Émilie stoppa sa voiture devant chez Clara qui descendit en trombe avant de revenir quelques instants plus tard en compagnie de Flocon. Dans la voiture de la vétérinaire, les deux mâles firent connaissance mais avant de démarrer, la doyenne voulait s’assurer que les chien ne se battent pas.
— Fonce ! J’ai trop envie de me faire mettre !
— Non, je ne veux pas que les chiens se battent pendant que je conduit. Laissons-les se renifler un peu.
— Bon… C’est toi qui décide…
Impatiente de se faire saillir, Clara s’installa coté passager et quitta son pantalon pour ne se retrouver qu’en sous-vêtement dans la voiture puis elle fit glisser sa main sous son string et commença à se caresser. Sur la banquette arrière, les deux mâles s’étaient reniflés plusieurs fois puis s’étaient allongé tranquillement. Émilie démarra la voiture et prit la route vers son cabinet en remarquant que quelques passant avaient les yeux rivés sur les cuisses de Clara dont la main s’activait rapidement sous son string.
— Clara ! T’as pas honte de te doigter comme ça devant tout le monde ?
— Hmmmmm ! Non ! J’ai trop envie d’une bite de chien entre les cuisses !
— Tu veux bien arrêter s’il te plaît ? Si on se fait arrêter, tu vas devoir attendre encore plus longtemps avant de le faire. En plus, tu es en train de faire couler le sperme de mon chien sur le siège.
Clara avait maintenant quitté son string et se caressait énergiquement le sexe. Elle avait ouvert sa fenêtre avant de poser son pied droit sur le rétroviseur extérieur pendant que son genou gauche touchait le levier de vitesse. Gênée par la masturbation imposante de sa passagère, Émilie décida de s’arrêter près d’une forêt pour ne pas avoir d’accident. La vétérinaire eut la chance de trouver rapidement un espace couvert de graviers donnant sur un sentier battu où il n’y avait aucune voiture. Occupée à prendre du plaisir, Clara ne remarqua même pas que la voiture était arrêtée.
— Clara ! Clara descends, tu va te faire sauter ici.
— On est arrivées ?
— Oui et non. J’arrive pas à conduire à cause de ton genou et j’ai pas envie qu’on se fasse attraper. Mets vite ton pantalon pendant que je fais descendre les chiens.
— OK !
Émilie prit les deux mâles en laisse puis elle fit le tour de la voiture pour ouvrir la porte à Clara qui n’avait pas prit la peine de remettre son string ni de boutonner son pantalon. La doyenne ferma sa voiture à clé puis les deux femmes prirent le chemin vers la forêt, chacune tenant son futur amant en laisse.
— C’est dingue ! J’ai jamais eu autant envie de me faire baiser !
— C’est normal, quand tu essaie un chien pour la première fois, ton corps découvre une nouvelle sensation et tu ne peux pas y résister. C’est un peu comme avec un mec, au début tu lui fait l’amour tous les soirs mais après tu ne le fait qu’une fois par semaines.
— Tu ne te fais sauter qu’une fois par semaines ?
— Non, je me rend compte qu’en fait, j’ai toujours autant envie de mes chiens qu’au début.
— J’ai bien envie que tu me raconte ta vie, mais je viens de voir un petit coin où mon chien pourrait me fourrer tranquillement. Tu veux bien m’aider ?
— Oui, si ça peut calmer tes ardeurs.
Clara lâcha son pantalon qui glissa tout seul jusqu’à ses chevilles puis elle se mit à quatre pattes et tendit la laisse de Flocon en direction de Émilie. La vétérinaire attrapa la dragonne en cuir puis elle tira délicatement l’animal vers les fesses de sa maîtresse. Le caniche positionna sa truffe à quelques centimètres du sexe de Clara puis il y envoya plusieurs coups de langue déclenchant les gémissements de la jeune fille. Après quelques instant, l’animal agrippa les hanches de sa propriétaire puis il envoya quelques coups de rein désordonnés.
— Putain que c’est bon de se sentir chienne ! Aïe ! Qu’est-ce qu’il fait ?!
— Je crois qu’il a envie de ton cul.
— Non ! Je déteste la sodomie ! HAAAAA !
— Trop tard…
Émilie n’avait volontairement rien fait pour empêcher Flocon de sodomiser sa partenaire. La vétérinaire était une adepte de la relation anale et comptait bien y convertir le plus de femmes possible. Clara hurlait de douleur en sentant le sexe animal glisser entre ses fesses d’autant plus que l’animal qui semblait être excité par les cris de sa femelle accélérait sa cadence. Lorsque le caniche réussit à insérer son nud dans le corps de la jeune fille, Émilie jeta la laisse au sol puis elle se dirigea vers sa voiture.
— ÉMILIE ! Tu ne vas pas me laisser comme ça ?!
— Tu voulais te faire défoncer par ton chien non ? Te voilà servie !
— Je voulais qu’il me baise, pas qu’il me casse le cul !
— Je ne suis pas sûre que ton cul soit cassé… je dirait même qu’il pourrait encore servir chez moi. Je vais t’attendre dans la voiture, pendant ce temps-là, essaie de réfléchir un peu.
— QUOI ?! Qu’est ce tu racontes !
— Tu n’es qu’une égoïste ! Depuis qu’on a récupéré ton chien, tu ne pense qu’a te faire baiser par lui ! Tu aurais pu me proposer ou tout simplement éviter de te doigter les jambes écartées dans ma voiture ! Je vais aller nettoyer les traces de sperme que tu as laissé sur mon siège et je reviens. Tu mérite une leçon mais je ne vais quand même pas tabandonner en pleine forêt !
— Bon… Je comprend. Mais mon chien me fait vraiment mal !
