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De l'initiation à la finalité – Chapitre 24




La vie commune

Dès mon dernier jour de travail terminé Didier avait décidé que nous irions passer une semaine à la montagne pour fêter notre vie commune effective.

Quand ce jour arriva il m’attendait en bas de l’immeuble où je travaillais avec le camping car qu’il venait d’acheter, je montai et nous prîmes la route.

A la première aire de repos Didier s’arrêta, je savais pourquoi, c’était pour que je puisse me travestir car la veille il m’avait dit ’A partir de demain soir, sauf quand tu seras

    seule, il faudra que tu t’habilles en femme tu le sais.

– Oui’. avais-je répondu d’une petite voix.

Je descendis du véhicule et en profitai pour aller uriner, Didier en fit autant puis monta avec moi dans la partie caravane, une fois entré il se débraguetta et écarta les jambes, son phénoménal pénis dressé réclamait qu’on s’occupe de lui, je m’agenouillai devant son entrejambe et je me mis à exciter la verge à petits coups de langue.

Sous mes attouchements le priape démesuré grandit encore, le prenant à la base, je me mis à lui faire une lente fellation.

Sous mes titillations, mon mec creusa les reins pour s’offrir plus encore à mes caresses, au bout de quelques instants de ce traitement Didier gémit, ses reins se soulevèrent pour venir à ma rencontre, il posa sa main sur ma nuque et rythma le tempo auquel il voulait être sucé.

Quelque temps plus tard, je sentis la pine tressauter sur ma langue, mon homme plaqua mon visage contre son pubis et éjacula en râlant, je bus sa liqueur avec délice, tout en continuant à flatter sa bite de ma langue.

Quand je me détournai de l’objet de ma dévotion, Didier me dit en souriant ’C’est merveilleux, chaque fois que tu me suces,

    j’ai l’impression de redécouvrir combien c’est bon d’être

    dans ta bouche’.

Me prenant dans ses bras, il me jeta sur le lit et me déshabilla en un tour de main, à son tour il se dévêtit et se coucha sur moi, sa bouche écrasa la mienne et il me roula une pelle magistrale qui me laissa pantelant.

Ayant inséré une jambe entre mes cuisses, il me caressait le derrière tout en me mordillant les tétons, des bouffées de désir affluaient de mon bas-ventre.

Je ne pus réfréner un gémissement, mes mains courraient sur son dos je sentais sur mon ventre son phallus se tendre.

Délaissant ma poitrine, il se leva et écarta mes jambes, sa bouche avide se posa sur l’intérieur de mes cuisses, il se mit à les embrasser et les lécher glissant un doigt entre mes fesses titillant ma rosette, ce contact m’électrisa, un râle de bonheur pulsa de ma gorge.

Mon amant, m’ayant pris à la taille, m’avait relevé et avait glissé un oreiller sous les reins, il éloigna mes deux lobes charnus et sa langue inquisitrice vint darder ma corolle, je tendis mon fessier vers lui.

Sous ses coups de langue et ses attouchements experts, mon sphincter s’ouvrit.

J’avais fermé les yeux et savourais le plaisir que mon homme me donnait chaque fois que sa langue ou un de ses doigt déflorait mon petit trou.

J’avais le cul brûlant, tout en moi réclamait l’intromission de la superbe verge qui pointait, je suppliais mon mec de me prendre, mais sourd à mes supplications, il continuait de m’exciter.

Entre ses mains, je n’étais plus que désir, chaque fois qu’il me touchait, tout mon corps frémissait, j’avais la raie pleine de salive et mon bassin venait à sa rencontre pour s’offrir plus encore à la douce torture qu’il m’affligeait.

Soudain, Didier arrêta et s’étendit sur moi, son priape érigé se glissa entre mes fesses bouillantes et se posta contre mon anus en fusion.

D’un petit coup de reins, mon homme introduit son gland turgescent, bien que je sois suffisamment ouvert, le passage de son bout durci fut difficile, je criai quand il écarta mes chairs.

Mon amant s’immobilisa puis se mit à entrer et sortir la fabuleuse tête de son sexe de manière à m’assouplir la pastille, petit à petit mon canal se détendit, alors à ce moment mon mec m’enfessa lentement jusqu’à la garde.

L’intromission fut un délice, quand je sentis ses testicules gonflés de liqueur contre mes fesses, je sus qu’il était en moi entièrement, je nouai mes jambes dans son dos et mes mains sur sa nuque.

Je sentais en moi, le pénis palpiter, une vague de désir m’envahit, je voulais qu’il bouge, qu’il me fasse du bien, je lui dis ’Vas-y, baise-moi’.

Prenant appui sur ses avant-bras, Didier commença à me posséder lentement de toute la longueur de son phallus, le membre puissant sortait presque entièrement de mon tunnel pour replonger complètement jusqu’à la garde la seconde suivante.

Mon cul était vraiment décontracté et la puissante pine coulissait sans aucune gène entre mes reins.

Sous les assauts répétés de mon amant, le plaisir prit totalement possession de mon être, pour moi seul comptait la hampe qui me forait les reins.

Mon mec avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me besognait avec une régularité de métronome me faisant atteindre le septième ciel.

Sous ses coups de bite je planais littéralement, la tête rejetée en arrière, j’étais tout à mon plaisir.

Je ne vivais plus que pour et par la pine qui me ramonait le prose, je ronronnais de bonheur creusant mes reins chaque fois que la verge tuméfiée se fichait entièrement au fond de mes entrailles.

