C’était un jour de semaine bien normal, je me promenais au centre d’achat pour faire passer le temps. J’arpentais la section des bandes dessinées de la librairie, me rappelant les films qu’ils vendaient autrefois. J’étais dans ma tête jusqu’à tant que mon cell sonne. C’était Zoé. J’eus un énorme frisson d’excitation et répondis aussitôt. Mon ex-petite amie. Elle était si douce, si sage, si attentionnée… notre relation me manquait. Elle m’appelait pour me demander si je voulais venir chez elle, elle ne semblait pas bien. Je lui répondis que oui. J’ai lâché ma BD de Batman et je suis allé dans ma voiture pour me diriger chez elle. Sur le chemin, je me rappelais les moments torrides que nous avions eus ensemble. Je me souviens du goût salé de sa chatte poilue, elle me tenait la tête avec fermeté pour que je continue de la manger et je ne la décevais pas.
Elle me branlait si bien, une cuisse accotée sur mes couilles, une main qui me masturbe et son regard d’envie de me voir éjaculer avec émotion. Une fois venue, elle s’assurait de bien boire chaque goutte de ma semence. C’était le bon temps. Mais c’était chose du passé. Nous avons rompu il y a de cela deux ans. Elle a décidé d’aller vers un autre gars : Gabriel. Plus musclé, plus beau, plus viril, je n’étais pas de taille face à lui. En revanche, Zoé ne semblait pas si heureuse avec lui et continua à me voir même si Gabriel n’en savait rien. S’il venait à l’apprendre, Dieu seul sait comment il aurait réagi. Il me faisait plutôt peur avec sa grande carrure, je ne voudrais certainement pas m’opposer à lui.
15 minutes plus tard, j’étais arrivé chez Zoé. Je montai les quelques marches pour me rendre à sa porte et pesai sur la sonnette. La réponse se fit attendre, je me suis donc tourné sur mon cell pendant l’attente. J’entendis la porte ouvrir et en me levant la tête avec sourire d’appréhension de revoir cette beauté, je me surpris à plutôt croiser le regard intimidant de Gabriel. J’étais pétrifié de peur. Souriant de plus en plus voyant qu’il était clairement le mâle dominant entre nous deux, il me dit :
Alex. Ça fait longtemps que j’attends ce moment.
Oh euh tu dois être Gabriel. Ravi de te connaître, je passais seulement pour euuh… enfin je suis un peu pressé, je crois que je vais y aller…
Gabriel sourit de plus belle.
Ohh ben non t’es pas pressé. Allez, entre. Zoé t’attend en bas.
Zoé …? Je ne l’ai pas revue depuis longtemps…
Il me prit par le bras, m’amenant à l’intérieur de la maison, avant de fermer la porte.
Arrête la bullshit, je sais tout. On va arranger ça ne t’en fait pas.
Mon âme hurlait de peur. Je tremblais comme un petit chien qu’on amène à l’abattoir. Qu’est-ce qu’il allait me faire ? Me battre ? Me torturer ? Me tuer ? Je m’attendais au pire. Il était si imposant. Des cheveux sombres comme du charbon, des yeux perçants comme ceux d’un aigle, musclé comme un taureau. Il devait défoncer Zoé et en faire sa chienne chaque soir. En arrivant à la porte du sous-sol, Gabriel me plaqua contre cette dernière et vint se coller à moi. Je fus certes surpris de son geste et ma peur s’accrut encore plus. Son corps était chaud, dur, imposant. Il me regarda de haut en bas et sourit avant de me dire :
Je savais que tu étais une petite tapette.
Je ne compris pas pourquoi il disait ça avant de voir mon érection bien moulée dans mon pantalon. J’avais tellement honte… Le sentiment de vulnérabilité et de peur qui m’habitait depuis le début de notre rencontre m’avait excité sans que je m’en rende compte. Je ne comprenais pas, je n’avais jamais été tant excité que cela par un homme. Il continua de me rabaisser :
Espèce de lopette minable, écoute-moi bien. Tu vas faire exactement ce que je dis, d’accord ?
Je restai figé, ne sachant plus quoi faire, quoi dire, ou quoi penser. Il haussa son ton de voix :
J’ai dit, D’ACCORD ?
Euh oui bien sûr.
Tu vas m’appeler maître. Allez, reprends ta réponse petite conne.
