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Dette fiscale…ou comment Corinne levasseur devint la "salope de son mari ". – Chapitre 7




Corinne dormait paisiblement dans son lit. Rodolphe regardait sa femme perdue dans le sommeil. Un ange, doublé d’un démon, une femelle lubrique !

Serrant le poing il s’en voulait de sa couardise, de sa cupidité et surtout de la lubricité abjecte de son épouse, ainsi que par effet de miroir, de la sienne.

Repassant le fil des événements, il s’étonnait aussi de sa curiosité morbide et de sa jouissance suspecte, pour tout ce qui était arrivé à sa femme. Il ne se reconnaissait plus, tant il avait pris un plaisir abject et vicieux à accompagner, et savourer le comportement de sa femme, qui s’enfonçait dans les marigots de la perversité !

La cave était miteuse, avec un lit certes propre, mais un peu passé, suivant les standards de confort de Rodolphe. Sans attendre, Corinne s’y allongea, complètement nue, voluptueusement, et saisissant les deux barreaux, elle écarta les jambes, découvrant son sexe enduit de cyprine… elle attendait les assauts des jeunes mâles en rut, de l’autre côté de la porte, dans le couloir.

L’un des jeunes qui attendaient le couple dans la pièce, s’étonna auprès de Mustapha, de l’empressement de la femme à mettre en action ses fantasmes :

Eh ben, on peut dire qu’elle en veut celle-là ! Et tu dis que le type est le mari, et qu’il va rester pour regarder tout ça ! Pauvre France !

— Eh oui mon ami, les voies d’Allan sont impénétrables ! Pas comme les orifices de notre nouvelle amie !

La saillie de Mustapha fit rire tous les hommes présents dans la pièce, sauf un… devinez lequel.

Deux hommes se mirent de chaque côté du lit pour s’assurer que tout se passerait bien, tandis que Mustapha avec deux autres, était devant la porte, qu’ils ouvriraient pour laisser passer les candidats au compte-gouttes, pas plus de deux ou trois à la fois, suivant les désirs de la dame. Il indiqua une chaise au pauvre Rodolphe, qui s’y laissa tomber. Il était à trois mètres du lit et pourrait ainsi suivre les ébats (et non pas ébats, ça c’est pour une autre histoire…) de sa femme en direct. Oui, Mustapha le caïd de la banlieue, avait bien fait les choses… il n’y aurait pas de dérapage possible. Évidemment tout cela se faisait naturellement et gratuitement, chacun ici présent, faisant preuve de patience et du respect des règles, pour pouvoir profiter des charmes de la belle. Allah distribuait les fruits du Ciel avec générosité aux pauvres pêcheurs qu’étaient les hommes…

Si Rodolphe, englué dans ses fantasmes de candaulisme, de sexe extrême et de culpabilité, avait pu y réfléchir un peu, il aurait goûté le sel de la situation. Ses multiples entreprises dans toute la région, employaient ces pauvres bougres, les payant au lance-pierre, et les exténuant à la tâche. Si bien que beaucoup, fatigués, déprimés et toujours appauvris par des bas salaires, n’avaient pas toujours l’assurance, le courage et le temps nécessaires pour se trouver une femme. Pour combler la solitude de leurs soirées, dans leurs appartements miteux, il ne leur restait souvent que du mauvais porno et une gymnastique du poignet.

Et là, ils allaient pouvoir se payer la femme du patron. Oui Dieu, quel que soit le nom qu’on lui donnât, faisait bien les choses… il y avait ici une espèce de Vengeance Divine !

Alors, Rodolphe vit arriver les trois premiers candidats, entre 20 et 25 ans, habitant dans les environs. Les trois se déshabillèrent et exhibèrent un sexe très vigoureux. Corinne, les yeux brillants de gourmandise, se mit sur les genoux, et sans hésitation se saisit des trois bites, les caressant et flattant les couilles, du plat de la main. Puis elle commença à en sucer un, tandis qu’elle branlait les deux autres, inversant les rôles, suivant son désir.

L’un des candidats ne put se retenir longtemps, et lâcha sa semence dans la bouche de Corinne, qui avala le tout, sous les yeux horrifiés de Rodolphe. Jamais il n’aurait pu croire que sa femme puisse faire cela, et avec un inconnu en plus ! Cela dit, malgré sa réelle aversion pour ce qui se déroulait sous ses yeux, il commençait à être franchement excité par la situation. Il sentait son sexe grossir hors de proportion dans son caleçon.

