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Ma mère aime l'argent…et le sexe… – Chapitre 1




Bonjour.

Je m’appelle Mathieu. J’ai 27 ans, j’habite Paris.

Pour raconter mon histoire, je dois d’abord vous présenter ma mère. Elle s’appelle Martine. Elle a 48 ans, elle est grande, blonde, encore assez belle pour son age. Les gens diraient qu’elle est plutôt sympathique, avenante. Jusqu’à là tout va bien. Mais voilà, ma mère a un gros défaut : elle adore vraiment trop l’argent. Le sexe aussi. Mais surtout le fric. 

J’avais compris assez jeune à quel point le pognon occupait une place privilégiée dans sa vie, avant sa famille, avant même moi, son fils. J’en avais souffert en étant petit car elle ne s’intéressait pas à moi. Elle rêvait luxe, bijoux, richesse, était fascinée les gens qui avaient le pouvoir et le fric. Le problème c’est qu’elle même n’en avait pas. Elle s’était mariée avec un modeste employé sans le sou, mon père. Et elle le regrettait tous les jours.

De l’argent, par contre moi, aujourd’hui j’en ai, beaucoup. C’est tout récent : ces dernières années j’ai travaillé dans la bourse à New York. J’étais jeune mais très doué. A l’age ou d’autres commencent juste leur carrière professionnelle, j’avais déjà fait quelques très beaux coups et gagné une petite fortune.

Alors lorsque cette année je suis revenu en France, j’ai vu débarquer ma mère, très intéressée par ma toute nouvelle prospérité financière.

Elle est venue me voir un week end à Paris, toute mieleuse.

— Ha, mon chéri, si tu savais comme la vie est dure ! Regarde ma voiture, elle est toute rayée. Et je n’ai même plus de quoi m’habiller !

En effet je remarquais qu’elle était vêtue très légèrement…un peu trop légèrement même peut être. Une jupe légère très courte, et un t shirt trop petit qui laissait déborder sa belle grosse poitrine.

Mais ce que je remarquais aussi c’est qu’avant même de me demander comment j’allais, elle me parlait de fric…

— Et papa, il peut pas t’aider ?

— Ton idiot de père n’a pas un euro sur son compte ! Mais toi, mon chéri, tout a l’air de bien aller pour toi. Tu pourrais pas me prêter un peu d’argent, de quoi faire les magasins ?

J’étais comme d’habitude stupéfait que ma mère me demande ça de façon aussi directe.

— Je ne sais pas maman. J’ai eu plein dépenses imprévues ces derniers temps.

Elle eu l’air déçue. Pour se donner bonne contenance, elle alla dans la cuisine pour se servir un verre d’eau, puis revint vers moi. Elle semblait réfléchir à la façon d’arriver à ses fins. Elle s’approcha alors de moi en minaudant, se colla à moi, m’enlaça de ses bras.

— Je suis contente de te voir, en tous cas, mon chéri.

— Ha bon ? Ca alors !

— Bien sûr ! Dis moi, si ça te dit on y va ensemble faire les magasins mais promis j’achète rien. C’est juste pour le plaisir de passer un bon moment avec toi.

Je fus tout d’abord assez agréablement surpris, même si je connaissais bien ma mère. J’acceptais sa proposition.

Dans cet environnement de luxe, ma mère était ravie. Elle courait un magasin à l’autre, essayait plein de beaux vêtements, me demandant à chaque fois mon avis. Après les avoir essayés, elle reposait très sagement tous les vêtements sur une chaise, remerciait les vendeuses et nous sortions du magasin sans rien avoir acheté. Et ainsi de suite dans plusieurs magasins.

Mais une chose me préoccupait : ma mère insistait pour que je reste avec elle entre deux essayages, dans les cabines. Elle s’exhibait ainsi devant moi en sous vêtements, un soutien gorge et petite culotte très légère qui dissimulait mal son anatomie intime.  Je ne détestais pas ça, et ma mère le sentait. La vendeuse lui présentait des robes qu’elle enfilait sans se presser.

— Et ça, mon chéri, tu aimes ? J’adore cette petite robe ! Et toi ?

— Oui c’est très joli, maman.

Elle retirait la robe, en essayait une autre. Les seins en avant et le cul en arrière, elle forçait le trait. On s’est baladé comme ça une partie de l’après midi, de magasin en magasin, ma mère tenant à ce que je reste avec elle pour les essayages. Jusqu’à ce qu’elle rentre finalement dans une boutique de lingerie de luxe.

— J’aimerais tant essayer ces jolis sous-vêtements ! Regarde ce soutien gorge ! C’est de la soie. Et cette culotte, elle est splendide ! Je vais les essayer, tu viens ?

— Heu, venir dans la cabine ? Avec toi ?

— Bien sûr ! Je veux avoir ton avis ! Ne me fais pas croire que ça te gêne !