— Caresse un peu ta chatte, ça va te détendre et il sortira plus facilement. Si tu te libère avant que j’ai fini, rejoins-moi à la voiture.
Émilie marcha jusqu’à son véhicule laissant derrière elle Clara dont l’orifice anal était littéralement obstrué par le sexe de Flocon. À une centaine de mètre des amants, un couple de promeneurs avait été alertés par des hurlements féminin et se rapprochait de plus en plus d’elle. La jeune fille n’avait aucune idée de leur présence et fut prise de panique lorsqu’elle les entendit se rapprocher. La douloureuse sodomie qu’elle subissait l’empêchait de bouger et Clara ne put que rester tétanisée lorsque la silhouette du couple se dessina devant elle. Il s’agissait d’un homme d’environ tente ans, plutôt bedonnant et d’une femme tout aussi âgée mais à la silhouette sportive.
— OH MON DIEU ! MARC ! Viens voir !
— Sophie ? Qu’est-ce que… NOM DE DIEU ! Tout va bien mademoiselle ?
La promeneuse resta bouche bée devant le spectacle qui s’offrait à elle. Son compagnon essaya de nouer un dialogue pour aider cette jeune fille dont la position plus que gênante avait rendu écarlate.
— Heu… Bonjour, il m’est arrivé un accident avec mon chien.
— Je vois ça ! Vous vous sentez bien ?
— Oui, mais j’ai très mal aux fesses.
— Mais qu’est-ce qu’il vous est arrivé ?
— Je promenais mon chien tranquillement et j’ai eu envie de faire pipi. J’ai lâché sa laisse mais vu sa taille et la mienne, je n’ai rien put faire quand il m’as sauté dessus…
Clara s’était largement inspirée de son expérience avec Émilio pour expliquer la situation embarrassante dans laquelle elle se trouvait. L’homme se retourna vers sa femme et vit que cette dernière avait glissé sa main dans son pantalon.
— SOPHIE ! Qu’est-ce que tu fais ?!
— Excuses-moi mon chéri ! Mais c’est incroyablement excitant de voir ça !
— Passe-moi plutôt la vaseline, nous reparlerons de ça à la maison.
La promeneuse sexécuta et sortit de son sac un tube de lubrifiant déjà bien entamé puis elle le tendit à son compagnon.
— Bravo, maintenant il à l’odeur de ta chatte. Mademoiselle, vous permettez que j’essaie de vous aider ?
— Heu… Oui…
L’homme fit le tour et se présenta derrière la jeune fille puis il déposa un peu de vaseline sur le bout de ses doigts avant de les faire glisser tout autour de l’orifice anal occupé par le membre canin. Lors de sa manuvre, il vit que le sexe de la petite femme laisser s’échapper un peu de sperme mais cela ne ressemblait pas à du sperme ordinaire. Clara posa son regard sur la promeneuse dont la main était retournée dans son pantalon et fut surprise de la voir faire signe de sa main libre avec le pouce en l’air en direction de son compagnon. Un instant plus tard, la jeune fille entendit un bruit de fermeture éclair derrière elle suivit par un cri de la promeneuse.
— BAISE-LA ! BAISES CETTE CHIENNE !
— A tes ordres mon amour !
Les yeux écarquillés, Clara senti le sexe de l’homme se poser sur ses lèvres vaginales. La petite femme avait encore sur le dos son caniche dont le sexe occupait ses fesses et elle sentait maintenant les mains de son violeur humain agripper à son tour ses hanches pour la tirer vers lui.
— NON ! Mais qu’est-ce que vous faîtes ! Arrêtez !
— Pardon ? Tu laisses un chien te baiser et te sodomiser et il n’y a pas une petite place pour moi dans tout ça ?! PRENDS ÇA SALOPE !
Dans un violent coup de rein, l’homme inséra son sexe dans celui de la jeune fille sous le regard approbateur de sa compagne. Clara subissait là sa deuxième pénétration forcée de la journée mais comme pour la première, la réticence se transforma rapidement en plaisir. Un humain et un chien était en train de prendre possession de ses entrailles et cela l’excitait de plus en plus. La promeneuse avait elle aussi le pantalon sur les chevilles et se masturbait allègrement devant ce spectacle.
— Sophie ! Mets-toi devant elle, je suis sur que cette petite pute va te lécher la chatte pendant que son chien et moi lui faisons sa fête.
— Oui mon amour ! Excellente idée !
Quittant ses chaussures, la compagne du violeur se positionna les jambes écartées devant Clara et s’allongea au sol. Portée par le plaisir, la jeune fille n’hésita pas une seconde avant de placer son visage entre les cuisses de l’inconnue et de faire courir sa langue sur le sexe féminin qui s’offrait à elle. Émilie fut à son tour alertée par des hurlements féminins qui ne ressemblaient pas du tout à ceux de Clara mais qui provenaient de la même direction. Elle prit son chien avec elle et se précipita à l’endroit où elle avait abandonnée la jeune fille en pleine sodomie. Une fois sur place, la vétérinaire se trouva face à une scène à laquelle elle ne s’attendait absolument pas. Clara était à quatre pattes pendant que son chien se trouvait encore coincée en elle mais il y avait deux protagonistes de plus. Un homme était derrière la petite femme en train d’envoyer de violent coups de reins pendant qu’une femme se faisait explorer le sexe par la langue de la jeune fille. Clara saperçut de la présence de Émilie et stoppa son activité buccale pour prendre la parole.
— J’ai envie que tu viennes m’embrasser pour goûter à ta chatte !
— C’est le moins que je puisse faire pendant que mon mari te baises.
La promeneuse se mit à quatre pattes face à la petite femme pour l’embrasser fougueusement. Émilie compris le but de la manuvre et se dit que le moment était propice pour que son chien change cette femme en femelle canidée.
À suivre…