Je travaille dans une petite gare de l’ouest de la France et, avec mon collègue, nous avons vécu récemment une expérience.

J’ai une quarantaine d’années, un physique moyen. Actuellement divorcé, je n’ai pas vraiment de relation suivie ni récente. Mon collègue a la cinquantaine bien tassée ; célibataire, vieux garçon bedonnant, bon vivant avec un physique un peu ingrat il est vrai…

Nous sommes tous les 2 de service du matin, et il faut bien avouer que la charge de travail est plutôt tranquille. Depuis 2/3 ans, le courrier de la gare nous est apporté par une factrice à laquelle je n’ai guère prêté d’attention jusqu’à présent. Un jour, après son passage, mon collègue me dit : ? j’y mettrai bien ma bite au cul à cette ptiote.. ?

A dire vrai, cette ? ptiote ? avait au bas mot 47/48 ans et était loin d’être une bombe ! J’avoue que son remarque m’a troublé et je lui ai répondu : ? ben dans ce cas j’en profiterai pour me faire sucer ! ? Pendant les 2 heures qui restaient, je n’arrivais pas à chasser certaines images de mon esprit. Le lendemain, c’est d’un autre oeil que je regardais la factrice… Elle n’était vraiment pas jolie; et même plutôt laide avec sa tête de cochon. Elle devait faire dans les 1m70, assez volumineuse avec un double menton, et sûrement un paquet de bourrelets ; de plus elle avait de grosses lunettes et une coupe de cheveux qui étaient loin d’être sexy.

Néanmoins, on pouvait imaginer des seins lourds et proéminents. Elle était affable bien qu’elle n’ait sûrement pas inventé l’eau chaude. Elle m’excitait et je le dis à mon collègue en lui proposant de lui offrir le café le lendemain.

10h30 le mercredi, sa tournée la porte vers nous. Mon collègue lui propose d’entrer se réchauffer devant un café. ? C’est pas de refus ? dit elle.

Nous parlons de tout et de rien; je lui demande si cette tournée n’est pas trop dure; elle me répond que si, et que c’est très agréable de s’asseoir un peu avec deux ? bons gaillards sympas? (c’est son expression).

Ses yeux me dévisagent et mon sang ne fait qu’un tour. Je lui pose une main sur l’épaule qu’elle s’empresse de recouvrir de la sienne… Mon collègue est à côté de nous et observe le manège. Ma main glisse vers ses gros seins et j’ai comme l’impression que c’est elle qui la tire. Non je ne rêve pas. Je me mets immédiatement à bander ferme. Une fois que mes doigts se sont fermés sur son sein, elle pousse un gros soupir ; ses gros yeux de cockers dévisagent maintenant mon collègue. Il est rouge d’excitation et se frotte la bosse qui déforme son pantalon. Ma deuxième main va emprisonner son autre sein et me voilà à la peloter à travers son pull. Ses gros nichons tout mous me font perdre la raison ; je les malaxe de plus en plus fort avant de soulever d’un coup son pull. Mon collègue s’approche et glissant ses grosses mains dans les balconnets fait gicler les nichons de la postière hors de leur cage.

? Oh putain ? ne peut il s’empêcher de lâcher en empoignant ses nichons et en les malaxant tel le boulanger son pétrin. Tout cela n’est pas très romantique, mais elle a l’air d’apprécier ce traitement. Mon coeur bat la chamade et ma queue me fait mal tellement je bande. Mon comparse ayant perdu toute retenue a ouvert sa braguette pour en extraire un sexe volumineux, au gland tout violacé.

? Tiens ma grande, ton casse-croûte ! ? beugle t’il en le dirigeant vers sa bouche.

Je suis toujours debout derrière elle, essayant de ne pas perdre pied devant cette débauche qui s’annonce. La bite mon collègue sent très fort mais cela ne semble pas déranger cette cochonne qui l’embouche en grognant de plaisir. Elle se met à le sucer comme une folle, bien aidée par la main qu’il a passé derrière sa tête. De temps en temps elle laisse échapper la queue qui ressort alors toute baveuse et pleine de salive. Je suis dans un état second, mais j’ai quand même sorti mon sexe pour me branler, lentement d’abord puis perdant toute pudeur de plus en plus fort. Complètement déchaînée, la grosse factrice tourne de temps en temps sa tête pour donner des coups de langue sur mon gland. Ses gros nichons pendants sur son ventre me rendent fou. Mon pote la traite de grosse vache et de truie ce qui augmente encore le côté sordide mais terriblement excitant de la situation.