J’avais de plus en plus de mal à garder le sens des réalités, les lents va et vient de Didier me rendaient fou.

J’avais planté mes ongles dans ses épaules musclées et je l’enserrais dans l’étau de mes cuisses.

Mes hanches roulaient en cadence, venant de plus en plus violemment à la rencontre du phallus qui me bourrait.

A chaque coup de boutoir, je me sentais sombrer, j’avais atteint la plénitude rectale, tout en moi voulait ce sexe.

Je me mordais les lèvres pour ne pas hurler, mon homme se mit à me fourrer de plus en plus vite.

Chaque fois qu’il me pinait je faisais un bond sur le lit, il me cassait le cul avec des ’HAN’ de bûcheron.

Je ne savais plus depuis de temps il m’enfilait mais je voulais qu’il reste en moi indéfiniment tant cette bite roide me faisait du bien.

Soudain me prenant aux aisselles, il se leva m’amenant avec lui jusqu’à la table où il me déposa à genoux sans que nos corps ne se détachent, puis debout il se mit à me pilonner l’arrière-train à grands coups de reins.

Ses coups de boutoir répétés me firent perdre la raison, j’avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.

C’est à cet instant que s’enfonçant au plus profond de mon rectum, Didier éjacula en feulant.

Ses puissants jets de foutre crémeux m’inondèrent le fondement, un orgasme déferlant me foudroya.

Je tendis mon cul vers la bite qui se vidait en moi pour accentuer la pénétration, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je m’affalai sur la table, je sentis le pénis sortir de mon canal béant.

Quand je revins à la réalité, Didier était assis au bord du lit et me regardai en souriant, je descendis de la table et il me dit ’C’est comme pour ta bouche ma chérie, ton cul est un don

    du ciel, faire l’amour avec toi est magnifique.

– Merci mon amour, mais faire l’amour avec toi est aussi

    merveilleux, je t’aime et je dois tout te donner et plus

    encore.

– Mais c’est ce que tu fais, tu te donnes entièrement, et en

    plus tu es vraiment une très grande jouisseuse.

– J’aime le plaisir, j’aime le sexe c’est vrai, mais il faut

    aussi dire que tu es un baiseur formidable, ta bite est un

    joyau.

– C’est possible….

– Non c’est vrai, elle est super, elle est grosse, longue

    parfois j’ai envie de la manger.

– Contentes toi de la sucer, ça suffira AH AH AH !!

– Bien sur, c’était une image.

– J’avais compris ma choutte.

– Bon maintenant je vais me préparer, à moins que tu veuilles

    encore me prendre.

– Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais si on veut être au

    chalet ce soir, il faut nous remettre en route le plus

    rapidement possible. Combien de temps te faut-il pour te

    préparer ?

– Oh a peu près une demi-heure. Comment veux-tu que je

    m’habille ?

– Bien mais je te fais confiance.

– Bien c’est à dire ?

– Robe habillée, ça te va ?

– Parfait.

– Bon je vais aller faire un petit tour à la cafétéria car si

    je reste ici je te baise.

– Tu en a le droit.

– Je le sais mais ça ne nous fera pas avancer, après nous

    aurons toute la nuit, que dis-je toute la vie ma chérie.

– Oui mon amour.

– A tout à l’heure ma petite femme.

– A tout à l’heure mon adoré’.

Didier sortit, je fermai la porte à clé, puis me lavai le cul qui était dégoulinant de sperme.

Après avoir pris dans le placard tout ce dont j’avais besoin je m’installai devant la coiffeuse, je pris les fards et crayons et la transformation commença.

Au bout de 35 minutes j’étais prête, légèrement maquillée j’avais mis une perruque blonde, celle que Didier préférait.

J’avais accroché mes faux seins et enfilé un soutient gorge et un mini slip noir, j’avais mis un porte jarretelle et des bas résille, par-dessus je me vêtis d’une robe de cocktail noire, des escarpins, je pris un manteau de fausse fourrure et un sac à mains puis je sortis à mon tour.

Je retrouvai mon amant à la cafétéria, mon entrée ne passa pas inaperçue, je vis des dizaines d’hommes envieux glisser sur ma silhouette alors que les regards de leurs femmes étaient emplis de haine.

Je m’assis aux côtés de Didier et l’embrassai, je lui dis ’Je

    suis venu pour voir si rien ne clochait.

– Non tu es magnifique, tu es vraiment une vraie femme.

– Merci chou.

– Veux-tu boire quelque chose ?

– Non merci.

– Bien alors partons’.

Nous nous levâmes et je sortis d’une démarche chaloupée, une fois arrivés près de la voiture, Didier me plaqua contre la carrosserie et écrasa ses lèvres sur les miennes, j’ouvris la bouche, nos dents s’entre choquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné qui me laissa pantelant.

Quand Didier abandonna ma bouche, j’avais le souffle court et le rouge aux joues, je sentais contre ma hanche le sexe dur de mon homme.

Je lui dis ’Arrête sauvage, tu vas salir mon beau manteau, et

    maintenant il faut que je me remette du rouge à lèvres, tu

    as tout mangé.

– C’est toi que j’ai envie de manger.

– Plus tard.

– C’est vrai, tu as raison’.

Nous entrâmes dans l’habitacle, Didier lança le moteur et nous reprîmes l’autoroute, quatre heures plus tard nous arrivâmes à l’hôtel.

