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Dépucelé par la grande et plantureuse Marianne – Chapitre 2




Saccroupissant légèrement, elle passe un de ses avant bras massif sous mes fesses et me soulève comme une fillette pour masseoir à califourchon sur une de ses hanches. Elle finit de me positionner par une puissante impulsion du bassin qui fait sauter mon corps en lair comme sil ne pesait pas plus lourd quune plume. Je ne peux contenir mon étonnement.

— Tu es si forte ! Jadore quand tu me soulèves ! ça mexcite énormément.

— Je sais. Jai lhabitude. Depuis que la nature ma donné ce corps fort et puissant, je me suis bien rendu compte que la plupart des hommes fantasmaient sur moi, et se pissaient dans loeil dès que je les soulevais.

— Cest une vraie découverte pour moi. Ta silhouette ma totalement hypnotisé la première fois que je tai vue. Tu es si belle, si grande, si forte

— Merci mon petit chéri, tu es adorable, si petit, si léger, si mignon.

    Les chromes luisants de la moto reflètent limage bien singulière dune petit homme pâle porté par une belle et grande femme à la peau mâte. Je parais si petit et si léger dans les bras de ma belle. Elle m’emmène un peu plus loin sous les arbres, là où pousse une mousse confortable, plus propice à des ébats torrides. Elle sagenouille par terre puis passe sa main derrière mon dos pour mallonger délicatement sur le sol et se positionne ensuite à quatre pattes au dessus de moi. Ses seins touchent presque mon visage et Marianne prend un air grave pour me dire:

— Je vais faire de toi un homme.

  Elle se penche alors un peu plus pour caresser tout mon corps avec sa lourde poitrine, dabord mon visage, puis mon buste, mon ventre et enfin mon sexe qui se trouve prisonnier au milieux des deux melons. La belle entreprend alors de me masturber au milieux de ses seins. Ils sont si lourds que Marianne na même pas besoin de se servir de ses mains pour les comprimer. La pression quils exercent est suffisamment stimulante pour me donner de belles sensations. Elle mexcite depuis tellement longtemps quelle na pas beaucoup deffort à fournir pour me faire jouir. Mon corps se cabre sous leffet du plaisir et je jouis au milieux de lopulente poitrine de mon amante. Marianne sassoie alors sur ses talons et me regarde dun air à la fois satisfait et déçu:

— Je suis contente de tavoir fait jouir aussi rapidement, mais ce nest pas en éjaculant sur mes seins que tu ne seras plus puceau et jaurai bien aimé prendre un peu de plaisir aussi.

— Je suis désolé. Tu ma tellement chauffé depuis que tu mas soulevé pour me monter sur ta moto que je ne tenais plus. Tes seins sont si beaux et si lourds, je nai pas pu me retenir plus longtemps.

— Ce nest pas grave. On a tout laprès midi devant nous mon petit amour. Si on allait se baigner ? Jai besoin de nettoyer mes seins que tu as englué.

— Tu sais, je ne suis pas un très bon nageur, et avec ses vagues, jai peur de ne pas y arriver.

— Mais ce nest rien mon petit, je vais taider.

Marianne se relève alors et je fais de même. Elle sapproche de moi pour mattraper mais je recule pour tenter déviter le bain. Elle se penche alors un peu, passe un main sous mes fesses, puis me soulève ensuite pour me maintenir à plat ventre sur une de ses larges épaules. Je gigote les jambes pour essayer de méchapper mais je ne peux rien faire. Elle me donne alors une petite claque sur les fesses qui me convainc que je ferais mieux de rester immobile. Elle dit alors en riant.

— Si je te dis que lon va se baigner, cest que lon va baigner ton petit cul blanc de parisien.

  Elle se met alors à marcher en direction de leau et jai une vue plongeante sur sa superbe chute de rein, son imposant fessier, larrières de ses cuisses galbées et ses mollets puissants. Elle pénètre alors dans locéan et senfonce petit à petit jusquà ce que leau frôle mon visage.

— Eh ! Attention ! Tu vas me noyer !

  Marianne me fait alors glisser sur son épaule pour que je repose face à elle, confortablement assis sur son avant bras, mes maigres jambes pendant de part et dautre de son corps. Mes mains viennent machinalement se placer sur ses seins qui remontent sous son cou sous la pression de mon buste. Mon visage est face au sien. Elle ferme les yeux et moffre ses lèvres. Je lembrasse goulûment comme pour la remercier dêtre à nouveau porté dans ses bras puissants. Son autre main vient sur ma nuque pour me caresser et soutenir ma délicate ossature, pendant que les vagues viennent frapper mon dos. Marianne continue alors à avancer et leau continue de monter. Elle sarrête puis fléchit ses jambes pour que nos têtes passent sous leau alors que nous nous embrassons toujours. Les sons deviennent plus feutrés et le contact de leau tiède détend mon corps qui se relâche dans les gros bras de la lanceuse de poids. Ils nen faut pas plus à mon sexe pour reprendre de la vigueur. Il se tend contre la poitrine de ma princesse qui se relève, et nous émergeons. Nous nous regardons alors lun lautre. Marianne esquisse un sourire quand elle sent que je suis à nouveau prêt à la satisfaire.