Bien décidé apparemment à en profiter plus avant, il l’attrape par un bras et l’oblige à se lever. Ses gros seins et ses bourrelets ballottent pendant qu’il l’entraîne vers la table. Sa hideur ne fait que renforcer l’excitation de mon compère, mais également la mienne…

Sans façons, il débarrasse la table et lui dit : ? Allez couche toi là, ma cochonne, qu’on te montre ce que ? 2 gaillards ? savent faire. Il lui a descendu le pantalon puis la culotte et elle s’est allongée sur le dos. Il a sorti 2 capotes – à croire qu’il n’en était pas à son coup d’essai, toujours se méfier des apparences – et m’en a tendu une.

Je me suis agenouillé entre ses grosses cuisses et les ai écartées. Sa chatte était poilue, énorme et luisante. Question odeur elle se posait là aussi ! Elle sentait très fort et cela a achevé de me faire chavirer. Je lui ai littéralement ? bouffé ? la moule, me repaissant de ses effluves négligées ; ma langue n’hésitait pas non plus à s’aventurer sur son anus tout aussi odorant. Mon collègue se faisait sucer, la tête en arrière, appréciant à sa juste valeur la bouche goulue et gourmande.

? On va ptet passer aux choses sérieuses ? grogna t’il au bout d’un moment. Il se plaça entre ses cuisses et poussa de toutes ses forces. Elle poussa un grand feulement.

Il se mit à la bourrer avec acharnement, à grands coups de reins violents. Ses gros nichons étaient secoués dans tous les sens. Elle ahanait et lui soufflait comme un boeuf. Pour ma part je voulais me faire sucer, mais secouée comme elle était, j’ai dut me contenter de me branler sur son visage en malaxant ses gros seins.

? Allez, le ptit maintenant ? grogna mon comparse. Avec une facilité déconcertante, il la retourna comme une crêpe, l’obligeant à prendre appui sur le rebord de la table. Ses gros nichons pendaient telles des outres vides. D’une main il lui écarta les fesses pendant que de l’autre il amenait sa queue vers son trou du cul qu’il perfora d’une poussée rageuse. De nouveau, elle poussa un gros râle rauque en même temps qu’elle commençait à donner de grands coups pour aller à la rencontre de cette bite fichée dans son derrière. Ce n’était sûrement pas la première fois qu’elle se faisait prendre par là… Mon collègue était déchaîné ; il avait perdu toute retenue (si tant est qu’il en ai encore eu). ? Oh Bon Dieu, j’lui défonce le cul à la ? facteuse ? ; t’aime ça te faire enculer, hein ma cochonne ; t’en prends plein ton gros cul là… ?. Le tableau était hallucinant : ses seins ballottaient obscènement d’avant en arrière. Elle bramait et hoquetait. Je lui ai présenté ma queue devant la bouche ; elle m’a sucé tant bien que mal, secouée qu’elle était par les coups de boutoir. J’étais trop excité pour m’en contenter et je me suis branlé en pressant ses gros seins. De temps en temps je sentais sa main sur mes couilles, puis un de ses doigts venir titiller mon anus. La rougeur de son visage et les grimaces qui accompagnaient chaque coup de rein de mon collègue la faisaient ressembler encore plus à un cochon.

D’un coup, il a poussé un grand cri et s’est cambré ; à le voir il a dut prendre un pied d’enfer. Je n’ai, hélas, pu me retenir et j’ai éjaculé. Comme elle bougeait la tête, les giclées sont parties sur ses joues et dans ses cheveux.

La tension est retombée immédiatement et nous nous sommes sentis ? bêtes ? tous les 3…

Après s’être rhabillée, la factrice est partie, sans un mot et cela fait 2 semaines qu’elle est remplacée par un homme. La reverrons-nous un jour ? J’en doute…

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