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Chroniques villageoise – Chapitre 6




6 Plus on est de fous

Le curé reparti, Marie et sa fille, rassasiées, devisèrent faisant remarquer que le curé nétait pas un bavard. Pourtant, se dirent-elles, il serait intéressant de savoir ce qui se passe au village par le biais des confessions, il doit être au courant de beaucoup de secrets et surtout dhistoire de fesses car, même lorsque ce nest pas le jour de Blanche, il revient toujours du confessionnal la queue dressée.

Justine approuva mais en même temps elle se dit que par Blanche de Merteuil le curé doit forcément connaître le genre de relations qui lunit à Jeanne de Merteuil car, pour faire bander le prêtre, Blanche na certainement pas omis de confesser également la raison de ses visites au château. Aussi, Justine décida quil valait mieux que ces révélations viennent de sa bouche et décida de tout raconter à sa mère. Pour cela elle devait attendre linstant favorable qui dans son esprit se situerait pendant la montée du plaisir lors de leurs ébats.

Cest ce quelle fit. Marie masturbait la chatte de sa fille pendant que celle-ci lui rendait la pareille.

— Sais-tu Maman que tu as des doigts de fée qui me ravissent divinement bien. On voit que les nombreuses années que tu as vécues ton données lexpérience et la dextérité pour rendre une femme heureuse en loccurrence moi.

— Dis tout de suite que je suis vieille pendant que tu y es ! Rétorqua Marie cessant un court instant sa masturbation.

— Non maman tu nes pas vieille, mais narrête pas sil-te-plait, continues.

— Toi aussi, continues de me branler vilaine fille.

— Je disais ça, repris Justine, parce que Jeanne, tu sais la mère de Blanche, elle a plus de 70 ans et bien elle me branle presquaussi bien que toi.

Marie, qui se concentrer sur lorgasme qui montait, avait bien entendu ce que disait sa fille mais ne réalisait pas vraiment. Aussi elle leva la tête un court instant.

— Ah bon, alors il faudra que je la teste dit-elle avant de se remettre à louvrage.

Ce nest que lorsquelle eu fait jouir Justine et avoir joui elle-même quelle réalisa que sa fille venait davouer quelle se faisait branler la chatte par la vieille châtelaine.

— Mais tu es une salope ma fille, et pourquoi pas te faire aussi brouter le minou par cette vieille peau pendant que tu y es ! Tu nas pas honte ?

— Oh si maman répondit Justine en éclatant de rire et je la branle et la broute aussi et elle aime ça. De plus elle est généreuse. Avec quel argent crois-tu que jai payé le resto. Et puis qui ma transmis les gènes ?

— Alors cest de ma faute ? Bon, je suis prête à ladmettre si tu me donnes des détails.

Justine raconta, Marie écouta. De temps en temps elle linterrompait, lui demandait des précisions surtout sur la forme de sa chatte que Justine avait décrite comme étant démesurée par rapport à la fragile corpulence de sa propriétaire.

— Oui répétait alors Justine, ses petites lèvres et son clito, même au repos, dépassent en permanence mais quand elle est excitée cest dément surtout son clitoris qui devient aussi long et aussi gros que mon pouce.

Marie regardait le pouce que sa fille lui montrait et regardait ensuite son sexe dont le clitoris bandait de nouveau et se disait, bien que moins imposant, le sien nétait pas mal non plus. Justine comprenant ce que sa mère faisait lui dit en lui pinçant le clito:

— Mais oui maman, il est beau ton bouton damour et puis limportant cest quil te fasse jouir. Regardes le mien, il nest pas bien gros et pourtant il me donne de fabuleux orgasmes.

— Tu sais Justine, après ce que tu viens de ma dire sur elle, jaimerai bien la rencontrer ta fameuse Jeanne de Merteuil.

— Je pense quavec la complicité de Blanche cela sera possible mais pour laborder je crois que le curé serait le meilleur intermédiaire car, si jai bien compris, elle à flashé sur lui et, pour convaincre le curé dintervenir, maman, tu es la meilleure ambassadrice.

— Cest sur et jy pense, puisque tu as envie de perdre ta virginité je pourrais en faire une monnaie déchange. Y verrais-tu un inconvénient ?

Le sourire de Justine suffit comme seule réponse.

