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Mon enfer – Chapitre 4




Le temps des cocufiages qui sannonce. Volontaires ou non, mais terriblement présents. 4/8

Le temps des cocufiages qui sannonce. Volontaires ou non, mais terriblement présents.

Mon corps garde les stigmates de cette nuit mouvementée. Julien a bien tenté de reprendre contact avec moi, mais je ne le souhaite pas. Au bureau, les choses sont explosives entre ma patronne et ma collègue. Je soupçonne Francine davoir deviné quentre Mélanie et son mari Personne ne me parle de rien, mais la tension est palpable. Ce mercredi, Gino est venu au bureau et jai bien vu que ce nétait que pour essayer datténuer cette espèce de guerre qui débute. Sa femme a surement des doutes et Mélanie est tendue, crispée, comme si le ciel allait lui tomber dessus. Elle est arrivée presque en courant dans notre bureau quand elle a entendu la voix du mari de ma collègue, signe quelle a peur. Les deux époux se sont isolés quelques minutes et Gino nest pas revenu, mais Francine était toute rouge en reprenant à son poste. Des traces sous ses paupières laissaient penser quelle avait pleuré.

Jai senti le regard anxieux de Mélanie sur elle, sans trop chercher à savoir. Mieux vaut que je reste en dehors du coup, même si je suis certaine que ces deux-là se partagent la queue du même bonhomme. Je me suis plongée dans mes dessins, ceux dune maison bourgeoise à revisiter. Midi, coup de théâtre ! Cest la première fois que Francine ne rentre pas pour le déjeuner. Elle a tenu à nous accompagner au restaurant. Elle nest pas vraiment en forme. Lapéritif est offert par notre boss et je la sens dans ses petits souliers et faux-cul au possible quand notre amie parle de ses soupçons sur une éventuelle maitresse quaurait son Gino. Pour un peu jadmirerais laplomb avec lequel elle fait semblant dêtre fâchée contre lui.

Je revois en toile de fond le baiser volé quand je débarrassais la table chez le couple. Et jai comme un sourire doublé dune envie de mettre une gifle à Mélanie ! Allons calme-toi ma petite Claude. Tu as un bon job, garde-le précieusement le plus possible.

Enfin pourquoi penses-tu quil te trompe ?

Jai trouvé des traces de rouge à lèvres sur le col de sa chemise et puis des cheveux

Des cheveux ?

Oui des cheveux longs comme ça et un peu de la même couleur que les tiens, Mélanie

Je la vois et je suis certaine que Francine va sapercevoir du trouble de notre amie ! Elle vient de piquer un fard ! Mais elle a du cran je lavoue.

Mais ça ne veut rien dire. Il a surement des amies qui lembrassent sur les joues et ça peut arriver quune dentre elles laisse une trace sans faire exprès sur sa chemise. Et les cheveux, ça pourrait être aussi les miens, je lembrasse aussi quand on se voit alors tu vois, tu peux te tromper

Oh ! Mélanie ! Merci de me rassurer, mais depuis que nous avons les enfants, je ne suis peut-être plus aussi attentive à ses besoins, ses envies de mâle. Et toi Claude tu en penses quoi ?

Ben à vrai dire je ne sais pas pourquoi ton Gino irait-il chercher ailleurs ce quil trouve à la maison ?

Finalement, je men tire par une pirouette ! Le regard de notre patronne se pose sur moi, comme si elle me découvrait, comme si soudain jexistais pour elle autrement que par le fait dêtre son employée.

Tu vois bien, Francine Claude dit et pense bien comme moi. Il na aucune raison de te tromper avec qui que ce soit !

Les hommes ont-ils besoin davoir des raisons pour aller voir ailleurs ?

Allez ! Mange pendant que cest chaud, au lieu de psychoter de la sorte.

Nous nous plongeons toutes les trois dans nos assiettes et seul le bruit des couverts troue le mur de nos silences. Le café arrive et avec lui laddition. Dans la rue nous reprenons le chemin du bureau.

