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La Gestionnaire – Chapitre 23




La lumière aveuglante de l’ampoule me fait cligner des yeux. La porte vient de claquer contre le mur. J’ai droit à un réveil en sursaut, brutal.

— Debout là-dedans ! Vite à la douche.

C’est Virginie. Elle me détache les mains et m’ôte mes quelques vêtements.

— Va te laver cochonne, comment as-tu pu rester sale toute la nuit, tu es vraiment une salope…

— Quelle heure est-il ?

— Six heures…

— C’est trop tôt…

Elle me pousse sous la douche. L’eau jaillit. Elle est froide. Je pousse un cri !

— C’est froid…

— C’est normal ! Maître FX m’a ordonné de te laver à l’eau froide !

Elle me frictionne et me lave sans aucun ménagement. Quelques minutes plus tard, je suis tirée en dehors du bac. Une serviette rêche me sèche. Virginie me ramène dans la chambre.

— Maintenant tu vas faire ta gymnastique.

Elle m’énonce la liste des mouvements que je dois faire tous les matins sous son regard. Elle compte les mouvements. Au bout d’un quart d’heure, je suis en nage.

— Retour à la douche et vite…

Mêmes conditions : douche froide, étrillage plutôt qu’essuyage. Retour dans la chambre. Je me tiens au milieu de la pièce. Virginie ouvre l’armoire. Elle sort rapidement des sous-vêtements : un soutien-gorge et un string, des bas. D’un tiroir, elle extrait des objets.

— Mets-toi à genoux sur le tapis. La tête par terre, les bras de chaque côté de la tête, vite nous allons être en retard.

Je sens son doigt qui m’étale un gel froid sur l’anus.

— Que me fais-tu ?

Elle ne répond pas et m’enfonce un plug dans le cul. Au fond, il se cale entre mes fesses. Puis mon sexe s’ouvre sous la poussée d’un objet. C’est un gode annelé. Chaque passage d’une bague de diamètre supérieur me fait mal.

— Doucement, enfonce doucement…

Virginie est sadique. A peine ai-je fini ma remarque, qu’elle enfonce d’un seul coup l’olisbos au fond de mon ventre. Il bute contre le plug dans mon cul. J’ai mal.

— Debout !

Elle me tend le string. Je l’enfile. Le soutien-gorge pend au bout de son bras. Je le passe. Je constate que les bonnets sont percés. Mes bouts dépassent et pointent. Virginie ne se gêne pas pour me pincer les tétons. Je gémis en me tortillant pour éviter la torture.

— Sois sage !

Je dois enfiler des bas résille. Je me regarde dans la psyché posée dans le coin de la chambre. J’ai l’air d’une pute. J’ai honte.

— Je ne vais pas aller travailler ainsi accoutrée…

— Si bien sûr. Maître FX le veut…

Elle me tend une jupe. Ouf ! Elle est longue, mince, elle est fendue, et assez haut sur la cuisse. Des chaussures hautes complètent le bas de mon habillement. Une veste pour le haut. Un boutonnage double au niveau de la taille et du plexus. Si je me penche, mon interlocuteur en face de moi va pouvoir se rincer l’il.

— Je ne peux pas rester ainsi vêtue…

— Maître FX le veut. Tu le feras…

— Mais de quoi vais-je avoir l’air ?

— De ce que tu es, une petite pute…

Elle me pose un nouveau collier. Il est noir en cuir, rond et muni d’une fermeture en or. La médaille gravée du numéro 55 est fixée dessus.

— Viens déjeuner !

Je la suis dans le corridor et l’escalier. Dans la cuisine, le petit-déjeuner est prêt.

— Prépare-toi ce que tu veux !

Je choisis un thé vert et deux tartines grillées. J’avale le tout. J’ai faim. Virginie prend un café noir. Dès que nous avons terminé nous allons dans le salon. Maître FX lit son journal dans son fauteuil.

— A la bonne heure vous voilà enfin prête, chienne, merci Virginie de me l’avoir préparée.

Il se lève et m’inspecte. Il déboutonne ma veste et me pince cruellement les deux pointes de mes seins libres à travers les trous des bonnets. Je serre les lèvres pour ne pas crier. Il sourit puis glisse sa main sous ma jupe par la fente. Il me touche immédiatement le sexe au travers de mon string. Puis sa main force le passage entre mes cuisses et me tâte l’anus.

— Je vois que Virginie t’a bien garnie. Tu resteras ainsi toute la journée. Je te libérerai moi-même ce soir, file, tu vas être en retard…

— Merci Maître…

— Tu n’oublies rien, chienne…

— Quoi donc Maître ?

— Avant de me quitter tu dois m’honorer…

— Que dois-je faire ?

— A genoux et suce-moi !

Je m’avance et m’agenouille devant lui. Il écarte les pans de son peignoir. Son sexe est au repos entre ses cuisses velues. Maître FX me prend les mains et les dépose sur sa queue. Je la caresse. Il me prend par la nuque et je me retrouve avec sa bite à l’entrée de ma bouche. Je ne fais pas d’histoire. Je l’enfourne profondément.

— Je suce bien, Maître ?

— Je te l’ai déjà dit à plusieurs reprises.

Je tâche de me surpasser. La queue, pourtant énorme, de Maître FX entre presque entièrement dans ma bouche. Il me tient par les cheveux et me dit:

— Vas-y, chienne, avale ma bite, suce mes couilles, cela te plaît une bonne grosse queue à sucer à près le petit-déjeuner ?

Je suis comme folle. Les propos de Maître FX m’excitent. De ses mains il m’empaume les seins. Je le laisse me tripoter tout en continuant de le pomper. Il continue de m’exciter en me parlant avec des mots orduriers :

— Tu en as plein la bouche de ma grosse bite, moi j’en ai plein les mains de tes nichons ! Ils sont gros. Ton ancien Maître devait souvent se branler entre eux, non ? C’est à force de te les faire peloter qu’ils sont si gros ? Tu es une drôle de salope !

La situation est comique. Je dois partir au travail et je suce un type, mon Maître à genoux dans le salon. En me faisant peloter les seins. Pourtant je n’ai pas envie que cela s’arrête, au contraire. Maître FX se cambre :

— Je vais te jouir dans la bouche, salope ! Avale tout !

Il me maintient la tête et éjacule dans ma bouche une énorme quantité de foutre. J’ai un haut-le-cur et du sperme coule de mes lèvres. Je m’oblige à nettoyer consciencieusement le chibre. Je le rends à son propriétaire, propre comme un sou neuf.

— File vite tu vas être en retard…

Dans la cour, ma voiture m’attend. Monsieur Georges me tient la portière ouverte et me souhaite une bonne journée. Je démarre en trombe. Je suis en retard.

Je suis au travail et je t’envoie mon mail. Je t’aime mon Maître préféré. Je fais tout pour que tu sois fier de moi. A ton retour, je serai la meilleure des esclaves, pour toi. A bientôt.

Charlotte

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