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Un soir en discothèque. – Chapitre 1




Un soir en discothèque.

(Histoire vraie, les dialogues étaient en allemand)

Il était environs 23h, j’étais avec mes amis à la discothèque Dadeldo, dans

les sous sol d’un d’hôtel 5 étoiles, la musique battait son plein, j’avais remarqué une belle femme, la

trentaine environs, habillée tout de noir, pantalon serré et jaquettes en cuir. J’avais un peu bu et

quand je bois, ma langue se délie, j’aborde la femme, en l’invitant à danser, elle accepte volontiers, nous voilà

sur la piste de dance, un jerk suivi d’un slow, ce dernier m’a permis de sentir le corps chaud de la femme,

collée à moi, lascivement, au rythme de la musique douce que diffusaient les baffles. Un temps de

pause, je l’ai invité à prendre un verre avec moi, ce qu’elle a accepté aussi volontiers que la danse et nous avions entamé

une discussion, sans faire attention à la musique qui avait repris, un homme, la quarantaine, s’approcha de

nous et invita la femme à danser, je les ai suivi du regard puis je suis allé m’assoir avec mes amis à

leur table, sans trop faire attention à celle avec laquelle j’ai dansé car elle est allée s’assoir à la table

du monsieur avec qui elle venait de danser. Le lendemain, j’étais dans la même boite, la femme arrive, elle

me salue d’un sourire et elle va s’assoir à une table vide, après quelques minutes, elle vient vers moi

et me dit, il fait chaud, j’ai répondu, effectivement il fait chaud tout en lui demandant, où est

son ami d’hier, avec lequel elle est partie, elle m’a affirmé qu’elle est partie seule, sans

compagnon hier, puis elle me dit qu’elle a envie d’aller se changer à la maison car ses fringues sont en

cuir et il fait très chaud dedans, je lui ai dis, vas-y, vas te changer mais elle se serrât contre moi et

mit sa cuisse entre mes jambes, j’ai senti cette cuisse très chaude et tendre entre les miennes,

surtout quand elle toucha mon sexe de son genou, je ne pouvais plus reculer, j’étais adossé au

comptoir et elle pesait de son poids sur ma poitrine. Elle me pria avec insistance en me disant,

accompagne moi, stp, stp !!! J’ai fini par dire oui, on sort de la boite et dehors elle se dirigea droit

vers le Parking, je la suivis, elle arriva devant une Jeep, elle ouvre la portière gauche et me dit de

monter, elle monta du côté chauffeur, et mit le moteur en marche, avant de démarrer, elle alluma

deux cigarettes et me tend une, dix minutes plus tard, on est devant chez-elle, elle ouvre et entre,

je la suis et ferma la porte derrière nous, elle se dirigea droit vers la chambre à coucher, moi

j’attendais dans le couloir, elle sort avec des vêtements et elle va dans la salle de bain, laissant la porte de

celle-ci bien entre-ouverte, je la vois se déshabiller, elle n’est qu’en soutifs et culotte, j’étais en

train d’admirer son corps quand elle se retourna vers moi, me disant, au fait ! Pourquoi est-venu avec

moi ?! Je n’ai même pas répondu à sa question, je pénètre dans la salle de bain, je la prends par la

taille, je ta tire vers moi, sa croupe collée à mon bassin dont le sexe est déjà dressé. Elle fait,

Ahh !! Viens, allons dans la chambre, je ne la lâchais pas, je la prends à bras le corps et je la jette

sur le lit, les jambes pendantes, je lui retire sa culotte, elle ouvre ma braguette fébrilement, je

défais ma ceinture et baisse mon pantalon, elle prend mon sexe dans sa main et commence à le

branler, je sentais sa main douce et chaude sur mon sexe, je bandais au plus fort de moi-même sous

ses caresses, elle guida mon gland entre les lèvres de sa chatte, se caressa avec comme d’un pinceau,

elle était, déjà, mouillée, la salope!! Je la pénétrais d’un seul coup, sans ménagement car je ne pouvais

plus attendre, elle poussa un cri de plaisir et de surprise, moi je ne me contrôlais plus, j’étais très

excité par sa question et la vue de son beaux corps aux formes succulentes, j’étais chauffé à blanc,

