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La bonne fée Morgane est une vraie salope ! – Chapitre 1




Il était une fois, dans une contrée fort lointaine… enfin, lointaine et inaccessible pour le commun des mortels que nous sommes… un beau et valeureux prince charmant qui se préparait à convoler en juste noce avec sa très belle princesse, Éléonore BUISSET DE BOMPANA, la plus jeune fille du célèbre capitaine d’industrie du même nom.

Éléonore était la cadette de son futur époux de presque huit ans, mais elle était folle amoureuse de lui depuis qu’ils s’étaient rencontrés au fameux bal des débutantes de lhôtel de CRILLON. Quant à lui, il ne s’était pas fait prier, lorsqu’elle lui proposa le mariage, pour répondre "oui", avec la perspective de rentrer dans une des plus grandes familles de la haute-société française… et il s’était d’ailleurs très vite fait adopter.

Il fallait dire que notre beau et jeune prince charmant avait tout pour plaire à Éléonore, mais également à sa future belle-famille. Jean-Édouard DE BRETUIDE, puisque c’est comme ça qu’il se nommait, avait une gueule d’ange, un physique fort avantageux et tout lui réussissait depuis sa naissance ! A seulement vingt-neuf ans, il était déjà Directeur-Général adjoint d’une des plus grandes banques d’affaires françaises, roulait en PORSCHE 918 Spyder et possédait, parmi tant d’autres choses, deux montres ROLEX… une à chaque poignet ! En quelques sortes, il avait déjà réussi doublement sa vie, le jeune homme !

Seule toute petite ombre à ce tableau idyllique, la particule des DE BRETUIDE n’avait pas traversée les siècles, puisque Jean-Édouard l’avait fait mettre à son nom de famille, lui-même déjà d’emprunt, il n’y a que quelques années en arrière… pour essayer de cacher ses véritables origines et se donner une généalogie qu’il n’avait pas !

Il faut dire que, pour appartenir à l’élite de la société française, le fait d’avoir un père simple fonctionnaire territorial et une mère femme de ménage qui nettoie les chiottes de l’aéroport Charles DE GAULLE, n’aidait pas vraiment… Mais, de cela… personne de son entourage et surtout pas sa belle-famille, n’en avait le moindre soupçon… la "bonne" fée Morgane ayant pris soin de tout effacer et de créer pour Jean-Édouard des parents explorateurs multimillionnaires et hédonistes, qui étaient morts sur les pentes du Piton de la Fournaise, léguant de fait toute leur fortune à leur unique fils !

Bien sûr, il y avait bien eu le cousin Hubert qui, soucieux de voir arriver un jeune homme aux dents longues et à lambition débordante dans la famille, était aller gratter dans de vieilles archives et avait découvert l’usurpation d’identité, le couple BRETUIDE n’ayant jamais eu de descendance… monsieur étant plus stérile qu’un eunuque. Seulement, encore une fois, la "bonne" fée Morgane avait fait le nécessaire pour que le cousin Hubert ne puisse jamais révéler le secret…

La "bonne" fée Morgane… Ou plutôt tante Morgane, la soi-disant jeune sur de son défunt père… voilà comment Jean-Édouard présentait celle qui, alors qu’il venait de naitre, avait décidé qu’il serait "l’élu" et qu’elle lui donnerait une vie complètement différente de celle que son milieu social lui prédestinait… quitte à user de tous ses pouvoirs magiques !

Oui ! Tante Morgane avait des pouvoirs étranges et puissants, qu’elle utilisait depuis des siècles et des siècles, avant tout pour son plaisir… ses plaisirs ! Celui par exemple de contrôler un homme, de le façonner, de le formater tel qu’elle le désirait, puis de s’en servir comme objet de tous ses propres désirs et notamment ceux sexuels…

Ses désirs de jouissance, ses envies sexuelles étaient énormes ! Elle aimait sentir des mains sur son corps après s’être fait arracher ses vêtements, de belles grosses queues s’introduire en elle et lui remplir tous les orifices, la pilonner profondément jusqu’à l’extase, jusqu’à l’évanouissement… Se faire prendre farouchement, bestialement par plusieurs hommes !

Pour rassasier son appétit orgiaque, mais aussi combler ses goûts de luxe, il fallait à la "bonne" fée Morgane sans-cesse trouver de nouveaux jeunes protégés, les faire intégrer la haute-société avec l’aide de ses pouvoirs magiques… et profiter d’être très proche d’eux pour s’introduire elle-aussi dans ce monde fermé, dans lequel l’apparence était primordiale. C’est pourquoi, quelles que soient les époques, la "bonne" fée Morgane savait se donner un physique et une apparence qui la mettaient toujours en valeur et qui la rendaient très attirante…

Pour Jean-Édouard, elle était dans une période "blonde" bourgeoise, la quarantaine, cheveux mi-longs… qui savait toujours choisir le petit tailleur qui mettrait en valeur ses jolis petits seins et son non-moins joli petit cul… Pour notre bas-monde, nous dirions d’elle qu’elle est vraiment trop bandante, monstre bonasse ! Eux… emploient plutôt le terme "exquise", même si, en fin de compte, elle provoque pour tous la même excitation de nos sens !