Bon ! Les filles, je dois voir un client pour une facture non réglée ! Jen ai pour deux bonnes heures, vous ferai bien sans moi pendant ce temps ! À tout à lheure vous deux !

Nous la regardons partir vers sa petite voiture et alors que nous gravissons les quatre marches qui mènent à notre travail, je sens peser le regard de Francine sur les feux du véhicule qui disparaît au coin de la rue.

Je ne sais pas comment elle fait. Toujours toute seule ! Je ne lai jamais vue avec un homme et pas avec une femme non plus enfin elle est bien secrète notre patronne. Mais toi Claude aussi parfois ! Je te trouve bien solitaire et secrète ! Je ne te connais pas encore beaucoup, mais japprécie de bosser avec toi ! Je reconnais que je memporte un peu vite, mais je ne sais pas pourquoi, je suis certaine que Gino me cache des choses.

Tu devrais peut-être en parler avec lui ! Je crois que cest la meilleure solution.

Je sais je sais, mais jai si peur et nous avons deux enfants maintenant alors que faire ?

Il ny a rien à répondre à cela. Je voudrais la rassurer, mais je nai pas le cur à faire une vacherie à Mélanie non plus, alors entre deux sourires, je décide de me taire. Notre journée se termine avant le retour de notre patronne. Francine ne traine pas au bureau. Et je me retrouve seule sur un trottoir à ne pas savoir quoi faire de ma grande carcasse. Je passe boire un pot dans un troquet, puis je rentre gentiment chez moi. Je me délasse un peu en écoutant de la musique. Jadore un peu de classique, allongée sur mon canapé. Quand le morceau prend fin, je me dis quil est lheure de la douche.

En deux temps et trois mouvements, ma jupe et mon corsage sont expédiés sur les carreaux du sol de ma salle de bain. Mon soutif rejoint ma culotte avec le reste et me voici me coulant sous un jet plus que tiède. Le gel douche au lilas embaume le réduit sous lequel je me suis réfugiée. Je passe un temps fou dans la douche, jaime bien me ressourcer et je trouve que cest un endroit idéal. Pouvoir me frictionner longuement ma si longtemps été impossible quil me semble normal den profiter largement depuis que je possède cet appartement. Je perds même la notion de lheure alors que mes mains frictionnent mon corps, sans omettre un seul centimètre carré de ma peau. Elles vont, viennent et repassent à plusieurs reprises sur des monts, des vallons et fatalement mon esprit séchauffe.

À triturer aussi bien mes seins quà effleurer mon ventre je ressens les premiers picotements dune envie latente. Je laisse un peu mes doigts ségarer dans des creux intimes, sur des surfaces érogènes au possible. Ma respiration devient haletante et le sang bat à mes tempes. Je sais que si jinsiste un peu encore, je vais me faire jouir seule, là sous la pomme qui marrose de la tête aux pieds. Les yeux fermés, je débute un voyage solitaire où mes mains naviguent sur le bateau de mes fantasmes. Je ne suis plus rien dautre quun pantin en quête de plaisir, et les bougresses savent si bien où aller pour me tirer quelques soupirs. Je vais presque y parvenir quand une alarme se met à sonner au fond de mon crâne.

Je ne sais pas ce qui se passe, leau mempêche de percevoir quoi que ce soit, mais je suis arrêtée net dans la montée de mon orgasme. Dun geste rageur et machinal, je coupe le jet qui coule. Et dans le silence soudain qui se fait, je saisis que cest la sonnette de la porte dentrée qui mirrite à ce point. Qui peut bien venir à une pareille heure me déranger ? Jenfile à la hâte un peignoir et frotte mes cheveux avec une serviette, tout en me dirigeant vers lentrée. Un coup dil au judas et la silhouette qui saffiche dans le couloir, de lautre côté, ne me laissent présager de rien de bon. Je donne un tour de clé, et ouvre lhuis. La femme qui se tient là est en pleurs. Ces yeux sont deux fontaines qui lui maculent le visage.

Francine ? Mais quest-ce qui tarrive ? Que fais-tu ici à une heure pareille ? Entre ne reste pas dans le corridor. Allez vient !

