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Un mauvais porno – Chapitre 1




Une soirée de plus passée avec ma meilleure amie et son nouveau mec. Comme d’habitude, elle a passé sa soirée à ses lèvres, et je me suis emmerdée toute seule, n’ayant qu’une seule hâte, rentrer chez moi.

En entrant, je pensais que tout le monde dormait, mais de la lumière semblait provenir du salon. J’ai toqué avant d’entrer, mais personne ne répondit. La lumière semblait provenir de la tablette qui était encore allumée. Au début, je comptais juste l’éteindre, mais je vis qu’un site porno était encore ouvert. À ce moment, trois questions me sont venues en tête. Premièrement, qui regarde ça sur la tablette familiale alors que tout le monde a son propre téléphone ? Deuxièmement, qui était en train de la regarder ? Je ne pense pas que ce soit ma mère, mais ça pourrait être mon père ou mon frère. Et troisièmement, quelle vidéo cette personne a regardée ? Au moins, je pouvais avoir la réponse à cette question, et j’ai relancé la vidéo. Dedans, je vis une femme être coincée sous un lit, et se faire doigter, puis baiser par sa belle-mère.

C’était la première fois que je voyais un porno aussi mauvais ; la fille n’était clairement pas coincée, et le fait d’être belle-mère était visiblement faux, juste fait pour être le plus proche possible de l’inceste. J’ai fermé la vidéo, mis la tablette en veille avant d’aller me coucher.

La nuit fut humide. Je me souviens d’un rêve dans lequel j’étais coincée, et une personne que je n’ai pas vue me baisait. Le fait d’être dans un lieu assez réduit faisait que je n’entendais que mes propres gémissements, tandis que la personne derrière était libre de faire ce qu’elle souhaitait de mon corps.

Au réveil, je sentis ma culotte complètement trempée, accompagnée d’une grosse tache sombre qui montrait que mon matelas a aussi été souillé. Sur le coup, j’ai mis la faute sur la vidéo de la veille, et j’ai effacé toute trace de cet incident.

Malheureusement, ce scénario arriva de nouveau à de nombreuses reprises, jusqu’à ce que je doive admettre avoir été marqué par ce type de porno. À partir de ce jour, je me masturbais de plus en plus souvent, toujours accompagnée de vidéo où une femme coincée se faisait prendre par son beau-père, son beau-frère, ou sa belle-mère. Je voulais en parler à quelqu’un, au moins savoir si j’étais excité par le fait d’être bloqué, ou parce que c’était de l’inceste, mais j’avais peur de révéler ça à qui que ce soit. Alors, je continuais à me faire plaisir en solitaire.

Un jour, alors que je rentrais de nouveau assez tard, je revis de la lumière provenir du salon. De nouveau, une vidéo porno était encore ouverte, mais je l’avais déjà vue. J’ai fermé la vidéo, mais un fichier texte était encore ouvert.

Voici une nouvelle vidéo pour toi, j’espère qu’elle va te plaire ?

Cette première phrase me fit bizarre. Me visait-elle, ou était-ce un fantasme qui existait entre mes parents ?

J’espère que tu ne l’as pas déjà vue, je sais que tu en as beaucoup regardé dernièrement. Si tu souhaites, j’ai même mieux à te proposer. Tu as de la chance d’avoir le seul lit sous lequel on peut se coincer, et je veux que tu t’y coinces, demain à 15 h, le seul moment où on sera que tous les deux.

À ce moment, je savais que le message m’était destiné. Le lit de mes parents est sur le sol, et celui de mon frère est au-dessus de son bureau, le mien est légèrement surélevé. Quand j’étais petite, j’adorais m’y cacher. Maintenant, je peux m’y glisser, mais mes seins m’empêchent de sortir, la dernière fois, j’ai dû demander de l’aide pour soulever le lit, et me laisser sortir.

Après avoir mangé, je veux que tu t’enfermes dans ta chambre afin que tu ne saches pas qui est sorti de la maison, ce serait dommage que tu saches qui te baise.

