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Une demande inappropriée. – Chapitre 1




Marion, ma petite sur, m’appelait sans cesse depuis la salle de bain. Pensant qu’elle s’était blessée, j’accourus immédiatement pour la rejoindre. Et quel ne fut pas ma surprise de la trouver en train de se déshabiller. Elle était maintenant en soutien-gorge et en petite culotte.

— Hugo, tu m’aides à prendre ma douche, comme avant ?

— Quoi !? Mais! Comment ça? T’aider à prendre ta douche ??

— Hé ben! Avant, on prenait bien des douches ensemble ! Tu te souviens? Tu me savonnais! Tu me lavais les cheveux, et tout! J’aimais bien quand tu t’occupais de moi !

— Merci! Mais Marion! On est grand, maintenant ! Ce n’est plus à moi de te laver.

— Allez, frérot! S’il te plaît! Rien qu’une dernière fois !

Je ne savais pas pourquoi mais à chaque fois qu’elle me demandait quelque chose, j’avais énormément de mal à le lui refuser. Sûrement, parce que je l’adorais trop pour ça ! Aussi, n’ai-je rien dit lorsqu’elle retira son soutien-gorge ainsi que sa petite culotte. Une fois entièrement nue, ma sur grimpa aussitôt dans la douche et me fit face avec un joli sourire. J’étais totalement ébloui par son corps ! Ce corps qui visiblement, n’était plus celui d’une petite fille. Elle était maintenant devenue une belle et jolie jeune femme incluant tout ce qui allait avec. Elle arborait dorénavant une jolie petite poitrine très mignonne et bien ronde. La taille assez fine et des hanches suffisamment marquées qu’elle hérita de maman.

Mon regard continua et s’attarda brièvement sur son sexe, que je n’avais plus vu depuis des années. C’était maintenant devenu un joli petit minou avec de beaux poils châtains, longs et soyeux. Moi, qui croyais que toutes les filles s’épilaient maintenant ! Apparemment, ce n’était pas le cas de ma sur et j’adorais ça.

Avec une délicate attention, je prenais le temps d’observer sa fente et je remarquais par la même occasion qu’elle était légèrement entrouverte, laissant découvrir frugalement ses délicates petites lèvres bien rosées. Waouh! Étonnamment, à cet instant, je trouvais ma sur éblouissante !

Brutalement, le bruit de l’eau me sortit de mes pensées. Je voyais ma sur toute souriante, avec le bras tendu vers moi, en tenant fermement le savon dans sa main.

— Tiens, Hugo! Je te laisse faire !

Marion prit un ton si déterminé en me disant cela que je compris immédiatement qu’il n’y aurait aucune possibilité de discussion ! Mais de toute façon, elle savait pertinemment qu’elle pouvait obtenir de moi ce qu’elle voulait et qu’au final, j’allais lui obéir en exécutant sa demande. Alors machinalement, j’attrapais le savon et j’en étalais un peu sur mes mains. Délicatement, je déposais maintenant mes mains savonnées sur le ventre de ma petite sur chérie.

Mais bizarrement, j’éprouvais une drôle de sensation. Un trac fou me gagna de plus en plus, pendant que je frottai son ventre, ses hanches, ses bras… Évidemment, j’essayais de ne pas trop m’approcher de ses parties intimes ! Je m’efforçais de me rappeler que la jeune femme séduisante que je savonnais était aussi ma petite sur. Alors, pas touche !

Mais très vite, Marion me surprit par une nouvelle demande. À présent, elle voulait que je lui savonne toute autre chose. Sa poitrine ! Mais? En général. Un frère ? Ça ne pose que très rarement ses mains sur les seins de sa sur ?

Et malgré moi, c’est ce que je fis ! Mais, le fait est qu’ils étaient d’une douceur incroyable, bien ronds et trop beaux. Durant quelques secondes, je devais bien l’avouer, j’en avais profité ! Je les caressais, touchais ses tétons qui durcissaient sous mes doigts et les gardais entièrement dans toute ma main. C’était extraordinairement agréable ! Je jetais un coup d’il dans les yeux de ma sur et elle m’observait en souriant.

Maintenant, Marion voulait que je lui savonne quelque chose d’autre. Quelque chose d’encore plus difficile à faire pour un frère. Elle me montra alors du doigt son entrejambe, l’endroit de son sexe.