Le curé, de son côté, savourait les moments délicieux quil avait passé dans la chambre de Marie. Lorsque son sexe avait pénétré dans la chatte de sa servante, onctueux à souhait, il comprit pourquoi le sexe prenait une part aussi importante dans la vie de ses concitoyens. Et il y avait Justine, avec ce corps magnifique et qui lavait magistralement pompé. Pourrait-il la posséder comme il avait possédé sa mère ? Avec elle il se sentait prêt à vivre une véritable aventure amoureuse même sil devait, pour cela, vendre son âme au diable.

Nous sommes lundi, se dit le prêtre, le jour de confession de Blanche de Merteuil et Marie qui nest pas encore là. Elle doit surement être dans les bras de sa fille. Il les revoyait, ce vendredi soir en train de se lécher le minou et sil connaissait lhomosexualité masculine quil avait pratiqué lors de ses études au séminaire, il ignorait tout de lhomosexualité féminine et voir ces deux femmes, bien quil sagisse du péché dinceste ou alors justement parce quil sagit dinceste, cela lavait fortement excité. Il posa sa main sur sa braguette. Il bandait déjà alors quil navait pas encore entendu la confession de Blanche. Il revêtit sa chasuble mais, avant quil ne la rabatte, il sortit son membre turgescent et laissa retomber son vêtement sacerdotal. Comme je vais devoir me soulager seul comme la semaine dernière, pour une fois, je me branlerai discrètement en même temps que la baronne en écoutant sa confession.

Ce lundi là, Blanche voulait brusquer les choses. Cela faisait bien trop longtemps quelle attendait le bon vouloir du curé. Bien-sur, elle pouvait toujours se faire jouir pendant quelle se confessait mais le comportement plus que réservé du prêtre lagaçait. Elle voulait voir sa queue et faute de la branler elle-même, lentendre gémir pendant quil éjaculerait. Elle décida donc de parler des déviations de sa mère, de ses après-midi coquins quelle passait en compagnie de Justine.

Blanche avait visé juste. Son histoire avait fait mouche chez le curé. Par cet aveu Le curé pensait avoir un moyen de pression sur Justine bien que le chantage lui parut un moyen odieux pour arriver à ses fins. Peut-être nen aurais-je pas besoin se dit-il pour se rassurer. Par contre il avait eu raison de prévoir une discrète masturbation car Blanche lavait passablement chauffé. Il avait pu saisir son membre bandé sans soulever sa chasuble car le tissu était suffisamment fin pour ne pas faire entrave. De lautre côté Blanche avait eu son orgasme et avait enfin reçu sa récompense en entendant le curé jouir malgré son désir dêtre discret.

Marie et sa fille déjeunèrent en discutant. Justine avant son départ pour lécole voulut, en guise de dessert, offrir à sa mère une petite gâterie sachant quelles allaient être plusieurs jours sans se voir mais Marie refusa prétextant la fatigue du week–end.

En fait Marie avaient dautres projet et se souvenait avec délectation des orgasmes à répétition que le curé lui avait procurés et elle avait voulu garder suffisamment de force pour vivre la même expérience, au presbytère cet après-midi. Quand elle y entra le curé était tout à sa lecture de son bréviaire. Il la salua distraitement. Marie en était pour ses frais, elle qui pensait que lhomme, les couilles pleine et la queue bandée lattendait avec impatience, quelle se ferait assaillir et saillir par lui dès son arrivée, elle en fut pour ses frais. Durant lheure qui suivit Marie redoubla ses approches en ouvrant son décolleté et prenant des poses équivoques qui montraient le sillon de ses seins ou ses fesses en se penchant plus quil nétait nécessaire. Rien ne faisait sortir le curé de sa lecture. Elle finit par lui demander :

— Quest-ce que je vous ai fait Pierre ?

Le curé sursauta. Cétait la première fois quelle lappelait par son prénom.

— Mais rien ! Pourquoi ?

— Voilà une heure que je tourne autour de vous, que je multiplie les provocations telle une femelle en chaleur que je suis dailleurs nen doutait pas. Jai la chatte en feu. Depuis que vous mavez baisé, je nai plus quune envie cest de sentir votre membre me perforer. Pourtant vous aviez lair dapprécier.