Après avoir pris nos clés, nous allâmes déposer nos affaires dans le chalet qui était très propre et suffisamment spacieux puis nous partîmes dîner.

Vers minuit et demi nous étions de retour dans le chalet.

Mon amant me prit par la main et m’emmena jusqu’au pas de la porte de la chambre qu’il me fit passer en me portant dans ses bras.

Il me déposa au pied du lit et m’enlaçant tendrement posa ses lèvres sur les miennes, j’ouvris la bouche nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.

Quand il se détacha de moi, j’avais le souffle court et les joues empourprées.

Lentement mon ami dégrafa le haut de ma robe tout en me couvrant le visage de baisers, je me collai à lui et sentis sa bite tendue comme un arc contre mon ventre.

Mon homme m’embrassa dans le cou, la tête rejetée en arrière et les yeux mi clos je savourai les chaudes bouffées de désir langoureuses qui montaient en moi sous les légers attouchements buccaux.

La bouche avide de mon amant me suçotait le torse alors que ses mains expertes massaient ma croupe enfiévrée me faisant frémir.

Au bout de quelques instants il me fit asseoir sur le lit et s’agenouillant ôta mes chaussures puis m’allongeant à plat ventre il entreprit de me masser la nuque.

Après plusieurs minutes de ce doux traitement, je me décontractai complètement, les doigts habiles de mon homme courraient le long de ma colonne vertébrale m’arrachant de lourds gémissements.

Me laissant frémissant il m’enleva ma robe et fit glisser ma petite culotte le long de mes cuisses.

Sa langue râpeuse se posa sur la chair tétanisée de mon dos et descendit jusqu’à la naissance du sillon de mes fesses brûlantes puis de ses mains il écarta mes deux lobes charnus et vint titiller mon oeillet.

Electrisé par ce baiser lingué qu’il échangeait avec mon anus je me cambrais pour m’offrir plus encore à cette tendre caresse.

Sous ses agiles coups de langue mon anneau ne fut pas long à s’ouvrir m’expirant un profond soupir de bonheur.

Longtemps mon amant continua à m’explorer tout le corps, aucune parcelle n’était oubliée, j’avais la peau si sensible que le moindre contact me faisait frétiller.

Tout mon être était tétanisé, ayant les cuisses écartées au maximum je voulais que son pénis me pénètre, qu’il crache en moi sa liqueur qui elle seule pouvait éteindre le brasier qui me ravageait.

Je le suppliai pour qu’il me prenne mais sourd à mes paroles il continuait à pratiquer sur moi ses délicieux sévices qui annonçaient un plaisir somptueux.

Je ne savais plus depuis combien de temps ses mains expertes et sa bouche avide m’effeuillaient, c’est alors qu’un spasme foudroyant explosa en moi, mon corps s’arqua et un ’aaaaaahhhh

    aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh’ de plaisir s’échappa de ma gorge et je retombai lourdement sur le matelas flottant dans une demi inconscience.

Quand je rouvris les yeux, Didier assis à mes côtés, il me demanda ’?a tu as plu ?

– Oh oui, mais je suis en feu, je veux que tu me prennes.

– Bien sur que je vais te prendre, mais avant c’est toi qui

    va me déshabiller’.

Je me mis à genoux et en un tour de main, je dévêtis l’homme à qui je désirai donner mon corps tremblant de bonheur.

Son formidable phallus pointait vers moi, son énorme gland vermillon brillant de sève, je me penchai vers la fabuleuse tête et prenant ses testicules gonflés de semence dans les paumes de mes mains je me mis à porter de rapides coups de langue sur le priape qui sous l’effet de cette caresse se redressa et se tendit encore.

Mon mec me prit dans ses bras et me renversa sur la couche, sa bouche gourmande écrasa la mienne et sa main partit entre mes cuisses où deux de ses doigts me déflorèrent le sphincter et se mirent à aller et venir me faisant frissonner, bientôt un troisième puis un quatrième doigt inquisiteur rejoignirent les deux premiers, pendant ce temps Didier continuait à butiner ma bouche offerte.

Le désir quelque peu calmé se ranima et envahit mon corps enflammé.

Sous l’effet des assauts des ses doigts qui me foraient les reins je me mis à onduler du cul me soulevant chaque fois qu’il les enfonçait au plus profond de mon être, mais ce que je voulais ficher au fond de mon rectum c’était cette monstrueuse verge qui palpitait contre ma hanche.

Voyant à mes réactions que le prélude avait assez duré, mon amant me retourna et plia mes jambes sous mon corps de telle sorte que je me retrouvai à genoux reposant sur les avant bras.

Il s’agenouilla derrière mon fessier en l’air et posa son fabuleux membre contre ma corolle offerte, les gouttes de semence translucide perlant de son méat lubrifièrent l’entrée de mon orifice affamé.

Me prenant aux hanches mon homme commença à peser sur mon fondement, quand son magnifique gland écarta mes chairs frémissantes, je ne pus m’empêcher de pousser un timide cri de douleur, mon ami s’arrêta me laissant m’habituer au formidable calibre de sa virilité puis peu à peu centimètre par centimètre il m’enfessa totalement.

Quand il fut entièrement en moi, mon homme resta immobile pendant plusieurs minutes, petit à petit je sentis mon anneau se décontracter et enfin céder complètement alors lentement, Didier commença à me sodomiser m’arrachant à chaque passage des petits cris qui peu à peu se muèrent en profonds gémissements.

