureux. « Putain, ce cul ! » Lâcha Nicolas. « Je t’avais dit qu’elle était bonne la petite, fils. » Répondit Greg. Je me redressa d’un coup. Fils ? « Vous êtes sérieux là ? C’est ton fils ? ».

Ils se regardèrent, complices. « Moralis, père et fils, pour vous combler Mademoiselle. ».

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