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Retour dans le droit chemin – Chapitre 2




Elles me détachent.

— Tenez-vous debout en tenant votre jupe relevée, contre le mur.

Elle prend alors un appareil photo et photographie mes fesses.

— Cette photo apparaitra sur le mur de la honte dans les couloirs de linternat, ainsi tout le monde sera au courant de votre insubordination. Remettez vos habits, madame Lefebvre va vous accompagner en cours, étant donné le temps perdu ici, vous aurez 1h de colle pour compenser mercredi après-midi.

Je demande ma culotte pour me rhabiller, mais la surveillante refuse.

— Vous resterez sans culotte pour le reste de la journée.

— Mais je

— Silence !

Je sors de la pièce, accompagnée de ma tortionnaire, puis me dirige vers la salle de cours. Je sens, à chaque mouvement, le frottement de ma jupe sur mes fesses douloureuses, cest horrible. Mes yeux sont encore humides, et pour la première fois de ma vie jai si honte, je suis en colère et je me sens perdue.

Le reste de journée se passera calmement.

Je me dirige vers ma chambre après le repas. Japerçois dans les couloirs des élèves attroupées devant un cadre, en mapprochant, japerçois ma photo, tout le monde peut voir mon cul lacéré de coups de cravache, je ne peux mempêcher de pleurer et me précipite vers ma chambre. Jamais je nai ressenti une humiliation pareille !

En rentrant dans ma chambre, je maperçois quelle est en partie occupée, une armoire est entrouverte dans laquelle se trouvent des habits. Je maffale sur le lit, les yeux trempés de larmes.

— Salut.

Je me retourne et vois une fille de mon âge dans lentrée. Une petite blonde, mince, des yeux bleus, les cheveux très longs. Elle me sourit timidement et na pas lair à laise. Elle porte des grandes lunettes et a le regard triste.

— Salut, tes qui ?

— Je mappelle Laura, cest ma chambre aussi.

— Ok, moi cest Anne.

— Je-je suis désolée pour ce qui tes arrivé.

— Merci mais je préférerais ne pas en parler.

De toutes les filles que jai pu voir ici, elle lair dêtre la plus gentille… En tout cas ça a pas lair dêtre une pouf qui se la pète, et on sent quelle pas bien ici, au moins ça nous fait un point en commun. Ayant besoin de parler et de réconfort, on a discuté pendant plus dune heure.

Laura est issu dune famille riche elle aussi, mais malheureusement ses vieux sont morts dans un accident de voiture il y a quelques mois. Sa tante sen occupe depuis, une vielle connasse qui lui fait vivre un enfer Pour la première fois de ma vie, jai été touchée par son histoire, je pense quon pourra être amies.

Le soir même jai décidé dappeler mon père pour tout lui raconter, il ma écouté attentivement, puis à la fin de la conversation :

— Ecoute-moi bien, cela fait plusieurs années que tu nous fait vivre un enfer, nous avons tout essayé avec ta mère, mais sans résultats, je me fiche de la manière dont ils vont sy prendre, mais je ne veux rien savoir, noublie pas, si tu te fais encore une fois virée, je te coupe les vivres.. .

Puis il ma raccroché au nez, quel connard !

MERCREDI 25 SPETEMBRE 2013, 15H

Je viens de finir mon heure de colle et je vais enfin pouvoir souffler, on est mercredi est on a laprès-midi libre, on peut même sortir de lécole.

On a décidé avec Laura daller se promener dans le village le plus proche à 30 min à pied. Le village est petit et flippant : 1 bureau de tabac, un vieux bar Pmu rempli de gros beaufs dégeulasses et un supermarché le reste : des maisons, des fermes, des champs à perte de vue et un pauvre petit parc aux bords dun étang, génial

Je me suis acheté un paquet de clopes, on a acheté un gros pack de bières et on sest posé près de létang. Laura, rétissante au début, a fini par descendre quelques canettes. On a discuté pendant un long moment, et malgré le fait quelle soit coincée, on a bien rigolé, je crois que je lai un peu débridée !

