Dimanche matin, je me réveille tard, en ayant dormi comme une souche. Dans le salon, Sabrina est déjà levée et habillée. Elle travaille sur son ordinateur portable, enfin je le suppose.

— Bonjour Sabrina ! As-tu bien dormi ? J’ai essayé de ne pas faire trop de bruit en entrant hier soir.

— Bonjour. J’ai passé une excellente nuit, merci. J’ai préparé du café, il doit être encore chaud. Et puis je suis sortie chercher du pain et des croissants.

— Formidable, merci de cette initiative. Ta sur est finalement repartie hier soir après que nous ayons dîner ensemble. Comment as-tu fait de ton côté.

— J’ai trouvé une pizzeria pas trop loin.

Le souvenir du sperme d’Antonio sur les pizzas aux quatre fromages me revient à l’esprit et me force à sourire.

— Clara avait préparé un cadeau pour te remercier de ta gentillesse, mais elle a oublié de te le donner. Le voici.

Je prends la boite que Sabrina me tend. Je suis toutefois gênée car j’ai cru comprendre qu’il s’agit d’un godemiché.

— Tu ne veux pas l’ouvrir ?

— Si, si bien sûr. Plus tard.

— Je parie qu’il s’agit d’un godemiché ! insinue Sabrina, Ce serait bien dans les habitudes de ma sur qui collectionne ce genre d’objet. Elle m’en offre d’ailleurs un à chacun de mes anniversaires depuis que j’ai dix ans. Elle devrait renouveler un peu ses idées de cadeau.

Un peu décontenancée par la remarque de Sabrina qui, quoiqu’en dise sa sur, ne me semble pas vraiment être une oie blanche, je me décide à ouvrir le paquet. J’en extrait effectivement un godemiché dont la forme me paraît toutefois bizarre. Je tressaute soudain car je viens de reconnaître la forme caractéristique d’un sexe canin.

— Ah, elle a quand même innové, s’esclaffe Sabrina. Monster a dû l’inspirer.

— Monster ? Qui est Monster ?

— C’est mon chien, un Braque de Weimar. Mes parents me l’ont offert il y a deux ans. Je l’ai élevé toute seule. J’ai peur qu’il ne me manque désormais.

Je sens soudainement mes fantasmes repartir au galop. L’excitation gagne mon sexe qui se trempe rapidement.

— Pourquoi donc ?

— Mes parents et Clara m’ont convaincue de ne pas t’embarrasser avec lui. Mais dès que je peux trouver une piaule avec un peu de place, je le reprends avec moi.

Je tourne le godemiché entre mes mains.

— Et ce godemiché ressemble au sexe de ton chien quand il est en érection ?

— Tout à fait. Tu n’as jamais vu de chien en érection ?

— Jamais de près en tout cas. Cela lui arrive souvent ?

— Oui, il est assez obsédé. Par exemple, s’il était là, il aurait déjà fourré sa truffe entre tes cuisses, vu le parfum qui s’en dégage.

Je rougis devant cette jeune fille qui semble aisément détecter l’odeur de mes fluides les plus intimes.

— Tu veux dire que mon sexe sent fort actuellement ?

— Oui, encore plus fort que celui de Clara quand elle est en chasse. Tu devrais essayer son cadeau, c’est le moment ou jamais !

— Comme cela, devant toi ?

— Tu peux aller dans ta chambre si tu préfères, mais cela ne me choquerait pas que tu le fasses ici ! Après tout tu es chez toi, non ?

— En effet. Dis-moi, Sabrina. Ta sur semblait dire que tu ne t’intéressait pas vraiment au sexe. Notre petite conversation depuis quelques minutes m’incite à penser le contraire. Qu’en penses-tu ?

— Clara pense essentiellement aux garçons. C’est son choix…

— Ce n’est pas le tien ?

— Pas vraiment, les quelques garçons que j’ai eu l’occasion de connaître ne m’ont pas apporté beaucoup de plaisir.

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