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Mélissa, ma jolie jeune black soumise. – Chapitre 9




On n’avait pas remarqué le retour de Gégé et Mélissa.

Elles étaient chacune dans leur position d’attente. Mélissa, debout les mains croisées sur la nuque et les jambes largement écartées. Pour Gégé, ce fut une autre position. Elle était à quatre pattes, en appui sur ses coudes, cul relevé et les cuisses ouvertes. Pierrot les vit et dans une ultime poussée, il éjacule tout ce qu’il peut dans le con de Li. Je le suis de très près et inonde son fondement. Li jouit dans des cris de jouissance peu communs. Pierrot bascule en arrière et retombe sur son fauteuil, la bite toujours tendue. Je lâche prise et tombe assis à terre.

— Nettoyez-nous, lance Pierrot, et vous laverez la petite pute ensuite.

Sans demander leur reste, ma grosse black se dirige vers Pierrot, Gégé m’ayant déjà gobé la tige. Le lavage est des plus exquis. Pierrot le fait savoir en poussant des "HUMMMM", des "HAN", des "SALOPES" et des "PUTAIN".

Une fois leur tâche terminée, elles vont nettoyer Li. Gégé s’occupant de son cul et Mélissa de sa chatte. Elles lèchent, aspirent et pénètrent les trous de la charmante petite asiatique qui jouit de ces coups de langue, se tortillant de toute sa force. Peine perdue, elle hurle sa jouissance, les deux petites putes éclatent de rire sans pour autant s’éloigner du corps meurtri de la suppliciée.

Pierrot se réjouit du spectacle et c’est bite tendue qu’il va nous servir deux bières. Je le rejoins.

— Maintenant c’est à ma fille de morfler, dit-il avec le regard plein de malice, mais c’est moi qui m’en occupe. Elle est plus… Comment dirais-je, plus coriace. De l’avoir éduqué à la dure, elle est devenue endurante, très endurante.

Sur ces paroles il part détacher Li qui tombe comme une loque, mais se relève et parvient à se hisser sur un des fauteuils. Elle se love comme une petite chatte (l’animal). Attendrissante petite.

Ma grosse Mélissa vient entre mes cuisses en se fiche ma queue entre ses fesses.

— Je l’aime votre queue.

— Je l’aime ton gros cul.

— Ah, oui ? Dit-elle en me l’empoignant.

— Oh que oui…

Je n’ai pas le temps de réagir qu’elle se la met… Dans le cul. Elle ondule du bassin, avance, recule. Je lui triture ses grosses miches, joue avec ses piercings. Je lui embrasse la nuque, remonte dans son cou et m’immisce dans son oreille. Elle tressaille. Mes mains quittent sa généreuse poitrine et descendent sur son ventre. Quelle douceur, un grain de peau parfait, lisse et tendu. Mes mains atteignent son mont de Vénus. Qu’il est doux et juteux. Je passe sur les piercings et j’y rentre deux doigts. Elle gémit de plus en plus fort. Trois doigts sont maintenant dans son con.

— Oh, oui Monsieur…

J’aperçois le gode gonflable. Je m’en saisis et le présente à l’entrée de sa grotte d’amour. Il entre en elle naturellement. J’appuie sur la poire, une fois, deux fois, trois fois. Là, c’est l’extase. Cette bite gonflable comprime ma queue et son vagin. Je mets la pression à son maximum, elle ne bouge plus, savourant le moment. C’est moi qui donne le rythme en saisissant ses larges hanches. Je l’avance en laissant mon gland bien au chaud avant de la faire redescendre à fond, de plus en plus vite.

— Jouis, ma salope… Allez, jouis du cul…

— HAN, HUMMM, arrive-t-elle à dire en se mordant les lèvres.

Elle me saisit les couilles et me les caresse. Elle joue avec mes joyeuses, les frottes sur sa chatte gluante. À ce traitement je ne tiendrai pas longtemps. Elle crie, elle hurle et je lui lâche des jets de semence dans son gros cul. On reprend nos esprits.

— J’aime quand tu es salope…

— J’aime être votre salope.

Je regarde Pierrot qui est affalé sur un fauteuil, Gégé est attachée. Les marques des coups qu’elle a reçus perlent. Elle saigne mais son visage est radieux. On était tellement accaparé par notre propre jouissance que l’on a loupé cette séance. Heureusement, Gégé me sourit. Quant à Li, elle s’est endormie sur un grand canapé.