Cest avec un bon coup dans le nez quon rentre à lécole, Laura et complétement défaite, jespère quon ne se fera pas callées, mais au moins on sest bien détendues

Arrivée à lentrée du château, on aperçoit une queue devant la porte, je maperçoit trop tard que mademoiselle Lefebvre fouille les élèves, filles et garçons.. ; Cest quoi ce délire ? Jai limpression dêtre en taule !

Arrivée à son niveau, je stresse, est-ce quelle va voir mon paquet de clopes, planqué dans mes chaussettes ?

— Mademoiselle Martin, vous puez lalcool ! Et votre collègue aussi !!

Elle fait glisser sa main sur mes jambes, et touche mon paquet elle le sort et lexhibe

— Bien, je vois que vous continuez à désobéir ! Vous nirez pas en étude après le repas, vous viendrez me voir dans la cour… toutes les deux.

Et merde !

Nous nous dirigeons donc dans la cour après le repas, elle nous attend.

— Suivez-moi

Elle nous emmène derrière le réfectoire, puis nous fais descendre des escaliers derrière la cuisine. On se retrouve dans la réserve, une cave sordide à peine éclairée Elle ouvre une porte dissimulée derrière une étagère et nous fait rentrer. Nous arrivons dans une pièce sombre. Elle allume quelques bougies. Le sol est mou : de la terre ! Au fond se trouve un vieux canapé en cuir et sur les murs des anneaux, ainsi quun crochet au plafond. Des vieilles couvertures recouvrent des objets ou des meubles. Elle ferme la porte à clé derrière nous.

— Bien, à priori vous navez pas retenus la leçon, je vais devoir sévir

— Déshabillez-vous, entièrement.

Je proteste

— Silence ! noubliez pas, nous sommes à deux doigts de vous renvoyer Obéissez ou vous en subirez les conséquences Quant à vous Laura, votre chère tante risque dêtre très déçue.

Mon amie fond en larme

— Je reviens dans quelques minutes, à mon retour, je veux vous voir entièrement nues…

Nous obéissons. Laura est très mince et possède des petits seins, elle frissonne et pleure à chaudes larmes. Je me sens mal mais encore plus triste pour elle, je culpabilise, cest par ma faute quelle se retrouve dans cette situation

Notre tortionnaire reviens, elle sest changée : un corset lui remontant les seins, nus. Un simple string en cuir et des cuissardes en cuir munies de talons dau moins 10 cm. Elle est dautant plus grande et imposantes, des épaules larges et des seins énormes. Elle a dans ses mains un gros sac en tissu quelle pose sur le sol. Elle approche de nous et nous fixe à chacune un collier en cuir muni dun anneau.

— Mais, quest-ce que vous faites ?

— Silence ! (elle me claque le cul avec sa main puissante, mes fesses ne sont pas remises de ma punition et elle me font souffrir, je fonds en larmes)

Elle fixe à nos anneaux des longues cordes quelle prend dans ses main et viens sassoir dans le canapé

— A 4 pattes, dépêchez-vous !

Nous nous exécutons Elle tire sur nos cordes pour nous faire venir à elle.

— Bien, vous allez vous pencher en avant, le cul bien tendu et vous allez me lécher les pieds.

Cest avec beaucoup de dégouts que je pose ma langue sur le cuir de ses cuissardes, je regarde Laura qui en fait autant. Et dun coup, SLASH ! Une terrible douleur menvahie, elle vient de ma fouetter le cul avec un martinet en cuir, elle fait de même sur le petit cul de Laura qui crie de douleurs.

— Criez autant que vous le voudrez, personne ne vous entend ici Appliquez-vous je veux vous voir baver sur mes pieds !

SLASH SLASH ! Elle alterne un coup sur me fesses, un coup sur celles de Laura. SLASH SLASH !

— Bien à genoux maintenant ! Laura, placez-vous derrière Anne et vous allez tenir fermement ses gros seins, relevez-les.