Elle renifle un grand coup, se remet à pleurer et entre chez moi.

Je les ai surpris ! Ils sétaient endormis. Dans notre lit tu te rends compte ? Sous mon propre toit, dans ma maison.

Attends ma belle ! Calme-toi et raconte-moi tout cela ! Tu veux

Oui ! Oui ! Je les salauds tu imagines ça ? Chez moi, chez nous avec les enfants dans la maison

Tu veux boire quelque chose pour te remettre ? Après tu me diras

Je te dis que je les ai trouvés, endormis, à poils dans notre plumard ! Et dire que je la croyais… mon amie dire que cest moi qui linvitais à venir plus souvent chez nous ! Je suis partie pour ne pas lui arracher les yeux ! Oh ! Claude oui, donne-moi un alcool fort, le plus fort que tu as !

Je nai rien de plus costaud que du cognac. Ça ira ?

Oui donne ! Je suis écurée.

Elle sassoit sur le canapé et prend son visage entre ses mains. Elle sanglote à nouveau doucement et je vois sa poitrine qui avance et recule au rythme de ses pleurs. Je me dis quil faut être bête pour baiser et sendormir ensuite. Pas étonnant que Mélanie ne soit pas rentrée à son bureau avant que nous le quittions. Le verre à peine servi quil est englouti par la femme qui rumine sur mon sofa.

Elle navait même pas pris la peine de remettre sa culotte ! Tu vois le tableau, je suis arrivée et je les ai découverts dans la chambre à coucher. Elle a fait un bond en me voyant. Elle ne savait plus quoi faire ni quoi dire.

Tu tu nas pas fait de conneries au moins ?

Je lui ai balancé ses nippes dans la tronche, je lai traitée de pute, de pouffiasse, de tous les noms doiseaux le pire cest que cétait moi qui me sentais encore coupable.

Et Gino ? Il na rien

Non il a fermé sa gueule ce salaud quand je pense que cest moi qui ramène le fric à la baraque, que je moccupe des gamins ça va changer à partir de maintenant ! Ils vont payer ces deux pourris.

Et Mélanie elle na pas moufté non plus ?

Mélanie ? Mais elle ne sait rien elle et je ne veux surtout pas la mêler à cela

oooOOooo

Merde ! Je crois que jai fait un impair. Alors avec qui a-t-elle trouvé son Gino si ce nest pas notre boss ? Encore une chance que dans son énervement, elle se soit méprise sur ma question. Sinon jallais mettre notre patronne dans un joli bourbier. Jai du mal de suivre là dun seul coup. Un drôle de zig ce Gino ! Il se farcit tout ce qui bouge si je comprends bien et Mélanie dans tout cela est-elle aussi juste un nom sur une liste ? En tous cas Francine a sifflé le verre de Cognac cul sec et elle sempare de la bouteille sur la table. Sans rien demander, elle sest resservi une large rasade quelle senfile à nouveau dun trait.

Le salaud ! Je nen veux même pas à la pétasse avec qui il a baisé non cest lui le responsable. Je suis partie et il va se débrouiller avec les gamins ! Pour les faire, il était bien là, alors il va aussi devoir assumer leur entretien. Je ne veux plus quil me touche ce non ! Plus jamais. Demain je demande le divorce.

Elle se remet un autre verre et la bouteille voltige dangereusement entre ses mains. Je la sens énervée au possible, mais on le serait à moins. Je nose même plus poser de questions, je me borne à récupérer mon flacon dalcool avant quelle ne casse quelque chose. Du reste les coups sifflés commencent à faire effet. Sa voix est pâteuse, cependant elle reste parfaitement cohérente dans on idée fixe.

Je vais me saouler je vais picoler pour oublier ce con qui ne ma jamais aimé il ne voulait que mon cul et comme il a été assez crétin pour me mettre en cloque, il na pas pu se barrer connard de rital merde ! Et nos gosses ? Quest-ce quils vont devenir ? Finalement il ne voulait que mon fric ! Ça fait des mois quil me serine pour que je vende la maison, elle est trop grande quil dit, tu parles, oui ! Ça lui permet de ne rien foutre et de senvoyer en lair quand moi je trime. Avec notre voisine, celle qui ne vient que deux fois par mois, non, mais ce nest pas possible !