— Allons Marie, un peu de tenue. Bien-sur Marie que jai apprécié. Pour moi cétait tout nouveau et il me sera difficile maintenant de men passer mais chaque chose en son temps.

Marie ne reconnaissait plus le curé. Lui, toujours prêt à recevoir les caresses, semblait jouer le mec blasé. Elle sentait bien quil forçait sa vraie nature et elle cherchait un moyen pour quelle reprenne le dessus. Elle eut tout-à-coup un éclair de génie.

— Justement en parlant de temps, Ma fille regrette de navoir pu vous saluer avant son départ.

Lil du curé devint plus vif soudain. Avait-elle vu juste ?

— Ce nest pas grave répondit-il. A-t-elle était contente de son week-end ? Je suis un peu déçu quelle nait pas eu un moment pour me rendre visite. Elle a beaucoup de qualités et de savoir-faire, jaurai apprécié quelle renouvelle sa prestation de vendredi. Vous voyez ce que je veux dire nest-ce pas ?

Marie en était sure maintenant. Pierre avait flashé sur Justine.

— Justement reprit Marie, ma fille na fait que des éloges sur votre personne et surtout sur votre performance quand vous mavez envoyé plusieurs fois au septième ciel. Savez-vous que malgré ses connaissances en matière de sexualité, aucun homme ne la pénétré et que son plus grand souhait serait que ce soit vous qui la défloreriez.

Ces paroles avaient atteint leur but. Si les yeux de Marie avaient pu voir au travers du bureau, elle aurait vu que la bite du curé navait plus la même taille.

— Si vous êtes daccord nous pourrions convenir dun rendez-vous, chez moi, samedi prochain.

— Elle ne peut pas rentrer plus tôt ?

— Non mais je vous assure que je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour que ces journées passent très vite et puis il faut répéter. Avec moi il ny avait aucun problème mais la chatte de Justine est étroite. Allez, venez, je sais que vous en mourrez denvie.

Marie souleva sa robe jusquaux hanche, fit admirer un brève instant son ventre exempt de sous-vêtement et se plaça entre le bureau et le curé, sasseyant sur le meuble et ouvrant le compas de ses jambes lui dit :

— Il faut dabord bien huiler le conduit et rien de tel que de commencer par un superbe cunnilingus. Je vais vous guider car je connais les préférences de Justine. Dabord vous posez vos mains de chaque côté des grosses lèvres et vous les ouvrez. Vous rester à regarder, Justine adore ça quon la regarde. Vous allez voir ses petites lèvres enfler ce qui les fera sentrebâiller et, entre elles, apparaîtra une humidité. Vous allez apercevoir son clitoris pointer le bout de son nez. Bien sur en ce moment cest ma chatte que vous regardez aussi les petites lèvres et le clito nont pas les mêmes dimensions que ceux de ma fille ce qui nempêche pas quelle na plus quun désir cest de sentir votre langue la fouiller, de bas en haut et de haut en bas en essayant, à chatte passage, de la rentrer dans le vagin ou de sattarder un peu sur son clito. Oui, mon Pierre, cest bien. Imagines que cest la chatte de Justine oui cest mieux. (Sous leffet des caresses Marie se mit à tutoyer le curé). Tu sens mes jambes commencent à trembler, ce sera pareil pour Justine, lorgasme monte, le ventre vient à la rencontre de ta langue, tu accélères et tuAhhhme fais jouir.

Marie reprit rapidement ses esprits.

— Bons débuts. Je pense que Justine sera contente. Ce quil faudra surtout sassurer cest quelle soit suffisamment mouillée pour recevoir ta queue. Tu la sortiras. Elle devra bander. De ce côté-là je ne me fais aucun souci, de toute façon je serais là pour la préparer pendant que tu la lèches. Tu présente le gland à lentrée du vagin et tu la pénètres de deux ou trois centimètres, tu ressors et tu recommences essayant à chaque fois de pénétrer un peu plus jusquà tu sentes une résistance, oui comme ça, cest bien mon Pierrot mais, avec elle, cela ne sera pas aussi facile. Bon sang quelle est grosse, Tu vas encore me faire jouir. Arrêtes de bouger, fais comme si tu étais arrivé au pucelage. Tu me le dis et tu attends mon ordre pour entrer bien au fond. Vas-y enfonces. Quand tu seras bien enfoncé, tu resteras immobile jusquà ce que la douleur satténue et pour le savoir cest bien simple tu attends que Justine reprenne delle-même les va-et-vient. Mais vas-y ! quest-ce que tu attends pour linstant tu es dans ma chatte, baises-moi, baises ta Justine. Mon dieu que cest bon.

