LES JUMEAUX APPRÉCIENT

Lucien sert à la ronde. Dêtre nu face aux trois jeunes ne le perturbe pas au contraire. Les illades furtives des jumeaux vers son sexe que le désir commence à gonfler, ne lui échappent pas. Il prend plaisir à prolonger le service et cest une verge presque prête à lemploi quil promène sous leurs yeux. Le regard moqueur dAnnie, amusée autant par lattitude de son père que par les mines gourmandes de ses amis, le contraint à adopter une attitude plus décente. Sa fille a raison, inutile de précipiter les événements, ils ont le temps. Il repose la carafe et sassied. La moue de dépit de Martine quil surprend lorsquil dérobe à la vue ses attributs sous la table, le flatte et le rassure. Laprès-midi se présente bien !

— A votre santé ! annonce-t-il en levant son verre.

Il guette la réaction au breuvage.

— Oh cest bon ça ! sécrie François qui vide son verre. Je peux en avoir encore un peu ?

— Tout à lheure, promets Lucien. Il y a de lalcool, il ne faut pas en abuser Jai rencontré ce jeune homme devant limmeuble, explique-t-il aux deux filles. Nous avons discuté dans lascenseur. Savez-vous ce quil ma dit ?

Il attise la curiosité dAnnie et de Martine qui attendent bouche bée pendant que François baisse la tête.

— Ce jeune homme ma avoué quil appréciait la sodomie et quil

— La quoi ? sétonne Martine.

François na pas lair plus au courant et regarde Lucien les yeux ronds.

— Se faire enculer si vous préférez

— Ah ! Cest comme ça quon dit ? La sodo mie ?

— Oui la sodomie, comme Sodome et Gomorrhe, relisez la bible. Bon, vous me laissez parler ?

— Excusez-moi monsieur.

— Bref, je disais que François ma prié de recommencer.

— Oh ! Non ! Jai jamais dit ça !

— Pas aussi clairement peut-être, mais le sens y était. Tu ne veux plus ? Je nai rien entendu.

— Euhsi, murmure le garçon.

— A la bonne heure ! Mais il faut obtenir laccord de ces demoiselles, nest-ce pas ?

— Euh Je balbutie Martine, je suis volontaire.

— Le frère et la sur ? Pourquoi pas !

Lucien repose son verre.

— Bon, cest pas tout, mais nous navons pas toute la soirée, il faut y aller !

Tout le monde se lève. Lalcool a rosi les joues. Les jeunes sont excités.

— François appuie-toi sur laccoudoir du fauteuil Oui.

Lucien se penche et trempe lindex dans une soucoupe pleine de margarine quil a discrètement apporté.

— Pointe le cul écarte les jambes encore ça va !

Il tartine de graisse le pourtour de lanus. Son doigt pénètre dans lorifice. Les deux filles regardent intéressées. Lucien fait aller et venir lindex en tournant.

— Vous voyez ? Jassouplis le trou du cul pour éviter de lui faire mal Bon, ça suffit. Je mets un peu de margarine sur la verge, ça ne mange pas de pain et je présente le bout.

Pour Martine cest la réédition du mercredi précédent, mais pour Annie le spectacle est nouveau. Elle remarque que François ne bronche pas, preuve du plaisir éprouvé.

— Écarte les fesses sil te plaît. Plus que ça ! Aidez-le les filles !

Elles se précipitent, chacune tirant sur un lobe. Lucien appuie plus fort, le bout du sexe senfonce.

— Lâchez-tout !

Le gland entier est avalé par lélasticité des chairs.

— Ouch ! gémit François.

— Ça va mon gros ?

— Ou oui Aah ! soupire-t-il quand Lucien senfonce.

— Aah ! Jy suis !

— Déjà ? sétonne le garçon.

— Eh oui, je ne peux pas aller plus loin. Tu ne sens pas mes poils sur les fesses ? Bon, faut soccuper de mademoiselle maintenant. Va tasseoir sur le canapé, Martine Oui. Glisse tes fesses au ras du siège Bien, écarte les jambes… Plus que ça !

Lucien prend François aux hanches et pousse le garçon entre les cuisses ouvertes.

— Regarde la jolie chatte quelle a ta sur ! Nest-ce pas que tu vas bien la combler !

Il cherche de la main la verge du garçon et la pointe droit devant.

— Laisse-toi guider Martine sil te plait, je ne vois pas bien tu peux me guider ? Merci Là Je caresse le con avec le gland Cest bon nest-ce pas ?

