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Un covoiturage avec Guillaume – Chapitre 3




J’ai fait la connaissance de Guillaume, lycéen, lors d’un covoiturage pour le ramener chez ses parents, à quatre heures de route. Il s’est passé une chose tout à fait improbable qui nous a amenés à nous faire mutuellement une pipe, et surprise, lors d’un autre trajet, il s’est réinscrit comme passager. Cette fois-ci, nous sommes allés plus loin, finie l’improvisation hasardeuse, nous avons fait les choses en grand et cette petite salope m’a enculé.

Je lui ai proposé qu’on se voie chez moi un après-midi où il n’a pas cours, et il a dit OK.

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Le lundi est arrivé. Guillaume n’a pas de cours l’après-midi, et je dois aller le chercher à midi à la sortie de son lycée, on a prévu de passer un après-midi ensemble, chez moi, et ce ne sera pas pour "enfiler des perles" !… Encore que.

J’ai tout préparé le matin même. La cuisine, la déco, la musique, et le scénario bien sûr, car comme la dernière fois, pas d’improvisation. Si cette petite salope m’a enculé, c’est parce que je m’y étais préparé, et aujourd’hui ce sera son tour.

Je suis donc un peu avant midi devant le lycée, et j’attends Guillaume. Il sort un peu après midi, repère ma voiture, et vient jusqu’à moi. Il monte, il me regarde, il y a des copains à lui dans le coin, on démarre direction la maison, 30 minutes de route, quelques discussions sur ses cours, il doit rentrer au lycée à 18 heures, c’est large, pas de problème. On arrive, je le fais entrer, et tout de suite je le saisis dans mes bras et je le mets à l’aise avec une superbe pelle bien gourmande. Je le serre contre moi, le pelote ouvertement, comme toujours, il est un peu réservé, je lui masse les fesses, il reste passif, ne t’en fais pas mon petit, ça va venir.

J’ai préparé un peu de cuisines, on s’installe à table, pas d’alcool, je joue un peu avec lui, je lui fais goûter quelques petites choses les yeux fermés, je l’embrasse, le caresse, il faut ça pour le mettre vraiment à l’aise. Après le dessert, je lui propose de jouer. Je sors une sorte de jeu de l’oie érotique, on s’installe l’un à côté de l’autre et on lance les dés. Guillaume est comme toujours un peu intimidé, le fait est que je fais tout pour le surprendre et le faire entrer dans un univers érotico-sexuel. Il commence, et lit ce qu’il doit faire :

Faites des bisous dans le cou de votre partenaire ! Ouh, ça commence doucement, c’est cool… et il vient derrière moi et me fait des petits bisous dans le cou, c’est la première fois qu’il doit comme ça prendre une initiative, il est à l’aise. C’est mon tour :

Caressez pendant 30 secondes la poitrine de votre partenaire, je m’exécute et on continue comme ça, ça dure pratiquement une demi-heure et progressivement, nous enlevons nos vêtements au gré des gages, on se touche de manière de plus en plus intime, Guillaume s’échauffe beaucoup, on rit, on s’amuse vraiment, on va même de plus en plus au-delà du gage pour se toucher, s’embrasser, s’émoustiller. A la fin du jeu, il est assis à califourchon sur mes genoux, il m’embrasse goulûment, le sexe érigé entre nous alors que le mien est en dessous, entre ses testicules et ses fesses.

Alors Guillaume, on va plus loin ?

Oui, bien sûr, c’est super, je suis trop excité, j’ai envie de faire plein de choses, je suis complètement fou."

OK, alors viens, on va passer dans la salle de bain, on va se préparer."

Dans la salle de bain, je fais couler la douche, on entre tous les deux dans la cabine et on se savonne mutuellement. Comme la dernière fois, je commence à lui titiller l’anus, il gigote d’excitation et prend même l’initiative de me faire pareil. Comme il me l’a déjà fait, il m’introduit un doigt dans l’anus et moi je pars en exploration dans son cul.

Je vais t’apprendre quelque chose. Pour faire ce qu’on va faire, il faut être très propre et de partout. Je vais te montrer.

J’arrête la douche, je demande à Guillaume de se sécher rapidement pendant que je démonte le pommeau de douche. J’explique à Guillaume que pour se nettoyer bien, il faut introduire un peu d’eau tiède dans l’anus et aller aux w. c. pour tout expulser. Évidemment, il l’ignorait complètement, comme beaucoup de personnes d’ailleurs qui finissent ce genre de chose dans la merde, et ce n’est pas ce que je ne souhaite ni pour moi ni pour lui. Je le fais se pencher en avant, j’ouvre un peu le robinet, approche le tube de son anus et l’applique contre. L’eau pénètre, Guillaume me dit la sentir, ça le fait rire de surprise, je stoppe et l’envoie aux w. c… Il revient, on le refait encore deux fois et il m’assure qu’il n’y a plus rien et que l’eau est propre. Je l’embrasse tendrement, le caresse et lui dis qu’on va vérifier ça. Je mets du savon sur un doigt, je le fais se pencher en avant, et j’enfonce mon doigt dans son petit cul, qui est tout propre. Nous sommes prêts.

