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Drague avec mes fesses – Chapitre 21




Arrivées devant l’immeuble, Sandrine se penche à mon oreille pour me faire part d’un problème auquel je n’avais pas pensé.

On se déshabille ou pas.

Je réalise tout à coup qu’il va falloir que tout le monde se foute à poil en arrivant chez moi. Dans le hall de l’immeuble, je me retourne vers lui.

J’ai oublié de vous dire quelque chose de très important, chez moi, nous vivons tous nus, c’est la règle, les fringues sont interdites chez moi, il faudra vous y conformer ou ne pas monter.

Il nous regarde un peu interloqué.

Vous voulez dire qu’une fois arrivés chez vous, vous allez vous déshabiller devant moi et que je devrais en faire autant ?

Oui.

Je ne pense pas rester sans réactions.

Et bien on verra ce qu’on peut faire, vous montez ?

Ok.

Je me penche à l’oreille de Sandrine.

Il te fait envie ?

Tu ne peux pas savoir à quel point, j’ai besoin d’avoir une bonne bite d’homme dans la chatte ou le fion de temps en temps, c’est un besoin vital, bien que je n’envisage pas de faire ma vie avec un homme.

Ok, je te le laisse, je n’ai pas envie d’homme en ce moment, Carole occupe trop mes pensées.

Ok, je m’en occupe.

Ça n’empêche que je vais t’aider à l’exciter.

Ok, mais je ne sais pas si c’est absolument nécessaire.

Nous entrons tous dans l’ascenseur, dès qu’il démarre, Sandrine commence à ouvrir son blouson en me regardant, j’en fais autant, nous les enlevons, laissant deviner nos seins à Yves sous nos corsages fins. Il est hypnotisé par ce qu’il voit.

Vous faites ça à tous les hommes que vous rencontrez ?

Juste avec les amis d’Elodie.

Je vois que j’ai de la chance.

Tu ne peux pas t’imaginer quel point.

Vous vous habillez toujours comme ça ?

Oui.

Vous n’avez pas froid ?

Oui, mais on aime, ça nous excite.

Il nous regarde bizarrement, je pense qu’il pense être tombé sur des folles. Nous arrivons à l’étage, à peine entrés, Sandrine fait valser son corsage qu’elle avait déjà déboutonné, je l’imite très vite, nos jupes tombent au sol simultanément. Yves a à peine le temps de réaliser ce qui se passe que nous sommes sur lui, Sandrine sur sa ceinture, moi sur son blouson. Le blouson, le chandail, la chemise, les chaussures, les chaussettes, le pantalon et le slip finissent à terre en moins d’une minute. Il est assez athlétique, belles tablettes de chocolat, belles fesses musclées, un sexe un peu au-dessus de la moyenne, terminé par un gland assez volumineux. Nous lui prenons chacune une main pour l’entrainer vers le salon. Je le pousse pour qu’il s’allonge sur le divan, il résiste.

Je ne sais pas à quelle sauce vous allez me manger, mais j’aimerais être propre pour la recette.

Ok, suis-nous.

Il nous suit dans la salle de bain, je fais couler l’eau et m’efface, Sandrine entre avec lui sous la cascade d’eau, elle lui passe du gel douche sur tout le corps en insistant bien sur ses fesses et son sexe qui est tendu comme un arc. En érection, il est quand même beaucoup plus impressionnant avec son gros gland, mais, aujourd’hui, il ne me fait pas envie, je suis uniquement en manque du corps de Carole, de sa peau, de son sexe. Sandrine s’agenouille, le prend par les fesses, l’attire à elle pour le prendre en bouche, Yves redresse la tête et la plaque contre la paroi de la douche. Elle s’active en me regardant, elle apprécie ce bel engin, ça se voit. Au bout d’un moment, Yves pose ses mains sur sa tête pour la dégager de sa bite.

Attention, je vais partir.

Mais elle résiste et reste en place. Je le vois lâcher sa tête et se raidir, il jouit dans sa bouche, Sandrine avale tout, elle aime ça. Quand il s’est bien vidé, je le vois se détendre un peu, il relève Sandrine pour lui déposer un baiser sur le front, elle ne l’entend pas comme ça et pose ses lèvres sur les siennes pour un long baiser sous la douche. Quand ils sortent de la douche, la bite d’Yves, qui était un peu tombée, se redresse lentement, il me regarde, j’ai l’impression qu’il croit que ça va être mon tour, mais il se trompe, je me retourne et vais dans le salon pour m’assoir sur un pouf. Quand ils entrent dans le salon, Sabine le tire par la bite, de nouveau raide. Elle l’allonge sur le divan, le chevauche, et se laisse descend doucement sur son vit. De là où je suis, je peux voir le gland écarter ses lèvres et se frayer un passage au fond de son vagin. Ses fesses montent et descendent sur son sexe, elle s’appuie de ses deux mains sur son torse, pendant qu’il lui caresse le dos, les seins, les fesses.

Oh la la, je sens bien ton gland qui bute sur mon col.

Quelle matinée si on m’avait dit !

Tu aurais refusé ?

