Si cette histoire est un fantasme, elle s’inspire néanmoins d’une base bien réelle de deux amis très proches, ayant partagés de nombreuses aventures.

Jean et Marc se connaissent depuis toujours. Ils ont grandi ensemble, chacun faisant presque parti de la famille de lautre. Ils restent dormir chez lun ou lautre.

Jean va fêter ses 18 ans dans quelques jours. Il vient de rentrer du lycée où il est en pension pour un week-end prolongé et il lui tarde de retrouver Marc. Celui-ci travaille déjà dans une petite entreprise. Il a un an et demi de plus que lui et a choisi des études courtes. Il vient juste de sinstaller dans un petit studio et il attend son ami avec impatience. Allongé sur son canapé-lit, il est déjà nu, la queue bien dure. Il a hâte de voir sa petite pute venir sallonger contre lui avant quelle ne le prenne en bouche. Depuis le temps quils couchent ensemble, Jean a appris à le sucer comme une vraie petite femelle. Petit à petit, il sest amélioré pour maintenant lui faire de véritables gorges profondes. Il pourra ensuite le prendre en levrette, glisser sa grosse queue entre ses reins. Si au début Jean a rechigné à se faire sodomiser, il en est maintenant devenu accro, une vraie femelle en chaleur.

On frappe.

— Marccest moi !

— Entre, cest ouvert .

Jean découvre son ami, allongé sur le lit, nu et excité. Lui aussi est excité. Il bande comme un fou et il est à létroit dans son pantalon, même si sa queue est bien moins grosse que la sienne. Il se couche sur lui et lembrasse à plaine bouche. Les mains de Marc passent déjà sous son tee shirt et sous son pantalon. Jean est nu à son tour en quelques instants et déjà il se glisse entre les cuisses de son amant pour le prendre en bouche. Marc lui caresse les fesses, passe ses doigts sur sa rondelle et lui caresse les couilles. Il veille à ne pas trop toucher sa queue. Il le sait tellement excité quil pourrait jouir rapidement. Il veut le garder dans cet état Jean se délecte de ce membre épais et assez long. Il en a rêvé toute la semaine et ce nest pas les quelques bites sucées au dortoir qui pourraient remplacer celle-ci ! Il lavale entièrement, jusquà poser ses lèvres contre le pubis fourni de son ami, tirant la langue sur ses couilles, la gorge bien rempli par ce membre viril. Il reste le plus longtemps possible, sans respirer, avant de se retirer, faisant glisser cette colonne de chaire entre ses lèvres. Il aime entendre Marc gémir, sentir sa queue frémir quand le plaisir monte, sans savoir si il va décider de se vider dans sa gorge ou attendre dêtre dans son ventre. Car cest Marc qui décide. Depuis toujours Marc est le chef, le dominant. Il est bien plus costaud que Jean, bien plus viril. Et dès quils ont commencé à se toucher, puis à baiser ensemble, cest tout naturellement lui qui dirigeait et Jean sest plié à ses décisions, a accepté les désirs et les caprices de son ami, le laissant bien volontiers dailleurs le doigter dabord puis sodomiser ensuite. Sans vouloir se lavouer dans un premier temps, Jean a tout de suite bien apprécié ce traitement.

