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3 filles ouvertes – Chapitre 1




L’été était déjà bien installé et les trois amies avaient décidé de se retrouver le temps des vacances, elles s’étaient retrouvées dans une maison familiale que possédait la famille de Céline sur une petite île de la méditerranée. Le matin d’une journée ensoleillée, elles avaient pris le chemin de la plage avec un panier et une glacière.

Non loin de leur résidence, il y avait une plage de sable s’allongeant sur quelques centaines de mètres, formant une magnifique crique accessible uniquement par un petit chemin serpentant entre les rochers. Au loin mouillaient quelques voiliers de plaisanciers venus profiter de ce petit endroit de paradis.

Les filles étaient arrivées en début d’après-midi. Elles s’étaient installées et s’étaient mises en maillot de bain qu’elles avaient pris soin d’enfiler à la maison. Elise était rousse et d’une blancheur si éclatante qu’elle reflétait presque le soleil, elle avait pris soin de se badigeonner le corps de crème solaire pour éviter les brûlures, tandis que Laura s’était installée juste à côté et l’imitait. De l’autre côté, Céline était plus bronzée et craignait moins le soleil que ses amies. Elle s’était déjà allongée au soleil quand les autres s’allongèrent à leur tour. Elles étaient seules sur cette plage, mis à part les criquets qui ne cessaient de répondre au bruit des vagues venant s’écraser sur la plage.

Au bout d’une heure, Céline s’était assoupie, tandis qu’Elise lisait à l’ombre de son parasol. Laura, accoudée, regardait l’horizon et appréciait simplement le moment. Quand Céline se réveilla, Laura proposa d’aller se rafraîchir dans l’eau et les trois filles se levèrent en direction de la mer. Il leur fallu un peu de temps pour s’acclimater à la température de l’eau qui, bien que d’une température plus que correcte, contrastait avec la chaleur de leur peau rougie au soleil. Par contr, il ne leur fallut que peu de temps pour s’éclabousser d’eau de mer et faire quelques brasses.

Après un moment passé dans l’eau, elles sortirent de l’eau. Les deux brunes et la rousse dégorgèrent l’excès d’eau de leurs cheveux avant de s’allonger. Céline en profitant également pour enlever son haut de maillot pour le faire sécher sur le parasol.

Tandis qu’elle essorait son haut avant de l’étendre, Laura lui lança :

— Topless ?

— Oui, ça m’arrive, de temps en temps, lui répondit Céline.

Céline était une brune aux cheveux bouclés, qui même mouillés laissait se mélangeaient en virevoltant sur eux-mêmes. Elle avait rabattu une partie de ceux-ci sur la poitrine qui était légèrement plus blanche. Et tandis qu’elle étendait au soleil son haut, Elise ajouta :

— Je n’ai jamais essayé…, je crains le coup de soleil.

— Si tu te protèges, ça va. Ajouta Céline. Je n’ai jamais brûlé sur la poitrine

Après un instant de réflexion, Elise se mis assise et tira sur la ficelle qui maintenait son haut pour dévoiler à la lumière deux petits seins laiteux avant de rouler son excédent de tissu sur le côté.

— Je vais te suivre pour voir

Toutes deux s’allongèrent et le calme reprit sur la plage. Les trois femmes avaient repris leur première activité. Après quelques minutes de silence, Céline se releva, et se frotta :

— Je suis pleine de sable, dit-elle en secouant sa serviette et troublant le calme absolu du lieu.

— J’en ai même dans la culotte ! Ajouta-t-elle en rigolant et en saisissant l’élastique de celui-ci.

— CA vous dérange si … ?

— Quoi ? Questionna Laura, troublée dans son sommeil.

— … Si je l’enlève ?

— Tu fais ce que tu veux, mais ne nous met pas plein de sable. Lui répondit-elle avant de se retourner et reprendre son repos.

Céline, descendit alors son bas de maillot et enleva les derniers grains de sable avant de se rallonger.

— Attends, Intervint Elise qui était jusque-là restée impassible à la scène, mais tu… tu restes à poil ?

— Oui, lui répondit naturellement Céline, je remets si ça te dérange.

— Mais tu n’as pas peur ?

— Peur de quoi ?

— Que les gens te voient.

— Non…, il y a peu de gens qui viennent ici. Je nage souvent comme ça ici quand je viens, j’ai été habituée comme ça, ce n’est pas un tabou ici. Et puis, je me sens plus libre comme ça. Tu peux aussi si tu veux.