— Heu, non…J’arrive…

C’est là que je me sentis défaillir : à peine rentrée dans la cabine d’essayage, ma mère enleva sa robe, puis elle dégrafa son soutien gorge, fit glisser une bretelle, puis l’autre. Elle se tourna vers moi seins nus, exhibant sa belle poitrine sans la moindre gêne. Je jouais au vieil habitué mais j’étais soufllé. Elle attrapa alors le soutien gorge en soie que lui tendait la vendeuse.

— Il est magnifique ! J’adore ! Et toi ?

— Heu oui, beaucoup !

Ce que je trouvais magnifique c’était surtout ses deux beaux gros seins, en forme de poire, lourds mais encore splendides. Ses tétons bien marqués formaient deux beaux boutons qui pointaient avec fierté. Je ressentis dans mon pantalon une première manifestation de mon excitation. Mais ce n’était rien par rapport à ce qui allait suivre.

— Bon, essayons maintenant la culotte ! lança ma mère, toute guillerette.

Devant mes yeux ébahis, elle se baissa et fit glisser sa culotte sur ses chevilles, m’offrant la vision de son beau gros, superbe cul. Puis elle se retourna vers moi, me fit face, dévoilant tous ses charmes. Jamais je n’avais vu ma mère nue d’aussi près, son sexe aussi proche. Elle avait conservé une belle toison de poils noirs sur son pubis, mais était bien épilée autour des lèvres de sa vulve. Celle ci était proéminente, bien dessinée. Une jolie, belle grosse moule de maman !

— S’il te plait mon chéri, passe moi la culotte rouge, là.

C’était trop d’émotion pour moi : je sentais ma queue qui durcissait, tirait dans mon pantalon. Feignant d’ignorer mon trouble, ma mère enfila la culotte que je lui tendais.

— Très jolie aussi. Un peu grande par contre. Mademoiselle, vous pouvez me faire essayer ce petit string, le bleu là bas ?

— Bien sûr madame.

Ma mère se déshabilla à nouveau, toujours bien en face de moi pour que je ne perde pas une miette du spectacle, et essaya la nouvelle petite culotte que lui tendait la vendeuse.

Elle renouvela l’opération plusieurs fois, avec des soutiens gorge et culottes de tout genre et couleur, tout ça devant moi, se baladant à poil sans la moindre pudeur dans les cabines d’essayage, sous les regards amusé des vendeuses.

En quelques dizaines de minutes je vis plus de l’intimité de ma mère qu’en l’espace des 20 ans qui avaient précédés, admirant son corps épanoui, son gros cul rond, son sexe bien fendu sous tous les angles, par devant, derrière, par dessus, dessous…

Je n’en pouvais plus d’excitation.

— Et ça tu en penses quoi ? Tu aimes ?

— Oui…

Le petit ensemble qu’elle me présentait était somptueux, tout en dentelles légères, d’un beau bleu azur, mais tellement petit qu’il ne cachait pas grand chose de ses charmes, ses lèvres dépassant légèrement de chaque coté de l’étroite culotte.

— Moi aussi j’adore ! s’exclama ma mère. J’aimerais tant les prendre… C’est cher. Mais c’est si joli ! Je crois que je vais craquer. On les prend ?

— Ok…on les prend…

J’avais cédé…Elle avait fini par m’avoir. Car bien sûr c’est moi qui allait payer…Mais rien que pour le plaisir de la voir dans cette culotte, ça en valait le coup.

— Bon je vais prendre aussi cet ensemble là ! Ca en fait deux, comme ça.

Je me faisais avoir sur toute la ligne. Les deux ensembles soutien gorge culotte étaient hors de prix. Mais j’étais completement sonné, comme drogué par la vision de la nudité de ma mère et l’excitation qui en découlait. Elle en profita:

— Ecoute, avec ça je prendrais bien la petite robe qu’on a vu dans le magasin d’à côté. Ca ira très bien avec.

On est alors retourné au premier magasin et on a acheté deux robes…plus une paire de chaussures.

— Merci mon chéri ! J’ai passé une excellente journée !

Je n’osais dire "moi aussi" car je n’arrivais toujours pas à réaliser ce qui s’était passé. Ni ma carte bleue d’ailleurs : ma mère s’était vraiment lâchée sur les dépenses.

Le soir elle retourna chez elle, ravie. Et moi je restais seul, m’en voulant d’avoir cédé à ses caprices. Elle n’en voulait qu’à mon porte feuille, je le savais ! Je me jurais de ne plus recommencer. 

Mais j’avais aussi une furieuse envie de me masturber. Je m’installais dans mon canapé et sortais ma queue. Le contact de mes doigts sur mon sexe était délicieux. Je bandais comme un cheval. En me branlant je fermais les yeux et revoyais la fantastique moule de ma mère, la fente de son cul que j’avais pu admirer tout une partie de la journée. J’imaginais y glisser mes doigts, ma langue, j’imaginais pénétrer ce vagin avec ma bite, m’enfonçant en elle jusqu’à la garde, tout au fond d’elle…et j’éjaculais…

J’avais l’impression d’avoir vécu quelque chose de fou.

Mais ce n’était rien en comparaison de ce qui allait suivre.

Car le week end suivant ma mère revint me voir… ce que je raconterai bientôt…

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