Il m’excitait de plus en plus, je ne savais pas ce qui se passait à l’intérieur de moi. Normalement, j’aurais refusé catégoriquement cette demande, mais son regard et sa main sur ma gorge me rendaient si vulnérable, je n’avais pas vraiment le choix.
Oui maître…
Bien. Maintenant, il faut que tu saches que quelque chose t’attend en bas. Mais avant d’y aller, il va falloir que tu te déshabilles au complet.
Au complet ?
Oui. Je veux que tu aies honte le plus possible chienne.
J’étais complètement désemparé. J’essayai de lui résister en lui répondant que je n’étais pas à l’aise. Par son regard, je compris qu’il n’aima pas ma réponse. Sans que j’aille le temps de cligner mes yeux, il m’assena un coup de poing au nez. L’impact fut percutant, je tombai sur le sol comme un chiffon. Des larmes remplirent mes yeux, je voyais flou. Mon sang tombait sur le plancher à grandes gouttes. Gabriel me prit par la gorge et me releva.
Et maintenant es-tu plus à l’aise ?
Oui maître…
En commençant par mon chandail, je me déshabillai. Il m’observait, impassible, les bras croisés. Lorsqu’il ne resta que mon boxer, il me les arracha et s’esclaffa de rire en voyant mon sexe.
Hahahahahaha ! Et ça, c’est bandé?!? Là, je comprends pourquoi cette salope avait une chatte aussi serrée ! Oh, mais ne t’en fais pas, j’ai remédié au problème, elle a maintenant une plotte digne d’une pute hahaha. Bon allez, allons avoir du fun un peu.
Il prit mon bras, part en arrière et me fit descendre les marches. Mon nez continuait à saigner, mon pénis coulait de liquide pré-éjaculatoire. En descendant, j’entendais un bruit, que je n’étais pas capable d’identifier. C’était plaintif. De plus en plus que je descendais, la plainte augmentait en puissance et en fréquence. Lorsque je tournai le coin de l’escalier, je compris de quoi il s’agissait lorsque je vis la source des sons plaintifs. Mon Dieu. C’était Zoé.
Elle était dans une cage, nue, et recouverte d’éléments de BDSM. Ses seins étaient rattachés à son clito grâce à un piercing, un bec rouge remplissait sa bouche, la forçant de la laisser ouverte et ses mains étaient menottées. Figé de stupeur, je la regardais en pleurant. Je lui dis que j’étais désolé, pendant que Gabriel m’attacha à un poteau. Il sortit Sarah de sa cage, elle le suivit à quatre pattes comme un chien. Une fois qu’elle fut immobile à côté de lui, il m’adressa la parole.
Tu sais, au début, j’étais sûr et certain que tu avais disparu de la carte. Que tu avais réalisé que Zoé était tout sauf pour toi, que tu étais en train de te faire baiser dans le cul par un loser. Ça allait bien.
Il commença à se dénuder. « Tu faisais ta vie misérable et moi je profitais de ce trou que tu estimes tant pour me vider. Et puis un jour, je vous ai surpris, tous les deux, vous deux qui prenaient un café l’air tout heureux… en vous tenant la main. Au début, j’étais sur le point d’aller te voir pour aller te battre au sang, mais je me suis calmé. Je suis quelqu’un de raisonnable. » Son torse était musclé comme un étalon, ma queue recommença à devenir dure. « Je me suis dit que ce n’était pas seulement toi le problème. Non. Cette chienne m’a trompé pour un avorton. Elle m’a utilisé. Ce que personne ne peut me faire. Alors j’ai décidé de vous briser. Mentalement. Vous aurez honte, vous serez conditionnés toute votre vie à vous dénigrer. Vous vous direz que vous n’êtes rien. Parce que je, suis, VOTRE MAITRE. »
Il retira en même temps de finir sa phrase son boxer. Il avait une queue énorme, longue d’au moins 12 pouces. Je me surpris à déglutir d’adoration. Elle était magnifique. La mienne, comparée à celle du demi-dieu, était une farce, un jouet. Elle était dure comme le roc et on aurait dit qu’elle n’attendait qu’à défoncer quelque chose. Cette chose fut Zoé. Il la prit par les hanches et l’a mis en doggystyle face à moi. Il se mit à défoncer sa chatte avec des va-et-vient rapides et secs. Zoé poussait des cris à la fois de douleur et de plaisir. Elle me regarda sans arrêt, l’air triste. J’étais impuissant. Je le regardais se faire violer et je ne pouvais rien faire. Gabriel vit mon désarroi et commença à parler à Zoé :
Tu es contente que je te défonce avec ma queue hein ?