— Non, c’est bon. J’essaie déjà le topless, c’est un cap pour moi, lui répondit son amie.

L’idée avait néanmoins germé dans sa tête. Elle se sentait aventurière à dépasser le tabou de son corps. Cachée derrière ses lunettes de soleil. Elise était tout de même dérangée d’avoir quelqu’un de complètement nue allongée à côté d’elle en pleine nature. Elle était partagée entre la gêne, et… l’envie : elle a qui l’hypersensibilité de sa peau devait lui faire voiler son corps au premier rayon de soleil. A l’ombre de son parasol, elle avait déjà vaincu la moitié de sa gêne, et réfléchissait en observant la déconcertante facilité de son amie à offrir la moindre parcelle de sa peau à la chaleur estivale.

Ses pensées lui donnaient chaud. Alors elle retourna s’immerger un peu. A son retour, une ultime vue de ce corps libre de tout tissu, ainsi qu’une petite voix lui murmurant ’Et pourquoi pas ?’ mit fin à son hésitation. Elle jeta un coup d’il aux alentours pour s’assurer que l’endroit était bien désert et s’enleva d’un seul coup, la petite culotte bleu uniforme qui lui servait de cache-sexe en s’exclamant :

— Allez, moi aussi !

— Ouiiii ! Réagit Céline. Tu verras, c’est super, le sentiment de liberté… Par contre, protège-toi bien

Elise avait déjà saisi le flacon de crème solaire et s’enduisait le corps entier. C’était bien la première fois pour elle qu’elle se badigeonnait ainsi les seins et les fesses. Et ce détail lui fit sourire, ce qui la conforta dans la gêne de se sentir exposée, et le frisson de sentir la légère brise sécher la couche enduite.

— Met en vraiment partout…, lui conseilla son amie dénudée en écartant rapidement les jambes, comme un clin d’il donné à sa camarade

Ce geste inattendu fit sourire Elise et glissa furtivement un peu de crème à cet endroit avant de se rasseoir sur sa serviette à l’ombre.

— Tu as osé, remarqua Laura en se relevant à son tour.

— Ça vous dit qu’on bouge un peu ? Proposa Céline depuis sa serviette ?

— On a une balle. On peut se faire quelques passes.

Les trois filles se levèrent et s’alignèrent en cercle pour faire quelques échanges comme pour un beach-volley. Laura, plus pudique, essayait de ne pas croiser le corps de ses amies dans son regard direct. Tandis qu’Elise de plus en plus à l’aise dans sa nouvelle tenue plaisantait :

— Les seins, ce n’est quand même pas pratique pour bouger !

Cette phrase dérida un peu Laura, qui lui répondit en relançant la balle dans sa direction :

— Ha, ha, du coup, je suis avantagée !

— Ce n’est pas pour autant que tu es bonne ! Lui répondit-elle en frappant fortement la balle.

Laura s’écrasa dans le sable en essayant de rattraper la balle, ce qui la fit rire.

— J’ai trop chaud, je retourne dans l’eau, dit-elle en se relevant

Ses deux amies firent de -même et continuèrent la discussion dans l’eau :

— Ah, ouais, dans l’eau c’est pas pareil, dit Elise.

— Du, coup, je me sens un peu à part, vu que je suis la seule en maillot, manifestant sa gêne.

— Essaie Laura, tu verras, c’est… différent, je ne saurais pas te le décrire.

— Nan, tu es folle ! Je suis … pudique. Tu imagines si quelqu’un se pointait là ?

— Vas -yyyy, insista Céline, il n’y a jamais personne et tu es dans l’eau, personne ne peut te voir, fais pas ta coincée !

Cette dernière pique la fit réagir :

— Bon juste le haut alors.

Elle délia timidement son haut de maillot et le confia à sa camarade d’expérience. Par réflexe, elle se couvrit la poitrine de ses bras avant de prendre confiance.

— Maintenant que tu as passé le premier cap, tu peux pousser jusqu’au bas, lança avec un grand sourire Céline.

— Attends, attends, laisse-moi un peu de temps.

Céline s’éloigna en nageant. Au bout de quelques minutes, s’amusant de sa gêne, elle revint vers elle :

— Toujours pas ? Regarde, hop ! Je n’ai rien ! Lui exposa-t-elle en sautant hors de l’eau devant ses yeux. C’est normal ici et il n’y a pas de raison d’être gênée. Laisse-moi faire.