On va dans la chambre, on s’allonge sur le lit, je le serre contre moi en le bécotant et en le pelotant partout. Il devient vraiment plus hardi et me rend la pareille. Je m’allonge sur le dos et l’invite à venir sur moi, tête-bêche. Il me suce immédiatement et je prends son sexe en bouche. J’ai déjà "fait subir" des gorges profondes, c’est ce que je veux avec lui, qu’il m’enfonce sa queue tout au fond de la gorge et qu’il jouisse ainsi. Évidemment, je ne peux rien lui dire, j’ai la bouche pleine ! Alors je lui glisse un doigt dans le cul, il gémit, oublie de me sucer pour râler longuement à chaque mouvement de mon doigt, puis de deux doigts que j’appuie fortement sur sa prostate, ce qui le fait gémir encore plus. De mon bras gauche, j’appuie progressivement sur son dos pour le faire progresser dans ma gorge. Je respire par le nez, j’avale ma salive, et je sens son sexe grossir encore dans ma bouche.

Je commence à durement ramoner son petit cul, il oublie de me sucer, gigote dans tous les sens en gémissant que c’est bon, que c’est trop bon… bref, il est content. A ses mouvements et ses râles, je me rends compte qu’il va bientôt jouir. Je fais mon possible pour l’immobiliser, il commence à me faire mal à gigoter comme ça, je plante mes doigts dans son rectum et l’attire vers le bas et mon bras pèse sur ses reins, et il éjacule bruyamment et abondamment au fond de ma gorge. C’est un orgasme puissant qui le laisse sans force, affalé sur moi, à respirer fort pendant quelques minutes. Comme son sexe ramollit, il ressort de ma gorge, je continue de le téter gentiment, puis je bascule Guillaume sur le côté. Il est toujours dans les vapes, et je vais en profiter.

Je m’allonge sur lui, le bécote de partout, pince ses tétons, suce encore un peu sa queue et lui remets deux doigts dans le cul, en attendant plus. Je le fais à nouveau gigoter, il balance sa tête de droite à gauche les yeux fermés, je glisse plus bas et lui fais largement écarter les cuisses. Je prends le lubrifiant à pleine main et je tartine autour de son anus. Deux doigts, trois doigts, ça entre et ça ressort, il gémit continuellement sans avoir vraiment repris ses esprits. Je prends ses jambes, les relève bien écartées pour soulever son cul, et je glisse un coussin sous ses fesses. J’enfile rapidement un préservatif, et je présente mon gland contre son anus, il va le sentir passer. Je frotte, je vais et viens, j’appuie, ça force.

Guillaume bouge son bassin, il se rend compte de ce qui se passe et à voir le retour de son érection, je me doute qu’il est très excité. Il gémit sans arrêt, bruyamment. Je reviens dans son cul avec mes doigts, distends encore un peu son anus, puis je présente mon gland et appuie fortement. Voilà, c’est passé tout d’un coup, Guillaume a un petit cri qui se termine dans un râle, j’enfonce un peu plus, je franchis les différents anneaux de son rectum et j’arrive enfin en butée.

Voilà Guillaume, c’est bon, tout y est, bravo ma louloute, t’es une belle salope, tiens. Maintenant, je vais te tringler, je vais te faire jouir, je vais te défoncer.

Je commence donc mes va-et-vient, en lui tenant les jambes en l’air pour lever son petit cul. Après quelques minutes, je sors, le retourne et le mets à quatre pattes pour le prendre en levrette. J’attrape ses hanches et je le fais aller et venir sur mon sexe, de plus en plus vite, de plus en plus fort, je sens le plaisir arriver, et j’éjacule violemment comme cela m’est rarement arrivé. Je crie, il crie aussi, on s’effondre l’un à côté de l’autre, on sombre tous les deux dans une torpeur heureuse.

Je le serre contre moi, je suis dans son dos, ses fesses contre mon sexe qui est encore gros, ma main sur son sexe qui est encore bandé. Je le bécote, lui dis que c’était très bon, que je ne regrette pas et que j’espère que ça lui a plu. Il reprend un peu ses esprits se tourne vers moi, me regarde dans les yeux, il a l’air comblé et m’embrasse brutalement, sa langue m’envahit la bouche, je le bois avidement en le caressant partout. On finit par s’endormir comme ça, nus dans le lit en plein après-midi.

Il reste encore pas mal de temps à passer ensemble cet après-midi, on recommence, il m’encule à son tour, un peu comme un sauvage et on a à nouveau tous les deux des orgasmes extatiques avant de renoncer à remettre le couvert.

Vers 17 heures, on s’habille, on reprend la voiture et je le ramène vers son lycée. En chemin, je m’arrête plusieurs fois pour l’embrasser, le caresser et le taquiner. Je le laisse enfin devant son lycée, et je rentre mettre de l’ordre dans la maison qu’on a laissée un peu en champ de bataille amoureuse.

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Alors que dois-je en penser maintenant ? Je ne pense pas être plus homosexuel qu’avant, Guillaume a été une opportunité qui m’a pris pas surprise, quelque chose de décalé et qui n’a évidemment pas beaucoup d’avenir. Ce que je me demande sérieusement par contre, c’est est-ce que j’ai suscité une tendance chez Guillaume, ou est-ce qu’il avait déjà avant notre rencontre une véritable orientation homosexuelle ? Dans les quelques échanges que j’ai eus avec lui, je n’en ai pas eu l’impression, plutôt qu’il s’est laissé porter par les circonstances, de manière passive… Oui, d’accord, mais je ne dois pas oublier qu’il se branlait quand même dans ma voiture en matant une vidéo sur son mobile. Et je ne lui ai jamais demandé ce qu’il regardait et qui le mettait dans cet état. Il faudra peut-être que je le lui demande si on se revoit.

FIN.

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