Pour jouir Marie attendit de recevoir le foutre du curé qui arriva très vite car elle savait quentendant prononcer le prénom de Justine il ne pourrait plus attendre.

— Bien dit-elle enfin calmée et avec un air narquois, encore une dizaine de répétition et tu seras au point. Maintenant que nos sens sont apaisés, as-tu toujours la côte avec Blanche de Merteuil ?

— Aucun problème, dailleurs au sujet de sa mère, elle ma raconté une drôle dhistoire sur Justine et elle.

Voilà, se dit aussitôt Marie, le curé est au courant pour Justine et Jeanne de Merteuil.

— Justement je voulais vous en parler (elle avait repris le vouvoiement), ma fille ma mis au courant et je lai tout dabord sermonnée comme vous lauriez fait certainement si elle sétait confessée à vous mais sa démarche partait dune bonne intention. Elle voulait rendre plus agréable la vie de la Baronne mère et se faire un peu dargent de poche, de plus cette tâche nétait pas, pour elle, un vrai travail car regarder une vieille dame se branler nest pas une tâche fatigante quoique, connaissant ma fille, il était fort possible quelle ne puisse sempêcher de limiter. Je lui ai dailleurs la question et mavoua quelle avait bien-sur participé car, la voyant très coopérative, Jeanne lui demanda de ne plus être simplement spectatrice. Non seulement Justine prenait du plaisir mais sa participation fut plus largement rétribuée. Bien entendu les choses évoluèrent. Jeanne ne tarda pas à lui demander si ma fille accepterait de se laisser masturber par elle. Pourquoi aurais-je refusé, mavait alors dit Justine, surtout quelle sy prenait très bien, presquaussi bien que toi maman, avait-elle ajouté. Ensuite elle lui demanda si elle voulait bien se laisser masturber par elle et se proposa même de la lécher. Comment refuser une offre aussi (al)léchante, Jeanne était experte dans lart des amours saphiques et Justine appréciait énormément les jouissances que Madame de Merteuil lui procurait. Je savais la rigueur avec laquelle ma fille sapplique dans son travail mais, maintenant, connaissant son véritable tempérament, je ne suis pas étonnée de lardeur avec laquelle a dû accomplir sa tâche.

— Marie ! Hurla le curé, vous nallez quand même me dire quelle fait acte de charité. Un peu plus vous allez me demander de la canoniser, de mettre sa statue dans léglise pour que toutes les frustrées du village viennent limplorer et lui réclamer les orgasmes quelles nont jamais eu.

— Non, monsieur le curé, je nirais pas jusque là, bien que pour les bigotes ce serait une bonne solution pour les rendre plus tolérantes. Avouez quune bonne partie de jambe en lair na jamais fait de mal à personne.

Rassasiée et fatiguée, Marie regagna sa maison. Une fois chez elle, elle sallongea sur le lit et respira lodeur que sa fille y avait laissée. Dans sa tête tout se mélangeait. Depuis quelle avait renoué avec une sexualité plus débridée, elle avait limpression de vivre une nouvelle jeunesse en pouvant enfin réaliser tout ce dont elle avait pu imaginer durant la période où la masturbation en solitaire était sa seule source de plaisir. Dans sa tête un projet prenait forme. Il consistait à réunir toutes les personnes quelle savait accro au sexe. Par exemple profiter du dépucelage de Justine pour organiser une grande orgie. Il fallait dabord choisir le lieu puis trouver le moyen de les réunir. Pour Justine, Blanche et Marie leur point commun est le curé donc le presbytère est tout indiqué pour sy retrouver. Il ne reste plus que Jeanne de Merteuil. Comme elle ne sort plus guère du château, elle sera difficile à convaincre à moins, peut-être, que si Justine lui laisse entendre que le curé, mis au courant par Blanche de leur relation, ce qui est vrai dailleurs, aimerait bien les rencontrer peut-être alors que Jeanne, de peur de sattirer les foudres de dieu, consentira à se déplacer. Une fois tout ce beau monde prévenu, il faudra choisir la date et mettre au point le scénario.