. La femme criait et

gémissait sous mes coups de boutoir, en balbutiant des mots inaudibles, auxquels je ne faisais guère

attention, je sentais mon sexe se mouiller de son liquide chaud et gluant qui coulait de son vagin, ça

me donnait, encore plus envie de la voir si chaude et qui criait sous moi, je la tirais vers moi en la

tenant, à deux mains, sous les fesses, pour mieux la pénétrer et aller plus loin dans son ventre chaud.

Elle n’arrêtait pas de me dire, vas-y, baise ta salope ! Ne t’arrête pas, stp, continue !!! Ohh !

ouiii !! Tu me tues avec ton mandrin! Ahhhhh ! Ouiiiii !!! Et moi je ne me faisais pas prier, je

continuais à la besogner, à prendre mon plaisir. Maintenant, je sens le plaisir que je donne à ma

partenaire à chaque coup comme autant de souffrance infligée à cette femme, dans le plus profond

de ses entrailles. Emporté par cette fougue et cette sauvagerie, je défonce d’autant plus violemment la femme qui

s’agrippe à ma nuque et que j’entends à peine crier à travers mes coups de boutoir. Je la baisais,

comme ça, en missionnaire, sans même la retourner pour la prendre en levrette, un bon moment

de vas et viens dans son fourreau et j’éclatais en elle, inondant son ventre de mon sperme chaud, je

n’ai retiré mon sexe de son ventre qu’après avoir tout vidé en elle ! Woawwww!! Un sacré coup cette femme. Nous retournons à la boite, nous avons commandé à manger et à boire, je voulais payer mais elle refusa, elle me dit, c’est ma façon de te remercier et si tu restes avec moi, il ne te manquera rien, je n’aurais besoin de toi que la nuit, pour le reste c’est moi qui prévoirais à tout, tu seras nourri et blanchi. De retour à la maison, après une belle soirée passé e à danser et discuter; dans le hall, j’enlève ma jaquette et mes chaussures, j’ai remarqué les vêtements d’hommes, je lui ai fais la remarque, elle m’avoué qu’elle est marié et que son homme est allé voir sa copine et qu’il ne rentre pas pour la nuit, j’ai dis, ok, pas de soucis, alors elle passe devant moi et ouvre une porte, une lampe de chevet était allumé, elle me montre ses deux filles qui dormaient, deux adorables petits anges, rousses comme leur mère, d’à peine 4 à 8 ans. Comme on était un peu fatigué et que nous avions des choses à faire, il devait être 2h30 ou 3h du matin, on se déshabille vite et on saute sur le lit, nous avions fait l’amour comme des sauvages jusqu’à ne plus pouvoir et nous sombrons dans le sommeil. Des coups de gravas sur la vitre de la fenêtre me font réveiller, étonnais que j’étais, elle me dit, c’est mon mari, elle mit une robe de chambre et alla lui ouvrir, je ne savais quoi faire, j’ai entendu leurs discussion, une vois très grave d’homme parvenait à mes oreilles, je me suis dis, avec une voix pareille, il doit être un géant, mon Dieu que vais-je faire ? Puis j’ai entendu la femme lui dire, ne rentre pas dans la chambre à coucher, j’ai un invité. Ah ! Bon ? lui répondit-il et qu’est-ce, stp ? Ça ne te regarde pas, c’est un ami et puis où étais-tu ? L’homme ne répondit pas tout de suite, après quelques minutes, il lui dit, je veux juste voir la gueule de celui qui dort dans mon lit, la femme lui dit, ok ! vas-y. la porte s’ouvre à peine et je vois un visage d’homme entre les battants de la porte, puis elle disparait. La femme revient dans la chambre, moi, toujours allongé, mes bras derrière ma nuque, elle vient et s’assoit au bord du lit, on entend le mari qui devait faire les cent pas dans le couloir dire, « huit ans de mariage et je trouve un homme couché dans mon lit et à ma place !!! »

