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La servante du château – Chapitre 3




La servante du château.

Chapitre 3.

Après la soirée passée en compagnie du majordome, jespérais et jappréhendais en même temps une nouvelle initiative de "Boubou", mais quand il était sûr que personne ne nous voyait, il se contentait de tâter mes seins ou mes fesses avec un grognement dappréciation :

Bonne pouliche ! Bonne à monter !

Plusieurs fois, javais entendu dans les chambres de Julie et de Mélanie des bruits qui étaient sans équivoque : elles se faisaient baiser et jouissaient en poussant des cris qui sentendaient distinctement au travers des cloisons, mais je ne reconnaissais pas la voix du majordome.

Qui pouvait bien venir les sauter à tour de rôle chaque soir ?

Je ne voyais quun autre homme dans la maison pouvant être celui-ci : le jardinier arabe !

On ne le voyait pas souvent… Le matin, il passait boire un bol de café avec lensemble de la domesticité, à midi et le soir il se contentait dun repas frugal que la cuisinière préparait spécialement pour lui et il le mangeait là où il travaillait ou dans sa chambre.

Le reste du temps, il le passait à soccuper des abords du château où il y avait de nombreux parterres de fleurs. Avec un jardin fleuri aussi vaste, il avait fort à faire… Et quand il ne suffisait pas à la tâche (notamment quand il fallait tondre les herbages), il faisait venir de la ville voisine un ou deux de ses amis qui lui ressemblaient beaucoup en apparence.

Il devait être dans la cinquantaine… Jappris plus tard quil avait le même âge que moi… Sec comme un coup de trique, il avait le visage émacié, mais très peu de rides. Son teint bistre, ses yeux noirs et sa bouche étroite lui faisaient un masque inquiétant…

Un matin, alors que nous montions à létage pour le lever et la toilette de Monsieur le Baron, jai dit à Julie et Mélanie (bien que cela ne me regardât quà moitié…) quelles devaient être plus discrètes ; que les cloisons des chambres des communs où nous nous logions tous nétaient pas très épaisses, que la veille javais tout entendu de leurs gémissements de plaisir.

Cest Julie qui a répondu :

Oh… Madame… Vous ne savez pas tout ! Vous croyez quon sest fait sauter dans nos chambres respectives… Et bien NON ! Cétait prévu depuis le midi avec Mélanie… Nous devions accueillir Ahmed le jardinier et son aide Mohamed dans ma chambre.

Et pourquoi ? Vous avez baisé tous ensemble ?

Oui… ce nest dailleurs pas la première fois. Comme Mohamed vient travailler "au black", nous devons payer de notre personne. Il baise lune ou lautre dans une sorte de paiement en nature, parfois, il nous baise à la suite lune de lautre… Un sacré coup, ce mec !

Là-dessus, Mélanie a continué :

Ce que vous ne devinez certainement pas, cest que pour la première fois nous avons fait une partie carrée… Les hommes ont changé plusieurs fois de partenaire au cours de la soirée… et ils se sont copieusement vidé les burnes.

Vous men direz tant… Ce nest guère étonnant que jaie entendu du bruit ! Mais il ny a quun lit étroit dans la chambre ?

Ça ne nous gêne pas… Quand lune est sur le lit, lautre trouve toujours une solution.

Donc ce nest pas la première fois ?

NON, juste quelques jours avant votre arrivée, nous avons eu une partie à quatre… Cétait une première pour moi et Julie.

Cette dernière a complété en disant que cette expérience avait été particulièrement jouissive, que jamais elle navait connu de plaisir aussi intense !

La conversation sest arrêtée là, car nous étions arrivées à la chambre de Monsieur le Baron, mais ce récit mavait chauffé les sangs… Je me suis isolée quelques minutes dans le cabinet de toilette attenant à la chambre du Baron et jai plongé deux doigts dans ma chatte inondée de cyprine pour me procurer une jouissance rapide. En peu de jours, jétais devenue "accro" au sexe !

Quelques soirs plus tard, javais achevé mon service et je venais de regagner ma chambre lorsque le majordome est venu my rejoindre… Il était accompagné dAhmed, le jardinier.

Voilà, Ahmed veut faire ta connaissance… Vous vous croisez brièvement dans la cuisine le matin, mais vous ne savez rien lun de lautre.

Mais il ny a pas grand-chose à savoir… Dailleurs, vous savez tout de moi puisque vous avez insisté pour que je sois embauchée, et je sais aussi pourquoi jai eu la préférence.

Et quelle est-elle ?

Vous aimez particulièrement les femmes dodues, à la forte poitrine… Je connais lhistoire de la chambrière qui na été embauchée quaprès sêtre fait gonfler la poitrine.

Oh… cette coquine na pas su tenir sa langue… Elle mérite dêtre punie !

Oh ! Ne dites rien… Elle men voudrait ensuite.

Cest bon… mais pour tobliger à tenir ta langue, tu vas nous sucer à tour de rôle… Tes une bonne pipeuse, et Ahmed a déjà les couilles bien pleines.