Le lendemain Marie se rendit comme dhabitude au presbytère pour mettre le curé au courant de ses projets. Pour rester lucide, elle sétait promit dêtre raisonnable. Pour ne pas être tentée, avant de se lever, elle sétait laissé aller à une séance de masturbation qui se révéla insuffisamment efficace car lenvie la reprit alors quelle se douchait. Mais être raisonnable ne suffisait pas. Encore fallait-il que monsieur le curé le soit aussi. La veille, pensa-t-elle, il sétait suffisamment fatiguer pour que ce matin il nait pas trop envie, dans le cas contraire, elle ne pourrait pas rester insensible très longtemps aux arguments que lui présenterait le prêtre.

Marie expliqua son projet. Comme le but principal de ce projet était le dépucelage de Justine, le prêtre donna son approbation pour ne pas dire son absolution. Samedi fut la date choisie. Le curé invitera Blanche qui nattendait que cela. Marie arriverait pendant leurs ébats. Justine sera montée au château et aura convaincu Jeanne de Merteuil de laccompagner au presbytère sous nimporte quel prétexte. Une fois réuni, tout ce beau monde naura de cesse que de participer aux ébats collectifs et de satisfaire ainsi leurs besoins grâce aux mains, aux langues, aux chattes et à la queue mises à leur disposition.

Nous étions samedi. Marie, maître de cérémonie, surveillait de chez elle lentrée du presbytère dont elle nétait guère éloignée. A lheure prévue, une voiture sarrêta et Blanche de Merteuil en descendit. Marie sourit, le début de son plan fonctionnait. Elle navait aucune précision quant à la manière dont le prêtre allait sy prendre mais elle savait que Blanche nallait pas laisser passer loccasion qui soffrait à elle de pouvoir enfin gouter la bite du curé.

Marie regardait sa montre. Les vingt minutes de délai quelle sétait accordée avant dintervenir lui paraissaient une éternité. A la dix-neuvième elle se rendit au presbytère dun bon pas.

Pendant ce temps Justine était au château et se trouvait à genoux, la tête entre les cuisses de Jeanne.

— Jeanne, disait-elle en relevant la tête un instant, je veux bien vous brouter mais vous me laviez promis, après nous irons au presbytère?

— Oui, oui, cest promis mais continues je ten supplie, ça fait trois jours que jattends ta langue.

Jeanne ne mit pas longtemps pour jouir et voyant Justine se relever, elle se précipita sur elle et la bascula sur le divan en lui passant une main sous sa jupe en lui disant :

— A toi maintenant, donnes-moi ta chatte.

Justine la repoussa. Elle savait que si elle cédait, pourtant ce nétait pas lenvie qui lui manquait tant sa chatte était en ébullition, Jeanne trouverait une nouvelle astuce pour ne pas honorer sa parole.

— Je vous le promets, dit Justine, quaprès notre visite au presbytère, je resterais toute la soirée avec vous.

De mauvaise grâce Jeanne lâcha Justine et appela sa domestique afin quelle lui amène son chapeau et son manteau.

Au presbytère Marie venait darriver. Devant la porte de la chambre du curé elle marqua une pose puis, inspira profondément et ouvrit la porte. Devant ses yeux, le prêtre, le pantalon sur les chaussures pilonnait la baronne qui se tenait au montant du lit, penchée en avant, la robe relevée sur les reins, les fesses à lair. Elle navait pas remarqué lintrusion de la servante et, à chaque coup de boutoir elle poussait de petits cris entrecoupés de commentaires.

— Elle est bonne ta queue curé, mon dieu quelle est grosse. Elle me ramone la chatte je suis trempée. Bon dieu répéta-t-elle encore, depuis que je lattends, je ne compte plus le nombre de fois je me suis branlé dans ton confessionnal en te racontant mes pires saloperies, en timaginant la bite gonflée à bloc. Parce que tu bandais, avoues.

— Oui je bandais salope de baronne. Et toi savais-tu ce que je faisais après tavoir écouté, te doutais-tu que je me branlais jusquà deux fois en suivant. Savais-tu que ma servante me pompait aussi le dard, quelle avalait tout mon foutre ?