Cette dernière phrase me fit comprendre à quel point ce message est flippant. Il me demande de me mettre à un endroit duquel je ne peux pas sortir, et de laisser un membre de ma famille me baiser, sans que je sache de qui il s’agit. Tout me dit de refuser, mais je sens ma culotte complètement trempée.

La nuit fut une succession de petits sommes durant lesquels je me faisais prendre par mon frère ou mon père.

La matinée et le repas se déroulèrent sans problème, et je m’étais directement enfermé dans ma chambre dès le dessert fini. Je sentais l’excitation monter en moi, et j’ai passé le début de mon après-midi à ranger et à nettoyer ma chambre. Vers 14h30, j’ai changé de tenue afin d’être plus dans l’ambiance ; je mis la plus courte jupe que j’avais, une tellement courte que ma famille n’est même pas au courant de son existence. Avec ça, je mis un string rose, et des collants par-dessus. En haut, j’avais un pull assez large qui permettait de voir que je n’avais ni tee-shirt ni soutien-gorge lorsque je me penche. Une fois changée, je m’allongeai sur le sol, et glissai sous le lit. N’ayant pas énormément de place, je dus forcer afin que mon torse et mes seins passent. Un bruit de porte en bas m’indiqua que quelqu’un venait de sortir de la maison.

J’allongeai mon torse sur le sol, les bras sous ma tête, et relevai mon cul afin d’être la plus « présentable » possible. À ce moment, je me rendis compte d’une chose, cela faisait depuis les trois verres d’eau du midi que je n’étais pas allée aux toilettes. Mais je n’eus que peu de temps à me poser des questions avant d’entendre une personne monter l’escalier comme l’excitation montait en moi.

Ma porte s’ouvrit, et je retins mon souffle. À partir de ce moment, je n’étais plus maîtresse de rien. J’entendis la porte se refermer, et l’inconnue se balader dans ma chambre, fermer mes volets, me plongeant dans le noir complet. À ce moment, énormément de pensées se baladèrent dans mon esprit, jusqu’à ce qu’une énorme fessée me fasse lâcher un cri. Ensuite, les claques continuèrent sur ma fesse gauche, de plus en plus forte. Je sentis ma jupe être descendue jusqu’à mes genoux, m’empêchant de bouger mes jambes. Ensuite vint le bruit de mes collants se faisant déchirer. Au moment où mon string fut déplacé sur le côté, je m’attendais à sentir quelque chose arriver au niveau de ma chatte, mais ce fut la sensation d’une langue dans mon cul qui me fit lâcher un cri. La personne jouait avec mon cul, faisant rentrer et sortir sa langue, tout en me mettant une fessée de temps en temps.

Je me sentais être de plus en plus mouillée, et la personne derrière dut le remarquer vu qu’un doigt s’y faufila assez rapidement. Je le sentais sortir avant de rentrer de plus en plus profondément, tandis qu’un deuxième tournait autour de mon cul. J’essayais de ne pas trop gémir en mordillant mon doigt. Au moment où, deux doigts entrèrent entièrement dans ma chatte et mon cul, je ne pus me retenir, et lâchai un cri qui devait être entendu dans toute la maison. J’essayai de bouger, mais j’étais complètement coincée. Et me voyant bouger, la personne derrière me punit en rajoutant un doigt dans chaque trou. Les allées et venues continuèrent, et je me sentais tellement chaude, de la sueur commençait à me couler dans le dos. Les six doigts furent retirés en même temps, laissant mes deux trous respirer.

Je restais plusieurs secondes sans rien en moi, ce qui me rendit toute bizarre. J’essayai de me cambrer un peu plus, essayant de faire passer un message. En récompense, je sentis un liquide couler le long de ma raie, avant de sentir quelque chose entrer dans mon cul, comme une sorte de bille. Avant de pouvoir me poser une question, un deuxième rentra, plus gros que la première, puis une troisième encore plus grosse. D’autres entrèrent, jusqu’à la septième qui devait être trois fois plus grande que la première. Avant même que je puisse me demander ce que c’était, je sentis un fouet me frapper les fesses.

