ROXANE (2/9)
Une semaine plus tard, je lemmenai dans un bois ; nous avons passé laprès-midi à nous embrasser et à nous caresser mais, bien quelle fût terriblement excitée (déclarant quelle voulait me violer), Roxane refusa que mes doigts aillent au-delà du rempart de sa culotte. Elle me toucha juste un peu la verge par-dessus mon pantalon. Avant de la ramener, je lui dis que je ne pouvais pas rester dans cet état, et que jallais me soulager moi-même. Je méloignai un peu, mais je narrivais pas à bander, trop énervé par la tournure des événements. Lorsque je la rejoignis dans la voiture, elle membrassa et me caressa le sexe (toujours par-dessus le pantalon) ; jouvris ma braguette. Elle me branla tout en membrassant, puis elle essuya mon sperme avec des Kleenex.
Nous nous retrouvâmes le lendemain soir ; refusant le restaurant que je lui proposais, Roxane sans doute tenaillée par un autre type de faim memmena dans un hôtel de la périphérie. Une fois dans la chambre, je la déshabillai partiellement, conservant uniquement son pull en mohair, ses bas noirs et une mignonne petite culotte noire. Je léchai ses pieds gainés de nylon, puis lui caressai les seins. Ayant ouvert ma braguette, je caressai ses tétons avec mon gland puis, lembrassant sur le ventre, je lui excitai la vulve de mes doigts, faisant pénétrer sa jolie culotte entre ses lèvres mouillées de désir pour lenfoncer dans son vagin. Lorsque sa culotte fut bien imprégnée de sa liqueur damour, je la lui enlevai ; elle me la donna en souvenir, pour alimenter mes fantasmes et mes futures masturbations solitaires
Ensuite, ce fut ma langue qui remplaça mes doigts pour lui procurer un premier orgasme, qui a été assez long à venir. Je savais ce quelle appréciait particulièrement lorsque je la caressais avec ma bouche : tout dabord, en faisant glisser ma langue de bas en haut de sa vulve, puis par de subtils coups de langue sur son clitoris avant daspirer son petit organe quelle avait très sensible, tout en pratiquant des succions en haut de ses petites lèvres. Dès quelle eut joui, je la pénétrai profondément avec ma verge. Rapidement, elle grimpa sur moi, et cest elle qui me baisa, mimposant le rythme qui lui convenait. Elle me dit en gémissant que ça lui faisait énormément de bien ; mais nous navons pas joui tout de suite. Replaçant mon visage entre ses cuisses, je repris mes succions sur son clitoris en lui introduisant un index dans le vagin ; mon pouce le remplaça bientôt, libérant lindex qui vint gratouiller lentrée de son anus, avant de le pénétrer plus profondément.
Ces deux doigts se démenaient dans chacun de ses orifices, puis jenlevai mon pouce de son vagin pour le remplacer par mon nez qui pénétra cette chaude moiteur. Ma langue se trouvant devant sa petite ouverture froncée, jen profitai pour la lécher. Finalement, je recommençai à téter son clitoris tandis que mon index coulissait rapidement dans son rectum ; cest de cette manière quelle éprouva un deuxième orgasme fulgurant, en criant de plaisir.
Tout en parlant, nous nous caressions et nous nous embrassions ; je pris sa main pour la poser sur la mienne qui glissait entre les lèvres détrempées de sa vulve, et lui demandai de me guider, ce quelle fit sans fausse pudeur. Ses baisers si particuliers ayant redonné vigueur à mon sexe, je la pénétrai à nouveau. Nous faisions une fois de plus lamour, elle sur moi ; je lui dis « Baise-moi, baise-moi », et elle jouit encore très fort, empalée sur ma verge ; jétais à deux doigts de jouir aussi, mais trop tard ! Lallongeant sur le dos, je lui fis ouvrir les cuisses et lui écartai les lèvres de son si mignon petit bijou pour introduire une bonne partie de sa culotte à lintérieur de son vagin. Je voulais la photographier ainsi, mais elle refusa, et retira la culotte de sa vulve. Ses cuisses étaient toujours écartées ; je pris sa main droite pour la placer sur lune des lèvres de son sexe. En tirant sur cette lèvre, elle entrouvrit son sexe ; de ma main gauche, jécartai son autre lèvre. Quel spectacle sensuel
Allongé entre ses cuisses, je saisis ma verge tuméfiée pour me branler, le regard fixé sur sa vulve écartelée ; quand je sentis la jouissance arriver, je me mis à genoux entre ses jambes pour pouvoir éjaculer sur sa chatte. Mais, en changeant de position, je perdis ma concentration et seules quelques gouttes jaillirent, sans que jéprouve de plaisir. Quelle frustration ! Nous nous collâmes lun à lautre, lèvres contre lèvres, dans un grand moment de tendresse, sans rien dire, dans un demi-sommeil. Comme il se faisait tard et quelle devait rentrer chez elle, je replaçai mon visage entre ses cuisses, et cest juste avec ma langue et mes lèvres que je lui offris son cinquième orgasme de la soirée.
Une semaine sans nous voir ce fut tellement long ! Cette fois-ci, cest en pleine campagne que je lemmenai, à lorée dun bois, dans un pré recouvert dorties. Jy étendis une couverture et nous commençâmes à nous embrasser en nous caressant partout.