Dans tes rêves.

Sandrine s’active de plus en plus violemment sur son sexe. Je constate que l’heure passe et qu’Elodie ne va pas tarder à rentrer, elle n’a qu’un peu plus d’une heure pour manger, il faut que je prépare le déjeuner. Je vais faire la cuisine, j’entends les soupirs de Sandrine dans le salon. Je suis en train de préparer la salade quand elle s’exprime plus nettement.

AAAAAHHHHH oui, oui, je jouis, je jouis, viens, viens s’il te plait, rempli moi de ton foutre.

Tiens, prends ça, c’est pour toi.

AAHH oui, oh que c’est bon, ton foutre, ton foutre dans mon petit con.

C’est encore une première ces expressions, Sandrine m’étonnera toujours. Ils finissent par se calmer, je les entends aller dans la salle de bain. Je mets la table au moment où ils reviennent de la salle de bain. Sandrine se précipite pour m’aider, de même qu’Yves qui nous donne un coup de main. Tout est prêt, nous discutons, assis sur le divan.

Tu as quel âge ?

Vingt-quatre ans et vous deux ?

Moi dix-neuf et Julie vingt.

Bien jeunes pour ce que vous faites dans les rues.

La valeur n’attend pas le nombre des années.

Il est sur le point de répliquer quand on entend un bruit de clés dans la porte, elle s’ouvre, se referme, et Elodie déboule dans le salon. Elle ouvre de grands yeux quand elle voit Yves avec nous nu comme un ver.

Oh Yves, que fais-tu là.

Je t’attendais.

Il se lève pour aller vers elle, je le retiens.

Tu n’as rien oublié Elodie.

Je dois…..

Oui.

Ok, excuse-moi.

Elle fait valser ses fringues et se jette dans les bras d’Yves pour lui déposer deux baisers sur les joues. Yves réagit instantanément au contact du pubis et des seins d’Elodie sur son pubis et son torse, sa bite se redresse et vient buter entre ses cuisses.

Oh la la, je te fais tant d’effet.

Tu m’as toujours fait de l’effet, mais je ne pouvais pas te le dire.

Elle s’éloigne un peu de lui, tend la main pour se saisir de sa bite. Elle la soupèse, la caresse, la masturbe, tant et si bien qu’au bout de quelques secondes, sa bite est orgueilleusement dressée vers le ciel.

Jolie, je peux goûter.

Bien sûr.

Elle le pousse sur le divan, nous nous levons pour leur laisser la place. Elle l’allonge, se couche sur lui têtes bêches, lui gobe le sexe et posant le sien sur sa bouche. Elle le pompe, l’aspire, le lèche pendant qu’il enfonce sa langue dans sa vulve et lui titille le clitoris. Au bout de quelques secondes, elle se redresse, pivote, le chevauche, se saisit de sa bite, la dirige vers son sexe et s’empale d’un seul coup dessus.

Ah oui la belle bite que voilà.

Si tu savais combien de fois j’ai rêvé ce moment.

Profites en, toutes les bonnes choses ont une fin, car je ne pense pas que ça se renouvelle.

Elle monte et descend sur sa bite, lentement, suavement. Je suis admirative, bander comme ça après ce qu’il vient de subir avec Sandrine, ce n’est pas commun, d’autant que maintenant, il peut résister longtemps, à Elodie d’en profiter. Quelques minutes plus tard, elle part dans un premier orgasme.

Oui, je jouis, viens avec moi.

Pas possible, manque de régénération.

Elodie me regarde étonnée, Sandrine se désigne en montrant son sexe et sa bouche, en faisant deux avec les doigts, elle comprend et augmente la cadence. Trois minutes plus tard, elle repart dans un nouvel orgasme, mais cette fois-ci, Yves l’accompagne, il se vide en elle.

Oh oui, tu es en moi, tu te donnes, oui, oui.

Sa tête va de gauche à droite, c’est signe qu’elle jouit très fort. Elle se penche sur lui pour échanger un baiser, mais pas très longtemps. Elle se redresse, quitte le divan et se dirige vers la salle de bain. Etrangement, Hector est resté couché dans son coin pendant tous ces évènements, je le regarde, il dort.

Je vois qu’il a gardé ses bonnes habitudes.

A bon ?

Oui, nous l’avions dressé avec ma dernière compagne à ne pas bouger pendant que nous faisions l’amour, au début, il venait toujours voir ce qu’on faisait, ça gênait ma compagne, mais, avec l’aide d’un maître-chien, nous l’avons dressé à rester sur sa couche.

Très bien.

En moi-même, je me dis que ce chien sait faire la différence, car ce n’est pas la même chose avec nous, mais je ne dis rien. Elodie revient de sa douche, remplacée par Yves qui va se rafraîchir sous l’eau. Nous nous mettons à table, le repas se passe très bien avec Elodie et Yves qui nous racontent quelques histoires vécues dans leur boite. Vers treize heures trente, ils s’en vont, Elodie à son travail, Yves préparer ses affaires pour son départ, non sans nous avoir laissé ses coordonnées.

…/…

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