Oui mon maître, je vous en supplie, continuez…
Dis à ton fif d’ex à quel point je suis meilleur.
Zoé me regarda avec tristesse avant de jeter son dévolu sur moi.
Alex n’est rien comparé à vous, vous êtes un dieu du sexe, il n’est rien.
Le pubis de Gabriel cognait sur les belles fesses rondes de son jouet à une vitesse effrénée.
Gabriel me regarda et remarqua mon air vide, dénaturé.
Eh ben, ne reste pas là à rien faire ! Tu la veux, je le sais. Allez, mets ta petite queue dans sa bouche.
J’étais très hésitant, je ne voulais pas lui faire de mal. L’air de Gabriel changea pour passer à la froideur.
Fais-le, sinon c’est moi qui vais lui défoncer la gorge.
Ne voulant pas que cela arrive, je m’avançai et mis ma queue dans la bouche de mon amour de toujours. Je ne pus me retenir de pousser un gémissement de plaisir lorsque sa langue toucha mon gland. Sa bouche était chaude et humide, je pouvais sentir les frémissements de sa langue qui longeait ma queue malgré elle. Je me sentais tellement mal, Gabriel voulait que je participe au viol de mon ancienne conquête, mais je ne pouvais pas cacher le plaisir qu’elle me donnait. Gabriel voulait que j’apprécie le fait de la violer. Et ça marchait. Zoé gémissait pendant que ma queue lui remplissait la bouche. Sa langue se promenait sur mon pénis et je sentais que j’allais exploser d’un instant à l’autre. J’essayais de me contenir, mais j’en étais incapable. Je sentais mon liquide blanchâtre remplir mes couilles et vouloir sortir de sa prison. Mon visage était crispé, je mordais les lèvres d’excitation. Après avoir essayé le plus fortement possible de me retenir, j’abandonnai.
Je poussai un cri de jouissance en remplissant la bouche de Zoé de ma semence. Elle lâcha un petit son de surprise et essaya de gérer tout ce liquide étranger qui la remplissait. La queue toujours dans sa bouche, mon sperme coulait sur les bords de ses lèvres, et je vis sa gorge déglutir pour avaler ma semence qu’elle n’a pas pu faire sortir.
Essoufflé, ma queue maintenant molle sortit de sa bouche en laissant un filet de sperme faire le pont entre cette dernière et le menton de la jeune adulte.
Je reprenais mon souffle et mes esprits alors que le mâle dominant me regarda avec dédain en continuant de pénétrer son trou.
Déjà? Mon Dieu, je savais que tu étais faible, mais pas à ce point !
Zoé poussait des gémissements de plus en plus forts, je sentis qu’elle était sur le point d’atteindre l’orgasme. Gabriel le remarqua aussi et joua avec son clito pendant qu’il continuait de la défoncer comme une bête. Il ne fallut que quelques secondes pour que Zoé ne roule ses yeux et lâche un cri de plaisir intense en laissant paraître malgré elle un sourire de satisfaction. Gabriel était visiblement fier de son efficacité.
Combien de fois tu l’as fait jouir ? 1 fois ? Ça t’a probablement pris une éternité, tu l’as mangée sans arrêt jusqu’à ce qu’elle vienne. Pathétique. Tu vois, juste quelques instants avec ma queue et elle va au 7e ciel hahahaha.
Il disait vrai… il était bien meilleur que moi… Alors que mon pénis dégoulinait de sperme, il ordonna à Zoé de nettoyer ce gâchis. Elle s’exécuta aussitôt en lichant mon sexe jusqu’à ce qu’il n’ait plus une goutte. Inutile de vous dire que mon érection était revenue. Quand elle eut fini, elle lava ce qui était tombé sur le sol avec sa langue. Elle était devenue tellement docile, ça n’avait aucun sens. Une fois terminé, elle se mit à genoux à côté de son, ou plutôt, de notre maître. Gabriel, satisfait :
Bon, on en a fini… Avec elle.
Qu’est-ce qu’il insinuait ?
À suivre…