Les coups s’enchaînèrent, et je sentais des larmes au coin de mes yeux. Au moment où ça s’arrêta, je sentis une pointe froide, comme un feutre, glisser sur mes fesses. Je n’ai eu que peu de temps pour m’en remettre avant de sentir une langue dans ma chatte. J’essayais de me remettre de mes émotions, de profiter de cette sensation de douceur, mais je sentis des doigts serrer mon clitoris, ce qui me fit jouir.

Je ne sais pas combien de temps j’ai passé, allongée sur le sol, à juste essayer de me remettre de mon orgasme, mais le bruit de la porte d’entrée me sortit de mes pensées. À ce moment, je vis la tablette glisser à côté de mon visage, dessus, je pouvais voir mon cul bien rouge à travers ce collant déchiré, et le mot « salope » écrit en noir. La tablette repartir très vite, avant de revenir, avec un nouveau mot écrit.

Es-tu prête à aller plus loin ? Si oui, je veux que tu gémisses le plus fortement possible.

Ma bouche agit plus vite que mes pensées, et je lâchai le plus gros gémissement que j’ai jamais fait. Comme pour me féliciter, je sentis une fessée sur mes fesses, avant de voir la tête de ma mère arriver à côté de moi. Je la fixai avec effroi, d’un côté choqué de savoir qu’elle était derrière tout ça, mais aussi, car je ne savais pas ce qui allait arriver. Elle me fit un grand sourire avant d’approcher sa tête et de sceller ses lèvres contre les miennes, et de glisser sa langue dans ma bouche. J’étais tellement occupée par ce baiser, que je n’entendis pas la personne s’approcher derrière moi. Je ne m’en rendis compte que lorsqu’une bite entra sans difficulté dans ma chatte. Je voulus reculer ma tête pour crier, mais je ne pouvais pas bouger la tête. La bite me pénétrait le plus profondément possible, jusqu’à ce que je sentis un liquide se déverser dans mon cul.

Ne le sentant pas plus couler que ça, j’en conclus qu’il devait être coincé dans une capote, ce qui fut confirmé lorsque je sentis la bite se retirer, et la capote rester en moi. Je pensais que ça allait être fini, mais le jouet que j’avais dans le cul fut retiré d’un coup, me faisant vider ma vessie sur le sol de ma chambre au passage. Je sentais l’air rentrer dans mon cul, puis une bite y pénétrer d’un coup. Ayant toujours la langue de ma mère tournante dans ma bouche, je ne pouvais que gémir. Les allées et venues commencèrent très rapidement, accompagnées de fessées. Juste devant mes yeux se trouvait ma mère qui, au vu du mouvement de son visage, devait aussi se faire prendre par quelqu’un. Mon père ? Mon frère ? Je m’en moquais, je préférais profiter du moment. Je réussis à bouger mes mains, et je jouais avec mes seins avec une main, tandis que l’autre tripotait ceux de ma mère.

Derrière, je sentais qu’il allait de plus en vite, me procurant de plus en plus de plaisir, jusqu’à ce que je jouisse une nouvelle fois, répandant ma cyprine dans ma chambre, ce qui n’arrêtait pas les mouvements de la bite dans mon cul. Ma mère recula sa tête, retirant sa langue, et je vis son visage se déformer de plaisir tandis qu’un cri lui échappa. Comme y réagissant, je sentis la bite se retirer d’un coup de mon cul, tandis que le foutre se chaud recouvrait mon cul.

Après ça, ils levèrent le lit pour nous libérer, et je vis qu’il avait repris une photo, montrant mon cul béant tâché de sperme à côté de celui de ma mère dans le même état, chacun avec du sperme coulant de la capote se trouvant dans nos chattes. À ce moment, je sus que mon père était celui qui avait pris mon cul, même si je ne savais pas qui avait joui dans ma chatte. Avant de partir, mon frère s’assit sur mon lit, la bite encore couverte de sperme, et je m’agenouillai devant lui, dans ma pisse et ma cyprine, afin de lui laver le sexe avec ma bouche.

Depuis, nos deux culs servent de fond d’écran sur la tablette, mon frère a une photo de moi en train de le sucer comme photo de contact, mon père en a pris une lorsque sa bite était dans mon cul, et ma mère en pris une où nous nous embrassions.

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