La suite allait encore plus le troubler…

Si les deux autres jeunes furent assez décevants pour Corinne, tant ils éjaculèrent très vite, les trois suivants furent plus professionnels.

Ils purent se retenir sous la langue experte de Corinne, et se lancèrent dans un trio effréné.

Le premier s’installa entre les cuisses de Corinne et commença à lui caresser le sexe, puis entrouvrant avec ses doigts les lèvres gonflées de désir, il commença par masturber Corinne qui gémissait de plaisir. Son pouce expert flattait le clitoris gonflé, tandis que ses trois doigts joints, limaient l’entrée du vagin de la femme, alanguie sous les caresses. Puis il y introduisit sa langue, provoquant des spasmes de jouissance de Corinne.

Subjugué, Rodolphe regardait l’homme qui possédait sa femme avec sa langue et ses doigts, et lui faisait tellement de bien… sa verge gonflée le gênait dans l’étroitesse de son pantalon, et discrètement il déboutonna sa braguette pour avoir plus d’aise. La main sur son sexe en érection, qui reposait encore sagement dans son caleçon, il attendait, l’il brillant la suite des réjouissances.

Un comparse du cunilingueur s’était approché de la tête de Corinne, le sexe bien bandé, et il caressa de son gland les lèvres de la jeune femme, attendant une nouvelle fellation. Corinne un sourire aux lèvres, ouvrit toute grande la bouche et le gars y engouffra son braquemart pulsant…

Le troisième homme, qui jusque-là regardait ses deux prédécesseurs, décida de se joindre à la curée. Et reprenant les poncifs des films pornos vus à la sauvette sur Canal +, généralement en brouillé, sa bourse n’étant malheureusement pas assez pleine pour s’offrir l’abonnement trop onéreux, tandis que ses deux autres débordaient, elles, de vitalité et de suc trop abondant, acheva de se déshabiller. Après avoir soufflé quelque chose à l’oreille du cunilingueur, il s’allongea, le sexe érigé comme un mât de cocagne sur le matelas, à côté de la femme offerte. Les deux autres saisirent Corinne, la placèrent sur les genoux, la tête au niveau de la bite du type allongé, qui fut promptement avalée par la bouche gourmande et lubrique de celle-ci. Alors l’un des autres prépara l’anus généreux de Corinne en lui masturbant la rondelle. Se servant de la cyprine dont la jeune femme débordait en suffisance, il n’eut aucun mal à faire pénétrer, un, deux puis trois doigts joueurs, dans son trou du cul. Puis il introduisit doucement son gland entre les fesses bien rebondies… pour dilater le conduit étroit qui allait être mis à rude épreuve ! Il ressortit alors…

Corinne, qui n’avait pas eu tant que cela l’occasion de se faire enculer par son chaste mari, éructa des gémissements sauvages et rauques, tandis qu’elle commençait à crier son plaisir.

Son vocabulaire étonna beaucoup son mari…

Rodolphe regardait, comme halluciné, sa femme mise dans une position peu glorieuse, où la servilité le disputait à la vulgarité ! Et quand sa femme s’exprima, alors que l’un de gougnafiers limait le trou du cul de sa chère et tendre, il n’en crut pas ses oreilles :

Oh mon Dieu, ouiiii, vas-y, lime-moi le cul avec tes doigts ! Allez-y maintenant, enculez-moi ! Je veux vos grosses bites dans mon petit trou de salope !

Puis, glissant un regard langoureux et obscène à son mari :

Alors mon chéri, je vais me faire enculer pour la première fois, sous tes yeux ! Ça t’excite ?

Et, toute à sa grande honte, Rodolphe dut admettre que sa femme lisait dans son âme, comme dans un livre ouvert… et quand ayant été bien ouverte, Corinne, soulevée par les deux hommes, fut empalée sur l’obélisque de chair… ce fut un Hiroshima verbal et lubrique:

Mon Dieu, mon Dieu, c’est trop boooonnn… oui… OUIIIIIII ! Putain comment il me ramone le cul, ce salop ! Tu regardes Rodolphe ?! Tu regardes ?! OH, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Il me fait du bien ! C’est trop bon de se faire enculer ! Rodolphe… Rodoolppphhhe ! C’est ce que tu voulais, hein, salop ! Voir ta femme se faire mettre comme une pute ?! Ah ! Ouiiiii !