Sous les coups de boutoir répétés de mon homme mon tunnel se dilata et je me mis à ronronner mon bassin allant à la rencontre de sa merveilleuse hampe qui m’ouvrait un peu plus la pastille chaque fois qu’elle plongeait en moi jusqu’à la garde.

Mon plaisir était total je planais littéralement sous les coups de bite que mon ami m’assenait, il me possédait maintenant de toute la longueur de sa biroute la sortant de mon presque entièrement et la replongeant au fond de mon canal après m’avoir assoupli un peu plus la rondelle de son impressionnant gland.

Le plaisir explosait en moi par multitude partant de mon bas-ventre et montant par vagues successives vers mon visage me rendant fou de désir.

Je commençai à râler tout en roulant des hanches en cadence, le bonheur que me donnait ce pénis était tel que je devais mordre les draps pour ne pas hurler.

Seul comptait pour moi ce fabuleux sexe qui me pilonnait le derrière, mon mec les mains crispées sur ma taille me besognait de plus en plus vigoureusement m’éclatant totalement l’anus.

J’avais atteint la plénitude rectale, je ne vivais plus que pour et par la pine qui me ramonait le prose me faisant sombrer un peu plus chaque fois que celle-ci se fichait entre mes fesses bouillantes.

Je ne savais plus depuis combien de temps il me travaillait l’arrière-train mais le plaisir qu’il me donnait était si grandiose que je voulais qu’il reste dans ma grotte indéfiniment.

Les yeux clos je bramais sous les assauts redoublés que mon amant me portait, je n’étais plus que jouissance, tout en moi appelait le mâle.

Je voulais qu’il se déverse en moi mais en même temps je voulais qu’il continue à me tringler jusqu’à ce qu’il me casse le cul totalement.

Didier me défonçait à une allure folle avec des ’HAN’ de bûcheron, c’était si bon que je ne voulais pas qu’il arrête.

Je hurlai maintenant sans discontinuer sous les puissants coups de queue que mon amant m’affligeait, j’avais perdu toute notion de la réalité.

Soudain mon amant me décula et me mit sur le dos, il s’allongea sur moi et m’encula d’un violent coup de reins me faisant gémir.

Je nouai mes jambes dans son dos et posai mes mains sur ses épaules.

Prenant appui sur les coudes il commença à me besogner à une vitesse folle me faisant décoller du lit chaque fois qu’il me bourrait l’intimité.

Son ventre musclé claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal.

C’était si bon que sans aucune retenue je lui labourais les épaules de mes ongles.

Je me tordais comme un damné sous celui qui me montait, ma tête ballottant de droite à gauche j’étais au septième ciel.

Sous ses virils coups de phallus j’avais atteint le point de non-retour et me mit à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passai.

A cet instant, s’enfonçant au plus profond de mes entrailles, Didier déchargea en râlant.

Ses puissants jets de semence crémeux fusants le long de mes parois intimes surchauffées me déclenchèrent un orgasme dévastateur, mon corps s’arqua je tendis ma croupe vers mon amant pour accentuer la pénétration.

Mes ongles se plantèrent dans les épaules de celui qui me chevauchait, mes jambes battirent l’air, un hurlement pulsa de ma gorge, je retombai lourdement sur la couche bras et cuisses écartés et je perdis connaissance.

Je ne sais combien de temps je restais inconscient, et quand je rouvris les yeux Didier était étendu à côté de moi tout en me caressant la cuisse, me souriant il me demanda ’?a va ?

– Oh oui, il y a bien longtemps que tu ne m’avais pas enculé

    de la sorte, j’ai joui superbement.

– Je m’en suis aperçu, regarde mes épaules, tu m’as arraché

    la peau.

– Je suis désolé, mais tu m’as vraiment rendu folle de

    plaisir.

– Et ce n’est qu’un début, je vais bien te la bourrer ta

    petite chatte cette nuit, je me sens dans une forme

    extraordinaire.

– Super, je veux que tu me l’éclate complètement ma petite

    chatte comme tu dis.

– Ne t’inquiète pas, je vais le faire, je vais te démolir la

    rondelle, demain tu ne pourras pas t’asseoir.

– M’asseoir je m’en fous, ce qui compte c’est que demain tu

    puisses encore me bourrer.

– Ce sera fait femelle gourmande.

– Je l’espère mâle lubrique.

– Allez assez plaisanté, viens faire un peu ton boulot viens

    sucer’.

Je m’agenouillai devant lui, et pris son énorme phallus dans mes mains et me mis à le lécher ce qui eut pour effet de faire se dresser la superbe pine.

Posant ses mains sur ma nuque, mon homme me força à emboucher sa splendide bite, je faillis m’étrangler quand le gland buta contre ma gorge, lui massant doucement les couilles je me mis à monter et descendre sur le pénis érigé.

Sortant son membre d’entre mes lèvres, mon mec m’allongea sur un moelleux tapis puis s’étendit sur moi, son priape dressé se posta contre ma corolle.

Didier prenant sa verge entre ses doigts la fit glisser le long de ma raie, le désir afflua en moi, de temps en temps mon mec s’arrêtai face à ma pastille béante et pesai un peu dessus, sous ces attouchements, j’écartai les cuisses à me faire mal, alors d’un violent coup de reins mon amant m’enfessa jusqu’à la garde me faisant gémir, puis il se mit à me ramoner à une vitesse folle.

