Préparatiff 2
Quand je reviens dans le salon avec une petite bouteille de coca agrémentée dune paille pour ma fille, Julie, est presque prête. Près delle, elle me fait signe dapprocher et me parle à loreille.
— Tu vois les deux mecs sur le canapé ? Va leur demander leur numéro de téléphone. Un de ces jours, on pourrait les inviter chez toi, papa !
La garce Je me doute que ce nest pas pour faire un trivial poursuit Mais me faire passer pour son père et me faire moi inviter les mecs quelle a envie de baiser ! Je suis outré ! Je suis choqué, je suis enchanté, je suis excité
— Bien, mademoiselle, si ça peut vous faire plaisir.
— Si tu continues à obéir, tu pourras les mater me défoncer le cul. Mais dis leur bien que tu es mon père, que jamais tu noserais me toucher mais que tu les paieras pour les regarder tous les deux me mettre leurs grosses bites dures dans tous mes trous ! Allez !
— Ils pourraient refuser ce genre de plan
— Je suis sûre que non, va !
Je laisse Julie à la coiffeuse et me dirige vers les 2 hommes, affalés dans ce canapé en train de palabrer maintenant avec les autres clients dans une langue étrange et envoutante.
-Excusez moi messieurs, mais jai un service à vous demander
Les deux types se regardent, à leurs yeux, je suis sûr que jai déjà lair louche.
— Cest un peu délicat mais
Je me penche sur eux.
— Ma fille a très envie de vous inviter un de ces soirs à passer à la maison pour une play-date
Les deux types se regardent, sourient et échangent quelques mots incompréhensibles…
— Je ne peux rien lui refuser, cest ma petite chérie, ma petite colombe. Jaimerais tellement que vous lui fassiez ce plaisir. Laissez moi un numéro, nous calerons une soirée plus tard.
Lun des deux mecs matte le reflet de Julie, souris et balance encore une fois une phrase dont je ne comprends toujours pas la teneur à son pote.
— 06-81-..-..-..
— Messieurs, je vous remercie, ma fille va être ravie, je suis moi-même très excité par cette perspective !
*****
Alors que Belle-maman se lave, je dresse la table, jaère et fais un brin de ménage. Quand le traiteur arrive, je réserve le tout au chaud et au froid, cest selon, et tout est enfin prêt. Même Michèle !
Quand elle déboule dans le salon, cest comme une apparition divine. Elle sest coiffée, maquillée et habillée avec les vêtements que je lui ai choisis et Elle est bonne bon sang sur-bonne, même ! Bien quelle ait de plus gros seins, elle ressemble à Flower Tucci qui est une des actrices de X préférées Ses fesses dodues, ses cuisses charnues. Vraiment, comme une grosse poupée de chair dans la fleur de lâge, à lapex de la sensualité et de lobscénité. Un trait sous les yeux lui souligne ses prunelles vertes et un rouge à lèvre légèrement rosé fait ressortir sa bouche scandaleuse. Elle sest même vernie les ongles et on peut voir ses gros tétons au travers de la mousseline noire du bustier. Rien que de voir ses deux petits appendices me fait bander de nouveau !
— Ca ira comme ça, François ? Je vous plais ?
— Mais, toujours Michèle, voilà pourquoi je vous appelle belle-maman !
— Cest, cest très gentil de votre part
— Vous aussi vous allez être gentille, si vous ne voulez pas que votre fille se pose des questions il faut lui faire croire que Bernard est votre petit-copain du moment.
— Comment !? Mais vous ny pensez pas !
— Cest ça ou les photos, le blog vidéo, les affiches et les tracts à la sortie des collèges !
— François vous êtes démoniaque
— Cest pour mieux vous démontez mon enfant, allez pas de chichi. Ce soir, Bernard est votre cavalier, lui aussi est bien monté je crois
— Je crois que je vais vomir
— Michèle ?