Corinne chevauchait le mec, sa grosse bite dans son cul, comme un Texan, un pur-sang dans un concours de rodéo. Elle l’avait profond et elle adorait ça. Mais la fête ne fut complète que quand le deuxième homme, nu lui aussi, s’approcha de la jeune femme, la fit s’allonger sur le premier homme, lui écarta les cuisses toutes grandes, et d’une brusque poussée, pénétra la chatte de la bourgeoise en chaleur. Le troisième homme, lui, se faisant sucer, comme dans tout bon film porno qui se respecte !

Corinne, la jolie bourgeoise bien comme il faut, était prise en double pénétration ! Et elle en jouissait deux fois plus fort, si c’était possible ! Rodolphe, les yeux exorbités, regardait ce qu’il ne croyait pas possible, hormis dans les studios de films X, une femme avec une bite dans chacun de ses trous… et cette femme, c’était sa femme.

Rodolphe devait avoir 18 de tension, il sentait son visage en feu, son sexe sur le point d’exploser, une immense boule dans l’estomac, sa gorge sèche et la sueur qui lui perlait dans le dos, sous sa chemise. Il se massait frénétiquement, mais aussi discrètement qu’il le pouvait son sexe, toujours engoncé dans son caleçon, maintenant trop serré. Il en crevait, il fallait qu’il obtienne une libération d’une façon ou d’une autre !

Alors que son mari était dans les affres de la frustration sexuelle, Corinne elle, était dans celles de la félicité jouissive ; elle n’arrêtait pas de gémir, de crier des obscénités, souvent en regardant son mari… enfin, après quelques coups de reins supplémentaires des deux chevaucheurs, Corinne connut un orgasme fantastique qui la laissa éplorée de plaisir.

Laissée à l’abandon, nue couverte de sueur et avachie sur le matelas, elle regarda Rodolphe, tandis que les trois hommes repartaient, remplacés par un nouveau :

Alors mon chéri, cela t’a plu ? Du porno en direct, avec ta petite femme chérie, bien sous tous rapports, en actrice du X… déroutant et excitant, non ? Je vois que tu n’en peux plus, mon pauvre chou… mais ta petite pute de femme va arranger cela…

Alors Corinne s’approcha sur les genoux, lentement telle une féline, et arrivant aux pieds de son mari, elle commença à lui descendre son caleçon. Pendant ce temps le nouveau jeune, pantalon et caleçon sur les chevilles, la prenait en levrette. Sidéré et incapable du moindre geste de défense, Rodolphe regardait sa femme en train de se faire pénétrer la chatte, telle une chienne en chaleur, tandis qu’elle extirpait le sexe en fusion de son mari, qu’elle le caressait un peu et commença une splendide fellation…

Rodolphe, toute honte bue, se laissa sucer par cette succube improvisée qui était sa femme, et la tête rejetée en arrière, ne mit pas deux minutes à jouir dans la bouche de la pécheresse ! Corinne ne perdit pas une goutte du sperme de son mari, et une lueur de triomphe dans les yeux, se concentra sur le baiseur de derrière, qui la bourrait avec ses coups de reins, tant et si bien que la vibration du coït se répercutait sur les genoux de Rodolphe.

La soirée orgiaque dura encore bien deux heures, tandis que Rodolphe restait toujours le voyeur impénitent de sa femme adultère, qui revint encore lui faire deux autres fellations, après un temps de repos de ce dernier…

Quand Corinne demanda grâce, se déclarant ivre de fatigue, ce que l’on ne pouvait pas manquer de constater, le maître de soirée, Mustapha, déclara que la brillante candidate au gang bang, s’était fait couvrir par au moins 36 hommes… record à battre.

Recouverte d’un pardessus qui lui avait été donné, Corinne somnolait sur l’épaule de son mari, à l’arrière de la voiture qui les ramenait chez eux.

Rodolphe, le visage contracté, versait des larmes de rage devant son inconsistance, sa pleutrerie, et surtout l’envie inextinguible et le plaisir qu’il avait eu de voir sa femme souillée et roulée dans la luxure.

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