Bonjour à tous ici !

Après avoir arpenté en long et en large XSTORY, il était temps de contribuer avec mon histoire.

Je m’appelle Damien et je suis coach sportif depuis maintenant quatre ans, dans une salle d’une célèbre franchise à Paris.

J’ai du coup pas mal d’anecdotes croustillantes de ma vie depuis le début de cette période.

Premier épisode : la rencontre avec Flavie.

Flavie venait de s’inscrire à la salle, originaire du quartier, elle ressemblait parfaitement à la population du coin : bourgeoise, propre sur elle et déterminée à être la plus belle de ses copines.

C’est en début d’année, l’heure des bonnes résolutions, que je l’ai rencontrée.

Full-package, l’espace sport, l’espace bien-être, serviette, boisson et coach attitré, elle n’avait pas lésiné sur les moyens.

Mardi matin, 8h, première séance et bonne nouvelle, elle était à l’heure.

Un rapide tour du propriétaire ?

D’après son profil d’inscription, elle avait 52 ans, 1m67 et 58 kilos, le plus drôle à son arrivée, c’était surtout le rouge à lèvres et son mascara qu’elle portait, comme si elle allait défiler sur le tapis de course.

Petite introduction entre nous et l’on commençait le training, entre cardio au tapis et quelques poids ensuite pour la force.

Cette séance se déroulait trois fois par semaine, toujours à la même heure et, malgré le fait que je n’aurai jamais parié dessus au départ, Flavie était déterminée et ne ratait aucun cours.

C’est fin février que les séances prirent une tournure spéciale.

Flavie n’avait pas vraiment à perdre, elle venait pour tonifier son corps de femme mûre et le sculpter.

Elle qui portait généralement un gilet et un pantalon de jogging, elle commençait à mettre une brassière et des leggings, un peu comme les jeunes femmes du centre sportif, toutes ces instagrammeuses en série.

J’avais d’abord pensé qu’elle changeait d’"outfit" par prise de confiance en elle, mais je me suis vite rendu compte que ce n’était pas vraiment pour cette raison qu’elle arborait des tenues moulantes.

Les clins d’il s’intensifiaient, les tenues provocatrices aussi, elle jouait la carte "je suis sexy" au maximum et cela fonctionnait bien malgré son âge.

Ce n’était pas un canon de beauté c’est certain, mais avec les séances qu’elle suivait, elle était plutôt très bien.

Il faut savoir que le dimanche, de 8h à 10h, la salle est réservée exclusivement aux membres ayant un coach attitré, pour pouvoir travailler convenablement avant la ruée de clients à 10h.

Elle s’était débrouillée, je ne sais pas comment, pour savoir que j’étais le seul coach à exercer ce dimanche précis de début mars.

Je triais donc de la paperasse à l’accueil quand à 8h05, après être arrivée quelques minutes auparavant, Flavie apparut devant moi me demandant de venir, apparemment son casier ne s’ouvrait pas (elle payait aussi pour avoir un casier permanent, tant qu’à faire).

Je la suivais, direction le vestiaire féminin à l’étage.

Un rapide coup d’il à son casier pour voir qu’il fonctionnait parfaitement bien, le spectacle commençait cependant lorsque je me suis retourné.

C’est à ce moment-là que tout a dérapé. Flavie se tenait devant moi, en brassière et en petite culotte, un tanga en dentelle rouge pour être précis.

"Que, qu’est-ce que vous faites ?!"

Sans un mot, elle s’approcha et passa la main sur mon torse, par-dessus mon débardeur. Effleurant de ses doigts fins mes abdos saillants de coach, elle avait l’air de vivre à fond son moment.

"Depuis le temps que j’attendais ça…" dit-elle dans un soupir.

Nous sachant seuls, et vous vous en doutez très bien, je rentrais dans son jeu assez facilement.

"Enlève le haut, fais-moi voir tout ça" lui dis-je.

Elle s’exécuta presque immédiatement, retirant avec sensualité sa brassière, découvrant au grand jour deux petits seins, un peu tombants, avec des tétons en pointe qui mesuraient bien dans les trois-quatre centimètres. Elle était déjà excitée.

Je m’empressai de poser ma main sur ces mamelles, les caressant délicatement et pinçant ces gros tétons.

Elle ne perdait pas de temps en frottant avec conviction mon jogging, à la recherche d’une bite qui ne tardait pas à grossir.

Après quelques secondes, sa main droite, avec sa manucure rose fluo, sortait ma bite de son vêtement et commençait à me branler.

La sensation était bonne mais je voulais en voir plus. Je l’agrippai et la forçai à s’asseoir sur le banc du vestiaire.

"Enlève ce qu’il te reste", encore un ordre et elle obéissait aussi vite.

Le tanga rouge fila par terre à la vitesse de la lumière, me laissant nez à nez avec une chatte lisse, parfaitement épilée et déjà bien humide.

Je posais mes genoux par terre et je commençais à lui brouter le minou, avec force, j’arpentais ses lèvres, son petit bouton du plaisir, ce qui avait pour directe conséquence de lui arracher quelques gémissements assez excitants.

Ces bruits m’avaient rendu bien droit, il n’en fallait pas plus pour que je me relève, enfile une capote que je gardais toujours en poche et que je positionne mon pénis aux portes de son vagin.

Je faisais pousser ses lèvres avec mon gland, pour attiser l’envie, sa chatte dégoulinait sur ses cuisses et sur le banc, comme une petite pucelle.

J’entrais en elle comme dans du beurre fondu, les lèvres laissaient passer mon membre, pas si ridicule tout de même (20 centimètres) et je tapais très rapidement le fond de sa cavité. Elle avait dû en voir passer la coquine.

Je pouvais la limer sans problème, ses minuscules bourrelets et ses petits seins dansaient en rythme avec ma bite qui la pénétrait.

Les gémissements laissaient place à des cris, elle se pinçait elle-même le bout de ses seins, puis à mesure que son orgasme arrivait, se masturbait le clitoris, à le titiller pendant que je lui rentrais dedans de plus en plus fort.

D’un coup, son corps se mit à convulser, pendant plusieurs secondes, son vagin se rétrécit et mangea presque ma queue, le temps pour Flavie de jouir fortement.

Elle s’allongea de fatigue sur le banc, fermant les yeux pendant un instant.

J’en profitais pour sortir ma bite de la capote et je me branlais avec énergie, jusqu’à gicler sur son ventre et ses seins, une bonne quantité de semence.

"Tu peux rentrer chez toi, je te dispense de séance ce matin".

Elle enfila sa veste par-dessus le sperme et me dit au revoir.

A bientôt peut-être ?

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