— Salaud, tu vas me faire jouir. Jaime quand tu me parles comme ça. Cest bien mieux que dentendre tes sermons ou découter tes « notre père ».

— Mais ma servante aimait bien mes « je vous salue Marie » que je lui récitais quand elle était à genoux et quelle me pompait, nest-ce pas Marie ? Regarde-la se branler comme elle le faisait chaque fois après mavoir fait gicler. Mais oui madame la baronne, Marie est là, elle nous regarde et elle se branle.

Blanche tourna la tête et vit Marie, robe chiffonnée au niveau de la taille, le ventre nu et la main active entre ses cuisses.

— Tu mas bien eu curé. Sous tes airs moralisateurs tu es un vrai vicieux. Méfies-toi si toutes tes bigotes lapprennent tu nas pas fini dêtre sollicité. Mais rassures-toi, je ne dirais rien, je ne voudrais pas que tu ailles tépuiser ailleurs. Marie approche que je te vois mieux. Tu sais quil va me faire jouir ton vicieux de curé. Toi aussi tu es sur la montée au ciel on dirait. Ca y est, ça me vient.

Les Ahhh sonores des deux femmes remplirent la pièce. Marie se précipita aux pieds du prêtre dont le sexe ressortait de la chatte de Blanche et quelle emboucha pour recueillir les dernières gouttes de sperme. Dans cette position elle avait le visage à quelques centimètres de la chatte de la baronne. Une chatte dont le vagin était encore tout distendu et doù séchappait un filet de foutre. Marie ne résista pas et y colla ses lèvres. Blanche semblait apprécier linitiative de Marie car elle se mit à tortiller des fesses et à émettre des borborygmes de contentement.

— WouOui, continues, une bonne langue nest pas pour me déplaire. Regarde curé, ta servante en train de me brouter. Jai aimé ta queue mais, de temps en temps, je ne dédaigne pas une langue féminine et celle de Marie est particulièrement efficace, je ne dois pas être la première à qui elle le fait. Oui comme ça ! Suce mon clito ! Oui, oui mais elle va me faireelle vaelle, bon sang. Ahhh

La baronne resta affalée sur le lit les bras en croix, le corps secoué de spasmes.

— Et bien, dit le curé en sadressant à Marie, tu es aussi douée avec les femmes quavec les hommes. Il faut dire quavec ta fille, depuis quelques temps, tu as de lentraînement.

Blanche, bien quencore sous le choc de ses deux orgasmes, avait entendu la remarque du curé.

— Parce quelle se gouine avec sa fille. Moi aussi jaimerai aussi que ma mère me fasse minette mais la vieille peau ne veut pas. Je me doutais bien que Justine nétait pas loie blanche que lon croyait. Marie sait-elle que sa fille et ma mère se broutent le minou régulièrement.

— Oui, je suis au courant. Oh ! pas depuis longtemps mais ça na guère dimportance je ne suis pas jalouse. Dailleurs elle ne va pas tarder à nous rejoindre et bien quelle aime jouir et faire jouir, elle est encore vierge de toute pénétration et monsieur le curé fera le nécessaire pour quelle ne le soit plus en sortant dici.

Les deux femmes tournèrent leur tête vers lui. Elles virent le visage du curé qui, en entendant le prénom de Justine, silluminait dun grand sourire et virent également sa queue se redresser.

— Voilà une semaine quil attend cela commenta Marie.

— Mais elle nest pas encore arrivée répondit Blanche, nous pourrions peut-être profiter de la bonne disposition que labbé manifeste ?

— Non ! répliqua Marie, laissons lui des forces. Mais, si vous êtes daccord, jaimerais que vous me fassiez profiter de votre science du cunnilingus.

Les deux femmes, installées tête-bêche, se dévoraient mutuellement la chatte quand la porte souvrit et Jeanne de Merteuil apparut sur le seuil avec Justine derrière elle, collée à son dos. Jeanne voyant sa fille et la servante en 69 puis le curé, bite bandée, fit mine de repartir mais Justine len empêcha, la poussa à lintérieur de la chambre, ferma brutalement la porte et mit le verrou.

