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Humiliations d'une quinqua – Chapitre 1




Martine et son époux Philippe étaient arrivés de la région parisienne pour le mariage de leur fils qui se déroulerait ce week-end.

Martine avait supervisé les préparatifs du mariage de son fils, Bruno, pour organiser la noce en détails, elle voulait que ce moment inoubliable soit parfait.

Elle était arrivée dans cette petite ville de province en compagnie de Philippe son mari deux jours plus tôt, afin de pouvoir rencontrer le personnel du restaurant et les multiples intervenants responsables de lévénement.

Comme ils s’installaient à l’hôtel, leur fils Bruno, accompagné de Sylvain son témoin et Alain un de ses meilleurs amis, vint embrasser sa mère, une ravissante quinqua.

Martine observait Sylvain et Alain ces deux jeunes hommes de l’âge de son fils qui lui lançaient des coups d’il admiratif. Agée de 54 ans, elle pourrait être leur mère et serait bientôt grand-mère puisque Laurence la futur épouse était enceinte.

Le complexe hôtelier était superbe, une fois bien installée Martine était descendue pour gagner la salle où se tenait le restaurant, la répétition du repas devait y avoir lieu.

Elle trouva les amis de Bruno dans le couloir, ils se dirigeaient vers la piscine de lhôtel.

Ils étaient déjà venus y passer une semaine, la dernière semaine des vacances de printemps et cela avait été un séjour de fêtes et de beuveries.

Certains étaient si saouls qu’ils tenaient à peine debout.

En voyant arriver Martine, ils la saluèrent en chur :

— "Bonjour, Madame …."

Reconnaissant la bande de jeunes hommes, Martine se dirigea vers eux un large sourire aux lèvres.

La moitié des hommes se promenant et l’autre moitié se pressant au bar de la piscine, se retournèrent tous pour reluquer la somptueuse Martine en dépit de ses 54 ans elle était une des femmes les plus séduisantes de la foule de ces dames.

La ravissante épouse, mère et grand-mère affichait une nette ressemblance avec la présentatrice du journal de 20 h, Claire Chazal, et représentait l’image de la mère que tous ces jeunes gens aimeraient tous baiser .

Sa silhouette faisait ressortir sa sensualité de femme mure, son ventre était plat avec juste un petit repli aux poignets d’amour, ses gros nichons étaient merveilleusement fermes et tendaient le devant de son haut, ses bas gris moulait ses longues jambes galbées qui attiraient tous les regards, la hauteur de ses talons aiguilles allongeait encore plus ses jambes.

Ils avaient tous des pensées lubriques en lorgnant les charmes de Martine alors qu’elle se dirigeait vers le bar les nichons enserrés dans un haut noir moulant qui faisait fantasmer ces jeunes.

— "Hey les mecs, je fantasme sur la mère de Bruno depuis la première fois ou je lai vu» avoua Sylvain en frottant la large bosse qui déformait sa braguette.

— "Tout comme moi! … " ajouta Alain avec des pensées lubriques.

— « Vous pouvez être sur qu’elle se réjouit de l’effet qu’elle nous fait, elle sait très bien que nous avons les yeux rivés sur ses opulents appâts et sur ses nibards dansant dans son soutien-gorge! …. »

Un autre ami de Bruno, Patrice poursuivit :

— "Je suis sur que sous ses airs de bourgeoises, cest une grosse chienne !

Sylvain sourit :

— "Hey les gars, je pense quon pourrait se taper la mère de Bruno

Ils braquèrent tous leurs yeux sur lui se demandant s’il était sérieux. Martine était la source de leurs fantasmes depuis longtemps, ils s’étaient même parfois imaginés des scénarios pervers ou la ravissante quinquagénaire était soumise au pire débauches.

– "Cela devra rester secret entre nous 3! Intervint Alain, puis un sourire démoniaque aux lèvres il ajouta :

— "Qu’as-tu en tête Sylvain? …"

La cérémonie du mariage se déroula magnifiquement bien et maintenant tous les invités étaient réunis dans la grande salle de restaurant . Martine se promenait de table en table.