Le formidable sexe coulissai en moi aisément, le plaisir reprenait de plus en plus possession de mon être, je nouai mes jambes dans le dos de mon homme et l’enlaçant de mes bras, je fermai les yeux tout à mon bonheur.

Didier me besognait avec des ’HAN’ de bûcheron, me faisant avancer sur le tapis chaque fois qu’il m’enfilait.

Je me tordais comme un damné sous lui, mes ongles étaient plantés dans ses épaules musclées, ma tête ballottait de gauche à droite et de ma bouche grande ouverte ne sortait plus qu’un

’aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh’ continu.

Je ne savais plus depuis combien de temps il me bourrait le fion mais c’était si bon que je voulais qu’il continue jusqu’à ce que mon cul ne soit plus qu’un immense trou où mon homme aurait pu y entrer entier.

Sous ses coups de boutoir répétés je me sentais sombrer, seul comptait pour moi le phallus roide qui me forait les reins, je ne vivais plus que pour et par cette merveilleuse verge qui m’ouvrait un peu plus l’anneau chaque fois qu’elle s’enfonçait au plus profond de moi.

Des vagues de plaisir affluaient vers mon visage prenant naissance dans le bas de mes reins.

Mes fesses étaient bouillantes et j’avais l’impression que de mon tunnel sortait de la lave en fusion.

Les bruits de succion que faisait mon anus, abondamment lubrifié par notre étreinte précédente, chaque fois qu’il avalait le formidable priape qui me tringlai ne faisaient que décupler mon plaisir.

J’avais perdu entièrement le sens des réalités, je m’enfonçais de plus en plus dans la jouissance chaque fois que la pine turgescente se plantait au fond de mon cul en fusion.

Soudain Didier me leva et sans que notre étreinte se désunisse, me porta et me mit à quatre pattes sur une banquette et se mit à me pilonner le cul violemment.

Je devais me tenir pour ne pas tomber tant ses assauts étaient rudes, son ventre musclé claquait contre mon fessier porté au rouge, complètement cambré je tendais encore plus mon cul vers lui pour accentuer la pénétration et me mis à rouler des hanches en cadence.

J’avais fermé les yeux et tel un pantin désarticulé je subissais les violents coups de bite qui m’envoyaient au septième ciel chaque fois, j’avais le sphincter complètement éclaté.

Didier me possédait en me tenant aux épaules, me limant de toute la longueur de son sexe, la sortant presque entièrement de mon canal pour le replonger la seconde suivante jusqu’à la garde.

Je n’étais plus que jouissance, toutes les parties de mon corps étaient devenues si sensibles que le moindre attouchement se répercutait jusqu’au fond de mes entrailles.

Je sentais l’explosion proche, une boule de feu s’était formée dans le creux de mon estomac et remontait vers mon visage chaque fois que le phallus érigé me défonçait.

Soudain n’y tenant plus je me mis à hurler toutes phases du plaisir par lesquelles je passais.

Un spasme foudroyant m’envahit, mon corps se tendit comme un arc s’offrant plus encore à celui qui me pilonnait le fondement, je hurlai de jouissance puis je me sentis tomber lourdement sur le théâtre de nos ébats et je perdis conscience.

Je ne sais combien de temps je restai dans les pommes, mais quand je revins à moi, Didier me baisait toujours aussi violemment.

Quand il vit que je n’étais plus dans le cirage, il s’arrêta planté au fond de mon cul et me dit ’remets toi à quatre

    pattes’.

Flottant toujours dans l’univers cotonneux de l’orgasme j’obéis, aussitôt derrière moi, Didier recommença à me posséder à une vitesse folle.

J’avais du mal à rester en position tant les coups de boutoir de celui qui me ramonait l’arrière-train étaient violents.

J’étais comblé car la bite qui me pilonnait le trou du cul depuis au moins une demi-heure semblait inépuisable.

Soudain un orgasme dévastateur ma balaya, je tendis ma croupe vers ce formidable sexe qui possédait pour accentuer la pénétration, un ’aaaaaaaaaaaaahhhhhhh’ pulsa de mes lèvres et je tombai sur le divan couché en chien de fusil essayant de retrouver ma respiration.

Didier me déposa sur le sol, il prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il écarta mes fesses brûlantes et guida sa bite entre elles contre mon antre béante.

Quand je sentis son gland contre mon sphincter affamé, je lui dis ’Vas y encule-moi fort’.

il pesa sur ma corolle toujours ouverte par notre étreinte précédente et entra en moi comme dans du beurre me faisant gémir, puis prenant appui sur ses avant-bras, il commença à me marteler en de lents va et vient qui ne tardèrent pas à me faire perdre pied.

Je fermai les yeux et me laissai sombrer dans le désir sous les assauts répétés de mon homme.

Le sexe coulissait en moi sans aucune gène, chaque poussée m’ouvrait un peu plus le cul, j’avais du mal à respirer tant le plaisir qui affluait en moi était grand.

J’avais rejeté la tête en arrière et tendais ma croupe vers ce fabuleux pénis qui me cassait la pastille chaque fois qu’il plongeait en moi jusqu’à la garde.

Mes gémissements s’étaient depuis longtemps mués en profonds râles de bonheur.

Mon fessier se soulevait au rythme des coups de boutoirs que mon mec m’assenait, le cul complètement éclaté je remuais la tête de gauche à droite et griffai l’épais tapis.

