PARTIE 2 : Une question de moral
Une semaine après cette révélation faite sur ma mère par Yves, je me rendis chez elle pour lui faire un petit coucou. Il faut dire que javais bien mis tout ce temps pour chasser ces images malsaines de ma tête.
Jétais assis à la table de sa cuisine et je la regardais en train de nous préparer un café. Elle parlait de ses soucis financiers mais je nétais pas attentif à sa conversation. Je regardais ma mère avec un il différent par rapport à dhabitude
Elle mesure pas loin dun mètre soixante-dix, avait les cheveux brun foncé avec quelque intrus blanc. Pas désagréable à regarder, elle a une belle silhouette, de belles jambes, un beau derrière et une poitrine qui a lair généreuse mais malheureusement, pas mis en valeur. Elle a un petit peu de ventre, mis à part cela ont peu dire quelle est bien conservé pour une femme de 50 ans, dautant plus quelle soigne son apparence par un léger maquillage.
Je me mentais à moi-même en croyant que javais oublié mes mauvaises pensées ! Je limaginais toujours à 4 pattes sur son lit, le cul bien en lair à attendre Yves
Et puis avec cette facture de gaz qui mest tombé dessus Tu mécoute ?
Oups ! La voilà qui me regarde avec de grands yeux interrogateur alors que je décroche les miens de la vision de son arrière-train. Je lui répondis :
Et sinon avec Yves, ça se passe bien ?
Oui, enfin tu sais, on ne brusque pas les choses. Cest dur de refaire sa vie à mon âge
Tu métonne que tu ne brusque pas les choses ! Ça fait 2 ans quils se connaissent et ne passe pas plus de 2 jours ensemble, chacun aillant son appartements. Bon et puis faut dire quavec le boulot dYves (camionneur), il sabsente parfois 3 ou 4 jours entier. Finalement, il a la belle vie ce Yves ! Il a toutes sont indépendance, et quand il a envie, il envoie un texto à ma mère, la baise, et le lendemain cest comme si il ne sétait rien passé Au fond, je crois que je lenviais, Yves
Une fois rentré chez moi, une obsession me tiraillait : ma mère ! Elle que je navais vu auparavant que comme une génitrice, je la voyais aujourdhui comme une femme Accessible !
Une barrière, morale surement, me freinas. Créant chez moi ce qui pouvait sapparenter a de la douleur tellement jétais déchirer entre le respect dune relation mère/fils et mes pulsions sexuelle.
Il était 1 heure du matin quand cette barrière céda. Jétais dans mon lit, allongé sur le dos, les yeux visant le plafond jéchafaudais mon plan, pensant aux multiples détailles quil fallait que janticipe. Je ne trouvai le sommeil que lorsque je pensais avoir pensé à tout Autant dire quentre ça et mon réveille à 7 heure, ma journée de travail allait être très longue.
Jattendis la fin de la semaine pour attaquer mon plan. Phase 1 : faire parler Yves. Pour cela, rien de plus facile, il fallait le faire boire. Cest ainsi que nous nous retrouvâmes dans un coin du même pub ou il mavait révélé il y a 2 semaines, son intimité avec ma mère. Apres quelques verres, je neus aucun problème pour orienter nos conversations, jobtins de précieuses informations. Dabord, coup de chance, il serait absent dès le début de la semaine suivante car il doit faire des allers retours entre le centre de la France et lEspagne. Ensuite je su que son téléphone étais toujours en numéro masqué car il utilisait toujours celui de son travail. Lui, en appelant en numéro masqué pour prévenir ses clients de ses retards, ça lui évitait quils rappellent afin de le harceler pour lheure de livraison. Ainsi jétais libre denvoyer un texto hot à ma mère en cachant moi aussi mon numéro. Jobtins également dautres petits détails qui me serviront pour les phases suivantes.
Jy pensai tout le week-end qui suivit. Mon subcontinent essayant de trouver des excuses pour ne pas le faire : « Elle va remarquer que ce nai pas Yves ! ». Comme un combat intérieure je répondis : « Yves ma dit quils ne parlaient pas pendant ces moments-là et lui et moi avons a peu près la même corpulence ! ». Cest décidé je le ferais !
Nous sommes lundi, 21 heures. Jai eu la confirmation quYves était parti.
Dans la poche de mon blouson jai le double des clés de chez ma mère. Double qui me servait pour venir arroser ses plantes pendant ses rares vacances.
Je suis en bas de son immeuble. Jai vu que seul la lumière de la chambre de ma mère était allumé.
Je tremble Est-ce que ça va marcher ? Vais-je réussir à aller jusqu’au bout ?
Je monte les escaliers jusquau deuxième étage. Je mets la clé dans la serrure Je tourne
Il y a une heure jai envoyé un texto en numéro masqué à ma mère :
« Finalement je suis rentré, je repart demain matin. Attend moi nue à 4 pattes sur ton lit pour 21h. Yves »