La ravissante portait une robe de lin blanc avec un profond décolleté qui faisait loucher bien des hommes, elle s’arrêtait juste au-dessus des genoux ce qui assurait à ses voisins une excellente vue sur ses longues jambes finement galbées, gainées de bas blancs, les hauts talons aussi blancs que le reste de sa tenue la rendait encore plus sexy.

Philippe, son mari, se tenait au bar avec quelques invités.

Sylvain et Alain se dirigèrent vers lui et l’abordèrent :

— "Peut-on vous offrir un verre! …."

Philippe sourit et les remercia :

— "Merci les gars, avec grand plaisir… "

Il ne pouvait savoir que les pervers gaillards ajoutaient une bonne dose de somnifère dans son whisky, et très vite, Philippe vacillait sur ses jambes.

Martine arrivait, et à voir lexpression de son visage on voyait qu’elle était choquée de voir son mari dans cet état…Le croyant ivre

Patrice l’intercepta et lui offrit de ramener Philippe jusqu’à leur chambre, elle pourrait ainsi rester avec ses invités.

Martine jeta un oeil furieux sur Philippe et lui confia la clef de leur chambre, murmurant silencieusement :

— "Merci… "

— "De rien…" lui répondit fort civilement Patrice.

Et se tournant vers Philippe pour l’emmener dans sa chambre il sourit à ses copains, avec le soporifique qu’il avait ingurgité, Philippe ne risquait pas de se réveiller avant demain matin.

Le repas se termina vers 1h30 et bien des participants étaient déjà fortement éméchés, ils se dirigèrent vers la salle de bal pour continuer à s’amuser.

Sylvain se dirigea vers Martine et lui demanda :

— "Puis-je vous aider madame ? …"

— "Non-merci Sylvain… " lui répondit-elle joyeusement

— "J’ai les choses bien en main… Va donc t’amuser avec tes copains! ….."

— "Je suis désolé madame mais c’est Bruno qui nous a demandé de veiller sur vous, de vous attendre ici pour vous conduire au bal! …. Je ne fais que suivre ses ordres! ….." ajouta Sylvain gentiment.

— "D’accord Sylvain… Laisse moi terminer ce que je fais… je vais signer l’addition… Puis-je suis à votre disposition pour me mener au bal! …."

Comme elle se retournait pour regagner la salle, le jeune mâle saliva d’admiration en voyant à quel point sa robe moulait sa croupe si avenante alors qu’elle se déplaçait d’une démarche aérienne et chaloupée.

Sa bite se mit au garde-à-vous dans son caleçon à l’idée du plaisir qu’il allait tirer, d’ici peu, de cette somptueuse femme.

Alors que Martine vérifiait la facture avec Monsieur le directeur du restaurant, Sylvain arrivant à ses cotés lui demanda :

— "Voulez-vous un verre? …"

Elle lui répondit qu’elle avait déjà trop abusé du champagne, mais Sylvain remplit dautorité une coupe et la lui tendit. En y ajoutant un léger soporifique.

La vérification de la facture traînait en longueur comme en avait convenu le directeur du restaurant et Sylvain un peu plus tôt, il avait accepté de rentrer dans son plan moyennant 150 Euros et un tour entre les cuisses.de la superbe maman du marié.

Alors que le directeur prétendait devoir recalculer la facture, Sylvain remplit le verre de Martine à plusieurs reprises tandis qu’elle discutait avec lui.

Un moment plus tard, Martine commença à se sentir prise de vertige.

Sylvain et le directeur, Michel, remarquèrent tous deux que la somptueuse femme de 54 ans commençait à avoir des difficultés d’élocution, elle bredouillait en clignant des yeux.

Ils savaient tous deux qu’elle était mure pour tomber dans leurs griffes.

Martine se leva et chancela, en gloussant bêtement.

Sylvain s’avança juste à temps et elle put s’appuyer sur lui.

— "Désolée… " bredouilla la ravissante femme « Je suppose que j’ai du trop boire dalcool ! …..Je crois que j’ai bu un verre de trop ce soir! …. »

— "Ce n’est rien madame ….." commenta galamment Sylvain.