Chaque fois que la pine roide se fichait au tréfonds de mon fondement je poussais de petits cris de plaisir, je voulais que mon homme entre chaque fois plus profondément en moi.

Repliant encore plus mes jambes de telle sorte que mes genoux touchent presque ma tête, faisant ressortir plus mon anneau et accentuant l’angle de pénétration, Didier se coucha sur moi et se mit à me posséder de toute la longueur de son impressionnant pénis.

Sous ses coups de bite, je ne tardais plus à atteindre le point de non-retour, hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.

Un spasme foudroyant traversa mon être, je me cambrais sous mon amant et un hurlement de jouissance pulsa de mes lèvres, puis je retombai lourdement sur le sol perdant connaissance.

Quand je repris conscience, Didier était toujours en train de me besogner avec une régularité de métronome.

Voyant que j’étais revenu à moi, il se retira de mon cul et me fit mettre à quatre pattes puis me pénétra d’un violent coup de reins et me prenant aux hanches, se remit à me sodomiser me faisant aller et venir sur toute la longueur de son phallus.

Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon corps enfiévré, mon mec toujours d’un calme olympien m’éclatait de plus en plus la pastille.

J’avais l’impression qu’il était en moi depuis une éternité, j’étais secoué de frissons de désir, j’avais l’impression que de la lave en fusion coulait de mon tunnel enflammé.

Lâchant mes hanches Didier me prit par les épaules et se mit à me pilonner l’arrière-train à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes miches en feu, la bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer sous les puissantes poussées de mon amant.

Tout mon corps tremblait tant j’étais excité chaque fois que mon homme m’enfilait jusqu’à la garde, j’étais obligé de me cramponner pour ne pas tomber sous les violents assauts que mon doux tourmenteur me faisait subir.

Je n’étais plus que jouissance, chaque fois que la monstrueuse pine plongeait au tréfonds de mes entrailles, je me sentais partir un peu plus.

Je suppliais Didier de décharger car seule sa semence pouvait éteindre l’incendie qui couvait en moi, mais lui sourd à mes cris continuait à me défoncer la raie avec une régularité de métronome.

Le traitement que mon mec m’affligeait me faisait monter au septième ciel, je tendais ma croupe vers ce pénis qui me cassait si bien le cul pour accentuer la pénétration.

Des vagues de plaisir prenaient naissance dans mon bas ventre et remontaient vers mon visage pour éclater en mille étoiles.

Rarement je n’avais autant joui au cours d’une enculade, je voulais qu’il me démolisse complètement le fion.

Sous les virils coups de queue je tombai en avant de telle sorte que je reposai sur les avant-bras le cul en l’air entièrement écartelé.

Didier m’ayant agrippé aux cuisses me ramonait avec des ’HANS’ de bûcheron, j’avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.

Un orgasme fulgurant me transperça, je hurlai mon bonheur tout en tendant mon derrière vers la merveilleuse verge plantée au plus profond de mon cul.

Mes cuisses se dérobèrent sous moi et je m’affalai à plat ventre sur le sol, flottant dans l’univers cotonneux du plaisir physique.

Je sentis l’immense verge sortir de mon canal et mon amant s’allongeant à mes côtés se mit à me caresser.

Quand je rouvris les yeux mon anus palpitait toujours, la première chose que je vis fut le sexe toujours dressé de mon homme, il n’avait pas encore joui, s’étendant sur le dos Didier me dit ’viens t’asseoir sur moi en me présentant ton dos’.

Je m’exécutai, il guida son membre en moi et me prenant sous les cuisses me fit monter et descendre sur sa pine érigée.

Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon être, j’étais comme un fétu de paille entre les bras de mon homme, ma tête ballottait de droite à gauche au rythme de l’enculade que je subissais et je me remis à râler tout en enserrant la taille de mon mec de mes pieds.

Je posais mes mains sur ses jambes pour imprimer une cadence plus soutenue, le membre coulissait en moi merveilleusement, en dehors de mes râles entrecoupés de petits cris on entendait les bruits de succion que faisaient mon cul chaque fois que la verge turgescente s’enfonçait jusqu’à la garde.

Soudain Didier me prit par la taille et m’immobilisa contre son pubis, puis il se mit à donner de violents coups de reins qui malgré qu’il me tienne me faisaient sauter chaque qu’il m’enfessait totalement.

Tel un pantin désarticulé, mon corps ballottait sous les furieux assauts que m’affligeait mon amant survolté.

Mes râles s’étaient mués en cris de jouissance, j’avais le cul en feu, tout mon être ravagé réclamait sa pitance.

Je voulais son sperme, tout en ondulant des hanches je le suppliais de m’inonder de sa crémeuse liqueur, mais lui sourd à mes cris continuait à me piner de toute la longueur de sa formidable bite.

Je planais littéralement le plaisir que je recevais était fabuleux, j’avais atteint la plénitude rectale, seule pour moi comptait l’extraordinaire phallus qui me forait les reins.

J’avais rejeté la tête en arrière et je hurlai sans discontinuer, je sentais monter en moi les prémices d’un orgasme dévastateur.

Tout en moi appelait le mâle, je vivais plus que pour et par le priape qui me défonçait un peu plus à chaque fois qu’il m’enfilait.

Je bramais des obscénités pour exciter encore plus celui qui me prenait tant ce que je ressentais était grand, perdant toute notion des réalités je me mis à délirer.