Les larmes un moment calmées sont de retour et je suis plantée au milieu de mon salon, comme un grand tournesol, à ne pas savoir quoi faire, quoi dire. Cest difficile de se situer dans cette tourmente, dautant que Francine nest pas si proche de moi que cela. Bon je décide que je vais la garder pour la nuit ! Avec ce quelle a avalé, prendre le volant serait criminel.

Tu vas coucher ici cette nuit. Il fera jour demain et tu y verras sans doute plus clair. La nuit te portera peut-être conseil ! Réfléchis un peu ! Ne serait-ce que pour Alix et Milan !

Non ! Je veux faire la fête toute la nuit. Je veux aller aussi trouver un mec, juste pour le faire cocu ce sale connard

Allons ! Calme-toi tu veux ! Tu ne peux pas conduire dans cet état. Et ce serait moi la responsable sil tarrivait quoique ce soit alors pour ce genre de truc, jai déjà trop donné. Tu restes là ! Je te fais un café et tu te couches

Tes une vraie amie toi ! Jai de la chance de vous avoir toi et Mélanie quand je vais lui raconter ça à Mélanie je suis sûre quelle va être surprise.

Alors là, jimagine que oui elle ne doit pas sattendre à cela ! Dans ma tête je vois bien la tronche de la bavure elle risque bien dêtre dans le même état que ma pauvre Francine. À moins quelle nait aucun sentiment pour ce type mais les regards et le baiser que jai surpris étaient assez explicites. Sûr quelle va grincer des dents aussi. Ouf ma collègue na pas trop rechigné pour passer la nuit à la maison. Elle somnole sur mon canapé. Je farfouille dans mon dressing, déniche une couverture et des draps et alors quelle vient de se lever pour aller aux toilettes, je lui prépare un lit de fortune. Un peu plus loin, les bruits que je perçois ne laissent planer aucun doute sur ce que fait Francine aux w.c.

Elle est toute pâle lorsquelle revient. Son teint couleur cire mapporte la preuve que lexcès dalcool est remonté dune manière plutôt abrupte dans la cuvette du petit coin. Mais elle semble être mieux.

Je peux abuser de ta bonté ? Je me sens sale, moche, je peux prendre une douche ?

Évidemment ! Viens je vais te donner ce dont tu as besoin pour cela.

Tu as fait un lit pour moi mets-moi un mec dedans, cest avec la boisson, tout ce dont jai besoin ce soir

Arrête de dire des âneries ! Viens par ici ! Ça va te faire du bien !

Tu prends une douche avec moi ? Oh ! Oui une douche entre filles hein tu veux bien

Je ne réponds rien à ces élucubrations alcoolisées. Elle cherche les agrafes qui retiennent sa jupe, se bat avec celles-ci. Un instant je la regarde faire et me dis quelle va finir par tout arracher. Alors bonne comme tout, je tends les doigts, jentrouvre le bouton-pression et descends la fermeture éclair. Sa jupe glisse le long de ses cuisses, sétale au sol autour de ses chevilles. Puis je lui dégrafe son corsage. Elle est là, sur le carrelage, en slip et en soutien-gorge. Finalement dun simple coup dil, je remarque quà part un tout petit peu de ventre, cest une très belle femme. Et je songe que son idiot de mari nest vraiment quun imbécile de la tromper de cette façon. Mais ce ne sont toujours pas mes histoires et allez savoir ce qui se passe derrière les murs de silence des gens

Elle chancelle un peu, se rattrape à moi, se retenant au passage au peignoir que je porte pour seuls vêtements. Le nud sommaire que jai serré sur le devant souvre et mon corps apparaît à Francine, plus nu que le sien.

Wouah ! Tes trop belle, Claude, et tes une vraie brune

Sous les effets pervers de la boisson, elle tend son index en direction de mon buisson sombre et complètement désinhibée, elle le pose littéralement sur ma touffe.