— "Heureusement que je vous ai Sylvain… " bredouilla-t-elle avec incohérence.

— "Je crois que je ferai mieux de regagner ma chambre et d’aller faire un somme avec Philippe… "

— "Je vais vous emmener à l’étage… " lui proposa Sylvain, un sourire démoniaque fleurissant sur son visage en constatant que son plan marchait.

— La ravissante cinquantenaire, était bien plus séduisante que bien des jeunes filles quils avaient dragué.

— "Je suis ravie de voir que Bruno a d’aussi bons amis! …" éructa Martine bredouillant de plus en plus.

Syvain pressa le bouton d’ascenseur et jeta un oeil attentif sur Martine, il voyait qu’elle cherchait vainement à reprendre pied sur terre, ses yeux roulaient lentement dans leurs orbites. Elle tituba sur ses talons aiguilles et referma ses bras autour du cou de Sylvain pour éviter de chuter au sol.

— "Je suis désolée! …" bredouilla la somptueuse créature.

Le temps qu’ils arrivent au bon étage, et Martine ne se rendait pas compte qu’en fait Sylvain l’entraînait dans sa propre chambre au lieu de l’emmener dans la suite qu’elle partageait avec son mari.

La porte ouverte il fit entrer la mère du marié dans la chambre de sa suite personnelle et l’étendit sur le lit.

— "Où est Philippe? …." marmonna Martine, elle tenta de jeter un coup d’il circulaire, mais ses yeux n’obéissaient plus aux ordres de son cerveau.

Sylvain saisit deux caméras numériques dans son armoire et un trépied, puis il positionna rapidement le tout pour obtenir des vues variées de l’action à venir.

il enclenchait maintenant le plan B, il voulait fixer sur la pellicule chaque instant de leur performance.

Se reculant, il observa la scène, il avait le script bien en tête.

Il balaya la caméra de long en large sur le corps de la cinquantenaire tout en commentant :

— "Je me trouve aujourdhui dans un hôtel de province pour assister au mariage de mon ami Bruno….. La femme étendue sur le lit, la future salope qui va m’appartenir, s’appelle Martine, c’est la mère du marié! ……"

La caméra fixée sur le trépied était orientée vers le lit, il ne pourrait ainsi manquer aucune des actions les plus chaudes.

il s’approcha de la belle endormie, prit sa bite en main et la promena sur le doux visage de Martine, glissant le gland sur ses lèvres.

Inconsciemment Martine fronça ses lèvres, semblant délivrer un tendre baiser sur le gland de Sylvain .

— "Bordel! …" s’esclaffa Sylvain à l’adresse de la caméra

— "La maman du marié adore sucer les queues même quand elle dort! ….."

Lentement il roula les bretelles de son haut et puis lui enleva tout aussi lentement sa robe.

Empoignant la seconde caméra il entreprit de filmer en détail ses gros seins débordant du soutient gorges en dentelle.

Elle avait de gros nichons, fermes, ronds avec de larges aréoles brunes et de longs tétons.

Il filma les jambes gainées de bas blancs retenues par un porte-jarretelles.

Elle avait des mèches blondes qui contrastaient vivement avec le buisson noir et touffu qui surmontait les lèvres enflées de sa chatte .

Martine gémit sourdement alors que Sylvain promenait gentiment ses mains sur ses charmes dévoilés.

— "Bordel, elle est drôlement chaude pour une ménagère mère et grand-mère! ….. Il est clair que ces gémissements émanent d’une femme qui est impatiente de se faire baiser! …… "

Le jeune gars avait la bite "aussi dure que du bois" alors qu’il prenait son plaisir pervers entre les cuisses d’une quinquagénaire sexy sur laquelle il fantasmait depuis des années.

Penché sur elle, Sylvain suçait et embrassait ses nichons qui rosirent immédiatement sous la tendre sollicitation, très vite ils raidirent dardant entre ses lèvres.

Martine totalement sans défense gémissait doucement, même inconsciente, son corps répondait aux lascives stimulations que le jeune homme lui dispensait.

Le jeune mec savait comment exciter une femme.