Oh NON ! Pas devant vous… Jaurais trop honte !

Mais ma belle… Tu nas rien à dire… Au château, cest moi qui commande ! Mets-toi nue… pendant que tu suceras Ahmed, je te baiserai en levrette. Avec des miches comme les tiennes, ce doit être bon !

Jétais piégée !

Les deux hommes, qui auparavant étaient assis dans deux fauteuils un peu fatigués complétant laménagement de ma chambre, se sont levés et ont commencé à se déshabiller. Je découvrais peu à peu le corps aux muscles noueux dAhmed et bientôt son sexe mest apparu… Certes, il était moins long que celui de "Boubou", mais sa circonférence était presque la même.

"Boubou" insistait pour que je me mette nue et jai bien été obligée de me soumettre… Jai ôté mon tablier blanc puis jai déboutonné ma robe que jai fait glisser sur mes épaules jusquau sol. Jétais désormais en sous-vêtements blancs et avec mes chaussures à petits talons.

Cest vrai quelle est jolie… Jaime bien les femmes mûres… généralement, ce sont de bonnes baiseuses.

Oui… Il ne faut pas lui en promettre… Ce nest pas comme ces petites garces de Julie et Mélanie quil faut prier à chaque fois pour quelles cèdent !

Oui… mais les baiser à tour de rôle comme lautre soir, cétait le pied ! Allez… suce-moi !

Que faire, sinon obéir ?

Mais javais envie de sentir la bite du majordome au fond de ma chatte… et sucer un autre homme en même temps… ce serait une expérience nouvelle !

Jai fait glisser ma culotte et je me suis agenouillée devant le pubis dAhmed pour emboucher son sexe… Il sentait bon leau de Cologne… En moi-même, je pensai que cétait un bon point pour lui… et jai commencé à jouer de ma bouche et de mes mains sur ce membre qui était dressé sur un pubis à la toison rasée… chose nouvelle pour moi… les deux hommes du château étaient des adeptes de ce genre de fantaisie que Jules navait pas…

Pendant ce temps, je sentais le souffle de "Boubou"sur mes fesses et dans ma raie… Javais des frissons qui remontaient jusquà mes reins, mais cétaient des frissons de plaisir… Jimaginais sa lance me perforer la chatte déjà bien humide de mes sécrétions… Humm !

Vite… Enfile-moi… je tattends !

Jai senti les larges mains de "Boubou" mécarter les fesses et le gland de sa bite parcourir ma raie, après être passé entre mes lèvres intimes où il a enduit son pal de la cyprine qui sécoulait déjà. Il la posé sur mon illet plissé, mais comme jai eu un mouvement dévitement, il est redescendu à lorée de ma chatte où il sest enfoncé lentement. Bientôt, le pubis de mon amant était collé contre mes fesses.

Si au début jai eu un peu de peine à endurer cette pénétration en même temps que je suçais Ahmed, jai trouvé le rythme… Du moins, je me concentrais sur la fellation, et laissais le majordome aller et venir dans ma chatte… Cétait lui le Maître !

Dans ma bouche, je sentais le vit du jardinier aller et venir au gré de mes aspirations… Je retrouvai mes réflexes de jeunesse quand je fréquentais Jules avant notre mariage (je voulais y arriver vierge)… Javais découvert cette caresse qui mévitait de lui donner mon pucelage avant lheure.

Après quelque temps, "Boubou" sest libéré au fond de mes entrailles, déclenchant aussitôt le jaillissement du sperme dAhmed qui se répandit dans ma bouche et sur mon visage.

Les deux hommes avaient été aussi généreux lun que lautre… Ma chatte débordait littéralement du jus du majordome et de ma cyprine, et lépanchement dAhmed sur mon buste était significatif… Je me suis relevée et je suis passée dans mon cabinet de toilette : javais besoin de messuyer un peu. "Boubou" et Ahmed sont partis pendant ce temps sans oublier de me dire quils reviendraient bientôt.

Oh… oui… cest quand ils voudront ! Jai envie de la bite dAhmed dans ma chatte… Elle doit être bonne, elle aussi !

Les jours passaient… Lété était là…

Plusieurs après-midi par semaine, Julie et Mélanie allaient aider Ahmed et Mohamed pour rentrer le foin provenant de la tonte des pelouses et prairies entourant le château… Mais elles nétaient jamais là pour le repas du soir… et lorsque je les croisais près de nos chambres, elles avaient le visage illuminé et des brindilles dherbe dans les cheveux… Elles avaient dû terminer la journée en bonne compagnie et se rouler dans le foin.

Ah ! Les coquines… mais cétait plus de leur âge que du mien.

De mon côté, javais "Boubou" qui venait me rejoindre dans ma chambre presque tous les soirs… Il ne séclipsait quaux petites heures du jour après mavoir fait lamour deux ou trois fois. Il était insatiable et inépuisable !