— Vous vouliez du cul Jeanne, vous allez en avoir. Monsieur le curé venez maider à la déshabiller.

Le curé ne pouvait rien refuser à Justine et malgré son désir de ne forcer personne il aida à maintenir Jeanne qui se débattait mollement pendant que Justine lui ôtait ses vêtements. La baronne mère, une fois dénudée, essayait bien de cacher sa flasque poitrine de son bras droit et sa chatte poilue de lautre main.

Marie et Blanche, bien quétant à la porte de la jouissance, avaient stoppé leur 69 et regardait Jeanne.

— Venez maider vous aussi, demanda Justine aux deux femmes, je sais ce quil va falloir faire pour rendre la vieille baronne plus coopérative.

Seule Marie savança.

— Maman, Monsieur le curé, couchez-la sur le lit. Maman tu te mets à califourchon sur sa poitrine et toi labbé tu lui tiens les jambes ouverte.

Jeanne noffrait plus maintenant quune faible résistance. Justine en profita pour lui retirer la main qui cachait son sexe.

— Pourquoi toutes ses simagrées madame la baronne, votre chatte ne demande quà être léchée. Nest-ce pas maman ? Regardes comme elle baille, comme elle mouille et son clito comme il bande. Si le cur ten dit maman je te laisse lhonneur de linaugurer.

Marie se pencha vers lentrejambe de Jeanne et entama le cunnilingus. Jeanne apprécia la dextérité de Marie et cessa de résister. Le curé lâcha alors les jambes quil maintenait et prit Justine dans ses bras qui en profita pour lui caresser sa queue toujours bandée. Jeanne gloussait sous les coups de langue de Marie qui sen donnait a cur joie en suçotant lénorme clito. Jeanne était domptée et sa vraie nature reprit le dessus. Elle demanda à Marie de reculer ses fesses pour que sa chatte vienne au contact de sa bouche et quelle puisse lui rendre la pareille. Marie ne se fit pas prier et bientôt, dun même cri, les deux femmes jouirent.

Blanche était ravie de voir sa mère dominée, celle qui, pendant des années, lavait rabrouée, mise plus bas que terre enfin elle avait loccasion de se venger. Profitant de son immobilisation momentanée car Marie qui était toujours sur elle à califourchon, Blanche glissa sa tête entre les cuisses de sa mère qui, les yeux fermés et le souffle court, savourait son précédent orgasme. Son clitoris qui, même au repos, dépassait nettement, était une invitation à laquelle Blanche ne résista pas. Jeanne sentant quune bouche reprenait possession de sa chatte, se mit à glousser.

— Oh Marie, minauda-t-elle, tu me lèches encore. Viens, toi aussi, redonne-moi ta chatte.

— Je te remercie de ta bonne volonté répondit Marie en libérant Jeanne de son poids, mais remercie plutôt ta fille.

Jeanne de Merteuil ouvrit les yeux et constata, quen effet, cétait sa fille qui la broutait. Elle se mit à gigoter en essayant de repousser sa fille.

— Non cria-t-elle, pas elle, cest de linceste, monsieur le curé, Marie, aidez-moi, empêchez-là.

— Pourquoi rétorqua Marie en essayant dimmobiliser un peu plus le corps de Jeanne, une langue cest une langue fusse celle de votre propre fille. Celle de la mienne me fait autant jouir et même plus fort que celle de nimporte quelle autre femelle.

— Parce que tu te gouines avec ta fille cria Jeanne !

— Mais oui et elle me fait jouir divinement. Dailleurs tu dois être au courant puisque tu en profites aussi de sa langue. La tienne de fille à lair de laimer ta chatte, elle y met beaucoup dardeur. Il me semble quelle ne doit pas être maladroite, ton opposition devient nettement moins virulente, on dirait même que tu commences à apprécier. Allez, avouez que cest bon !

— Non, cest de linceste répétait inlassablement Jeanne.

Mais ce leitmotiv baissaient à chaque fois en intensité et se transforma bientôt en « oui, cest bon », en « oui encore » en « oui plus fort », « oui plus vite » et enfin se terminèrent par un « Oh oui je jouis, ma fille me fait jouir ».