— Lave ici aussi, Hugo ! Il faut tout bien laver ! C’est d’ailleurs toi, qui me disais toujours ça avant.

Comprenant ses paroles, un vague de sueur froide me traversa instantanément le corps. Je ne pouvais quand même pas laver le sexe de ma sur comme si c’était une chose toute à fait anodine !

Merde! Comment me sortir de ce pétrin ? Je voulais lui répondre "Oui, mais ça, c’était avant ! Et puis même avant, je te laissais toujours te nettoyer ta petite minette toute seule."

Abasourdi, je ne lui avais pas répondu, et Marion en avait ainsi profité pour écarter largement ses jambes, comme pour m’indiquer le chemin de sa foufoune. Puis brusquement, elle m’attrapa la main et la fit descendre sans gêne, directement vers son entrejambe.

J’étais absolument pétrifié car ma conscience me dictait que cela était une chose horriblement malsaine. Mais bon. Tant pis! Après tout, c’est elle qui l’aura voulu!

Alors timidement, je commençais à étaler délicatement le savon sur sa petite vulve poilue. Hum! Qu’elle était douce ! C’était fou car jamais un jour, je me serais imaginé pouvoir caresser ainsi le sexe de ma petite sur chérie. Ma main était maintenant placée entre ses jambes et confortablement installée au milieu de ses poils. Je lui lavais la vulve ! Mais curieusement, à chaque passage de mes doigts, je sentais comme un petit frémissement. Au fur et à mesure de mes caresses, je sentais également ses petites lèvres s’éloigner de plus en plus, comme pour me laisser un accès libre. Un accès libre à l’endroit le plus chaud et le plus doux de son corps. Son vagin, l’entrée véritable de son intimité !

Devant ce que ma petite sur m’offrait pour la première fois, contrairement à ma conscience, mon corps réagissait tout autrement et une raideur significative apparaissait instinctivement dans mon pantalon. Honteusement, je bandais! Et, le plaisir que j’éprouvais à cet instant était malgré tout aussi coupable qu’intense. Mais en tant que frère, je devais me reprendre ! Je n’avais pas le droit de me laisser aller.

Me concentrant au maximum pour refouler mes émotions et cacher ce renflement inapproprié, je continuais néanmoins de nettoyer sagement ma sur. Et là, sans le vouloir, je tombais sur sa petite étoile anisée que je sentais du bout de mes doigts. Non, mais pourquoi ? Moi, qui justement voulais éviter tout dérapage, voilà que ma main se retrouve en contacte direct avec son petit anus ! Et sincèrement, le temps d’une seconde, l’idée même de lui enfoncer un doigt à l’intérieur de son joli petit trou me traversa l’esprit. Mais heureusement pour moi, j’étais arrivé à me maîtriser et je ne l’avais pas fait.

Ainsi, au bout de longues minutes, qui me parurent des heures, je réussis difficilement à finir de laver consciencieusement ma sur, de la tête aux pieds, en passant par des endroits peu recommandables pour un frère et tout ça, sans laisser la situation m’échapper.

Une fois fini, je posais sagement le savon. Mais ma coquine de sur n’avait pas du tout l’intention d’en rester là.

— Allez, à ton tour !

— Euh! Quoi ?

— Oui, tu n’as pas pris ta douche aujourd’hui, je crois ? Alors, déshabille-toi! Tu vas venir la prendre avec moi, comme avant. Et, c’est moi qui te savonne !

Entendre Marion me dire cela sur un ton tellement autoritaire, m’avait coupé le souffle et je restais sans voix !

Il était vrai que lorsque nous étions petits, pour des raisons de praticités, nous prenions parfois notre douche ensemble. Mais cela faisait des années que je ne m’étais plus retrouvé nu avec elle dans une douche. À l’époque, il n’y avait bien sûr aucune ambiguïté. Du moins, pour ma part en tout cas !

Allais-je me laisser commander par cette petite chipie ? Hélas, oui! J’étais bien trop faible pour lui résister ! Et Marion était véritablement trop belle nue. Je l’aimais trop !