Eh ! Cest bien taillé ça regard moi cest une vraie forêt vierge

Et elle joint le geste à la parole. Dun seul coup, sans autre forme de procès, elle baisse sa culotte. Elle a des poils jusquà lélastique de son slip et dune longueur épouvantable.

Je jaimerais que tu me les tailles comme les tiens, ça le ferait peut-être revenir ce saligaud ! Oh dit ! Je prends ma douche et tu toccupes de moi ? Ça fait si longtemps que personne ne soccupe plus de mon corps

Cest bon, cest bon prends ta douche ensuite on avisera

Merci ! Merci tu es une amie, une vraie. Tiens tu pourrais aussi me détacher mon soustingue ? Jai les bras trop courts ce soir

Elle rit, elle pleure, le tout se mélange. Bonne poire, jouvre la fixation du soutif et ses deux obus jaillissent sur sa poitrine, libérés de leur prison de dentelle ! Ils sont dune telle beauté que jen serais presque jalouse. Et ma collègue, sans aucune pudeur qui les malaxe, les étire, les flatte de la main. Elle est toujours sous linfluence des Cognacs ingurgités, cest certain. Elle ne marche pas très droit pour faire les quatre pas qui la mènent sous le jet deau que jai quitté pour lui ouvrir ma porte. Mais cest bizarre comme jai un creux au ventre, rien que davoir vu les gestes équivoques de Francine. Elle a réchauffé mon envie. Moi aussi, jaimerais avoir un mec dans mes draps tout à lheure !

oooOOooo

Je suis sortie dès quelle est entrée sous leau. Je reste cependant attentive à tous les bruits qui me parviennent de ma salle de bain. Je ne voudrais pas la ramasser à la petite cuillère, elle est déjà suffisamment abimée par son mari. Cest vrai quil mériterait des beignes celui-là. Puis le chant de leau se tait et après un temps très long, je vois réapparaitre une autre Francine. Ses cheveux entourés dune sorte de turban fait dune serviette nouée sur larrière, enveloppée dans un drap de plage en éponge, qui lui couvre le corps de la tête aux pieds, elle semble plus fraiche. Elle reste abattue tout de même, marchant la tête basse.

Je dois te paraître bien godiche mais je lai dans la peau ce type. Et cette saloperie a du mal de passer. Je ne sais vraiment pas ce que je vais faire demain

Dormons et demain sera un autre jour Prends ton temps, pour réfléchir

Tu ne veux pas ? Jaimerais vraiment que

Oui si tu as besoin de quoi que ce soit, alors demande

Tu pourrais me faire belle, belle comme toi ?

Comme moi, comment ça comme moi ?

Oui bien que bourrée, jai bien aperçu ta touffe je ne saurai jamais me faire cela tu ne voudrais pas

Ce nest pas que je ne veuille pas mais cest bougrement gênant !

Je comprends mais tu es mon amie et qui ira le raconter ? Hein ?

Bon allez, cest bien parce que tu es dans la mouise couche-toi sur le canapé, allonge toi, je vais chercher ce quil faut.

Tu es super jai de la chance dêtre ton amie.

Je hausse les épaules et je me dirige vers larmoire de toilette de la salle deau. Ciseaux, gel à raser et rasoirs jetables, plus une serviette et un gant de toilette préalablement imprégné deau tiède dans une petite bassine, me voilà parée pour merde ce nest pas possible que jai dit oui et pourtant ! À mon retour, Francine a calé sa tête conte un coussin et le bas de son corps est dénudé jusquaux hanches. La forêt vierge est bien apparente, et les deux jolies jambes éloignées lune de lautre en facilitent laccès. Je regarde ce spectacle fascinant pendant quelques secondes, hésitant encore à et puis, après tout cest elle qui est demandeuse, alors

