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Après un bon resto – Chapitre 1




Nous sommes, Eliane et moi Hémelric, épicurien et mélangiste depuis plusieurs années.

Au fur et à mesure de nos rencontres, nous nous demandions si nous ne devions pas essayer de rechercher une tierce personne (homme ou femme) pour un échange à trois. Il est vrai qu’il est bien plus facile de trouver un homme qu’une femme, d’où l’idée de commencer par un homme, puisque que notre boîte est souvent sollicitée par des hommes seuls.

Résolution prise, je me mets à la prospection de la personne idéale, qui sera très avenante, correcte et respectera nos desideratas.

Après plusieurs jours de recherche et une sélection minutieuse, 3 hommes restent en liste, qui nous paraissent aussi bien les uns que les autres (tant par leur physique que par leur gentillesse et leur Hémelricience), donc notre choix se porte sur celui qui n’habite pas trop loin de chez nous (fallait bien faire un choix !).

A partir de ce moment, débute un échange de mails entre cet homme (nous l’appellerons Jean pour vous narrer notre histoire) et moi, Hémelric afin de connaître ses envies, ses souhaits mais surtout de lui faire découvrir le scénario que j’avais imaginé et qui était un fantasme pour Eliane. Je lui précisai que nous n’envisagions pas de pénétration hors couple.

Notre discussion a permis de se rendre compte que le scénario était réalisable et que pour lui, la pénétration n’était pas obligatoire, mais qu’il mettait un point d’honneur à donner du plaisir à sa partenaire. Jean semblait nous convenir en tous points.

De plus, patient, Jean ne nous poussa pas à précipiter la date de notre rencontre. Il nous a vraiment laissé le temps de prendre la décision.

Il y a quelques jours, je me décide de lui téléphoner pour me mettre d’accord avec lui sur une date qui conviendra à tout le monde. Je dois dire que, même au téléphone, mon interlocuteur a été d’une extrême gentillesse et correction, la soirée ne pouvait que réussir dès lors.

Un dimanche d’août, je dis à Eliane de se faire toute belle, car nous étions de sortie ce soir là.

Elle eut un regard étonné et complice (je pense qu’elle avait compris) et elle prit un soin tout particulier pour choisir sa tenue et pour se préparer. Cela dura un certain temps, pour ne pas dire un temps certain, mais le résultat, quel régal.

Vous la décrire, humm pas facile, j’essaye : Comme j’avais subtilement «orienté » le choix de sa tenue vestimentaire, en lui suggérant quelque chose d’estival (vu le temps exceptionnel « je sais, il on été trop rare ») qui ne soit pas un obstacle à la «découverte » de ses charmes …. En la regardant je la trouvais sublime, à la fois classe et très sexy.

Sa robe d’été, boutonnée sur le devant mettait son bronzage encore plus en valeur. Maquillage discret, collier ras du cou, bagues et bracelets en or donnaient une touche de raffinement. Quelques boutons du haut et du bas de la robe étaient ouverts et laissaient apercevoir la plastique de son corps, terriblement sexy. Elle avait également enfilé ses chaussures noires à fines lanières de cuir et talons aiguilles qui accentuent encore plus le galbe de ses mollets.

Cette soirée s’annonçait sous les meilleurs auspices.

J’avais choisi un bon restaurant. Assise face à moi, devant un cocktail, je la voyais plus nerveuse que d’habitude, elle devait sûrement épier les différentes tables pour voir si cet inconnu était là.

Je devinais ses interrogations : m’étant absenté, allait-il profiter de cet instant pour l’aborder ? Se manifesterait-il, alors qu’elle traverserait la salle ?

Tout au long du repas, j’ai senti ce trouble l’envahir, doux mélange d’anxiété et d’excitation…

A la fin de ce dîner à l’atmosphère quelque peu « électrique », j’appelai le serveur et demandai l’addition. A cet instant elle dut se dire qu’elle avait certainement mal interprété mes intentions.

Une fois dehors, je lui proposai de faire une petite ballade dans le parc boisé et discret assez proche du restaurant, surtout que la température était encore « chaude ». Elle acquiesça.

Dans la voiture elle s’installa confortablement, sans rien dire, et je roulais calmement en direction du parc où nous avions rendez-vous.

