Elle ne rit plus et son visage s’est fait plus grave, me fixant d’un regard à la fois dur et moqueur. Elle dénoue la ceinture de son peignoir et l’ouvre face à moi. Elle m’apparaît totalement nue et quand mon regard se porte sur son entrejambe, j’ai le souffle coupé ! Elle a un pénis, énorme qui plus est ! Même sur son gabarit plutôt solide, il paraît gros ! Il pend de son pubis comme un sombre anaconda, et son gland plus clair arrive presque à mi-hauteur de ses cuisses musclées. Flaccide, je l’estime bien deux fois plus long que le mien en érection, et largement deux fois plus large. Il repose lourdement sur deux énormes testicules qui sont si volumineux qu’une seule pourrait contenir entièrement les deux miennes et mon sexe. Quand j’arrive enfin à détacher mon regard de la chose, mes yeux se portent machinalement sur ses abdominaux bien dessinés qui ressemblent vraiment à des tablettes de chocolat noir.
Ses seins qui sont probablement artificiels sont magnifiques et plus gros que ma tête. Ses sombres tétons pointent vers moi comme s’ils m’ accusaient de mon exhibitionnisme. Elle a mis ses mains sur les hanches pour que le peignoir reste ouvert et que j’ai le temps de regarder ce corps si surprenant. Ses biceps sont épais et bien dessinés, comme ses épaules. Elles rayonnent de puissance et de féminité, malgré cet attribut titanesque ! Mon cerveau ne sait pas ce qu’il doit éprouver et je reste muet face à ce corps de bronze. Mon sexe est redevenu flasque, comme s’il avait peur de se faire manger. Je reste pétrifié, le slip sur les genoux, face à la déesse noire qui me toise de toute sa hauteur.
Look at this ! This is a big cock !
Elle secoue son bassin de gauche à droite pour imprimer à son pénis un mouvement de balancier qui s’avère si lent que je n’ai pas de doute sur la lourdeur de la chose. Elle s’approche alors de moi comme le ferait une panthère noire à l’ affût. Au fur et à mesure qu’elle avance, sa haute silhouette sature mon champ de vision. Mes yeux sont captivés par son regard noir que je fixe, jusqu’à ce que je sente ses tétons piquer mes épaules et que son pénis entre en contact avec le mien. Il est brûlant ! Je baisse les yeux et vois son serpent sombre qui caresse mon ver de terre. La sombre et épaisse chose se love contre mon pâle et minuscule engin. J’ai l’impression d’avoir un clitoris ! Je lève mes yeux qui se trouvent légèrement en dessous du menton de l’amazone, jusqu’à ce qu’il puisse admirer le visage de la déesse qui me sourit ironiquement.
Alors, je te fais de l’effet comme ça ? C’est flatteur d’être désirée par un beau petit jeune homme comme toi. Tu sais que tu m’en fais beaucoup aussi ? Et j’ai bien vu ton manège quand tu te penchais face à moi pour nettoyer la piscine.
En même temps qu’elle me parle, je sens son sexe durcir contre mon bas-ventre. Il cherche à se frayer un chemin vers le ciel dans le peu d’espace qui sépare son corps du mien.
Elle laisse tomber son peignoir au sol pour être plus libre de ses mouvements. Ses mains passent dans mon dos et viennent saisir fermement chacune de mes petites fesses pour me plaquer contre elle, et même me forcer à me tenir sur la pointe des pieds, ce qui provoque également la chute de mon maillot.
En voilà de beaux petits fruits bien juteux ! Elles sont comme je les aime, fermes et juste à la bonne taille pour tenir dans mes mains.
Son sexe est maintenant totalement dressé. Il est si long que je sens sa base contre mon nombril et l’énorme gland contre un de mes tétons. Il est luisant d’excitation, recouvert de son abondant lubrifiant naturel.
Toujours sur la pointe des pieds, ma bouche se trouve juste en dessous de celle de mme Stroke.
Veux-tu m’embrasser mon petit ?
J’ai la tête qui tourne, submergée par une vague de désirs et de sentiments contradictoires. Mme Stroke est une transsexuelle, bien monté qui plus est ! Mais je brûle tellement de sentir ses lèvres pulpeuses sur les miennes, que je lui offre ma bouche tout en fermant les yeux. La géante m’embrasse avec toute l’adresse que lui donne son expérience. Sa langue vient caresser tendrement la mienne et je frissonne de plaisir. Elle palpe et pétrit mes fesses, frotte son sexe qui n’en finit pas de durcir et grossir contre mon torse, et semble y prendre énormément de plaisir ! Nous sommes tous les deux en sueur dans ce local humide et surchauffé. Mme Stroke décolle ses lèvres des miennes et me regarde avec douceur.
La météo avait annoncé une journée torride, mais je ne pensais pas qu’elle le serait autant.
J’enfouis mon visage contre l’épaule musclée de la géante qui n’en finit pas de jouer avec mon petit cul et je profite du contact ferme de son corps musclé. Elle dépose de petits baisers sur mes cheveux blonds, tout en stimulant son chibre contre la peau douce de mon torse.
Veux-tu aller plus loin mon mignon ? Je peux t’initier à un plaisir intense. Ne t’inquiète pas, je saurai être douce. Je désire tellement tes magnifiques petites fesses !
Je ne sais que trop bien de quoi elle parle. L’idée de sentir cette énorme chose en moi me terrifie et va contre tous mes principes, mais l’amazone vient de les faire voler en éclat par son baiser, et je lui adresse un regard désireux pour lui donner mon accord à disposer de mon petit cul.
Oui, prenez-moi !
Elle se baisse légèrement et tout en se relevant, soulève mon corps dont tout le poids se trouve alors dans les paumes de ses larges mains. Mes jambes maigres viennent se mettre naturellement de part et d’autre de sa taille, posées sur ses larges hanches. Son sexe est toujours emprisonné entre elle et moi.
Allons dans un endroit plus approprié.