— Oui François, je ferai tout ce que vous voulez
Nous y sommes presque ! La rombière snobinarde et prétentieuse sefface de plus en plus au profit dune belle-mère soumise et nymphomane ! Jai encore de nombreuses choses à lui faire faire pour mon plaisir et pour me venger de mavoir traiter comme un chien durant des années mais on y est presque ! Jai même très envie de lui rouler une pelle et de lui prendre le cul mais je dois me retenir, dune minute à lautre, Julie et Bernard vont arriver et je ne voudrais pas abîmé son maquillage.
Avant de commettre lirréparable et de risquer de lui demander de me sucer encore une fois, je me jette sous la douche à mon tour pour me calmer. Penser que Julie et Bernard nous rejoindront dans quelques minutes mexcite comme un môme la veille de Noël !
Alors que je me sèche, jentends quon sonne à la porte ! Enfin, les voilà !
*****
A peine Julie a-t-elle sonné, quelle rentre chez sa mère ! Cest presque chez elle après tout ! Elle entre et appelle.
— Salut la famille ! François ? Maman ? Vous êtes là ?
— Oh ma chérie ! Oh mais ! tes cheveux ?
— Javais envie de changer de tête, tu aimes ?
Michèle a fière allure. Julie se jette dans ses bras et lembrasse.
— Je ne sais pas cest différent. Tu ressemble à une danseuse !
— Waouh maman, toi aussi tes canon ! Cest, cest pour Bernard que tu tes préparée comme ça ?
— Non cest François qui me la demandé.
Pour jouer le jeu demandé par François, je joins le geste à la parole de Julie et mapproche de Michèle pour lui rouler une pelle magistrale. Elle se crispe un peu mais accepte finalement de prendre ma langue dans sa bouche. Jen profite pour lui claquer les fesses.
— Hm, tu mas manqué Michèle tu sais Quel plaisir dêtre avec toi, dans ta famille !
— Dis donc maman, tu men caches dautres des trucs comme ça ?
— Non ! pourquoi tu dis ça ?
— Ca va, calme toi pourquoi tu toffusques ?
— Une femme comme Michèle aurait tort de se priver des plaisirs de la vie ! Je suis un sacré veinard, cest tout !
— En tout cas, vous avez bien caché votre jeu tous les deux, je ny attendais pas !
— Ta mère a bien le droit davoir ses petits secrets !
— François est là ?
— Oui ma puce, là-haut, il se douche il va descendre. Mais reste ici ! Je, je suis contente de te voir ! Ne me laisse pas !
— Et Jess ?
— Punie encore une fois Cest le deuxième weekend de suite.
— Elle a dû le mériter va, ne ten fais pas ! Je suis là moi !
— Qui est Jess ?
Les deux femmes me foudroient du regard, aurais-je commis un impair ? Bien que gênée, Michèle rattrape le coup.
— Jessica bien sûr ! La sur de Julie, tu sais bien Bernard !
— Mais oui ! Evidemment, Jess, Jessica, javais pas fait le rapprochement
Julie me regarde de toute sa morgue, je dois lui paraître tellement pathétique Je bande un peu.
Julie et Michèle se posent dans le canapé. Je les regarde passer devant moi toutes les deux. Sublimes créatures. En les écoutant dégoiser, je mapproche du buffet sur lequel trônent quelques photos. Julie, Michèle, François, à moitié décadré de la photo de mariage et ça y est : Jessica ! Jess Il y a notamment la photo dune jeune femme, peut-être dix-sept ans, en tenue de joueuse de volley-ball. Teeshirt blanc moulant, short rouge court, chaussettes hautes et baskets assorties Hey hey ! Joli morceau. Cest une photo prise après un match, elle est un peu en sueur, son visage tanné par le soleil brille et ses cheveux paraissent légèrement mouillés. Hmmm Une très belle petite blonde aux yeux verts, aux longues et belles jambes, à la poitrine ferme qui tiendra surement plus de celle de Michèle que de celle de sa fille ainée en grandissant. Décidemment, les femmes de cette famille sont des déesses ! Je ne débande pas une seconde !