En ce magnifique jour d’avril, alors que le mariage approchait à grands pas et que Jean-Édouard revenait tout juste d’un voyage d’affaire à Londres, la "bonne" fée Morgane eu une furieuse envie de se faire prendre comme une chienne, là, tout de suite ! Elle s’approcha de son jeune protégé du moment et lui saisit les couilles à travers le pantalon, tout en lui susurrant à l’oreille :

"Je veux que tu me défonces… que tu défonces ma petite chatte ! Je veux être ta pute et que tu me baises contre le mur… maintenant !

Jean-Édouard, qui était fatigué de son voyage et qui avait en tête la réunion du lendemain, ainsi que la préparation de son mariage… lui répondit un peu brusquement !

— Si tu veux te faire défoncer, tu n’as qu’à prendre un bélier !!!

A peine avait-il prononcé ces mots qu’il comprit avoir fait la plus grosse connerie de sa vie… La "bonne" fée Morgane avait instantanément arrêté de caresser ses "bijoux de famille" et elle le fusilla du regard, ses beaux yeux bleus ayant viré au noir et lui lançant des éclairs !

— Non! Tante Morgane… Non ! Je t’en supplie… je ne voulais pas dire ça !

— Me faire défoncer par un bélier… Oui… bien-sûr !

Elle s’était reculée de lui ; elle avait les deux mains crispées près de son visage… qui, lui-même, était devenu de marbre.

— Je t’en supplie… je t’en supplie ! Morgane… pardonne-moi… je vais te défoncer…

— Non ! Jean-Édouard… ou plutôt Kevin, devrais-je dire !? Je vais faire mieux que ça pour toi !

— Non ! Je t’en supplie…

Il s’était mis à pleurer et s’était laissé tomber à genoux devant elle, l’implorant de lui laisser une dernière chance… Malheureusement, en prononçant le prénom qu’il avait reçu à sa naissance, il compris qu’elle avait définitivement rompu le pacte qui les liait…

— Puisque tu veux que je me fasse défoncer par un bélier… je vais exaucer ton vu et tu seras même celui-là !

Elle fit claquer ses doigts et pointa son index dans la direction de son protégé… qui se mis à hurler en se tordant littéralement de douleur ! Tout en lui était en train d’exploser, de se déchirer… Sa vue se brouilla… il perdit même conscience un moment !

Quand il reprit connaissance, Jean-Édouard tenta fébrilement de se relever… mais tout était devenu beaucoup plus haut ! C’est alors qu’il vit juste à sa hauteur, en face de lui, tante Morgane assise lascivement dans le canapé, les jambes écartées et la jupe relevée… Elle lui fit signe avec le doigt de s’approcher d’elle, tout en faisant glisser avec son autre main sa petite culotte le long de ses cuisses, découvrant ainsi sa jolie petite chatte finement taillée…

— Approche, mon petit Jean-Édouard !

— …

— Pour commencer, tu vas me brouter le minou… et tu as intérêt de t’appliquer, si tu veux un jour retrouver une forme humaine !

— …

C’est là qu’il saisit l’horreur dans laquelle il était… quand il aperçut à la place de ses bras, deux pattes avec un poil ras, au bout desquelles ses mains étaient devenues des sabots ! Il poussa alors un bêlement d’effroi !

— Mon petit Jean-Édouard… je t’attends ! Viens me bouffer ma jolie petite chatte !

Il savait qu’il n’avait pas trop le choix… S’il ne s’exécutait pas, cette salope de "bonne" fée Morgane était capable de lui jeter un autre sortilège encore plus terrible. Le jeune bélier s’approcha donc de sa belle maitresse et commença à lui lécher ses petites lèvres… puis se concentra sur le clitoris, le dardant à petits coups de langue.

Morgane avait saisi les cornes de l’animal et elle le faisait avancer ou reculer au rythme de ses propres mouvements de bassin. Elle écartait toujours plus ses jambes et dirigeait maintenant le museau du bélier vers son petit trou. La langue rapeuse et pointue du bovidé lui procurait de plus en plus de plaisir en s’insinuant le plus profondément possible dans le conduit anal… et elle ne tarda pas à avoir un violent orgasme qu’elle exprima de manière fort sonore !

Encore toute haletante de plaisir, elle caressa le dessus du crâne de l’animal et rajouta :

— Tu as bien fait de me donner cette idée de bélier, Jean-Édouard ! Je crois que nous n’avons pas fini de nous amuser ensemble !

Le pauvre Jean-Édouard bêla de dépit… La "bonne" fée Morgane est bien une vraie salope !

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