— "Bordel t’es vraiment canon pour ton âge! …." pensait au fond de lui-même, tout en prenant un de ses gros nibards en bouche, titillant habilement le mamelon le mordillant gentiment.

D’une main il roulait l’autre téton entre ses doigts tandis qu’il suçait l’autre à pleine bouche, son autre main glissa avec expertise entre les cuisses de Martine et entreprit de travailler voluptueusement sa chatte gonflée de désir.

Il l’examinait attentivement surveillant si ses caresses langoureuses avaient les effets désirés.

Martine grognait doucement, ses hanches se mirent à onduler se refermant sur la main exploratrice, ses gémissements traduisaient bien son plaisir inconscient.

La quinqua était prête à se faire baiser !……

Il ne put attendre plus longtemps pour prendre son pervers plaisir, se plaçant correctement entre ses cuisses accueillantes il plaça ses talons et ses chevilles sur ses épaules.

Sa chatte bruissait de clapotis encourageant alors qu’elle gémissait sourdement.

Empoignant la caméra qui se trouvait sur la table de nuit, Tom reprit quelques rushs de la somptueuse femme allongée sur le dos, sa bouche entrouverte aux lèvres gonflées traduisait nettement ses gémissements de plaisir.

Sylvain s’assura qu’il avait suffisamment de photos du corps de Martine avec sa bite gonflée posée sur son ventre.

Il prit la main de Martine et lui enroula les doigts autour de la hampe de sa queue raidie de façon à ce qu’on puisse croire qu’elle caressait sa bite! …..

Il prit une nouvelle série de photos, cette fois Martine semblait guider sa grosse bite vers l’ouverture de sa foufoune enflée.

La bite de Sylvain était raide comme l’acier, les chevilles de Martine posées sur ses épaules permettaient de savourer lexhibition de sa chatte entrouverte qui semblait prête à se faire pourfendre.

Empoignant sa bite déployée, Sylvain plaça le bulbe de sa bite dans l’axe de l’entrée de la grotte de la chaude quinqua, il donna un gentil coup de rein et sa grosse bite s’enfouit dans la chatte de la mère de Bruno.

Son somptueux corps répondit immédiatement à cet assaut, sa chatte émettait de doux bruits de succion alors qu’elle gémissait sourdement, une véritable image de la passion amoureuse.

Elle tortilla ses voluptueuses hanches engloutissant la bite de son Sylvain, inconsciemment la chatte de cette chaude ménagère absorbait de plus en plus profondément l’énorme bite de son "amant", se gémissements se faisaient plus lourds, sa respiration plus saccadée.

Sylvain n’en revenait pas de voir la chatte de la mère de son copain aussi accueillante, la fente engorgée de cyprine suçait véritablement son chibre alors qu’il la baisait lentement.

Jetant un oeil sur l’écran de la caméra, il sourit tout en disant :

— "C’est la première fois que je baise la mère de mon meilleur pote ! …. Ecoutez la gémir……" sourit Sylvain alors que ses gémissements étaient clairement audibles, sa maîtresse jouissait clairement de cette bite d’un jeune de l’âge de son fils! …..

Martine gémissait de plus belle et se pressait contre Sylvain avec avidité ses hanches se levant et se baissant sur un rythme soutenu alors qu’elle s’empalait sur la grosse bite de son jeune "amant".

Bientôt elle fut prise de spasmes convulsifs entre les bras de son jeune tourmenteur.

— "Bordel il est grand temps que tu jouisses ma salope… " pensa le jeune mâle en son fort intérieur.

Yeux braqués sur le ravissant visage de Martine, Sylvain s’enfonça encore plus profond dans son intimité, elle se mit soudain à frissonner, ses gémissements s’intensifièrent, ses yeux s’ouvrirent comme des soucoupes, sa bouche forma un "O" alors que Sylvain se sentait à son tour emporté par un orgasme fulgurant.

Il continua à la marteler de coups de boutoir tout en titillant son clito alors que tout son corps frémissait maintenant, elle soupira longuement et haleta submergée par un orgasme d’une intensité rare. Elle jouissait, sa bite la faisait jouir! ….

A suivre

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