Bonjour, je mappelle Jules, jai 20 ans, je suis grand, blond aux yeux bleus, très sportif, plutôt bien foutu, monté avec du 18 cm et, daprès ma copine, je suis un bon coup. Cela fait 6 mois que je vis chez mon père. Mes parents sont divorcés depuis que je suis tout petit et même si jentretenais dexcellents rapports avec mon père je ne le voyais que très rarement jusquà ce que jemménage chez lui, pour suivre mes études. Je voudrais vous raconter lhistoire qui mest arrivé vendredi soir.

Je rentrais de lécole, mon père nétait visiblement pas là. Je fonçais donc dans ma chambre. Je devais être reparti dans 30 min, après mêtre lavé de la tête aux pieds et changé. Je me déshabillai intégralement, laissant mon tas de linge sale dans un coin de ma chambre. Je ne prenais quun boxer propre à la main et me rendait à la salle de bains persuadé que mon père ne rentrerait quaprès mon départ. Erreur. À peine entré dans la salle de bains, je le trouvais tranquillement en train de prendre sa douche. Ma présence ne sembla pas le gêner. La sienne me troubla terriblement, surtout que jétais également nu. Je sortais de la pièce immédiatement bredouillant des excuses. Je lavais déjà vu torse nu mais jamais plus.

Mon père, parlons-en. Il a 42 et je trouve que je tiens de lui sur beaucoup de points. Il est grand, sportif, bien foutu. Bon, il est brun et a les yeux marron, daccord. Daprès ce que je venais de voir, il nétait pas trop mal monté. Quant à savoir si cétait un bon coup… Je fonçais dans la petite salle de douche à létage et après une douche éclaire, je partais à ma soirée.

Le lendemain, au petit déjeuner, je trouvais mon père nu sous sa robe de chambre ouverte, en train de saffairer devant la cafetière. Jobservais un mouvement de recul. Mon père sen aperçut et mappela, javançais tout en essayant de ne pas regarder son sexe :

« Jules, comment ça va ? Tu ne tes pas couché trop tard jespère ? Cétait bien hier soir ?

— Oui, oui. Super.

— Ça va ? Tu as lair bizarre ce matin, tu es fatigué ?

— Pourquoi tu es « habillé » comme ça ce matin ?

— Je suis chez moi, jai encore le droit de mhabiller comme je veux. Pourquoi, ça te gêne ?

— Ben oui…

— Jai cru ressentir ça déjà hier soir, il ne faut pas. On est très bien dans cette tenue. Essaie.

— Non merci, je vais garder mon boxer et mon pyjama.

— Essaie. Ne sois pas borné, retire tes vêtements. »

À contrecur, jôtais mon pyjama, me retrouvant en boxer.

« Retire ton boxer aussi. » insista mon père.

Je ne sais pas pourquoi mais jobéis, me retrouvant nu face à mon père.

« Tu vois, on est fait pareil, détends-toi. ».

Il navait pas complètement tort, hormis que mon sexe paraissait, au repos, plus gros que le sien. Il le remarqua :

« On dirait même que tu es mieux loti que ton père.

— Papa !

— Quoi, cest vrai. Même si la taille qui compte nest pas celle au repos… ».

Je sentis ma bite commencer à se raidir. Tout mais pas ça. Je jetais un coup dil discret vers celle de mon père qui en faisait autant, ouf. Il finit par sexclamer triomphant :

« Jai gagné !

— De quoi ?

— La mienne est plus grosse que la tienne quand on bande.

— Ah ouais. ».

Mon regard fut attiré par ses deux grosses couilles énormes qui pendaient. Mon père le remarqua.

« Ça tépates hein ? Tu ne pensais pas que ton père était si bien doté ?

— Non, en effet. Tes un gros gicleur ?

— Ah, tu te détends enfin. Oui, je gicle beaucoup, et toi ?

— Ca va.

— Fais-moi voir ça.

— Tu veux que je gicle maintenant ?

— Oui, pourquoi, tu as besoin daide ? ».

Mon père mattrapa alors la bite et commença à me branler. Je le laissais faire impuissant et en même temps, jappréciais le voir me masturber. Mon père finit par sagenouiller devant moi et il commença alors à me sucer. Très rapidement, je sentis un plaisir intense monter en moi et je commençais à gémir. Sentant le sperme monter javertissais mon père mais celui-ci accentuait sa fellation. Je me vidais alors complètement dans sa bouche en deux jets que mon père avala dune seule traite.

« Pas mal fiston. Mais un peu léger, je vais te montrer ce que cest quune vraie éjaculation. Aide-moi.

— Quest-ce quil faut que je fasse ?

— Et bien suce-moi.

— Non, ça je ne peux pas.

— Après ce que je tai fait, tu me dois bien ça. »

Je magenouillais à contrecur devant son sexe brandi que jattrapai et je commençais et va-et-vient lents. Mon père plaça ses mains derrière ma tête et la guida de plus en plus fermement vers sa bite que je finis par engloutir. Il impulsait la cadence et accéléra le mouvement jusquà sarrêter. Jen profitais pour respirer.

« On va continuer dans ma chambre.

— Papa, je nai pas trop envie de te sucer à nouveau.

— Comme tu veux, mais viens que je te montre comment je gicle. »

Nous montâmes dans sa chambre. Jentrais après lui et il ferma la porte à clef. Il minvita à minstaller sur son lit afin quil me montre sa super éjaculation. Mais à peine assis il mimmobilisa de tout son poids sur le dos et mattacha les quatre membres aux pieds du lit. Je protestai mais il sen moquait et préférait commencer à me chatouiller lanus avec un doigt. Rapidement, il mattrapa les jambes, les leva en lair et approcha son membre de mon orifice. Il me pénétra violemment et commença un labour minutieux. Il ne tint pas compte de mes cris de douleurs. Pendant de longues minutes mon pauvre cul souffrit puis peu à peu une sensation de bien-être commença à menvahir. Ne voulant rien montrer, je continuais à exprimer une douleur désormais factice. Tout dun coup, mon père quitta mon cul et me déversa un premier jet de sperme, puissant, sur le visage. Un second sensuivit, tout aussi puissant et fourni, puis un troisième. Deux jets plus modérés et plus contrôlés suivirent immédiatement. Mon père venait de me recouvrir le visage de sperme.

« Alors, tu vois ce que cest une vraie éjaculation !

— Oui papa…

— Je suis désolé davoir fait ça, je ne sais pas ce qui ma pris. Tu dois énormément men vouloir.

— Non. »

Je me léchai le pourtour de la bouche récoltant un peu de sa semence. Quel délice. Mon père me jeta un coup dil malicieux, presque pervers. Pour sûr, jaimais son sperme.

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