Deux gémissements de plaisir lui répondent. Annie sassied à coté de Martine et lui caresse la poitrine. Elle fixe la queue qui sépare les lèvres du sexe.

— Ouiii !

Lucien pousse François en avant. La tige pénètre dans lorifice et disparaît aux yeux dAnnie.

— Jespère François que tu te souviens comment il faut faire.

Lucien retire le sexe sans faire sortir le gland, François recule et sempale dessus en glissant hors du vagin, puis Lucien pousse le garçon ainsi de suite.

— Cest bien, tu es un grand garçon ! Bon, les enfants, des actes maintenant !

La pièce semplit des gémissements du frère et de la sur.

— Ooooh ! s’écrie celle-ci Ooooh ! Ça vibre ! Aaah ! Tu avais rai Aaah ! Raison Annie ! Aaah ! Cest trop Aaah !

Les paroles de Martine électrisent François. Il gémit, ahane, soupire. Il est heureux de la faire jouir, heureux de sentir une grosse queue déformer son sphincter, heureux quAnnie soit là qui lui caresse la joue et essuie une larme de bonheur.

Lucien sen donne à cur joie. Cest encore meilleur que la semaine passée ! Il accélère les coups de rein. La jouissance monte vers le ventre, grimpe dans la tige, éclate dun seul coup !

— Aaaaah !

Les jets de sperme surprennent François qui a son tour, remplit le vagin de sa sur.

— Aaaah !

Ils sont essoufflés. Lucien se décroche, arrachant un soupir au garçon et sassied à coté dAnnie, le sexe en berne. Son cur bat la chamade. Le frère et la sur toujours soudés reprennent leur respiration. Des gouttes glissent hors de lanus du garçon et coulent sur ses cuisses. Annie se lève et sépare les deux jeunes gens.

— Venez vous nettoyer, vous en avez besoin.

La jeune fille essuie les sexes, les orifices. Les jumeaux se laissent laver comme anesthésiés. Ils la suivent lorsquelle revient au salon où les attends Lucien. Il a remplit les verres et les tend aux jeunes.

Lalcool ranime le frère et la sur. Leur regard sallume. Lucien décide de passer à la suite. Il a un plan.

— Dis Annie, sais-tu ce qui me ferait plaisir ?

— Non, Papa.

— Que Martine et toi vous vous caressiez, cela nous donnerait à nous, pauvres hommes le temps de récupérer Tu ne veux pas pardon, vous ne voulez pas les filles ?

Elles se dévisagent, un sourire éclos sur leurs lèvres, pourquoi pas ! Annie prend la main de Martine et lentraîne vers le canapé.

— Non, linterrompt Lucien, je crois quon serait mieux dans ta chambre ma chérie.

Tout le monde se déplace. Annie pousse Martine sur le lit.

— Si je pouvais donner un conseil, suggère Lucien, je préfèrerais que tu sois sur le lit, ma fille, Martine au-dessus.

Son père a une idée en tête, devine-t-elle. Pourquoi ne pas le laisser faire ? Elle obéit, sallonge sur la couverture. Lucien la prend par les talons et la fait tourner de façon que les jambes pendent hors du lit.

— Installe-toi Martine ! Faites comme si nous nétions pas là !

Ce nest pas le cas ! La présence des deux hommes rend les caresses encore plus excitantes, les deux filles sen donnent à cur joie.

Lucien sapproche de François.

— Elles ne sont pas jolies nos nanas ?

— Bof !

— Si je comprends bien, tu préfères participer nest-ce pas ? Cest peut-être possible.

Il pose la main sur la verge souple du garçon. Celui-ci a un mouvement de recul.

— Laisse-toi faire, ce nest pas avec cet engin que tu leur feras du mal !

Il manipule doucement le sexe qui commence à enfler.

— Que dirais-tu de rendre à ta sur ce que tu as subi de ma part ?

— Oh ! Len

— Oui, lenculer, complète Lucien.

François rougit, il ne peut avouer quil en rêve depuis le mercredi précédent.

— Je crois que cest le moment dessayer, regarde comme Martine bombe le cul ! Allez ! Un peu de courage. Moi de mon coté je moccupe dAnnie.

La verge raidit dans sa main, preuve du désir du garçon. Celui-ci esquisse le geste de se lever.

— Oui, vas-y !

François nhésite plus et sagenouille derrière sa sur. Entre les cuisses, Annie lui sourit.

— Tiens ! dit Lucien qui tend la coupelle de margarine. Badigeonne bien le cul et ta queue.

— Mmmh ! murmure Martine que les attouchements de son frère combinés aux caresses dAnnie font vibrer.