— Alors François sest occupé de toi ?
— Oh oui cest, cest un homme plein de ressources.
— Tu vois bien que cest un mec en or ! Je suis heureuse que vous vous entendiez bien maintenant. On pourra se voir plus souvent, tu pourrais venir à la maison aussi !
— Hey doucement Ne me la kidnappez pas !
— Tu viendras aussi Bernard !
— Et, Jess ?
Julie se retourne et me regarde comme si jétais un moins que rien et prend sa mère dans ses bras. Jai limpression que Michèle mévite au maximum et se laisse donc enlacer par sa fille. Bon Dieu quelles sont excitantes toutes les deux. La petite salope qui se colle tout contre la salope mature. Je continue à bander A la place de François, je ferai tout pour baiser les deux en même temps.
— En attendant, verse nous donc quelque chose à boire !
La petite garce, voilà quelle remet ça de me parler comme à son boy. Jadore quelle fasse ça
— Tu vois maman, les mecs aujourdhui cest comme ça quil faut leur parler.
Je nentends pas la fin de la phrase, quelle chuchote dans loreille de sa mère.
— Et plus ils sont vieux, plus ils aiment ça Tas remarqué, depuis quil ta retrouvé, il la bosse de son pantalon est déformée !
— Julie !
— Oh ça va, je suis heureuse de te savoir avec un homme qui te désire, tu sais, tu pourrais tu pourrais tourner ça à ton avantage ! On ne suspecte pas le pouvoir des femmes sur les hommes
— Pourtant jai limpression que François nest pas un homme à se laisser diriger
— Ah non, ça tu las dit maman !
— Mais alors ? De quels hommes tu parles ?
— Bien le bonsoir chers invités !
Cest à ce moment là que je fais mon entrée ! Sur le canapé je vois ma belle-mère et ma femme, dans les bras lune de lautre à se faire des câlins, comme souvent lorsque nous venons la voir. Mais cette fois-ci, le câlin excite mon appétit sexuel. Aujourdhui, les voir toutes les deux comme ça me transporte
Julie se lève et se jette dans mes bras. Elle me roule une pelle indécente et sans que personne ne le voit, me caresse le téton de la paume de sa main. Cela ne fait rien pour calmer mon excitation.
— Tu aimes mes cheveux ?
— Tu es magnifique, cest une excellente idée, ça te va à ravir ! Tu me plais à mort et ca me rappelle cette soirée
— Notre rencontre !!!
— Et quelle rencontre !
Julie me prend encore une fois la bouche, sa langue, indécente me fouille devant sa mère et Bernard, qui la pelote franchement dans le dos de Julie. Je prends Julie dans les bras pour quelle reste contre moi et je profite du spectacle en regardant Michèle droit dans les yeux
Tout à lheure, je vais baiser sa fille dans la chambre à côté de celle de Michèle et pour une fois, je ne ferai rien pour étouffer les cris de plaisir de Julie, au contraire. Je veux quelle sache que je baise sa salope de fille fort et quelle aime ça plus que tout au monde ! En attendant, il faut que cette dernière me lâche la bouche sinon je vais éjaculer le peu de sperme quil me reste dans mon boxer.
Et daprès ce que je vois, Bernard aussi bande un peu
Nous prenons lapéro dans le salon, Julie tout contre moi, la main sur ma cuisse et en face, Bernard a passé sa main autour de la taille dodue de ma belle-mère. Elle na pas lair très à laise mais joue la comédie du mieux quelle peut. Bernard en revanche, sen donne à cur joie. Dès quelle se lève, il la reluque et la pelote dun air gourmand que Julie doit prendre pour de lamourachement alors que je sais quil ne sagit que de perversion.