Pierrot nous rejoint. Il est exténué.

— Merci mon Jeannot…

— De quoi ?

— De ne pas être intervenu !

— J’ai rien vu. J’avais mieux à faire…

On part tous les deux dans un fou rire et il nous sert une binouze.

Ma grosse s’est levée est mise en position d’attente. Elle a du sperme de partout sur ses grosses cuisses. Pierrot réveille Li, détache Gégé et leur dit de s’occuper de la toilette intime de son invité. Ce qu’elles vont faire bon cur. Mélissa écarte les cuisses pour leur faciliter la tâche.

On a, Pierrot et moi, une envie de pisser qui nous monte à la gorge. Pierrot récupère Gégé et l’installe sur le tapis. Je prends Li, mais je suis vite arrêté par ma soumise.

— Monsieur, s’il vous plaît… Me dit-elle d’un air implorant.

Je relâche Li, prends la main de Mélissa et la mets sur le tapis, à côté de Gégé. Le jet d’urine ne se fait pas attendre. Mélissa me regarde avec fierté. Elle déglutit avant que cela ne déborde. Elle me gobe le gland, ouvre la bouche, joue avec le jet tout en continuant à me regarder. La situation est bandante, mon sexe reprend vie. Une fois terminé, je vois la figure de Gégé couvert d’urine. Ce salop lui a arrosé tout le corps et Li lèche tout. S’ensuit un jeu de langues entre ces trois vicieuses.

Pierrot rebande aussi. Il me dit qu’il va falloir se calmer, mais que le spectacle est des plus excitant. Effectivement, elles sont allongées, ou plutôt vautrées les unes sur les autres, parcourant avec envie le corps de l’autre. Les mains, les langues partent dans la découverte des intimités offertes. J’en bande à m’en faire mal. Quelle vue sur le gros cul de ma blackette. Sa grosse chatte rose fluo est un appel auquel je ne peux résister. Je l’embroche d’un coup. Surprise, elle tourne la tête.

— AHHH ! ! ! Vous voilà enfin…

Je lui saisis les hanches et claque de mon ventre sur ses grosses fesses. Pierrot profite de ses deux salopes pour se faire pomper le nud. La poitrine de Mél (Mélissa) se balance dans tous les sens et Pierrot ne s’en prive pas. Il lui malaxe ses mamelles et lui tire ses piercings. Il est à quatre pattes, face à Mélissa et ils s’embrassent comme des fous. Li et Gégé sont allongées sous mon pote et lui taillent une pipe des plus humides. Je me mets à la hussarde et enfourne ma Mélissa comme un fou. Je sens mon jus bouillir dans mes couilles, mais je résiste. Pierrot ne tient pas longtemps à ses deux furies et c’est dans un râle profond qu’il jouit sur leur gueule. Elles ne sont pas rassasiées, elles jouent avec la laitance de mon Pierrot qui s’est effondré sur ses avant-bras.

Moi, je lime comme un chien fou la chatte de Mélissa. Elle jouit en gueulant mon prénom.

— VAS-Y JEAN, EXPLOSE-MOI MA CHATTE… OUI, J’AI ENVIE QUE TU ME PERFORES…

À ces mots, je lui réponds :

— OUI, GROSSE PUTE. PRENDS CA ET CAAAAA.

Je lui lâche une dose incroyable. Ma bite palpite sous l’effet des éjaculations. Je me retire et tombe en arrière sur le cul. Pierrot éclate de rire. Li et Gégé aussi.

— Tavernier, une bière où je tue le clébard. Dis-je en me relevant péniblement.

Li se presse pour me servir avant d’aller rejoindre Gégé qui aide Mél à se relever. Elles partent à la douche.

— Dis-moi, fis-je à Pierrot, ta fille résiste bien aux coups et pourtant elle a le dos en sang.

— Bin, c’est-à-dire que je n’ai pas été tendre avec elle quand elle est revenue de chez mes parents. J’étais furax. J’ai dû revenir de Guyane. T’imagines ? Rappelé par mon chef de corps ? L’humiliation totale. Je l’ai frappé et plus je frappais, plus elle en redemandait. Le bourreau qui sommeillait en moi s’était réveillé.

— Ne m’en dis pas plus. C’est ta vie, lui dis-je en rigolant, cela ne me regarde pas.

Les filles, une fois rhabillées, viennent trinquer avec nous. Il est temps de nous séparer.