Lucien se place entre les jambes de sa fille. Il en soulève une sous le bras.

— Donne-moi la margarine !

— Non, Papa, pas là ! sécrie Annie. Jai eu trop mal.

— Cest parce que tu as eu affaire à des brutes. Demande à François si je lui ai fait mal ?

— Sil te plaît Papa Je ten prie.

— Bon, je ne veux pas te faire de la peine, on verra ça plus tard.

Il soulève les deux cuisses et savance le sexe pointé.

— Martine, ma jolie, est-ce que ce serait trop te demander de bien vouloir placer ma queue devant le bon orifice ?

— Avec plaisir, cher monsieur.

— Merci, dit Annie, je fais de même avec ton frère.

— Noublie pas ma chérie, conseille Lucien, écarte bien les fesses de ton amie Tu as assoupli le petit trou François ?

— Euh Non.

— Et alors ? Quest-ce que tu attends ?

Martine gémit de plus belle lorsque le doigt de son frère la pénètre.

— Vous y êtes ? Allez ! On pousse !

— Aaah ! soupire Annie.

— Mmmh ! gémit François quand le gland force le barrage du sphincter.

— Ouch ! s’écrie sa sur surprise par la sensation nouvelle.

— Tout va bien, Martine ? interroge Lucien.

— Ou oui, murmure-t-elle.

— Noubliez pas vos caresses réciproques, mesdemoiselles.

Lucien senfonce dans le sexe rose jusquà la garde. Martine contemple les yeux grands ouverts lépieu de chair disparaître dans la fente, puis ressortir, luisant de sécrétions pour disparaître à nouveau. Cest ainsi quétait son sexe mercredi dernier lorsque Lucien la pénétré ! De lautre coté Annie se fait la même réflexion en regardant la pine de François aller et venir dans le trou dilaté. Mue par une inspiration soudaine, elle enfonce deux doigts dans le vagin et cherche à deviner la grosseur du sexe qui opère dans lorifice voisin.

— Aaaah ! crie presque Martine qui frémit sous la double sollicitation.

Chacun senferme dans sa bulle, attentif aux sensations éprouvées, cherchant à augmenter le plaisir du partenaire. Les gémissements samplifient. Annie et Martine succombent les premières presque ensembles. Leur orgasme en appelle dautre. Les hommes sactivent, dopés par les frémissements et les tremblements des filles. Puis François abandonne la lutte dans un cri rauque. Annie ne peut retenir un cri détonnement en voyant se gonfler au passage du sperme le petit conduit qui court sous le sexe. Lucien, les lèvres serrées donne encore plusieurs coups de rein avant de succomber à son tour.

Annie contemple avec un sourire amusé la queue de François se retirer avec un petit « plop ». Elle pend, souple, fragile et émouvante, une goutte qui perle au bout. Martine la libère. Lucien verse le reste de cocktail.

— Tenez buvez, cest peut-être chaud mais je crois que vous en avez besoin.

Sans un mot ils vident leur verre, puis péniblement, se dirigent tous vers la salle de bain.

Pour Martine cette nouvelle façon de faire lamour avec son frère est une révélation. Ils recommencent le soir même au risque de se faire surprendre par les parents. Elle na pas de peine à convaincre François de se limiter entre eux à cette introduction et aux caresses simultanées. Cela leur donne lillusion de ne plus succomber à linceste. Ils réservent la possession normale à Lucien et Annie le mercredi après-midi. Celle-ci par contre, hésite malgré les encouragements de son amie. Son dépucelage anal lui laisse un trop mauvais souvenir, puis, de même quelle a refusé que son père soit le premier à la baiser, elle ne veut pas quil soit le premier, non pas le premier cest déjà fait, quil soit celui qui lui linitiera aux plaisirs de la sodomie.

Au Lycée, Luc na pas reparu. Par François, les filles apprennent que la police a interrogé sans succès ses copains, le garçon sest volatilisé sans laisser de traces. Annie frémit rétrospectivement : cétait le sort quil lui réservait. Dans quel bordel aurait-elle été enfermée, ou de quel vicieux aurait-elle été lesclave ? Lucien lui a raconté comment les deux costauds qui lavaient libérée, se sont amusés avec les copains de Luc, une séance mémorable qui leur a ôté lenvie dimportuner les filles. Deux des gamins gueulaient comme des gorets quon égorge paraît-il, tandis que le dernier avait plutôt lair dapprécier. Annie pouvait sestimer vengée. La jeune fille a écouté le récit, indifférente. Cela ne la concerne plus.

FIN

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