Je profite du vin d’honneur pour aller saluer la mère de la mariée. Elle porte une robe fourreau argentée à paillettes, sorte de kimono sans manche, descendant jusqu’à mi-cuisse. Presque à la soixantaine, elle a de très belles jambes, superbement galbées par des talons très fins. Du plus bel effet, sa robe met en valeur ses seins lourds par le simple jeu de décolleté des deux pans qui semblent maintenus uniquement par une ceinture. Un tour de cou en dentelle blanche est prolongé par un motif en losange qui plonge dans son envoûtant sillon. Nous sommes dans le parc et après un échange de banalités, je lui propose de nous promener un peu. Je lui dis que je suis désolé pour sa récente séparation et espère que ce n’est pas trop dur. Je lui propose d’ailleurs en rigolant à moitié de combler ses moments de solitude et joignant le geste à la parole, je me rapproche d’elle et la prends par la taille. Elle frémit légèrement, mais ne fait aucun geste pour se dégager.
D’un coup d’il, je m’assure que nous sommes dans une zone suffisamment isolée pour pouvoir aller plus loin. Je sais que Pauline nous a suivis et se cache sûrement à proximité pour nous observer ou nous filmer, mais je ne parviens pas à la voir. Elle est une voyeuse très discrète, ce qui est parfait pour l’occasion. Je peux donc m’appliquer à séduire la mère de Stéphanie, la mariée. Tout en me serrant un peu plus contre elle, je lui avoue dans le creux de l’oreille que depuis tout petit déjà, elle me plaisait beaucoup et qu’elle est restée une femme charmante, pour ne pas dire délicieuse. Je vois ses joues se colorer, sans doute aidées par l’effet des quelques coupes qu’elle a déjà bu. Nous arrêtons de marcher et nous nous regardons dans les yeux. Je sens qu’elle cherche ses mots, comme pour ne pas céder trop vite.
Lorsqu’elle me répond que j’étais un petit garçon charmant et timide, mais que j’ai apparemment bien changé, je lui précise que maintenant, je suis toujours charmant, mais très coquin. Du tac au tac, elle me rappelle que ce n’est peut-être pas nouveau, puisque je l’avais surprise, presque nue, dans sa salle de bain. J’acquiesce et ajoutant que je suis resté très frustré depuis cette furtive évocation de la beauté, mais que peut-être ce soir, j’aurai la chance de pouvoir la contempler plus…
Elle murmure un « qui sait ? » avant que sa bouche ne vienne embrasser la mienne. Pris de court par son initiative, je reste immobile quelques instants, ses lèvres contre les miennes, nos langues entremêlées. Puis je reprends conscience et sens ses bras qui m’enlacent. Je la serre un peu plus fort contre moi et je ne tarde pas à sentir ses pointes durcir, à travers les tissus légers de nos vêtements. Mon défi est rempli, mais je serai inconvenant de laisser dans cet état de préexcitation cette superbe femme, objet de mes jeunes fantasmes. Mes mains s’activent maintenant, en caressant son dos, partant de ses épaules puis descendant doucement, soulignant ses hanches, puis ses fesses, que je pétris avec douceur. Lorsque je les atteins, je sens la chaleur lui monter au visage, son corps se tendre et sa langue cesse soudain de s’activer. Elle semble prendre conscience de la situation et hésiter sur la marche à suivre.
Je ne relâche pas mon étreinte, l’embrasse encore plus fougueusement et fais carrément remonter sa robe pour atteindre son délicieux postérieur. Lorsque mes mains entrent en contact avec la peau douce de son fessier, elle gémit légèrement et tout son corps se détend, témoin de son abdication. Le célibat lui pèse et elle semble prête à profiter de l’opportunité qui se présente. Je profite de cet avantage pour glisser mon majeur dans sa raie, du bas vers le haut, par-dessus le tissu de son string que je devine minimaliste.
Sa respiration s’est accélérée et ses mains caressent mon corps à travers mon costume. De mes épaules, elles descendent sur mon buste, puis glissent sur mes abdos pour venir claquer sur mes fesses. Ses gestes sont sensuels et précis et je ne peux qu’admirer son expérience. Pour ma part, après avoir peloté ses fesses quelques instants, j’explore maintenant du bout des doigts son recto. Le string se résume à un très léger voilage et je sens à travers un sexe totalement épilé et particulièrement moite. Je commence à l’effleurer doucement, puis sentant son bassin bouger en rythme avec ma main, m’arrête net. Je me recule d’un pas, prends ses mains et les place sur sa ceinture. Elle comprend et la dénoue lentement, sensuellement. Délicatement, elle laisse tomber à ses pieds le ruban de tissu et saisit les deux pans de sa robe qu’elle entrouvre lentement devant mes yeux émerveillés, faisant apparaître un corps digne des plus belles sculptures.