Soudain une vague déferlante me balaya, je battis l’air de mes bras et jambes ouvrant tout grand la bouche pour chercher l’air qui me manquait.

La jouissance explosa dans tout mon corps torturé, un strident hurlement pulsa de ma gorge, mon corps se tendis comme un arc et je tombai à terre sombrant dans l’inconscience.

Quand je recouvrais mes esprits, Didier assis à côté de moi me regardai en fumant, son sexe était toujours en érection, il n’avait toujours pas éjaculé, il me sourit et me demanda ’Tu

    aimes ?

– Oh oui chéri, c’est phénoménal de jouir comme ça

– ça je le sais, tu es une magnifique jouisseuse ma puce.

– C’est gentil ce que tu dis amour, mais je voudrais que tu me

    donnes ton sperme.

– Tu vas l’avoir car je ne pourrais plus tenir cette fois ma

    puce, allez viens te mettre contre le mur en appui sur les

    bras et les jambes écartées’.

J’obéis, Didier se positionna derrière moi en m’encula lentement me faisant gémir, puis posant ses mains sur mes hanches il commença de lents va et viens qui ne tardèrent pas à me faire remonter au septième ciel.

Sous les longs coups de boutoirs de mon homme je me sentis partir encore fois dans la jouissance.

Je tendais mon cul au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accentuer la pénétration.

Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses viriles poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce magnifique phallus me bourrait l’arrière-train, mais je voulais qu’il continue indéfiniment.

J’étais dans un brouillard où seule comptait ce formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.

Soudain se plaquant contre mon fessier Didier éjacula en râlant.

Ses épais jets de semence crémeuse m’inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant.

Un orgasme d’une puissance incroyable prit possession de mon corps enfiévré

Je tendis mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel surchauffé.

La tête rejetée en arrière je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je m’écroulais contre le mur où je me couchais en chien de fusil essayant de retrouver ma respiration.

Quand je rouvris les yeux, Didier sourit, son sexe, souillé de sécrétions anales et séminales reposait tel un gros ver gluant sur sa cuisse, levant la tête vers mon homme je lui dis ’Qu’est

    ce que tu m’as mis.

– Je te l’avais promis.

– Oui je le sais mais j’ai le cul complètement en compote.

– C’est vrai, je crois que je t’ai bien défoncé.

– C’est le moins qu’on puisse dire.

– Veux-tu boire quelque chose ma biche ?

– Un petit whisky s’il te plaît mon amour.

– ça arrive’.

Quelques instants après il m’amena mon verre et nous bûmes en silence en fumant un cigarette puis mon amant me dit ’Bon allons prendre une douche avant de nous coucher.

– Excellente idée’.

Nous passâmes dans la salle de bains, nous restâmes d’abord de longues minutes sous un jet d’eau chaude puis nous nous savonnâmes abondamment pour éliminer les toxines de nos ébats.

Une fois bien savonnés Didier actionna un robinet qui propulsa sur nous une pluie d’eau fraîche qui me régénérante.

Quand nous sortîmes de sous la douche, je ne ressentais plus du tout la fatigue causée par la dépense d’énergie ayant eu lieu quelque temps plus tôt, nous nous séchâmes puis j’allai dans l’armoire prendre une nuisette dont je me vêtis et partis me coucher.

Didier me rejoignit quelques instants après et s’allongea à mes côtés, il éteignit la lampe de chevet et se tourna vers moi pour m’embrasser, quand ses lèvres se posèrent sur les miennes j’ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.

Quand mon amant abandonna mes lèvres, j’avais le souffle court et une étrange langueur prenait naissance dans le creux de mes reins embrasant tout mon corps, je sentais contre ma hanche palpiter le phallus érigé de mon homme, je le caressai quelques minutes puis ouvrant largement les cuisses je dis à Didier ’Viens, prends-moi’.

Il ralluma la lumière, prit des coussins qu’il glissa sous mes reins de sorte à relever mon postérieur puis s’agenouilla entre mes jambes.

Il humecta son gland de salive et du bout de son membre turgescent se mit à me caresser la raie , s’arrêtant de temps à autre contre ma corolle affamée, tandis que de l’autre main il excitait mes tétons à travers l’étoffe de mon vêtement de nuit.

Je ne sais combien de temps dura ces attouchements mais je me mis à râler, ma peau était si sensible que le moindre contact me faisait frémir, j’avais pris mes cuisses sous les genoux et les relevai écartant mes fesses pour offrir plus encore mon oeillet à ces caresses.

J’avais fermé les yeux et savourais le plaisir qui montait en moi par vagues successives.

Didier positionna son priape contre mon anus et se mit à peser dessus, La bite lubrifiée par la salive et la transpiration émanant de mon corps entra dans mon cul comme dans du beurre dans mon antre béante.

L’intromission fut très longue et quand je sentis les bourses duveteuse de mon mec contre ma croupe, je sus qu’il m’avait enfessé totalement.

Je nouai mes jambes dans son dos et mes mains courraient amoureusement sur ses flancs.

Je sentais dans mon fondement palpiter l’énorme pine, prenant appui sur ses avant-bras mon amant commença à aller et venir en moi lentement m’arrachant à chaque va et viens de lourds râles de bonheur.

La fabuleuse verge coulissait sans aucune gène dans mon fourreau entièrement dilaté me portant au summum du plaisir, je planais littéralement sous les coups de boutoir que m’assenaient mon homme.