Armée des ciseaux, je défriche dans les grandes lignes ce nid de poils. Dabord, ça tombe comme à Gravelotte et puis plus je descends, plus je découvre sa fente. Ensuite ma main passe le gant humecté deau sur ce triangle déjà moins conséquent. La phase suivante savère plus délicate. Du bout des doigts, jétale doucement en prenant soin de ne pas écarter les deux lèvres, deux ou trois noisettes de gel de rasage. Je frictionne en tournant sur toute la surface velue. Et la lame de mon rasoir commence à se frayer un chemin dans cette jungle luxuriante. Dabord, je trace une ligne à quelques centimètres de la naissance des lèvres. Le passage du rasoir laisse la peau lisse et sans trace blanche. Je rince fréquemment mon coupe-coupe dans la cuvette deau et lentement je glisse sur le côté de ce sexe visité.

Après dix minutes defforts, les contours bien nets de la moule de Francine sont bien visibles et la toison a repris un air de femme entretenue. Je passe à nouveau ma paume bien à plat sur ce parterre joyeux. Quelques retouches ici ou là et je repars plus bas, vers le début de la raie des fesses. Mon amie se laisse faire, mais elle gémit doucement et ses soupirs sont de plus en plus longs. Ce qui immanquablement réveille en moi des images érotiques et des envies qui sont trop réelles. Jélimine sans ménagement le long de ses cuisses les crins disgracieux, la rendant aussi douce que la peau dun bébé. Sa tête sur le coussin oscille de gauche à droite et lair qui passe entre ses dents sort en sifflant un peu.

Elle sent que je suis plus bas que le sexe et son seul mouvement cest de lever les jambes. Jai immédiatement une vue sur ce sillon qui lui remonte vers le bas du dos. Le gel de rasage se retrouve encore une fois étalé entre les deux fesses, et un de mes doigts enduit la vallée qui sépare les deux hémisphères. Elle se tortille franchement en ondulant du bassin, comme si elle appréciait cette friction, elle ne ferait pas mieux si je la caressais pour de bon. Une fois la crème uniformément répartie, jécarte dune main les fesses et mon glaive se met en devoir de parachever son travail. Il glisse, presque silencieusement sur les pores, incisant franchement tous les poils quil rencontre. Ils flottent désormais dans leau de mon récipient. Cest bien glabre que se retrouve le derrière de Francine et ma main qui passe sur son cul pour sentir si malencontreusement je naurais pas oublié un follicule, ma main ne rencontre aucune aspérité irritante.

Ne bouge surtout pas, je reviens.

Non ! Pas de danger, cest trop bien, cest trop bon

Nouveau haussement dépaules avant que je ne regagne le lavabo pour vider ma bassine et reprendre de leau tiède propre. Je reviens et le gant sur la main, je frotte sans violence cette motte que je viens de remettre au gout du jour. Je fais plusieurs passages, de manière à éliminer toutes traces blanchâtres laissées par le gel. Je termine par un séchage à laide dune serviette douce. Francine na pas bougé, mais cest maintenant sa main qui vient explorer lendroit que je viens de rendre accueillant. Elle passe une première fois, puis une seconde, écarte sans ménagement les grandes lèvres, y laisse trainer son index bien humecté. Puis le jeu se prolonge sous mes yeux. Elle na pas rouvert les paupières et elle fait comme si je nexistais pas, se masturbant sans vergogne en ma présence.

Un instant désarçonnée par tant de légèreté, je suis scotchée par un spectacle qui loin de me dégouter aurait plutôt tendance à mémoustiller. Elle ne cache même pas ses cris de bonheur, et je suis certaine quelle se fait du bien. Elle se tend sous la pression que ses phalanges exercent sur son clitoris. Je remarque même et cest surtout parce que les poils sont rasés que celui-ci est sorti de son capuchon de chair et quil se lève à linstar dun micro pénis. Francine ne semble plus se soucier de moi, elle nest plus dans mon monde, mais bien entrée dans un autre univers ! Elle libère sans aucun doute toutes ses tensions de la soirée par ce jeu de main époustouflant. Son ventre se creuse sous les caresses suavement distillées, par son index ou son majeur, quand ce nest pas de temps en temps par les deux confondu.

