Après un rapide passage à la salle d’eau de la cabine, où j’ai pu un peu me vider de leur jus de mâle accumulé dans ma « chatte » Je pense que je peux dire ça maintenant Me rincer la bouche et enlever sommairement le sperme sur mon visage, nous sommes sortis tous les 3 de cette cabine des plaisirs.

Mario m’avait prévenu que le lendemain, ils devaient finir leur service tard, et qu’ils ne seraient pas disponibles le soir. Il préviendrait un autre membre de l’équipage, Saïd, mais plutôt affecté à la technique, et que je pouvais le rejoindre sur le pont.

La Compagnie était Franco-Italienne, effectuait le tour de la Méditerranée, et c’est la raison pour laquelle les employés étaient aussi bien français, qu’italiens ou arabes.

Après ces moments hyper chauds, comme il n’était pas si tard que ça. Toujours pas envie de rentrer dans la cabine avant que mes « co-locataires » soient endormis, je suis remonté sur le Pont Principal. En plus, j’aimais trop contempler le spectacle de la mer la nuit.

Alors que j’étais accoudé à la rambarde, un pote de mon lycée, en terminale aussi, mais pas dans la même section s’est approché de moi Patrick le mec hyper viril sur lequel j’avais toujours fantasmé, sans rien dire bien sur

Patrick, dont les poils débordaient de sa chemise, qui avait l’assurance du mâle, et qui souvent me mettait la main au cul, bien fort. En plaisantant bien sûr

Il m’a regardé de la tête au pied A sorti tranquillement une cigarette, l’a allumée

— C’était bon ?

—  ????????

— C’était bon te faire baiser ??? Tu pues le foutre

J’ai baissé les yeux. Je ne savais pas quoi dire devant ce mâle qui me toisait. Qui me toisait. Comme une pute. Comment pouvais-je nier. Je sentais le foutre à plein nez

Il s’est approché de moi, m’a serré contre lui fort, dominant, avec ses mains sur moi, et ses doigts inquisiteurs qui se sont insinués d’abord sur et après dans mon bermuda pour tâter mon orifice qui avait été bien visité. Il était encore ouvert, coulant du reste de sperme que Mario et Alessandro avaient déversé en moi

— Salope Tu es une vraie salope et tu en fais pas profiter les amis ?

Il a mis ma main sur sa barre, chaude, dure Et en un tournemain, il a ouvert son pantalon

— Suce Salope

C’était beau, c’était gros Pas comme Alessandro, mais il pouvait rivaliser avec Mario

Je l’ai sucé un moment, et d’un coup, comme le Pont était désert, il m’a retourné et il s’est enfoncé d’un coup dans moi. Heureusement, j’avais tellement été prise avant que c’est rentré, même si j’ai hurlé du fait de la surprise

Patrick avait un sexe de la longueur de celui de Mario, mais de l’épaisseur de celui d’Alessandro

Il m’a défoncée à fond, comme une femelle, comme une pute. Il tirait fort sur mes hanches pour m’empaler encore davantage sur lui et d’un coup. Il a hurlé. Il s’est déversé en moi complètement, à longs jets Comme un jeune mâle en manque qui n’avait pas joui depuis longtemps

Moment de silence après la jouissance lui toujours enfoncé dans moi

— Tu vas voir Saïd demain ? (Il l’avait entendu)

— Oui

— Tu vas coucher avec lui ? et avec d’autres aussi, je pense

— Oui

— Ok Tu couches avec qui tu veux sur le bateau, mais de retour à Nice, je te prends en mains ok ?

—  ???????????????

— Tu es d’accord ?

— D’accord pour quoi ?

— Tu es une salope, une pute, tu vas coucher avec des arabes alors c’est simple, non ? Les filles couchent pas Peur d’être enceinte. Mais crois-moi, si tu es d’accord On habite à Nice Nord Trop de mecs seraient ravis de se vider les couilles

Patrick m’a repris une deuxième fois encore plus fort, pour me montrer qu’il était le mâle dominant Il m’a raccompagné à ma cabine avec un bisou sur les lèvres en me disant avec son sourire ironique de Mâle :

— A demain après ton passage chez les arabes Prends bien l’habitude. Tu vas en avoir besoin à Nice

Je suis retourné à ma cabine, où les mecs dormaient. Ça puait le foutre Ils avaient dû se branler. Je me suis couché sans me doucher, pour garder cette odeur de mâle sur moi, mon cul endolori rempli de ce nectar de couilles, en pensant à la soirée du lendemain.

Le lendemain, visite merveilleuse du site de Delphes

Ce lieu, magique, des premiers Jeux Olympiques, ce stade sans fin

Je pensais un peu moins à mes pérégrinations sexuelles de la veille et de celles qui m’attendaient le soir C’était quand même une croisière culturelle pour des futurs bacheliers, pas un baisodrome.

Mais j’avoue, j’avais été trop content de perdre ma virginité anale, j’attendais ça depuis si longtemps Et finalement, pas choqué de passer en 2 jours de « vierge » à « pute ».