Je raconte les 3 derniers jours, en présentant les faits bien différemment de la réalité. La version officielle veut que Michèle se soit un peu trop lâchée à sa soirée et quelle aie bu plus que de raison. Je lai récupérée malade, avec une gueule de bois carabinée et tous les effets secondaires scatologiques dusage dans ces cas là. Je me présente comme un gendre attentionné, aux petits soins pour belle-maman Depuis, la même version officielle veut que nos rapports se soient foncièrement améliorés. Si on savait ce que je lui ai fait subir en vérité, on menverrait surement en prison pour outrages aux bonnes murs ! Quel plaisir délicieux, encore une fois !
La bouteille de Champ se vide et peu avant de passer à table, les filles se lèvent pour préparer la suite.
Nous en profitons avec Bernard, pour nous rapprocher et débriefer.
— Alors petit, jai limpression que tu as réussi ton coup avec ta belle-doche !
— Cest mieux que je ne lespérais, tu as vu, elle obéit au doigt et à lil. Et crois moi, elle te déteste !
— Elle et moi, cest une vieille histoire. Mais figure toi que tu nes pas le seul à savoir obliger Michèle à faire ce quelle naime pas. Notre amie Nora par exemple Elle ma parlé de toi dailleurs, tu devrais lappeler.
— Oui, elle et dautres Jai un gros dossier sur le feu encore. Mais toi avec Julie ?
— Tu as un sacrée bout de femme tu sais ça ? Je ne sais pas comment te remercier !
— Raconte moi !
— Elle a un caractère dacier, mais une main de velours
— Ah ?!??
— A table !
Julie revient me chercher et en membrassant, me passe la main sur le paquet, cette fois sans se cacher. Bernard est aux premières loges, je crois même quelle et lui échangent un regard complice.
A table, le vin coule à flot mais Michèle se montre scrupuleusement raisonnable. Bernard et moi nous servons copieusement en revanche. Sous la nappe, Julie me masse maintenant les testicules au travers de mon pantalon et me caresse la verge emprisonnée. Tout en me faisant tripoter, je regarde Michèle qui écoute sa fille lui parler de son boulot. Elle en a marre de lhosto et veut trouver aurte chose de plus tranquille. Michèle lui évoque dailleurs son ancienne gynéco, Estelle. Elle cherche une secrétaire médicale en ce moment ! Quelquun de confiance. Elle pourrait peut-être glisser un mot pour sa fille ? Pour sûr, Julie sy verrait mieux quà lhôpital ! Cest drôle, elle a repensé à Estelle il y a peu
Pendant cette conversation stérile, je profite des largesses de la main avide de Julie. Elle doit être grave en manque de bite depuis une semaine ! Jespère juste que mon stratagème va fonctionner et que je vais pouvoir contenter son appétit. Tout en y réfléchissant, je matte Michèle, ses tétons bruns pointent maintenant, je pense que Bernard y est pour quelque chose, je voudrais savoir de quoi il sagit.
— Julie ma chérie, tu voudrais pas aller chercher la deuxième bouteille de vin ? Ta mère nen a pas encore eu et je lai commandé spécialement pour elle. Ouvre là avant de revenir sil te plait !
— Si cest pour ma mère alors !
Elle me lâche la queue et se lève comme un ressort. Dès quelle a quitté la salle à manger, je madresse à Michèle.
— Alors Michèle, on a les tétons qui pointent ? Quest ce quil vous fait ce vilain garçon ?
— Ca fait vingt minutes que jessaie de lui prendre le bouton, elle se laisse pas faire facilement !
— Michèle, écartez les cuisses et laissez faire Bernard ! Je veux vous voir toute mouillée avant la fin du repas, est-ce que cest clair ?
— Mais
— Mais quoi ? Vous la fermez et vous vous laissez faire ! Bernard passera la nuit ici, avec vous et pour la peine, je veux que vous fassiez tout ce quil vous demande, comme si cétait moi ! Est-ce que nous sommes daccord ?