Je sens monter en moi une chaleur qui mentoure de partout et je suis à peu près sûre que mon visage rougit. Francine, elle persiste à se caresser et elle me donne envie den faire autant. Je ne résiste que par pudeur, je sais cest con davoir des principes, mais on ne revient pas sur une éducation plus que rigoureuse. Je ne peux cependant pas détacher mes yeux de ces mouvements que font les paluches de la belle. Elle ouvre tant sa foufoune que le rose de son intérieur est visible comme un nez au milieu dun visage. Je me surprends à mouiller devant cette scène plus que torride et je sens littéralement couler, entre mes cuisses, cette cyprine que mon ventre distille malgré moi. La violence des spasmes qui secouent la belle sur le lit de fortune na dégale que celle qui soudain me saisit de partout.

Elle et moi, nous jouissons à un mètre lune de lautre, sans que nous nous frôlions seulement dun millimètre. Cest somptueux, magistral et je ne peux que me plier en deux en serrant lune contre lautre mes jambes. Je répète ce mouvement pour encore accentuer les sensations qui menivrent autant que les Cognacs ne lont fait pour Francine. Et nos soupirs, nos gémissements eux se mélangent dans mon salon, à tel point que nous ne savons plus qui de nous deux prend le plus son pied. Je ne suis plus quun immense tressaillement et elle se roule sur les draps frais et propres, maintenant sa main serrée entre ses deux jambes, elles aussi refermées. Quand elle ouvre les yeux, elle a comme un sourire et ne me quitte pas du regard.

Toi aussi ? Tu as aussi joui aussi fort que moi ? Jai entendu tes cris. Bon sang, comme ça fait du bien Il y a si longtemps que personne ne mavait embarqué aussi loin dans loubli. Cest ce quil me fallait je suis vidée.

Je nai pas pu me retenir non plus mais je ne suis pas habituée à me montrer dune manière aussi intime. Je ne sais pas ce qui ma pris.

Je crois je pense que cest contagieux, lenvie merci en tous cas davoir fait de ma touffe un endroit agréable à regarder et doux au toucher Merci, mille fois merci Claude !

Tu veux un bon café avant de dormir ?

Oh ! Oui si tu veux ! On peut encore veiller quelques minutes demain arrivera toujours bien assez vite avec mes ennuis qui referont surface ! Je peux ouvrir un peu la fenêtre ?

Oui ! Bien sûr, cest vrai que le salon a des relents de

Une bonne odeur de cul cest vrai

Francine sest relevée avec une souplesse qui me stupéfie. En deux bonds elle tourne lespagnolette et lair frais du soir entre pour chasser les effluves de nos bêtises. Elle se retourne vers moi et ses lèvres viennent effleurer ma joue. La bistouille qui claque sur ma peau résonne dans le salon. Ses bras mentourent et elle mattire contre elle dans un geste affectueux. Un second bisou matteint au coin des lèvres. Je détourne le visage sentant la trop proche présence de cette bouche gourmande. Mais mon amie ne lentend pas de cette oreille. Elle réitère son mouvement et finalement parvient à ses fins. Sa bouche se pose comme une fleur sucrée sur la mienne. Sans que je puisse ou ne veuille faire un geste, sa langue sintroduit dans mon palais. Le baiser qui nous unit na rien de fraternel, il est tout ce quil y a de plus langoureux

Cest idiot ! Mais je nesquisse aucun mouvement pour sortir de ces bras de femme qui métreignent avec force et vigueur. Je ne fais que me laisser guider par des sentiments tellement contradictoires. Je ne veux pas me rabaisser au rang de Mélanie qui baise sans doute avec Gino, contribuant par là à pousser Francine dans mes bras. Ensuite je me dis que cest elle qui provoque, il faut bien se donner raison dêtre déraisonnable. Et je me coule dans cette ambiguïté bienfaisante qui consiste à la laisser manuvrer, pour me donner limpression que cest elle qui dirige les débats. Et je ferme les yeux, répondant à ses baisers quelle décline de plus en plus chaudement.

oooOOooo

À suivre

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