Blanche releva la tête, la bouche barbouillée de mouille, satisfaite de sa prestation. Elle savait que, dorénavant, sa mère deviendrait plus coopérative, lui permettrait de soccuper delle lorsquelle serait en manque en espérant une récompense de sa part en retour. Mais, pour le moment, Blanche était excitée. Elle regarda avec concupiscence la bite du curé en se rappelant avec quelle maestria il lavait déjà baisée. Mais Justine fut la plus prompte et décida quétait venu le moment de perdre son pucelage.

Les cours que Marie avait donnés au prêtre furent mis en pratique. Il sacquitta de sa tâche sans trop faire souffrir Justine qui finit même par trouver lexercice agréable dès que la bite du curé fut bien enfoncée. Cest elle qui remua la première son bassin, qui imposa son rythme. Le curé sentait son plaisir monter rapidement à cause de létroitesse du vagin. Il ne devait pas jouir en elle, Marie lui avait interdit. Justine ne prenait pas de contraceptif et sa mère ne voulait pas quelle tombe enceinte. Il sentait léjaculation proche mais Justine tout à son plaisir, le bloquait dans létau de ses jambes. Heureusement, Justine jouit la première ce qui lui fit desserrer son étreinte. Le curé en profita pour se retirer et répandre son foutre sur le ventre de la jeune fille. Il lui semblait ne plus pouvoir sarrêter, les giclées se succédait toujours aussi abondantes. Les femmes de lassistance retenaient leur souffle, elles avaient toutes les trois mis une main entre leurs cuisses pendant la prestation de Justine avec le curé et avaient commencé à se masturber, excitées par le spectacle mais à léjaculation du prêtre, elles sétaient immobilisées. Dans la pièce régna tout-à-coup un silence monacal. Ce fut Jeanne qui, la première, se mit à applaudir.

— Que la fête commence ! Cria-t-elle en enserrant sa fille dans ses bras et en lembrassant.

Marie se munit dune serviette et sassit aux côtés de Justine. Elle lembrassa en essuyant le sang qui avait coulé de son minou puis épongeant le sperme qui couvrait son ventre.

— Te voilà femme ma chérie dit-elle lorsque leurs lèvres se séparèrent. As-tu encore assez de force pour faire jouir ta pauvre mère. Regardes Jeanne qui branle sa fille. Je crains quelle nait plus besoin de tes services.

— Au contraire répondit Justine tout en passant un doigt dans la chatte trempée de sa mère à la recherche de son clitoris, au contraire je crois que jaurais double de travail. Mais elle bande ta petite bite, approche-là de mes lèvres.

Sous le regard du curé encore tout essoufflé, les femmes sen donnaient à cur joie, jouissant à tour de rôle par lune ou par lautre ou parfois par deux en même temps tandis que la dernière les regardait en se branlant. Ces jeux lesbiens durèrent une bonne heure. Elles étaient déchaînées. On ne comptait plus le nombre dorgasmes mais ils permirent au curé de se requinquer et ces amazones purent assister à la renaissance de la queue du prêtre. Il était à nouveau opérationnel et ses précédentes prestations lui donnèrent la possibilité de rester performant suffisamment longtemps pour honorer Blanche et Marie qui, sayant suffisamment gouinées, ne dédaignèrent pas devenir sempaler, chacune leur tour sur le membre turgescent et de jouir sous les coups de boutoir du curé. Justine, quant à elle, neut droit quà la langue du curé réservant la pénétration pour plus tard, dès quelle aurait une contraception ce qui ne serait tarder. Elle avait hâte de connaître à nouveau la jouissance que lui avait procurée lecclésiastique. Jeanne de son côté navait pas voulu se faire baiser par le curé peut-être par fidélité à son amoureuse défunte qui naurait pas accepté une intrusion masculine pendant leurs ébats mais elle savait que lorsque loccasion se présenterait, elle aimerait goûter aux assauts dun mâle et de pouvoir effacer ainsi la mauvaise impression que lui avait laissé son incapable de mari. En attendant il y avait assez de femelles pour ne pas rester pour autant inactive.

Lheure était venue de se séparer. Elles firent la promesse de renouveler cette expérience dès que les circonstances le permettront et Blanche allant jusquà ajouter avec une pointe dironie : « pour faire plus ample connaissance ». Toutes regagnèrent leurs pénates.

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