J’ai demandé à la femme d’aller voir son mari et de m’apporter ma jaquette et mes chaussures ce qu’elle fit, je me suis levé et habillé, j’ai demandé à la femme d’aller dans le couloir et de me dire s’il s’est éloigné de la porte pour pouvoir sortir sans le croiser, une fois hors de la chambre, elle me fit signe de sortir, je sors et l’homme sort, juste, à cet instant de la salle de bain, son pantalon sur le bras, en chemise qui lui arrive aux genoux et des bretelles qui tenaient ses chaussettes à ses mollets, comme je ne savais quoi faire, je lui ai lancé un Hallo ! (salut) Il me répondit du même ton, Hallo ! Je sors sans trop me presser, la femme me suit et me demanda si elle peut m’accompagner en voiture, j’ai dis, non, merci et je quitte la maison avec un grand soulagement, ouf !

Je suis sain et sauf.

Le soir du même jour, aux environs de 19h30 ? Je me suis rendu comme d’habitude à l’Hotel-Neptun, j’entre par la porte du Hall de réception et à ma grande surprise, je trouve la femme rousse qui m’attendait, assise sur un fauteuil, en compagnie d’autres femmes ; en me voyant, elle se leva et vint vers moi, toute contente de me voir là, on échange des bises d’usage et on va s’asseoir, seuls à l’écart, sur un canapé vide.

— Qu’est-ce qui c’est passé avec ton mari, après mon départ ?

— Rien, il a dormi jusqu’à dix heures, puis il est sorti sans rien me dire

— Vraiment ?

— Tu sais ! Il est revenu quelques minutes plus tard avec un bouquet de roses, me disant qu’il est désolé d’avoir été avec une autre et que c’est moi sa femme et qu’il m’aime.

Elle me proposa de descendre en bas, à la discothèque, j’ai hésité un peu, vu ma mésaventure de ce matin, je n’aimerais pas me retrouver dans la même situation mais j’ai dis, ok, on y va, sans trop savoir pourquoi. On entre y cette fois-ci par la porte de l’hôtel qui donne directement au sous-sol la femme connait celui qui s’occupe des entrées à la discothèque, Wolfgang est son prénom donc nous voilà de nouveau au Dadeldo, la salle n’était pas encore pleine, j’ai compté à peine une vingtaine de personnes, entre filles et garçons mais au fur et mesure que le temps passe, la discothèque devenait exigüe ; sur la piste de danse, les corps des danseurs se touchaient presque. On s’était installés à une table pour deux personnes, le serveur-videur, un grand gaillard de presque deux mètres, est venu prendre nos commandes, après quelques minutes il revient avec un seau de glace, des verres et une bouteille de Sekt (champagne), il débouche la bouteille et il sert en premier la femme, puis moi, juste le temps de vider nos verres et il est de retour avec deux plats, nous avions diné et but quelques verres, après quoi, je l’ai invité à danser (darf ich biten ?) ai-je dis à la femme, ja, gerne (oui, volontiers) dit-elle.

Sur la piste de danse, je la sentais collée à moi, comme si nos corps ne font qu’un, elle jouait de ses cuisses entre mes miennes, son bas-ventre collé au mien, tout en me serrant d’une main par les fesses contre elle, tout son corps était en feu, comme un volcan en ébullition, j’étais tellement excité que j’ai mis ma main à ses fesses et je l’ai serré à mon tour contre moi, nous voilà soudés l’un à l’autre, si ce n’était la musique qui s’est arrêtée pour une brève pause, on aurait jouit en pleine piste. Retour à notre table, je voulais aller m’acheter des cigarettes, elle me demanda de me rasseoir, c’était elle qui m’avait acheté les cigarettes et de sa poche, mêmes nos consommations, elle ne voulait pas que je les paye, de cette façon, elle voulait me garder pour elle et tout payer elle-même, comme si j’étais un objet de plaisir et c’est ce qu’elle désirait, m’avoir à sa volonté, rien que pour son plaisir. Fin.

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