— Viens sur moi je veux te regarder prendre ton pied

Jean saccroupit au-dessus de Marc, plaçant ses fesses au-dessus de ce pieu quil vient de lubrifier. Il sent sa rondelle frémir de plaisir. Il se saisit de cette hampe dressée et place le gland turgescent à lentrée de sa grotte. Ce contact le fait déjà gémir de plaisir car il anticipe déjà tout le plaisir quil va ressentir. Il samuse tout de même à se caresser la rondelle avec mais Marc est aussi impatient que lui. Il veut voir sa queue disparaître entre ses fesses. Il lui attrape les hanches pour limmobiliser avant de remonter le bassin. Il sent son gland simmiscer dans la rondelle bien chaude. Il la sent souvrir. Il sait que Jean est en train de pousser pour aider son passage, les yeux fermés, la bouche ouverte. Il se tire sur les tétons alors quil descend le long de sa colonne de chair. Marc sent sa bite pénétrer le ventre de son amant jusquà sentir ses fesses se poser sur son ventre. Jean ouvre alors les yeux et se penche vers lui pour lembrasser à pleine bouche mais Marc veut maintenant lui labourer le cul, le faire crier de plaisir sous ses coups de boutoir. Il lui maintient les fesses alors quil le pilonne avec de violents coups de rein. Accroupi au-dessus de son homme, Jean se laisse posséder, savourant ce pieu puissant dans son ventre. il se contracte par instant pour mieux lemprisonner, pour mieux le sentir, provoquant des gémissements de son amant. Il le sent se raidir encore, proche de lexplosion. Mais Marc le maintient un moment plaqué contre son ventre, la queue dressée dans son ventre. Il le laisse reprendre e contrôle avant de se mettre à le baiser à son tour. il se redresse doucement avant de redescendre sur son chibre. Puis recommence, en le laissant presque ressortir et retombe sur lui. Il accélère doucement la cadence jusquà ce que Marc larrête encore, à nouveau au bord de la jouissance. Marc se redresse et sans se séparer, le retourne sur le lit. Le voilà pris en levrette. Il se tient les cuisses bien ouvertes en se tenant par les genoux, souvrant largement aux assauts de son ami. Chaque coup de rein le fait gémir alors que sa queue bien raide tape sur son ventre. Dans cette position, Marc lui laboure la prostate, le faisant mouiller abondamment. De son méat sécoule maintenant du liquide séminal. Bien transparent au début, il devient de plus en plus opaque, témoignant de la présence sperme. Il va le faire juter sans lavoir branlé. Marc aime le voir ainsi, ouvert, possédé, la queue suintant de plaisir. Il aime lui labourer sa chatte de petite femelle. Chatte quil a lui-même ouvert à force la prendre. Il ne connaît que lui, ouvert comme ça. Aucun des mecs quil baise nest aussi plaisant à prendre. Il le sent se contracter sur sa queue, comme sil la suçait avec son cul. Cest trop bon, il ne va pas pouvoir se retenir plus longtemps. Jean gémit de plus en plus fort en lencourageant de la prendre plus fort. Agrippé à ses hanches, il le pilonne maintenant bien à fond, son ventre venant claquer contre ses fesses. il va jouir, exploser dans son ventre. Il accélère encore et éjacule de longues giclées de semence dans le ventre de sa petite femelle, la fécondant comme une chienne en chaleur. Jean a senti les jets puissants et chauds dans son fondement accompagnant les violents coups de rein. Le chibre sest encore durci, le gland un peu plus gonflé, massant encore un peu plus ses chaires intimes déjà surexcitées. Son ventre prend feu, le dos parcouru dun énorme frisson qui remonte vers sa poitrine faisant pointer encore davantage ses tétons déjà durs. Il sagrippe à ses genoux pour rester ouvert aux assauts de son amant mais la jouissance le fait lâcher prise. Il sent sa queue comme poussée de lintérieur alors quil se déverse sur son ventre. Marc sest immobilisé contre lui, sa queue toujours au fond de son ventre. Il bascule sa jambe sur le côté pour le laisser se glisser dans son dos, toujours soudé à lui. Recroquevillé devant lui, Jean savoure linstant. Il sent le membre de Marc se ramollir doucement alors que sa rondelle laisse sécouler un peu de son foutre.

— Tu mas bien rempli !

— Je ne me suis pas branlé pendant au moins trois jours et tu mexcites trop !

La queue de Marc finit par glisser entièrement, laissant sécouler davantage encore de sperme. Il envoie Jean se laver.

— Tu en as partout . Devant et derrière … toi aussi tu avais de la réserve !

Jean file sous la douche non sans avoir collecté son sperme avec ses doigts pour les sucer avec douvrir leau.

— Viens vite me raconter ta semaine !

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