Bonjour, moi, c’est Jade, j’ai 18 ans et je suis issue d’une famille aisée composée d’un frère (Ethan) et de mes deux parents (Marc et Julie). D’après cette description, je semble être semblable à toutes les filles de mon âge, cependant, j’ai un trait de caractère quelque peu déroutant : je suis accro au sexe.
En effet, depuis mes premiers émois dès l’âge de 16 ans, je suis devenue complètement insatiable et rapidement, les jeunes de mon âge ne m’ont plus suffi. Hommes mariés, vieux pervers, jeunes adultes… je les ai tous goûtés, et je les ai tous aimés !
L’histoire que je vais vous conter date d’il y a 6 mois en début d’automne, et tout ce que je peux vous dire, c’est qu’elle dure encore…
Dimanche 10h, j’émerge doucement d’un long sommeil, c’est le week-end et je profite de mon repos, enfin façon de parler, puisquhier, je suis encore sortie jusqu’à pas d’heure. Je me dirige vers la cuisine vêtue comme à mon habitude d’un long t-shirt à travers lequel mes tétons pointent fièrement et d’un string.
Ah ! Suis-je bête, j’ai oublié de me décrire physiquement : je suis petite (1m58), ce qui accentue encore plus mes formes voluptueuses : j’ai les fesses musclées par la gym que je pratique depuis mes 6 ans, quant à mes seins, ils ne sont ni trop grands ni trop petits, en forme de poire, pointant fièrement vers l’horizon.
Reprenons notre récit… Je me dirige donc vers la cuisine où mon père prend déjà son petit-déjeuner, il a la cinquantaine et est dans la fleur de l’âge, bien que cadre dans une entreprise d’informatique, il n’oublie pas d’entretenir son corps. A ma vue, il se lève et je dois me dresser sur la pointe des pieds pour lui faire une bise.
Comme d’habitude, je vois qu’il n’hésite pas à plonger son regard sur mes seins, et cela ne me laisse pas indifférente. J’allume ma cigarette du matin, au grand dam de mon père qui déteste ça tandis que ma mère émerge dans l’encadreuse de la porte.
Elle est la représentation parfaite de la femme potiche, mon père l’a épousée pour son corps et elle le sait. Elle a passé les 20 dernières années à le satisfaire à tous les niveaux, notamment au niveau sexuel, les cris que je perçois de ma chambre depuis ma jeunesse en attestent. Elle me fait la bise puis embrasse mon père qui ne se gêne pas pour empoigner ses fesses, recouvertes à moitié par une nuisette en satin, à pleine main. Elle prend son café puis va déjeuner devant la télé comme à son habitude, me laissant seule avec mon père.
Je finis de déjeuner et mouvre le lave-vaisselle, je me penche pour y déposer ma tasse, ce qui laisse paraître mon petit string blanc recouvrant une ridicule partie de mes fesses.
Mon père laisse alors échapper un : « Salope », en murmurant.
Je me baisse alors encore plus en faisant mine de farfouiller tout en remuant mes fesses. Lorsque je me relève, je lance un sourire plein d’innocence à mon père en lui disant d’un ton langoureux :
Le spectacle t’a plus mon petit papa ? Tout en lui octroyant un baiser fugace à la limite de la commissure de ses lèvres.
Il me saisit d’un coup sec, m’embrasse à pleine bouche, puis prend ma main qu’il pose sur son jogging qui laisse deviner son membre gorger de sang. Il me dit avec un regard lubrique.
Regarde de quoi tu es responsable petite salope, à t’agiter comme ça devant moi.
Quoi ? ? lui répondis-je interloquée.
Il me bascula brusquement sur ses genoux, comme pour me mettre une fessée, il releva mon t-shirt et mit la main sur mon string qu’il me retira.
Je vais te confisquer ça petite cochonne, ça t’apprendra à le mettre sous les yeux de ton vieux père.
Il le ramena à son nez et le huma profondément, puis s’exclama à voix haute.
Mais c’est que tu mouilles petite salope ! Ma fille me chauffe et elle en mouille !
Tout ce que je pus rétorquer fut un sourire gêné, il conclut la discussion en me disant.
Avise-toi de recommencer et tu en subiras les conséquences Jade !
La journée se déroula normalement puis arriva l’heure de la douche, la salle de bain étant en face de ma chambre, il m’arrivait souvent de faire le trajet, entièrement nue avec ma serviette. Sauf que cette fois-ci, lorsque j’ouvris la porte de la salle de bain, je vis mon père une serviette nouée autour de la taille en train de se raser. Son regard se tourna immédiatement dans ma direction et je compris qu’à ce moment-là, il ne me regardait pas comme sa fille chérie, mais comme une chienne en manque de sexe.
Il m’ordonna de fermer la porte à clé puis d’un mouvement sec, il fit tomber sa serviette dévoilant sa nudité intégrale.
C’est ça que tu veux ma fille, n’est-ce pas ? Je sais que t’aimes ça, je le vois quand tu me laisses te mater ou que tu me chauffes d’un air innocent, tu es comme ta mère, tu es faite pour satisfaire les hommes ! me déclara-t-il d’un ton autoritaire.
A la vue de ce gigantesque membre, 23 centimètres à vue d’il, bien plus grand que ce que j’avais connu, je commençais à mouiller et ma chatte brillait d’excitation. Je décidais alors de rentrer dans son jeu et d’empêcher tout point de non-retour en lui répondant :
C’est vrai papounet que j’aime la bite, j’y suis accro, j’aime me faire défoncer, j’aime crier, gémir, couiner !
Et joignant le geste à la parole, je saisis son membre et commençai à faire des va-et-vient avec ma main.
Mon père dans le feu de l’action me mit une gifle en me disant :
Salope, tu te crois où ? Avec ton petit copain pour me palucher comme un vulgaire gamin ?
Puis il me força à approcher ma tête de son sexe. Par réflexe, je le pris en bouche et commençai à sucer mon père. Il donnait le rythme en me tenant la tête, il me baisait littéralement la bouche.
Il déclara :
T’es une bonne salope Jade ! Tu sais y faire, je vais te transformer en vulgaire chienne, c’est tout ce que tu mérites !
Il eut uniquement des bruits de succion en guise de réponse. Je levai les yeux vers lui, en soutenant le regard au maximum, comme je savais le faire. Cela eut l’effet escompté puisqu’après quelques secondes de ce traitement, mon père appuya sur ma tête puis tout en gémissant me dit :
Je vais jouir Jade ! Je vais tout te mettre dans ta bouche de salope ma fille !
Puis il déversa une quantité incroyable de sperme que je m’efforçai d’avaler, une fois toute la semence ingurgitée, je fis à mon père un sourire d’enfant, les lèvres jusqu’aux oreilles avec les restes de son sperme sur mon visage tout en lui disant :
Merci mon papounet.
La suite si vous aimez ;)