Bizarrement, ce petit côté tabou commençait à m’exciter également et l’idée même de me retrouver nu devant ma sur ne me repoussait presque plus, au contraire ! Alors petit à petit, je commençais à me déshabiller mais j’éprouvais tout de même encore une petite honte car je bandais comme un fou furieux devant ma propre sur. Ça en était devenu absurde ! C’est alors qu’une question me traversa l’esprit. " Mais? A-t-elle déjà vu un sexe d’homme en pleine érection ? Oui! Probablement, ce n’est plus une gamine ! Et? Si ce n’était pas le cas? Tout ce j’espérais à cet instant, c’était qu’elle n’allait pas être choquée par mon sexe tendu, comme moi qui l’avais été devant son corps !".

Par chance, Marion ne sembla ne pas y prêter plus d’attention que ça, comme s’il s’agissait d’une chose tout à fait. Normale ! Pourtant, ma bite continuait à prendre de plus en plus d’ampleur sous cette douche et gênait parfois nos mouvements. Obligatoirement, Marion avait dû sentir ce membre dur frotter de temps à autre sur son corps…

— Tu me passes le savon, Hugo ! S’il te plaît ?

Très naturellement, Marion se mit à me savonner comme si de rien n’était, sans se soucier une seule seconde de mon arbre gonflé. Ce qui me rassura d’ailleurs énormément ! Ses petites mains glissaient maintenant sur mon torse, sur ma poitrine, mes tétons. Mais très vite, je fus surpris, car très simplement, ce fut ma bite qu’elle savonna de ses mains. Curieusement, dès qu’elle l’empoigna, je remarquai immédiatement qu’il y avait un certain savoir-faire. Une certaine une dextérité qui ne laissait plus de place au doute. Ma petite sur chérie s’était déjà retrouvée avec un sexe d’homme entre les mains ! Oui, car elle savait exactement où aller et savait précisément ce qu’un homme désirait. Ce qui était sûr en tout cas, c’était qu’elle connaissait la morphologie masculine.

Elle faisait glisser ses petites mains enduites de savon le long de ma hampe. Langoureusement, elle montait et descendait avec une certaine douceur, tout en sachant garder une assez bonne fermeté. Et, elle savait parfaitement qu’il faillait particulièrement souligner la partie la plus sensible de mon anatomie. Vraiment, ma sur se débrouillait comme une pro ! Moi, qui voyais encore ma petite sur chérie comme une petite fille innocente, apparemment, elle ne l’était plus !

Je me laissais faire et m’abandonnais totalement. Hum! Je bandais comme jamais ! Mais très vite, les assauts répéter de ma sur sur mon gland firent leurs effets et je sentais ma sève monter de plus en plus.

Quand tout à coup, Marion arrêta et rinça alors mon sexe afin de retirer tout ce savon. Heureusement, car je n’avais aucune envie qu’elle me voie jouir. J’aurais été trop mal à l’aise !

Aussitôt le savon retiré, Marion se mit à s’accroupir devant moi et je redoutais alors le pire.

— Euh! Tu fais quoi là, Marion ??

— Rien… ! Je veux juste te voir de plus près ! Tu sais que t’es beau !

Marion se mit à me caresser doucement les couilles tout en les malaxant. Je la regardais en savourant ses délicieuses caresses.

— Ça te plaît ?

— Oui…

Et là, sans que je m’y attende, Marion saisit sans aucune hésitation mon sexe et l’engloutit littéralement dans sa bouche. Elle avait maintenant enfoui ma bite au fond de sa bouche et elle se mit à me sucer avec délectation. Totalement surpris mais hum! Car je sentais sa langue glisser tout autour de mon gland et s’appliquait également à bien malaxer mon frein, ce qui me laissa une fois de plus, sans voix. Waouh… ! Mais ma sur était-elle vraiment en train de me faire une fellation ? J’étais choqué et à la fois stupéfait par son talent, je la laissais continuer ainsi. De nouveau, je devais bien le reconnaître, ma sur était très douée ! C’est alors qu’une nouvelle question me traversa l’esprit. Mais comment se fait-elle qu’elle connaisse toutes ses choses ? Je ne pouvais plus le nier, ma sur n’était plus la petite fille que je connaissais et j’en étais maintenant sûr, Marion avait déjà fait ça. Elle avait déjà sucé !

— Hum! Elle est bonne, frérot ! Et tu sais… Ça fait des années que j’avais envie de faire ça. Mais. Si tu veux, j’arrête !