— Je vois que mon petit homme est à nouveau heureux.

Elle me porte alors sur la plage, sagenouille, puis me dépose à nouveau sur le sol, dos sur le sable tiède. Elle sallonge sur moi et frotte son corps immense sur le mien qui senfonce un peu plus dans le sable. Elle se redresse un peu, puis positionne son bassin de manière à ce que son sexe soit au dessus du mien. Elle frotte mon pénis turgescent contre ses lèvres humides puis laisse enfin ma petit aiguille la pénétrer. Je viens datteindre le but de mes désirs adolescents. Je suis en elle ! Marianne est une vraie experte. Les muscles de son vagin stimulent habilement mon sexe. Elle agite son bassin doucement, consciente que si elle va trop vite, mon inexpérience va me faire venir trop vite. Ses seins volumineux oscillent au dessus de mon visage et jai juste à tendre la langue pour goûter aux fruits juteux. Bien quelle dose sa force colossale, chacun de ses coups de reins secoue mon petit corps léger. A mesure que son niveau de son plaisir s’accroît, Marianne augmente inconsciemment lamplitude et la force de ses mouvement, si bien que sa lourde poitrine sécrase de plus en plus souvent sur mon visage. Jai beau tenté de me contrôler, mais cest peine perdu face à cette montagne de sensualité. Je sens déjà des fourmillements dans mon bas ventre et jexplose à lintérieur de lamazone qui me stimule dautant plus quand elle sent que je suis au bord de lorgasme. Mon plaisir est si intense quil me pousse à tenter denfoncer larrière de ma tête dans le sable et jouvre la bouche pour pousser un gémissement de bonheur. Marianne toujours à califourchon sur moi me regarde dun air amusé.

— Tu es encore venu trop vite pour moi ! Il va falloir que je tapprenne à être plus résistant mon petit puceau.

  Je regarde la belle dont la silhouette me domine. Elle croise ses bras sur son buste, comprimant sa poitrine qui na dautre solution que de remonter sous sa gorge.

— Je suis désolé. Tu es si belle, si sensuelle, et avec ta lourde poitrine qui nen finissait pas de sécraser sur mon visage. Cest plus fort que moi.

— Vous êtes tous les mêmes. Une grosse paire de nibbards vous caressent les nez, et vous balancez la purée sans contrôler quoi que ce soit. On na pas fini de jouer mon mignon. Je vais tapprendre à satisfaire une femme autrement…

Marianne se met sur ses genoux pour libérer mon sexe, puis roule sur le coté pour sasseoir dos à un arbre. Elle relève ses jambes pour les écarter et moffrir une vue plongeante sur son sexe.

— Approche toi, naie pas peur, je vais te guider.

Je pénètre dans lenceinte formée par les jambes musclées de ma princesse et je massois sur mes talons au milieux de cette forteresse de sensualité. Cest la première fois que je vois un sexe de femme autrement quen photo. A vrai dire, je nai jamais trouvé ça très beau, mais celui de Marianne est proprement épilé et dun rose éclatant. Faisant glisser sa main entre ses cuisses, elle écarte ses lèvres pour dégager son clitoris. Mes yeux ne perdent pas une miette du spectacle.

— Penche toi mon mignon, vient lécher mon bouton de plaisir.

  Appuyant mes mains de part et dautre du sexe de Marianne, je mincline pour poser ma langue sur le petit bout de chair rose. Je suis surpris par sa douceur et son goût légèrement sucré. Ma belle réagit instantanément. Elle se cambre, faisant jaillir un peu plus sa belle poitrine et ses tétons vers le ciel.

— Oui, comme ça, cest bien. Ne te contente pas de lécher dans le même sens. Surprends moi. Cest ce qui plaît au femme.

  Je glisse une de mes mains sur lèvres de lamazone et caresse doucement ses pétales. Jalterne le sens de rotation de ma langue, verticalement, horizontalement, provoquant des soubresauts de plaisir chez ma plantureuse amante.

— Cest très bien ! Continue comme ça, ouiiiiiiiiiiiiii

Marianne se met alors à caresser de ses grosses mains mon dos fragile, puis mes petites fesses. Ses doigts effleurent alors mon anus et je frémis de surprise, arrêtant de stimuler le clitoris de ma belle.

— Ne tarrête pas ! Je ne vais pas te violer ! Tu vas voir, ta rondelle est aussi une zone érogène surprenante.

Je reprends consciencieusement mon travail pendant que la main de Marianne caresse mon petit trou. En effet, je me surprends à aimer ça et mon sexe se tend même de plaisir !

  Les secousses du corps de Marianne sont de plus en plus violentes, je sens quil ne manque pas grand chose pour la faire jouir et jaugmente la pression de ma langue. Marianne pose alors ses mains autour de ma taille de guêpe et lenserre. Au fur et à mesure de mes stimulations, le degré dexcitation de Marianne augmente tellement quelle finit par me décoller du sol, si bien que je suis suspendu dans les airs par la seule force de ses bras, avec ma bouche encore collée sur son sexe.