Arrivés au parc, nous descendîmes de la voiture, nous commençons notre promenade, enlacés. Au détour d’une allée, je vis Jean devant nous. Feignant la surprise, j’explique à ma femme que Jean était une ancienne connaissance, je fis les présentations et directement je vis dans les yeux de Eliane une lueur, qui devait être une forme d’angoisse mêlée d’excitation. Je proposai à Jean de poursuivre notre promenade ensemble, ce qu’il accepta bien volontiers, naturellement.

C’était un dimanche, mais vu l’heure tardive, le parc était presque désert

Nous marchions lentement côte à côte, elle au milieu et moi me serrant à elle, l’obligeant ainsi à serrer Jean de près.

Ils se frôlaient régulièrement et au détour d’un regard je vis que leurs mains se mêlaient. Jean jouait son rôle à merveille ;il prenait tout son temps. Par quelques gestes furtifs, il lui fit la cour.

Tout en marchant, sa main se mit à caresser une épaule, la taille, le creux de son dos sans discontinuer et sans qu’elle ne marque une certaine contrariété, bien au contraire. elle appréciait et était heureuse qu’il fût aussi doux et prévenant.

Rassuré et voyant leur petit jeu s’engager, je m’éloignai d’eux. sous prétexte d’un besoin urgent

Bien m’en a pris, dès ce moment, l’un comme l’autre, ils furent plus entreprenants.

Ils échangèrent leurs premiers baisers, les caresses furent plus audacieuses.

Je m’approchai d’eux discrètement et quand j’arrivai à leur hauteur je m’aperçus que Eliane avait sa main dans le pantalon de Jean. Je me mis derrière elle et commençai à lui prodiguer des doux baisers dans le cou et je peux vous dire qu’elle était dans un tel état d’excitation qu’il devait approcher de l’orgasme, je la connais bien ma Eliane depuis ces années.

Les mains de Jean passaient aussi régulièrement sur les fesses qu’il palpait à travers le tissu, puis elles disparurent sous la robe pour caresser son entrejambe ainsi remonter vers son pubis. Elle ondulait, elle était au bord de l’extase contre lui, ses mains agrippées autour de sa nuque pour ne pas défaillir. Jean accentua le mouvement de son doigt.

A ce moment et en plein parc, au risque de se faire prendre, elle sortit le pénis de Jean et se mit à lui donner des baisers sur le gland, (sûrement en remerciement du bonheur qu’elle recevait) puis elle le prit dans la bouche. Je fus étonné mais ravis de voir cette scène se dérouler sous mes yeux, Eliane était heureuse, sereine, mais surtout très excitée.

J’étais toujours derrière elle, comme elle était penchée vers l’avant, sa robe était largement ouverte je passai ma main dans son corsage, les tétons étaient durs, j’aime lui caresser ses seins, ils sont soyeux, tendres mais fermes

Elle écarta ses jambes au maximum, je compris qu’elle réclamait de ma part une caresse plus intime. Je me mis à lui caresser les jambes de haut en bas et de bas en haut, mais ceci sans précipitation, afin de faire encore monter son désir. Elle esquissa quelques mouvements des reins afin de me montrer qu’il était temps de me diriger vers son petit minou. Je lui caressai l’entrejambe et passai légèrement sur son sexe. Son string était mouillé (de plaisir), je l’écartai doucement et plaçai mon doigt (pouce) sur son clitoris en le frottant légèrement

et je mis mon majeur dans sa douce et tendre chatte ; je ne vous dis pas quelle chaleur ! La réaction ne se fit pas attendre elle eut un orgasme immédiat, tout son corps n’était qu’électricité. Je pense qu’elle a vivement apprécié ce moment.

A son tour, Jean avait plongé ses mains dans son corsage et malaxait ses seins à travers la fine lingerie.

J’apercevais par instant un téton tout érigé. Lui, excité par la situation amplifiait ses coups de reins.

Ce n’était pas l’endroit, ni le lieu pour aller jusqu’au bout. Elle se redressa, me regarda dans les yeux, elle avait des yeux brillants, pleins d’expression, on aurait dit que ses yeux riaient, je n’avais jamais vu Eliane comme ça.

Elle m’embrassa très tendrement, tout en me caressant l’entrejambe et je fus heureux de la voir descendre langoureusement le fermoir de mon pantalon car mon sexe n’attendait qu’une chose, c’était de sortir de sa prison.

Quel délice, quelle douceur cette main, elle le caressa de haut en bas en une légère masturbation et de l’autre main elle caressa les bourses. C’était délicieux. Elle le prit en bouche, voulant certainement honorer par une douce caresse les deux sexes qui lui étaient destinés en ce dimanche d’été.