Mes râles s’étaient mués en cris de bonheur et je roulai des hanches en cadence tendant mon derrière vers cette magnifique queue qui me forait les reins.

Didier avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me pilonnait le cul de toute la longueur de sa hampe tuméfiée.

Chaque fois que son pieu de chair plongeait au tréfonds de mon intimité je me sentais perdre pied un peu plus.

Je me tordais comme un damné sous celui qui me montait, mon homme me tringlait maintenant à une vitesse folle.

Son ventre musclé claquait contre mes fesses bouillantes.

J’avais le trou complètement éclaté et je bramais sous les assauts répétés qui me faisaient décoller sur la couche chaque fois que le monstrueux vit se plantait au fond de mon sphincter démoli.

Je ne savais plus depuis combien de temps cette biroute roide me limait mais le plaisir que me procurait ce sexe était grand.

J’avais l’impression que de la lave coulait de mon canal dévasté.

Mon mec me possédait avec des ’HAN’ de bûcheron m’amenant au paroxysme de la jouissance.

J’avais atteint la plénitude rectale et je hurlai sans discontinuer, mon amant avait pris mes jambes et les avait relevé jusqu’à ce que mes genoux touchent presque mon visage de manière à faire ressortir plus encore mon anneau pour accentuer l’angle de pénétration et me besognait avec une violence inouïe.

Ma tête ballottait de droite à gauche la bouche grande ouverte.

Sans que nos corps ne se séparent, Didier me fit tourner sur sa hampe et se leva de telle sorte que je me retrouvai sur les mains, les cuisses autour de la taille de mon mec.

Celui-ci bien planté sur ses jambes commença à me ramoner le prose violemment, chaque fois que sa grosse pine se fichait au plus profond de mes entrailles je mordais les draps pour ne pas hurler

J’avais atteint le point de non-retour et sous les assauts répétés, le plaisir embrasa mon être et je me mis à délirer.

C’est à cet instant que s’enfonçant au plus profond de ma grotte et me plaquant contre lui que Didier éjacula en râlant.

Ses épais flots de foutre crémeux giclèrent le long de mes parois surchauffées me provoquant un spasme foudroyant, l’air me manqua, mes mains se dérobèrent et je tombai lourdement sur la couche entraînant dans ma chute celui qui me chevauchait.

Mon corps se tendit comme un arc et un puissant hurlement pulsa de ma gorge, je griffai les draps puis sombrai dans l’inconscience.

Quand je revins à moi, mon mec était toujours planter entre mes fesses, il se retira et me dit ’Tu as eu ton compte ?

– Oh oui amour tu m’as baisé comme un dieu.

– Merci chérie.

– De rien mon chou.

– Bien maintenant je crois que nous devrions dormir.

– Oui, je t’avoue que je suis vanné.

– Bonne nuit ma biche.

– Bonne nuit chéri’.

Didier éteignit la lampe et nous nous endormîmes enlacés.

Pendant toute la semaine ce fut simple, nous levions vers midi, l’après-midi nous faisions des excursions et toute la nuit l’amour.

Quand nous rentrâmes à PARIS la nuit fut calme et le lendemain je fus heureux de me retrouver toute seule, je pus consacrer la journée à prendre soin de mon anus qui en avait bien besoin car il restait constamment ouvert avec tous les assauts que Didier me faisait subir.

les deux premiers mois de notre vie de couple furent idylliques.

Didier était un très charmant compagnon, financièrement parlant je n’avais pas à me plaindre car il me donnait chaque semaine plus d’argent qu’il n’en fallait pour faire tourner la maison, la première fois je voulus lui en rendre il me dit ’Non garde

    le pour toi, profites en pour t’acheter des dessous

    affriolants’.

En plus de ça sexuellement j’étais comblé, il me faisait l’amour tous les jours et même plusieurs fois par jour.

Notre premier nuage si on peut appeler ça comme ça eut lieu le troisième mois, Didier avait trois jours de congés et nous passâmes ce trois jours au lit, le lendemain soir en rentrant de travailler il voulut me prendre, je refusai et il me demanda ’Pourquoi ?

– C’est simple, avec ce que tu m’as mis pendant ces derniers

    jours mon cul n’a pas eu le temps de refermer aujourd’hui.

– Et alors, ma bite ne rentrera que mieux si ton trou est déjà

    ouvert.

– Soit mais essaye de comprendre, plus ça va et moins il se

    referme vite, il faudrait peut-être rester calme quelque

    temps.

– Et moi dans tout cela je ne compte pas.

– Mais non, je peux te sucer mais je crois qu’il vaudrait

    mieux que tu ne me baises pas tous les jours, sinon ce n’est

    plus un cul que je vais t’offrir mais le tunnel du mont

    blanc.

– Mais je m’en fous, j’ai une femme et je veux la baiser, que

    ton fion reste ouvert ne me dérange pas, ce que je veux

    c’est te niquer quand bon me semble.

– Il n’y a pas que ça, si mon cul reste ouvert constamment je

    vais finir par avoir des problèmes.

– Lesquels ?

– Je ne vais plus pouvoir me retenir.

– Allez, j’ai envie viens allons baiser.

– Non Didier.

– J’ai une trique du diable, il me faut ton cul tout de suite.

– Allons ne fais pas le gamin.

– Je ne fais pas le gamin, c’est toi qui fait ta mijaurée.

– Je t’en prie pas ce soir…

– Ecoute je ne vois pas ce qu’il y a,

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