Le début de la visite a été génial, avec en panier piquenique. Du poulet Vous l’aurez sans doute deviné, et après ce merveilleux repas, nous avions une heure tranquille pour nous détendre, en attendant la suite.

Mine de rien vis-à-vis des autres, Patrick s’est approché de moi et il a dardé ses yeux noirs sur moi, avec son sourire ironique que je commençais à bien connaitre

— Ça te dit de se promener un peu tous les deux pour digérer ? Dans un endroit sympa et discret ?

Au vu de la bosse dans son pantalon et de la barre sur le côté. La promenade n’allait certainement pas être digestive Enfin manière de parler

J’allais refuser, mais ce mec me subjuguait Le Mâle, autoritaire, sachant ce qu’il veut Il a défait 2 ou 3 boutons de sa chemise, exhibant son torse velu, (il a compris que j’adore les poils) et a pris ma main pour que je le suive Je me sentais incapable de lui résister.

Le site est immense, et en nous promenant l’air de rien, Patrick a très vite trouvé un endroit discret, à l’abri de tous les regards, mais où nous avions une vue plongeante sur les alentours. En quelques secondes, Patrick a baissé son pantalon et son slip pour me faire sucer sa superbe bite.

— Suce salope et après, je vais t’enculer profond trop envie de décharger dans ta chatte.

Comme une femelle soumise, j’ai sucé, j’ai pris le max que je pouvais dans ma bouche en caressant ses grosses burnes poilues Il m’a retourné et s’est enfoncé en moi Avec juste un peu de salive avant Il m’a défoncé comme un fou Jouissant en moi en longs jets, comme à son habitude

De retour pour la visite de ce merveilleux site, nous avons passé l’après-midi à en contempler les merveilles et après quelques heures, notre accompagnatrice, nous a annoncé quelques minutes de pause avant de reprendre le bus pour rejoindre le bateau.

Bien sûr, Patrick n’attendait que ça et m’a de nouveau entrainé dans ce bois isolé où il m’avait pris avant C’est fou ce qu’un jeune homme de 19 ans peut recharger aussi vite !!!

— On a peu de temps J’ai trop envie de te baiser Baisse vite ton froc

En quelques secondes, il s’est enfoncé dans moi Heureusement encore lubrifié par sa saillie précédente et il m’a labouré comme un fou, d’un coup, avec sa bite énorme Je le laissais faire J’avais compris que c’était ma vie, mon destin, de me donner aux hommes.

J’ai appris plus tard, que les homos refoulés pendant longtemps, se lâchent totalement après avoir connu le sexe et se livrent complètement à une sexualité débridée Sans doute pour rattraper le temps perdu.

Quoi quil en soit Patrick me défonçait comme un malade, et en un cri puissant, il s’est vidé dans moià longs jets de bonne semence d’homme

Il s’est rajusté, comme n’importe quel homme qui s’est vidé dans sa femelle

— Ce soir les arabes ok ? Saïd t’attend sur le Pont Supérieur à 21h et tu le suis Tu fais tout ce qu’il veut OK ? C’est clair ?

Nous sommes allés vers le bus, puis le bateau, où je suis rentré de suite dans ma cabine pour me doucher Le sperme de Patrick me coulait partout Mais j’étais décidé à aller voir Saïd sur le pont le soir même.

Après ce somptueux repas au poulet bien sur Je suis monté sur le pont principal, vers 21h, comme Mario me l’avait dit. Seul pendant quelques instants, j’ai contemplé la mer, penché sur la rambarde Que c’était beau !!! Je réfléchissais aussi à ce que j’étais devenu en si peu de temps, moi si réservé d’habitude Et en fait, je réalisais que je me sentais bien, épanoui Que ces sexes qui me foraient, étaient tout ce dont je rêvais depuis longtemps et je me sentais libre de me donner à Saïd et sans doute beaucoup plus que lui seul.

Quelques minutes après mes réflexions, un bel arabe est arrivé, grand, mince et avec un beau sourire. Sans rien dire, il a pris ma main, et m’a conduit vers une passerelle supérieure, normalement interdite au public et m’a collé contre une espèce de gros tube, nous cachant de tous les regards.

Sans vergogne, il m’a peloté le cul et a très vite appuyé sur mes épaules pour que ma bouche soit à hauteur de son zob. Il a ouvert sa braguette de suite et a enfoncé son membre dans ma bouche C’était gros, ça sentait fort la bite de mâle marinée dans un slip pendant une journée de travail

Quelques minutes après, il m’a retourné, et s’est enfoncé dans moi presque d’un coup J’étais encore ouvert par le sexe de Patrick, mais je l’ai senti à fond, à grands coupscomme seuls les arabes savent le faire.

Saïd m’a défoncé, à mort, et s’est vidé à grands jets dans moi Il n’a pas débandé, et il a recommencé J’étais plein de son sexe qui me labourait comme une putain

Quand il s’est enfin calmé, après m’avoir rempli 2 fois de sa liqueur de mâle, on s’est rhabillés, il m’a pris par les épaules et m’a dit

— Viens suis-moi on va voir mes potes arabes au carré des machinistes

Et je l’ai suivi

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