Je la fis jouir une première fois avec ma langue ; elle cria très fort. Puis je la pénétrai ; mais peu de temps après, mon érection faiblit pendant que je photographiais son visage dont les traits étaient déformés par le plaisir. Elle redonna de la vigueur à ma verge défaillante en la léchant et en la suçant. Je lui donnai une deuxième fois du plaisir avec ma langue, dégageant bien le petit gland de son clitoris ; comme la première fois, elle cria très fort. Lorsque je la pénétrai, mon érection faiblit à nouveau
Je plaçai mon visage face à sa vulve et, lui écartant les lèvres, je commençai à me masturber ; puis je lui introduisis un doigt dans le vagin et lui demandai douvrir son sexe tandis que je me branlais. Mes cris de plaisir rompirent le calme de la campagne
Deux jours plus tard, elle minvita chez elle ; après avoir déjeuné, elle mamena dans sa chambre, où un lit en 160 cm de large nous attendait. Cest elle qui me déshabilla. Remarquant mon érection, elle se saisit de mon sexe raide et le branla langoureusement. Je lui demandai « De quoi as-tu envie ? » Comme elle ne répondait pas, jécartai sa petite culotte et lui plantai dun coup et sans la moindre préparation ma verge au fond du vagin ; elle sy engloutit sans aucun problème, car sa vulve était totalement liquéfiée Après avoir fait lamour, je descendis entre ses cuisses pour la faire jouir avec ma langue.
Après son orgasme, je continuai à la caresser pour imprégner sa culotte, lintroduisant avec mon pouce à lintérieur de son vagin ; puis nous refîmes lamour, et je retournai lui sucer le clito : elle jouit une deuxième fois. Après son orgasme, jamenai ma verge devant ses lèvres ; sans hésiter, elle prit mon gland circoncis dans sa bouche et me suça délicieusement, léchant mon sexe dans ses moindres détails. Je lui demandai de me mordre, lui indiquant jusquoù elle pouvait aller sans me faire souffrir ; elle fut étonnée par ma résistance à la douleur
Finalement, nous fîmes un 69, et elle maspira jusquà la jouissance ; mais, surprise par la puissance du premier jet de mon éjaculation, elle laissa sortir de sa bouche ma bite tressautante, ne pensant même pas à me branler ! Mon sperme continua à jaillir par saccades, mais je néprouvai aucune jouissance, juste un profond soulagement de la tension accumulée. Jexprimai ma déception par un « Merde ! » alors que Roxane essuyait ma semence, dont ses lèvres étaient maculées, sur son oreiller.
Je continuai à la caresser sur tout son corps et, lorsque ma main qui suivait la courbure de ses reins arriva à lorée de sa vulve, je constatai quelle était ruisselante. Jintroduisis mon pouce entre ses lèvres et le fis glisser de son clito à lentrée du vagin. Elle apprécia énormément cette caresse. Je remplaçai mon pouce par dautres doigts, commençant par lindex et, très rapidement, je me retrouvai avec quatre doigts qui se démenaient dans son fourreau suintant. Je tentai dintroduire mon pouce en plus ; celui-ci trouva sa place : javais toute ma main à lintérieur de son ventre ! Mais, comme son conduit intime nétait pas assez profond, je narrivai pas à enfoncer ma main jusquau poignet. Roxane appréciait beaucoup le traitement que je lui faisais subir mais, lorsque je tentai de refermer mes doigts pour en faire un poing, elle commença à souffrir. Jarrêtai donc et, retirant mon pouce, je lui malaxai lintérieur du vagin avec quatre doigts ; mon pouce sinsinua entre ses fesses pour trouver son petit trou, où je ly enfonçai le plus loin possible ; puis jactionnai mes doigts comme une pince. Roxane jouit encore
Je les retirai pour les remplacer par ma langue, et je lui enfilai un index au plus profond de son cul ; elle aima beaucoup. Avec du gel, je lui mis également le majeur, puis lannulaire : elle aima encore plus ! Après avoir bien travaillé son cul avec trois doigts, ma verge entra facilement dans son fondement. Ca y était ! Enfin, je la sodomisais Ses jambes sur mes épaules, nous nous embrassâmes tendrement pendant que ma vieille queue coulissait dans son étroit boyau ; je ne me souviens plus si elle a joui.
Je sortis pour aller fumer un cigare, à poil au bord de la piscine, puis revins dans la chambre auprès de Roxane. Mes doigts ségarèrent sur ses fesses ; elle mouillait encore Elle nen avait jamais assez ! Mon sexe ayant retrouvé sa vigueur, nous refîmes lamour ; mais mon érection ne tint que quelques minutes, insuffisantes pour lamener à lorgasme. Je le remplaçai à nouveau par quatre doigts pendant quelle se branlait le clitoris sans que je lui aie demandé : jappréciai son initiative ! Après quelques minutes de ce traitement, je retirai mes doigts et laidai à introduire ses propres doigts dans son vagin. Agenouillé entre ses cuisses, jentrepris de me branler devant ce tableau extraordinairement excitant ; Roxane était là, devant moi, ses jambes gainées de bas résille largement écartées, exhibant sa vulve quelle avait rasée pour me faire plaisir. Le spectacle était trop tentant. Je saisis le Nikon pour faire une série de photos en lui écartant les lèvres, lui déclarant que cétait pour me masturber en les admirant lorsquelle ne serait pas avec moi.