Laura se place derrière-moi, elle me prend les seins, cest la première fois quune fille me touche Ses mains sont douces et tremblantes.

— Bien, jouez avec ses seins, je veux que vous les malaxiez, pincez ses tétons, tirez dessus.

Laura sexécute, mes tétons se durcissent très vite et malgré la douleur et lhumiliation, sa douceur me fait du bien. Pendant ce temps, la surveillante allume une cigarette de mon paquet.

— Bien, tenez-les bien fermement, rapprochez-les. Anne, cambrez-vous, tendez vos seins au maximum

Je mexécute Elle prend alors la cigarette et commence à presser le bout incandescent sur un de mes seins, jhurle de douleurs et me recule.

— Tenez-là, maintenez-là en place ou vous subirez le même sort. Laura fond en larme de plus belle.

— Désolée Anne, jai trop peur.

Je sens son corps se plaquer contre moi, ses petits seins chauds dans mon dos. Elle tient fermement mes seins et les rapproche. Elle est fluette, mais elle arrive à me maintenir, je sais quelle ny peut rien, je décide me le laisser faire , je veux pas quelle subisse le même sort.

La vieille recommence à écraser la clope sur mes seins PSSST ça me brûle cest horrible. Elle sarrête et pose alors ses grosses mains sur chacun de mes seins. Elle joue avec les pince fermement puis commence à soccuper de mes tétons, elle les titille, les pinces tire dessus jai mal dautant plus quils sont tout durs. Elle commence alors à me les claquer violemment.

— Tu as vraiment des beaux seins, Anne, et des bons gros tétons. Bien, Laura lâche-là, vous allez venir toutes les deux à côté de moi à genoux sur le canapé, chacune dun côté.

On fait ce quelle demande. Elle nous attache alors les mains dans le dos, chacune à tour de rôle. Elle prend nos cheveux ou nous oblige en même temps à plaquer nos visages contre ses grosses mamelles, elles sont énormes et gonflées.

— Vous avez de la chance, jai un enfant en bas-âges et les seins remplis de lait, vous allez me téter, me pomper les mamelles et je vais remplir votre bouche de ce délicieux nectar.

Elle tire sur nos cheveux et je nai dautre choix que de prendre son téton en bouche. Je les lèches. Laura de son côté est déjà en train de téter, elle pompe le gros téton qui soffre à elle, des bruits de succion retentissent dans la pièce et très vite du lait coule dans le coin de ses lèvres.

— Prends exemple sur ta copine, Anne, pompe et avale mon lait. Humm Laura, tu fais ça tellement bien.

Je prends mon courage à deux mains et commence à téter, le lait couler alors abondamment dans ma gorge, cest dégeulasse ! Jai à maintes reprises des haut-le-cur.

— Cest bien, continue, tu as des lèvres si pulpeuses, je suis sûr que tu taille très bien les pipes, tu aimes pomper ?

Il est vrai que je suis assez douée pour ça et les mecs apprécient quand je les suce dailleurs jadore ça ! Je mévade un peu et repense à mon ex Jaimerais tellement être blotti dans ses bras. Soudains des images reviennent dans ma tête je me revois en train de le sucer, son sexe gonfle dans ma bouche et très vite il balance la purée Je commence alors à sentir de la mouille couler entre mes cuisses

Mademoiselle Lefebvre sen aperçoit Elle me caresse le cul, écarte mes cuisses et commence à jouer avec mes lèvres, elle y glisse un doigt, les écartent et très vite joue avec mon clito. Je suis dégoutée mais je ne peux mempêcher de mouiller, cest horrible, quest-ce qui marrive ?

— Et bien, on dirait que tu aime ça. Je suppose que tu nes pas vierge ?

— Non

— Tu aimes quand je joue avec ton petit bouton ?

— Non ! Arrêtez !

— Menteuse (elle me claque le cul)

— Bien cela suffit, debout ! toutes les deux !

Elle se lève et enlève le drap dun meuble, il sagit dune sorte de table munie danneaux.