Si bien quun jour, il a pris la camionnette du domaine et il ma demandé de laccompagner "en ville", ma-t-il dit. En fait, nous sommes allés dans un dépôt-vente où nous avons choisi un lit à deux places doccasion, mais récent. Avec un clin dil salace, "Boubou" ma dit :

Comme cela nous serons mieux : on aura plus de place !

Que dire… sinon le remercier…

Le soir même, il installait ce nouveau lit avec Ahmed…

Pendant quelques jours, je restai seule dans ce grand lit… "Boubou" semblait être occupé ailleurs… Le soir, il partait avec la camionnette et ne revenait que pour le petit-déjeuner. Il avait une mine de conspirateur… Que pouvait-il préparer ?

Mais cest Ahmed qui a eu la primeur de mon nouveau lit. Cétait un samedi soir… Quand il est arrivé dans ma chambre, il ma tout dit :

Cest "Boubou" qui menvoie… Il est occupé et il a dit que tu devais tennuyer… alors je suis là à sa place.

Et que veux-tu ?

Mais te baiser, bien sûr… tu nen as pas envie après avoir goûté à ma bite, lautre jour ?

Je suis restée sans voix quelques minutes puis, conquise par la situation que faisait de moi une femme facile, jai entrepris de déshabiller Ahmed… Sa chemise et son maillot retirés, je me suis attaquée à la ceinture de son pantalon qui est descendu avec son slip sur ses chevilles. Il les a ôtés et il était nu devant moi, son sexe à moitié dressé sur le devant de son pubis.

Il ma fait tourner sur moi-même pour descendre le zip de ma robe qui a glissée sur mes épaules et sur ma taille.

Waouh… Tes aussi belle de dos que de face !

Et par-dessus mon soutien-gorge, il a empaumé mes seins dans ses larges mains un peu calleuses.

Javais envie de les sentir directement sur ma peau… jai dégrafé mon soutif; et quand Ahmed a fait rouler mes tétons aux creux de ses mains, je me suis reculée pour sentir sa bite entre mes fesses.

Quelle salope étais-je devenue ? Après avoir baisé un certain nombre de fois avec le majordome, sucé le jardinier dans une partie à trois, je mapprêtais à me faire enfiler par ce dernier ! Ma chatte pleurait denvie… Jai ôté ma culotte et je me suis mise à quatre pattes sur le lit en lui disant que je lattendais.

Ahmed a joué quelque temps avec ses doigts dans ma chatte, il les entrait dans mon sexe puis revenait masturber mon clitoris comme pour exacerber mon impatience à me faire enfiler par son bout. Soudain, jai senti ses doigts enduits de ma cyprine se poser sur mon anneau plissé quil a massé doucement avant dy entrer un, puis deux doigts…

Oh, tes étroite du cul… Tas jamais eu une bite dedans ? Va falloir y remédier !

Oh… non… jamais… Pas de bite dans mon fondement… Ooohhhh !

Je bégayais, tant jétais surprise par cette caresse, mais en même temps, jappréciais cette pénétration contre nature !

Quand les doigts sont sortis de mon sphincter, je fus frustrée… et soulagée quAhmed ne continue pas. En contrepartie, il ma éperonnée sèchement avec son pal que jai senti passer… Mais la brutalité de la pénétration sest estompée rapidement lorsquil a commencé à aller et venir dans ma chatte… Je le sentais bien… il était plus vigoureux que le majordome et il ma fait jouir une première fois…

Je ne savais plus où jen étais… un peu plus de six mois après avoir été embauchée, javais baisé avec les deux hommes de la maison… et jétais prête à recommencer autant de fois que je serais sollicitée. Javais jeté par-dessus les moulins tous les préceptes de ma religion, et que Jules me pardonne : baiser, cétait si bon !

Mais je nen avais pas fini avec Ahmed… Il sétait retenu de jouir…

Allez, ma belle pouliche… à toi de travailler…

Il sest mis sur le dos, le sexe dressé comme un pal et il a expliqué ce quil voulait.

A cheval sur mon pieu… je veux voir danser tes mamelles quand tu monteras et descendras pour me faire jouir. Ce doit être un beau spectacle !

Je ne dis pas quel plaisir jai eu à sentir sa bite entrer dans ma chatte ; puis, lorsque jai été bien installée, la sentir aller et venir en moi à mon gré pendant que je voyais le regard dAhmed fixé sur mes seins qui dansaient.

Ma jouissance a été assez longue à revenir, mais Ahmed ne semblait pas impatient… Il se repaissait du spectacle de ma poitrine qui dansait, de mes seins qui sentrechoquaient avec un bruit mat… mais je ne pouvais plus me retenir… Le plaisir a de nouveau éclaté dans mon bas-ventre… Cest ce quattendait mon amant : il sest mis à jouir à son tour et ma inondée de son jus avant de saffaler sur mon buste.

Nous avions bien inauguré mon nouveau lit…

Mais Ahmed, tout comme moi, nous nen avions pas assez… Je lai fait sortir de ma chatte et jai nettoyé sa bite, la léchant sur toute sa longueur en caressant ses couilles que jimaginais bien pleines…

A suivre.

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