Le retour chez moi est des plus silencieux. Elle rentre dans sa chambre, se déshabille et s’endort immédiatement. Je regarde, j’admire ce corps. Elle est belle, allongée sur son dos, cuisses écartées, bras en croix, poitrine offerte et sa bouche entrouverte, j’en bande. Mais je réalise l’heure qu’il est et pars me coucher.

Mon réveil est accompagné d’une douce… Odeur de café. Je m’extirpe de mon lit. Douche, rasage et descente à la cuisine. Elle est là, affairée à beurrer des morceaux de baguettes sur un plateau. Elle est nue, tout comme moi.

— Bonjour Mélissa…

Elle sursaute et prend une mine boudeuse.

— Jean, tu m’as fait peur…

— Et ?

— Je t’ai préparé un petit-déj au lit. Fit-elle d’une voix boudeuse.

— Quand il fait beau, je prends toujours mon petit-déjeuner sur la terrasse. Dis-je en ouvrant la porte-fenêtre. Tu seras punie.

— Une punition comme hier soir, je veux bien.

— Cochonne !

— Ta grosse cochonne.

Elle se pend à mon cou et m’embrasse. Que c’est bon. Ma queue se redresse et se bloque contre son ventre. Elle sourit tout en m’embrassant. Je la repousse tendrement et vais sur la table d’extérieur.

Petit-déjeuner pris, elle débarrasse et me dit qu’elle va à la douche. Je m’allume une clope et la regarde partir. J’en ai connu des femmes de couleur. Des grandes, des petites, des grosses, des rachitiques, des vieilles et des jeunes, mais pas une beauté comme Mél. Son jeune âge y est pour quelque chose, sûrement. Je pique une tête dans la piscine, ressors très vite et parts moi aussi à la douche, mais en passant devant la salle de bain, je bloque net. Elle est de dos en train de se savonner. Putain de merde, quelle beauté. J’ai une idée lubrique qui me vient. Elle m’aperçoit… Elle devine mes pensées. Elle me sourit.

On est en route pour le centre-ville d’Aix. Je me gare derrière la poste. Il est à peine 10 h 00. Je l’entraîne à travers les rues de la vieille ville vers une boutique que je connais bien, elle est tenue par une vieille amie, une ancienne amante avec qui j’ai toujours gardé contact. Une belle vieille femme de 65 ans. Elle est toujours partante pour un plan cul, mais ce n’est pas pour cela que je suis venu. Cette boutique est fréquentée par des femmes fortes, de tous âges, cherchant à faire plaisir à leur mari ou amant. La devanture présente des dessous affriolants, je sais que je vais y trouver mon bonheur.

— Où tu me mènes ? Ose telle me demander.

— Tu verras, petite impatiente.

Le "gling-gling" de la cloche annonce notre arrivée. Geneviève, la patronne et amie, se retourne.

— Me dis pas que c’est pas vrai, un revenant ! Commé vaï, pitchoun… (dans un accent provençal à découper au couteau).

— Je vais bien, et toi ?

— Comme une vieille. Bon, tu n’es pas venu pour parler chiffon, quoique… Dit-elle en regardant Mél.

— Non, effectivement. Je cherche une tenue pour ma nouvelle soumise.

— Heum-heum. Mais là, je ne peux rien lui donner, elle est un peu trop…

— Mélissa, à poil.

Sans retenue, elle se met nue. Geneviève lui tourne autour avec un regard qui en dit long. Elle a envie de la toucher. D’un coup de tête, je l’autorise. Ses mains parcourent ses épaules, son dos, son ventre et ses seins. Elle me félicite d’avoir trouvé un tel joyau, une perle rare. Elle nous invite à la suivre dans son back-room comme elle aime à appeler son arrière-boutique. Il y est exposé des tenues plus sexy les unes que les autres.

Mél n’a d’yeux que pour une tenue qui se compose d’une robe fuseau, blanche et s’arrêtant à mi-cuisse. Je demande à Mélissa de l’essayer. Elle se contorsionne pour l’enfiler. Geneviève, en bonne professionnelle, l’aide. Son décolleté est vertigineux, son dos nu s’arrête à la naissance de son sillon fessier. La couleur blanche sied à merveille à ma poupée black.

— Je la fais emballer ?

— Non, elle va la porter.