— Viens ici Anne, penche-toi sur la table.

Je me penche, elle lie mes poignets aux anneaux puis mes chevilles aux pattes de la table.

— Tu es vierge Laura ?

— Oui madame.

— Bien, nous nous occuperons de toi plus tard.

Quelques minutes se passent et elle se poste devant moi, elle enlève le drap dun miroir juste devant moi et je vois Laura debout derrière, munie dun gode-ceinture. La vielle se place derrière elle.

— Bien, Laura, puisque cest par sa faute que tu te retrouves ici, tu vas la punir.

Elle proteste.

— Non, sil vous plait !

— Silence ! (elle lui claque le cul)

Elle lui attache les mains dans le dos, saisit son gode et pousse sur son dos. Je sens le strapon écarter mes lèvres.

— Bien, tu vas la baiser comme une cochonne, regarde-là, elle ne demande que ça. Tu vois comme sa chatte est trempée ?

Je sens le gode à lentrée de mon vagin. La surveillante, toujours placée derrière Laura, magrippe les hanches et dune force incroyable force Laura à me pénétrer. Le gode rentre presque entièrement dun coup dans mon vagin, jai mal et jhurle de douleur.

— Bien, baise-là fait des mouvements de va et viens rapide, bien au fond de sa chatte, je veux que tu lui fasses mal. Si tu nobéis pas, cest toi qui auras mal, tu as compris ?

— Oui madame.

Laura entame alors des mouvements amples et je sens le gode me pénétrer violement. Je vois dans le miroir Laura en larmes, la vielle la plaque sur mon dos, elle lui choppe le cul et avec force, lui fait faire des vas et vient. Elle vient ensuite me détacher et mordonne de me mettre à 4 pattes sur le sol. Elle détache Laura.

— Tu vas te débrouiller toute seule, prend ses hanches dans tes mains et baise là.

Laura sexécute, elle me prend par la taille et me donne des gros coups de reins de plus en plus intensifs. Elle le fait de plus en plus naturellement jai limpression quelle apprécie. Jessaie de mévader dans mes pensées et jimagine mon ex me prendre avec passion.

La vieille commence à jouer avec mes seins qui pendent et bougent sous les coups de rein, malgré son corps fluet, Laura et très énergique. Je sens alors les grosses mains de mademoiselle Lefebvre se poser sur mes fesses, elle les écarte, me les fesses. Je suis honteusement très excitée et je sens que je vais jouir Je sens alors un doit jouer avec mon anus.

— Humm, jadore ton cul ma cochonne, il est bien gros et rebondi, tu aimes te faire enculée ?

— J-j ai, jamais essayer.

— Bientôt

Elle joue avec ma rondelle tout en me claquant le cul je ne peux me retenir et émet de petits gémissements.

— Cest bien, je veux tentendre couiner comme une truie !

Jhurle de plaisir et jexplose, jinonde le sol de mouille. Laura se retire et je maffale sur le sol. Je vois dans le miroir la surveillante qui sapproche de Laura elle se place derrière elle et lui enlève le gode. De la mouille coule le long de ses cuisses. Elle lui caresse alors ses seins, pince ses téton et tire violemment dessus. Elle commence alors à lui caresser la chatte.

— Ça ta plus de prendre cette petite salope ?

— O-oui madame.

— Bien et tu aimes quand je joue avec tes touts petits seins ?

— O-oui

— Bien.

Elle lui caresse la chatte, joue avec son clito et lui met un doigt.

Laura se cambre, tremble et explose à son tour elle pousse des petits gémissements

— Bien, vous allez vous habiller et rentrer dans votes chambre. A partir de maintenant, vous allez être mes petites chiennes soumises, je pourrais disposer de votre corps quand bon me semble. Cela va être difficile au début, mais à la longue vous prendrez du plaisir dans lobéissance et la soumission, est-ce que vous avez bien compris ?

— Oui mademoiselle.

— Non, Maitresse

— Oui Maitresse

A SUIVRE

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