— Non! S’il te plaît, n’arrête pas ! Euh. Si ! Arrête… ! C’est fabuleux ce que tu me fais, mais. Ce n’est pas possible !

Elle s’arrêta aussitôt et remonta pour me faire face.

— Ah bon ? Et on fait quoi, alors ? Me dit-elle en me regardant droit dans les yeux.

Pendant qu’elle me posait cette question, la petite coquine perverse se mit sur la pointe des pieds et fit passer ma bite encore bien tendue sous elle, entre ses jambes. Ma sur était maintenant en quelque sorte assise sur ma queue.

— Marion. Non, arrête !

— Trop tard!

Elle releva une jambe, ajusta mon gland vers l’entrée de sa vulve et là, le fit pénétrer…

— Non. S’il te plaît !

— Quoi, Hugo ?

— Hum! Non! C’est trop bon!

La sensation ressentie à cet instant était tellement intense que j’abandonnais alors toute résistance ! J’y prenais maintenant énormément de plaisir et j’ai alors décidé de plier un peu plus mes jambes, facilitant ainsi la pénétration. Ouah! Mais qu’étais-je en train de faire ? Je baisais ma propre sur!

J’admirais maintenant ma queue rentrer délicatement tout au fond de son vagin si serrer. Mais? Comment une jeune fille aussi fine et fragile que ma petite sur pouvait recevoir un tel engin ? Mais, surtout comment faisait-il pour rentrer entièrement ? La nature était vraiment bien faite… !

Dès lors que Marion sentit mon approbation, elle attrapa des deux mains les rebords supérieurs de la douche, et se tracta des deux bras. Elle décolla alors ses deux jambes qu’elles vinrent enserrer directement autour de mon bassin. Incroyable! Ma sur ne touchait plus le sol ! Je la tenais simplement dans mes bras pour éviter qu’elle ne tombe, les mains bien agrippées à ses petites fesses et ma queue toujours bien logée au fond de son vagin. Étonnamment, dans cette position, Marion semblait si légère ! Debout contre la douche, ma sur empalée sur ma queue, je pouvais continuer de la baiser ainsi, pratiquement sans me fatiguer. C’était extraordinaire!

— Oh, oui! C’est trop bon, Hugo ! J’adore !

— C’est vrai que c’est bon !

Je lui appuyais maintenant le dos contre la paroi de la douche, la tenant uniquement par les fesses, je pouvais la soulever comme une plume, la manipuler comme une poupée, la faire monter et descendre à mon gré sur ma bite. Sentant que la pénétration se faisait de plus en plus facilement, je lui envoyais maintenant de grands coups de reins qui lui arrachaient des gémissements de plaisir à chaque aller. Manifestement, Marion aussi se régalait !

Au bout de plusieurs allers-retours intensifs dans le vagin serré de ma sur, je n’en pouvais plus.

— Hum! Marion! C’est trop bon ! Mais, je sens que je n’en peux plus. Je vais jouir!

— Oui, vas-y Hugo! Jouis en moi ! Ça ne craint rien, je prends la pilule. Vas-y ! Oui! J’ai envie de te sentir !

Rassuré par les paroles de Marion, je me lâchais. Hum! Et quel délice ! Jamais ma jouissance n’aura été aussi agréable. C’était des litres de spermes qui giclaient maintenant dans les entrailles de ma petite sur chérie.

Après les nombreux jets, je restais un moment groggy de plaisir, ne pouvant plus bouger, je savourais ce que je venais de faire avec Marion.

Une fois mes esprits retrouvés, je me retirais alors d’elle et la reposais délicatement au sol.

— Ouah, frérot! Tu as aimé ?

— Tu rigoles! J’ai adoré! C’était fabuleux, Marion!

— Oui! Pour moi aussi, Hugo ! Ta queue était vraiment bonne. J’ai adoré ça ! Et! On pourrait recommencer à prendre des douches ensemble, hein  ?

Ayant retrouvé complètement ma raison, je marquais un petit temps de pause, réfléchissant sur ce qui venait de se passer. Mais? Dans quel délicieux pétrin m’étais-je encore fourré ? Et justement, en parlant de fourrer, il fallait avouer que la perspective de baiser à nouveau avec ma petite sur m’enchantait énormément! Ayant pris goût à cela avec elle, je lui répondais :

— Bien sûr ma chérie ! J’adorerais recommencer…

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