Jean était à son tour derrière Eliane, je me rendis compte qu’elle écartait les jambes au maximum

Nous n’avions pas interrompu le ballet de nos mains.

Jean lui écarta légèrement le string et lui mit deux doigts sans difficulté entre les lèvres trempées. Des râles sortaient de sa bouche, elle appréciait et lui, enhardi par ses râles, continua de la fouiller profondément.

Eliane soulevait légèrement son bassin et poussait son pubis en avant.

Tandis que d’une main, notre homme continuait à malaxer ses cuisses, de l’autre il accéléra le mouvement de « va et vient » avec les doigts.

Elle l’encourageait par des petits « oui ouiiii » ou « encore ou « plus fort, plus vite », elle était déchaînée, il accélérait ou s’arrêtait, la fouillant à nouveau, afin de faire durer le plaisir.

Elle se tortilla sur le sexe mâle, qui devait être chaud et plein d’envie.

Dès ce moment, la situation nous a complètement échappé (je vous rappelle que nous n’avons jamais eu de rapport hors couple). Ma femme n’arrêtant pas de frotter ses fesses sur le sexe de Jean, celui-ci l’interpréta comme une invitation. Quant à moi, mon regard étais rivé uniquement sur la plastique de Eliane et les expressions de son plaisir et de sa jouissance.

Donc, avec douceur, il s’est positionné entre ses jambes, il a présenté son sexe contre sa toison pubienne. Une fois le gland introduit, il s’est immobilisé, doutant de la réaction.

Rien ne vint, il poursuivit sa pénétration en allant de plus en plus profondément.

Je remarquai que Eliane était en transe, des mots incompréhensibles sortaient de sa bouche elle était de nouveau près de l’orgasme. Et on ne sait pour quelle raison (et encore aujourd’hui) elle s’est rendue compte qu’un sexe la remplissait et cela ne s’avait pas être moi puisqu’elle me tenait toujours dans sa bouche. Elle arrêta tout geste, l’intensité était fortement retombée, elle me regarda et chercha dans mon regard, un certain réconfort, un moment de douceur.

Je lis dans ses yeux son désarroi, mais je vis toujours dans ses yeux, cette étincelle qui brillait comme au début de la promenade. Je lui fis un clin d’oil avec un large sourire et immédiatement son visage rayonnait de nouveau.

Eliane se remit à remuer avec sensualité et Jean comprit, lui aussi, qu’il pouvait reprendre sa pénétration dans un mouvement de va et vient, la pilonnant de plus en plus fort.

L’excitation était à son paroxysme, mais nous ne devions pas oublier que nous étions dans un parc.

Et puisque l’entrevue avec Jean avait « légèrement » dévié, je proposai de finir la soirée chez nous et je ne sais pourquoi, j’eu droit de la part de Eliane à un ouiiiiiiiiii de contentement.

Nous nous rhabillâmes pour rejoindre nos voitures.

Jean me prit en aparté pour m’exprimer son désarroi et son inquiétude. Il nous précisa que si nous le désirions nous pouvions terminer la soirée en amoureux, Eliane et moi. J’ai apprécié cette attitude emplie de sincérité.

Donc, j’ai posé la question à Eliane :

Désires-tu que l’on termine la soirée à deux ?

Sa réponse fut : Et toi ?

Je lui répondis : Bof, nous avons déjà passé une bonne soirée et passé de bons moments n’est- ce pas ?

Elle nous répondit a tous les deux : me faite pas languir, j’ai envie de vous avoir tous les deux et si Hémelric est toujours d’accord Jean, j’ai envie que tu me lamines la chatte et que tu me fasses jouir a en perdre la raison. Vous m’avez déjà mis ma chatte en feu, à vous de l’éteindre et pas question de me laisser dans un tel état.

Des paroles que je n’ai pas souvent entendues dans sa bouche.

Nous sommes repartis chez nous, avec ma voiture en promettant à Jean de le ramener une fois la soirée terminée.

A la maison, nous avons bu du champagne, pour fêter notre audace et sceller notre entente.

Le reste de la soirée fut tout aussi merveilleux, chacun de nous a pris et donné du plaisir.

Pour une première, ce fut vraiment génial surtout parce que nous sommes tombés sur quelqu’un d’exceptionnel, délicat et tendre. Il se reconnaîtra et nous lui disons merci JEAN.

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