— Ouiiiiiiiiiii, mon dieu que cest bon ! Continue, on y est presque.

  Jai limpression dêtre un sex-toy que lamazone tient dans ses mains pour se satisfaire. Marianne se met à hurler de plaisir et son jus chaud et sucré sécoule sur mon menton. Toujours maintenu par la taille à quelques centimètres du sol, mon corps est secoué par les ondes de plaisir qui traversent le corps de la valkyrie. Elle me pose finalement au sol et je regarde le spectacle de sa superbe poitrine qui se lève et se baisse au gré de sa respiration haletante.

  Marianne me lance un regard tendre et désireux. Elle ouvre alors ses bras et minvite à my jeter.

— Vient contre moi mon petit, ça vaut bien un énorme câlin.

Je me jette alors sur la poitrine de lamazone qui me sert dans ses bras. Nous nous embrassons passionnément. Je sens ses énormes seins sous mon corps et mon sexe déjà bien excité par les stimulations anales de Marianne devient dur à nouveau. La belle me saisit alors à nouveau par la taille et me soulève jusquà ce que mon sexe soit au niveau de sa bouche. Elle se met alors à le sucer avec adresse, insistant sur la limite entre le gland et la hampe. Jai limpression dêtre au paradis ! Ma belle porte tout mon poids dans ses bras et me donne la première fellation de ma vie. Je voudrais que ce moment dure pour toujours mais ma libido à grande vitesse dadolescent ne sencombre pas de ma volonté. Jexplose dans la bouche de la belle qui avale goulûment ma semence.

    A bout de force, mon corps se relâche dans ses mains puissantes. Je suis aussi flasque quune poupée de chiffon.

— Tu es un bon amant même sil te manque encore un peu de résistance, et puis tu es tellement mignon que tu peux faire craquer nimporte quelle fille dun seul regard.

  Mon amazone me pose à califourchon sur ses cuisses et je métale sur ses seins. Jenserre son cou musculeux et pose ma joue sur son épaule. Ses mains viennent entourer mon petit corps et elle dépose délicatement un baiser sur le sommet de mon crâne. Le doux soleil de fin août enveloppe ma peau dune chaleur relaxante. La brise joue avec mes cheveux. Marianne me berce comme un enfant et je sombre dans une douce torpeur, me délectant du contact si sensuelle de sa ferme et volumineuse poitrine sous mon buste. Cest alors quune voix familière me ramène brutalement à la réalité.

— Et bien ! Je vois que vous nauriez pas pu mieux faire connaissance ?

Cest Fred ! Les amies de Marianne savaient où elle allait memmener, et ne nous voyant pas revenir, ils ont décidé de nous rejoindre. Ils avaient laissé leur voiture au bord de la route. Les deux couples nous regardent dun air amusé et surpris. Je prends soudainement conscience de la situation dans laquelle je suis: Totalement nu, assis sur les cuisses musclées dune amazone qui me berce contre sa lourde paire de seins. Marianne passe alors une main sous mes fesses et lautre dans mon dos, puis se relève tout en me soulevant. Elle répond à Fred:

— Tout à fait, on sest bien amusé !

Je nai jamais vu mes deux amis avec lair aussi surpris. Je ne sais pas si cest à cause de la facilité avec laquelle ma belle me tient dans ses bras, ou si cest par la vue de son énorme poitrine quelle vient de leur dévoiler. En tout cas, la toile tendue de leur caleçon de bain ne laisse aucun doute sur leur état dexcitation. Marianne sen amuse:

— Je vois que vous aussi vous êtes en forme. Cest bien, on va pouvoir faire des trucs ensemble. Quen dites vous les filles ?

  Les deux amies répondent en enlevant rapidement leur maillot et en sapprochant de Marianne dont elles caressent maintenant le corps immense. Alors que les mâchoires de Fred et Marc sont prêtes à tomber dans le sable, Marianne les appelle.

— Nayez pas peur, je ne vais pas vous manger. Laissez tomber vos maillots et approchez vous.

Comme hypnotisés, mes deux compères quittent leur maillot et se dirigent avec une démarche de robot vers limmense déesse. Marianne me dépose à ses pieds pour que ses deux amies me prennent en charge. Lune delle se met à membrasser torridement pendant que lautre frotte sa poitrine tendue contre mon dos. Lamazone accueille Fred et Marc en écartant ses larges bras. Quand mes deux amis sont assez prêts, elle passe ses mains derrière leur nuque afin de diriger leur bouche vers ses tétons quils engloutissent goulûment. Je me laisse alors aller dans les bras des deux nymphes qui vont jouer de moi et avec moi toutes la nuit. Fred et Marc ne seront pas trop de deux pour satisfaire linsatiable amazone. Ces vacances sannoncent inoubliables…

Fin

Pour me contacter : petitskinny<@>yahoo.fr , toutes les remarques sont les bienvenues

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