Mélissa à un petit sourire, preuve qu’elle ne cherchera pas à se débiner. On passe au rayon chaussure, je lui choisis une paire de talons blancs vertigineux d’au moins dix centimètres. Je ne vous explique pas la cambrure que cela lui fait. Geneviève nous félicite, mais le "gling-gling" de la porte d’entrée retentit. On rejoint la caisse où attende un couple illégitime. Une dame, la soixantaine bien en chair et un minot dont je ne demanderai pas sa pièce d’identité. Ils dévorent Mél des yeux. Je suis fier d’avoir ce joli poupon à mon bras. Je règle et fais la bise à Geneviève.

Au sortir de la boutique, je suis attiré par son décolleté, il manque quelque chose. On pousse la porte d’un célèbre joaillier du cours Mirabeau.

— Non, Jean, je ne veux pas.

— Et moi si. Rentre !

— Bonjour. Lance un monsieur d’un certain âge endimanché dans son costume bleu. Que puis-je pour vous ?

— C’est pour mademoiselle, un collier chic, ras du cou.

— Mais certainement, on a une très belle collection.

Effectivement, il n’y a que l’embarras du choix. Mais Mél jette son dévolu sur un petit collier en argent, ce qu’il me semble. En fait, au dire de monsieur, c’est de l’or blanc. Il passe derrière Mélissa, il reste bloqué sur sa chute de reins.

— Cela vous ira à ravir, Mademoiselle…

— Ne peut-on pas insérer ceci, lui dis-je en lui montrant un petit pendentif en forme de menotte sertie de petit diamant.

— Je vois que monsieur a beaucoup de goût. Me répond-il en dégrafant le collier.

Une fois les "menottes" passées il repasse derrière et lâche le collier qui tombe entre les mamelles de ma belle soumise. Celle-ci me sourit et se retourne vers le vieux monsieur.

— Je vous en prie, dit-elle en montrant ses lolos.

— Mais…

— Puisqu’elle vous le demande.

L’homme n’en croit pas ses oreilles et plonge délicatement deux doigts entre les seins de Mél. Elle se pince les lèvres en lui souriant. Une fois l’objet récupéré, elle se retourne. L’homme lui attache le collier, qui est vrai, lui va à ravir.

— Monsieur a de la chance. La beauté de mademoiselle n’a d’égale que le scintillement de ces "menottes".

— Elle vous plaît ?

— Euh…

— Bin, oui, elle vous plaît ? Oui ou non ?

Mél a compris, elle s’accroupit et commence à descendre la fermeture Éclair de son pantalon. Le vieux monsieur, choqué, n’ose rien dire. Quand Mélissa, elle entame sa fellation, il ferme les yeux. Il est bien monté pour un vieux et il bande à mort.

— C’est dommage de ne pas regarder ce spectacle. Elle est si belle.

Il rouvre les yeux et regarde Mél en train de le pomper tout en le fixant. Sa méthode est efficace. Il prend la tête entre ses mains et essaye de ressortir sa bite de la bouche, mais elle ne l’entend pas de cette manière. Elle creuse les joues, et s’active sur ce pieu qui gonfle et libère sa semence. Mél, en bonne petite, lui avale tout. Le vieux titube et s’assoit sur une chaise.

— Vous ne pouvez pas savoir comme j’ai joui, dit-il, désolé d’être partie si vite…

— T’inquiète papy, dit-elle en souriant, je connais des jeunots qui aimeraient bien en avoir autant dans leurs couilles. Un vrai régal, poursuit-elle en se relevant et en l’embrassant. Le vieux reprend petit à petit ses esprits. Il rentre ses outils tout propres. Évidemment il nous fait une réduc plus qu’honorable. Je l’en remercie mais que l’on n’en avait pas besoin. Il insiste et nous demande de le faire notre bijoutier attitré, ce que lui confirme. Vieux vicieux.

On repart vers ma voiture, Mélissa suspendue à mon bras. Il est vrai que de marcher avec ses hauts talons n’est pas dans ses habitudes. Je suis bien et les yeux envieux ou jaloux me réjouissent. J’emmène Mél dans un resto chic du côté des Pennes-Mirabeau. Je choisis une table en terrasse, la plaçant face à la rue passante.

Le repas est succulent et très peu arrosé car l’après-midi risque d’être chaude, caliente.

On marche dans les petites ruelles ombragées des Pennes-Mirabeau. On s’arrête dans un bar pour un café puis on retrouve ma "titine". Je roule jusqu’à Marseille et retrouve mes lieux de drague d’antan. Je me gare sur le petit parking du "La Vahiné", célèbre club libertin de la cité Phocéenne. Je sonne.

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