De très légères rondeurs la rendent particulièrement appétissante. Aimant plaire, elle a mis ses seins en valeur avec un redresse-seins en dentelle blanche, celui aperçu comme un simple tour de cou, qui exhibe fièrement sa poitrine généreuse et terriblement tentante. Ses seins, au moins du 95E, sont encore très fermes pour son âge. Ils sont couronnés chacun d’une large aréole sombre, en centre de laquelle darde un téton court, mais en pleine érection. Ne résistant pas, je viens embrasser le premier à ma portée et elle bloque ma tête pour cette tétée coquine, me couvrant d’un regard enflammé. Elle passe une main sur mon entrejambe et découvre avec plaisir mon érection presque douloureuse tellement je suis excité. Elle commence à me caresser à travers le tissu. N’y tenant plus, je dessers ma ceinture et ouvre mon pantalon. D’un geste précis, elle vient enrouler sa main sur ma queue et commence à me branler en douceur.
Je ne suis pas en reste puisque mes doigts reviennent vers le triangle de son string, que je force sans coup férir et je parcours du bout des doigts ses grandes lèvres, puis ses petites lèvres charnues et trempées pour ensuite me glisser dans sa douce fente et entamer quelques allés et venues.
Elle gémit presque en continu, tout en continuant de me branler avec efficacité. N’y tenant plus, je viens me plaquer contre elle. Nos bouches se cherchent et nos sexes aussi. Nous nous embrassons en un langoureux baiser, tandis qu’elle écarte le voile de son string pour que mon gland vienne en appui à l’entrée de sa vulve. D’une légère poussée, je pénètre partiellement dans son intimité. Je me retire aussitôt pour me replacer de la même façon et cette fois, je glisse ma queue tendue jusqu’au plus profond de son vagin, d’un seul mouvement continu qui lui arrache un gémissement de plaisir. Je reste quelques instants en elle, savourant le déluge de sensation de mon sexe prisonnier dans le sien, puis entame une série de va-et-vient lents, mais en poussant le plus loin en elle à chaque fois. Je m’arrête un instant pour reprendre mes appuis et c’est elle qui vient s’empaler sur mon sexe érigé à sa beauté.
Elle prend appui de sa jambe droite sur le muret à proximité pour écarter largement ses cuisses et faciliter le glissement de sa matrice sur ma hampe. Je la tiens par les hanches et accélère le rythme. Elle mouille abondamment, je sens son jus ruisseler le long de ma jambe. Ma bouche quitte la sienne et je viens titiller ses seins, offerts comme des fruits mûrs. Elle se retient de ne pas hurler son plaisir pour ne pas attirer l’attention, mais sa jouissance est totale. Je sens une présence dans mon dos, c’est ma douce coquine qui ne peut résister à l’envie de se joindre à nous. Claude ne l’a pas encore remarqué, les yeux fermés, tout à son bonheur. Ma chérie vient se plaquer dans mon dos, glisse ses mains le long de mon corps, de mes bras, jusqu’à atteindre ma partenaire qui ouvre les yeux, surprise, et cherche dans les miens une explication. Je lui susurre de se laisser faire.
Ma réponse semble la convaincre, car elle vient recoller sa bouche sur la mienne, comme pour marquer que je suis à elle pour l’instant. Pauline nous contourne et vient se coller dans son dos, l’embrassant dans le cou de petits suçons légers et caressant son ventre en descendant vers son sexe trempé. Totalement excité, je jouis à mon tour et gicle abondamment dans ma partenaire. Je me retire, laissant mon sperme se mêler à sa cyprine. Ma coquine, faisant pression sur les épaules de notre amante, l’amène à genoux et lui offre ma queue à sucer…
La sexagénaire ne se fait pas prier et attrape mon gland puis toute ma queue dans sa bouche. Sa langue parcourt tout mon vit avec application, se délectant de nos fluides mélangés. Pauline en profite pour glisser ses doigts dans le sexe plein de Claude, et la branle avec application, provoquant un nouveau spasme de plaisir. Puis elle retire sa main gluante et donne ses doigts à lécher à notre gourmande toujours agenouillée et pantelante de plaisir. Une fois que celle-ci s’est appliquée, nous nous relevons et l’embrassons chacun notre tour. Pauline lui retire son string, qu’elle garde comme trophée dans son sac, puis nous retournons à la fête, chacun par un passage différent…
Excité par ton arrivée perverse dans mon défi, je te donne le tien : séduire la demoiselle de la voiturette et parvenir à un 69 avec elle. Tu me murmures à l’oreille " j’espère qu’elle porte quelque chose sous sa jupe pour que je puisse enrichir ma collection de la soirée…" et avec un sourire, tu pars dans sa direction et je te suis de loin…