Elle plongea dans l’eau et peu après des mains agrippaient son maillot par-derrière pour le faire descendre en niveau de ses genoux. Passé la surprise, elle leva chacune de ses jambes pour dégager la dernière pièce de tissu encore accrochée à l’une d’elle.

Laura tendit alors ce trophée à son amie, qui sortit de l’eau et alla le poser sur sa serviette.

Elise s’était rapprochée et lui demanda :

— Alors ? Tu te sens comment maintenant ?

— Ça ne change rien. Mis à part qu’on est toutes les trois à poil maintenant.

— Ça fait une nouvelle expérience entre nous

Elise fit quelques brasses dans l’eau transparente et calme de la mer, tandis que Laura se maintenait du bout des pieds la tête hors de l’eau. En s’étirant près de la surface, le corps lisse et élancé de la nageuse se dessinait au-dessous de la surface de l’eau. La blancheur de sa peau nue éclatait même sous l’eau dont sortait parfois un bout de bras ou de pieds, et les lignes troubles s’agitaient dans les mouvements de l’eau et de la nymphe, dévoilant par intermittence le plus sacré de son intimité.

Laura l’observait de sa station. Elle pensait. Jamais elle n’avait vu ses amis dans le plus simple appareil, et ne pouvait s’empêcher de se faire des remarques. Ses amies étaient complètement dénuées de tout poil, ce qui laissait visible à tout moment le saillant de leur sexe. Elle au contraire avait gardé une pilosité maîtrisée sur son pubis. Assez raccourcis pour les besoins du maillot devenu inutile, mais laissé par confort: ses poils noirs dissimulaient l’essentiel de sa fente, et par une logique incongrue, cela la rassurait. Céline, semblait pour Laura, tout à fait à l’aise dans cette tenue : allongée sur le sable, les genoux pliés, elle laissait à sa vue toute sa féminité. On ne distinguait qu’à peine les marques de bronzage chez elle, si bien que même ses lèvres semblaient bronzées. En le comparant aux contrastes de nuances qu’elle présentait, elle se ravit de pouvoir tenter pour une fois d’uniformiser sa pigmentation.

Happée par ses pensées. Laura n’avait pas remarqué le couple qui s’installait non loin de là. Et ce n’est que quand Elise lui fit remarquer qu’elles n’étaient plus seules, que Laura perdit toute confiance :

— Qu’est-ce qu’on fait ? sinquiéta-t-elle en reculant de la plage.

— Ben, on attend dans l’eau, Céline dort en quand ils la verront, ils se douteront bien que nous aussi on a pris nos libertés.

Les deux femmes nageaient sur place et observait le couple finir de s’installer et de commencer à se déshabiller : Tous deux retirèrent en même temps leur T-shirt, la femme, d’une trentaine d’années n’avait rien, et offrait à leur regard une poitrine fournie mais légèrement tombante. Son compagnon avait un torse ni musclé ni chétif, offrant une musculature à peine développée. Quand vint le tour du bas, ils baissèrent tous deux leur ample short pour se mettre en sous-vêtements. La femme arborait un bas de maillot classique, noir, bien qu’un peu court. L’homme était quant à lui en caleçon à rayures à coton, quand il l’enleva à son tour.

Ce petit événement, poussa Elise à chuchoter à sa comparse : « Oh… bel engin » avec un petit sourire espiègle en visant ledit morceau. Ce fut sans réponse de Laura, qui était plus gênée de sa propre nudité, qu’intéressée par la scène qui se déroulait devant elle. L’homme badigeonnait sa compagne assise de crème solaire, quand Elise trouva le moment opportun pour sortir de l’eau, franchir les quelques mètres qui la séparaient de sa serviette, et s’allonger à côté de son amie en l’informant du nouveau voisinage, ce qui ne produit aucun effet chez Céline.

Laura était légèrement tétanisée, dans l’eau. Elle regrettait de ne pas avoir saisi sa chance en l’accompagnant. Et scrutait du coin de l’il une nouvelle occasion. Cette occasion se présenta quand le couple s’allongea sur leur serviette. Elle hésitait toujours quand elle entendit « Tu viens ? », ce qui lui parut comme un encouragement à surmonter sa gêne.