— Oui François
— Oh putain de salope Je vais te faire me lécher le foutre sur mon anus !
— Mon Dieu, vous êtes ignobles, tous les deux, vous êtes des monstres
— Bernard je veux que Julie vous entende, tu linsulteras copieusement et vous Michèle vous vous comporterez comme une salope en chaleur. Ça ne devrait pas être difficile
Alors que jentends sauter le bouchon de la bouteille de vin dans la cuisine jinsiste sur mes premières recommandations.
— Ecartez les cuisses maintenant, je veux que votre fille voit quelle chienne humide vous pouvez être !
— Oui François
— Compte sur moi petit gars !
Julie revient tout juste et sert sa mère. Evidemment, elle remarque quelle a les cuisses grandes ouvertes et la que la main de Bernard y fouille. Rouge de honte, Michèle vide son verre dun trait et lui tend à nouveau. Je crois quelle a besoin dun peu de courage pour laisser ce cochon de Bernard lui frictionner le clito devant sa fille
— Doucement Michèle ! Je ne pourrais pas rester cette semaine pour moccuper de vous ! Soyez sage
Une fois rassise à côté de moi, Julie reprend ses caresses et fait de moi lhomme le plus chanceux du monde ! A voir le sourire pervers de Bernard, Michèle a abattu ses défenses et se laisse faire Ma femme sur ma queue et ma belle-mère en train de se faire tripoter sous mes ordres, quel panard !
Une heure plus tard, en se levant pour desservir, Michèle arbore une large tâche sombre à lentre cuisse. Bernard la suit dans la cuisine. Jespère que Julie la remarquée
Je nai pas longtemps à attendre
— Le salaud, il la doigtée tout le repas !
— Je suis comme toi, je suis choqué ! Mais avoue que cest ta mère qui se laisse faire ! Elle arbore sa tâche de plaisir sans aucune honte ! Je ne la reconnais plus ! Cest, cest
— Cest assez excitant Ma mère qui prend du plaisir cest un peu nouveau pour moi et ça me fait un drôle deffet Je crois que jaime ça de voir quon soccupe delle. Oh François jai envie que tu me baises Ta queue, ta langue, tes doigts, je les veux partout jen peux plus ! et ta jute, bébé, ta jute ma manqué jen veux, jen veux tas compris, je la veux toute ! Je me sens chienne tu peux pas savoir !
Ma queue double de volume. Moi non plus je ne vais pas me gêner et arborer mon plaisir grossissant devant tout le monde. Je me lève et emmène un plat vide dans la cuisine. Quand je rentre, je vois Bernard caresser ma belle-mère. Elle lui tourne le dos, coincée entre lui et le plan de travail, penchée en avant. Il lui masse la rondelle prisonnière entre les fesses. Elle me regarde droit dans les yeux et gémit doucement. Lubrique, Bernard croise mon regard et je ne débande pas. Il le remarque, et en lâchant belle-maman :
— Mes hommages, monsieur
— Je monte avec Julie, on vous laisse finir Et noubliez pas ce que lon sest dit tout à lheure ! Je veux vous entendre !
— Compte sur moi, je vais la faire beugler la vilaine.
— Encore une chose, sa culotte toute souillée, je veux que tu la laisses dans la salle de bain, jai envie de mamuser avec.
Pour toute réaction Michèle gémit de nouveau, je crois que ça y est, elle est passée de lautre côté et est prête à se faire prendre par nimporte quoi, même par ce Bernard quelle exècre.
Julie nous rejoint, Michèle a tout juste le temps de se redresser.
— Bon, avec François on va se coucher ! A demain !
Comme une furie, elle memmène dans la chambre damis. En partant, jéchange un dernier regard avec mes complices, ma salope de belle-mère et ce queutard de Bernard La nuit va être bonne !
A SUIVRE