Elle prit son courage à deux mains, et remonta la pente du fond avec un pied ferme. La surface de l’eau lui apparaissait comme le glissement d’une robe qui glissait le long de son corps. Une fois sur le sable, son inquiétude lui parut moins grande au vu de l’absence de réaction des étrangers, et c’est avec moins d’empressement qu’elle s’assit à l’ombre tout en se recroquevillant, se sentant ainsi moins exposée.

Après un temps, Laura avait fini par se rendre compte de l’absence de danger, et avait par conséquent étendu ses jambes. Elle s’était accoudée vers l’arrière et ses mamelons semblaient s’offrir au ciel. Juste à côté, Elise avait tourné la tête vers le couple et l’observait d’un il à moitié assoupi au-dessus de la forêt de boucle que formait la chevelure de la dernière femme assoupie. Elle n’avait pris assez d’aisance pour oublier sa nudité et seule la brise pouvait lui rappeler son absence de couverture. L’homme s’était tourné sur le dos, et de sa position, et ne voyait que son torse.

Elise était curieuse par nature, sous son air calme. Elle aimait observer la gent masculine et fantasmer sur les relations qu’elle rêvait de vivre. Cette occasion de pouvoir admirer ne se présentait pas souvent, et elle ne put se retenir de s’allonger à son tour sur le dos, en profitant de cette occasion pour enfiler ses lunettes de soleil et ajuster son champ de vision. Elle voyait alors toute l’anatomie de cet inconnu de ses cheveux à ses pieds avec sa masculinité pointant au milieu comme une statue grecque vivante. Cette situation l’excitait légèrement, elle était nue, offerte à la vue de tous, et elle pouvait également profiter d’une vue sur les autres, et particulièrement sur l’autre sexe, qu’elle ne pouvait s’empêcher de regarder par instants furtifs. Ses pensées tournaient maintenait autour du potentiel érectile de son voisin. Quand elle jetait un il dans cette direction, elle estimait son évolution par rapport au dernier moment, elle espérait le voir grandir, et cela chamboulait ses pensées.

L’observation continua pendant de longues minutes. Jusqu’à ce qu’elle remarque un mouvement favorable de l’objet qui semblait se dilater tout en se dressant légèrement sur sa base. Cet événement fut attentivement et discrètement suivi de loin par l’observatrice qui ne pouvait plus en décrocher ni ses yeux, ni ses pensées. Son cur s’était accéléré et elle était impatiente de voir s’ériger complètement le sujet d’intérêt. Néanmoins, le mouvement s’arrêta restant flasque, pour retomber ensuite sur la plaine ventrale. C’était une occasion perdue pour Elise, chez qui l’excitation ne s’était pas tarie, et dont les signes se manifestaient par le durcissement de ses seins et l’éclat luisant de sa vulve exposée au rayon du soleil. Elise avait détourné son regard et tentait de se calmer en fermant les yeux.

Céline s’était réveillée à ce moment. Après s’être redressée et regardé les alentours, elle avait remarqué l’excitation de sa voisine, mais était passée outre au bénéfice du doute. Laura, elle n’avait rien remarqué, elle profitait de la chaleur du soleil en tentant de faire abstraction de tout ce qui l’entourait, comme pour affirmer en même temps une liberté de corps et d’esprit.

Céline l’extirpa de ses pensées en proposant de rentrer. Alors les trois filles se levèrent et s’habillèrent pour rentrer à la maison. Là, chacune alla se doucher rapidement à tour de rôle pendant qu’elles prirent un goûter sur la table de la salle à manger. Quand elles furent toutes les trois réunies, Céline les questionna :

— Alors ? Ça vous à plus ?

— Oui c’était bien, répondit rapidement Laura, qui était pourtant réticente.

— J’ai les fesses toutes rouges, plaisanta Elise

— Et ? Vous le referiez ?

— Ouais, pourquoi pas

La fille bouclée fit un grand sourire d’approbation. Le soir, elles sortirent manger dans un restaurant de fruit de mer du village de pêcheur le plus proche. Et elles ne revinrent que peu avant minuit. Fatiguées, elles allèrent chacune se coucher rapidement. Laura et Elise partageaient le même lit tandis que Laura dormait dans un petit lit dans la pièce d’à côté. Très vite, les yeux se fermaient dans la pénombre nocturne, et chacune s’endormit.

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