Histoires de sexe Histoires de sexe de vacoisins Histoires de sexe mobiles

Mes 18 ans et ceux de mes cousines – Chapitre 4




Voila enfin l’action qui commence et qui jespère vous plaira 😀

J’espère que cette suite va plaire.

Ses pas lourds se font entendre dans l’escalier pendant ce temps personne ne dit rien je reste sans voix après l’annonce dÉlodie, on entend sa porte se fermer et alors mes cousines prennent leur sac plein de cadeaux et montent à l’étage en courant, Élodie me dit alors:

-Monte dans 2 minutes pas avant compris ??

-D’accord ça marche.

Je reste alors seul dans le salon debout et totalement immobile, j’essaye de réfléchir à quoi elles jouent mais l’alcool me fait tourner la tête impossible de se concentrer, je commence à avoir la boule au ventre je n’aime pas les situations dont je ne sais rien. 4H40 je monte les escaliers d’un pas léger comme un chat pour faire le moins de bruit possible, une faible lueur passe en dessous la porte dÉlodie, je toque très doucement et j’entends derrière.

-Prête ?

-Prête.

La porte s’ouvre alors mais très légèrement je ne vois que le visage dÉlodie et elle me demande de me retourner d’une manière très autoritaire comme un ordre, je m’exécute sans réfléchir ni poser de questions. Elle met une sorte de bandeau ou serviette devant les yeux et me fait un nud derrière la tête assez serré, je suis totalement perdu j’ai la tête qui tourne, je ne vois rien et me demande pourquoi j’ai obéi si facilement. Elle me prend les bras et me conduit lentement dans sa chambre surement et là elle me dit calmement mais très sure d’elle:

-Écoute moi bien la suite dépend de toi, soit tu fais exactement ce que l’on te dit et te laisses faire sans poser de questions ou soit tu décides tout de suite de partir mais réponds très vite.

-Ok je ferais ce que vous voudrez.

Une perspective qui m’a toujours excité mais dont le fait de le réaliser maintenant ne m’avait jamais traversé l’esprit.

-Très bien alors maintenant on te demande de ne pas bouger et ne rien dire compris ?

J’acquiesce alors, des mains commencent alors à me toucher le torse et la taille, elles sont en train de me déshabiller je crois, effectivement ma chemise tombe par terre et une petite main vient me caresser le torse doucement c’est très agréable. J’entends le son de ma boucle de ceinture qui se défait et les boutons se défont relâcher la pression sur mon sexe à demi bandé. Elles me baissent le pantalon et me tape la jambe pour que je la lève, après cette séance de striptease forcé silencieux, Laurete me dit d’un ton sec:

-Allonge toi sur le lit.

Je me baisse légèrement pour trouver le bord et m’allonge sur le dos avec pour seul vêtement mon caleçon, ma tête arrête de tourner mais ce bandeau est très désagréable me forçant à me fier à mon ouïe pour comprendre ce qui se passe. Elles parlent mais n’ont pas l’air d’accord d’après le ton employé et Élodie dit alors avec une voix hautaine:

-Et bien vas y, à toi l’honneur !

L’honneur pour quoi? Je commence à stresser mais de petites mains me caressent alors le ventre et soulèvent légèrement l’élastique de mon caleçon, elles le font coulisser doucement jusqu’à libérer mon sexe un peu plus gonflé encore, elles continuent jusqu’à me l’enlever complètement. Je suis entièrement nu devant mes deux cousines avec les yeux bandés et la bite au ¾ bandée, je sens alors le matelas s’enfoncer de chaque coté de mes jambes et Laurete dit alors:

-Je ne voyais pas ça comme ça, je pensais que c’était dur comme me l’ont dit des amies.

-C’est parce qu’il faut l’exciter un peu plus le cousin.

Une main, sans doute celle dÉlodie commence alors à me caresser doucement le frein, des frissons me parcourent le corps, ses caresses deviennent vite une empoignade et une branlette très légère mais suffisante pour me faire bander comme il faut. Cependant elle arrête vite et dit alors:

-Tu vois là il bande, c’est tout dur, vas y branle le un peu c’est pas compliqué tu vas de bas en haut avec ta main, doucement au début et après comme tu veux.

Une autre main me prend alors le sexe mais elle est tremblante, j’imagine Laurete au dessus de moi nue ses seins tombant en train de me branler, sa main commence un va et vient très lent mais très appuyé puis elle accélère de plus en plus en plus. Je suis au paradis, c’est la meilleure branlette de ma vie mais elle se stoppe d’un coup ce qui m’agace un peu, elle s’exclame étonnée:

-Tu a vu ?? Un liquide coule.

-Ça annonce qu’il va bientôt éjaculer, arrête de le branler et laisse le tranquille on va passer à autre chose.

Je suis donc là complètement bandé excité comme un étalon les yeux bandés et totalement à leur merci mais non elles préfèrent me laisser là. Je suis très déçu car j’attendais plus maintenant, cependant une main me prend le poignet avec force et une sorte de peluche au toucher m’entoure ce dernier et me tire le bras jusqu’à ce que autre chose me le soutienne dans un bruit que je connais. Elles me font alors pareil pour l’autre bras, elle venait de me mettre les menottes dÉlodie et je suis attaché au barreau de lit, je pense alors au film porno où l’homme attaché ainsi se faisait maltraité par ses hôtesses, j’espère qu’elles n’ont pas prévu ça pour moi. Je les entends parler, elles sont très proche, le matelas s’enfoncent de nouveau:

-Tu n’as jamais sucé un mec comme ça ?

-Non jamais.

-Alala mais tu sais les mecs adorent ça, si tu as un copain il faut absolument que tu saches t’y prendre, je vais te montrer.

La main dÉlodie me prend la bite, la redresse et quelque chose d’humide et de chaud m’englobe alors le gland, sa langue commence alors à jouer avec et elle l’enfonce encore plus loin jusqu’à ce que mon gland touche le fond de sa bouche. C’est vraiment le pied, elle commence alors des va et vient très lentement mais très appuyé, sa langue me fait un bien fou, elle se retire et englobe mes boules tout en me masturbant, je sens alors le plaisir monté en moi.

Elle remet ma bite en bouche et alors ses va et vient se font de plus en plus rapide, mes mains prennent alors sa tête mais elle ne dit rien, je la force à aller plus loin et et plus vite, de la salive coule le long mon frein, le rythme est effréné et Élodie ne se retire et continue de me sucer comme si sa vie en dépendait. Je sens alors le sperme monté et je la bloque de force pour ne pas éjaculer tout de suite, elle se retire et et dit alors:

-Ta bite est un régal cousin je crois que c’est la meilleure que j’ai sucé et quand tu m’as pris la tête ça m’a fait mouiller, j’aime les mecs qui forcent comme ça. Bon maintenant à ton tour de le sucer.

Je sens alors le matelas se déformer, et l’odeur dÉlodie est désormais plus forte, elle doit être tout prêt de mon visage cependant elle dit d’un air étonné:

-Comment ça se fait qu’il m’ait pris la tête, je lui avais attaché les mains avec les menottes.

-Et bien pendant que tu t’affairais je lui ai enlevé, je trouve ça pas réglo surtout qu’il a les yeux bandés, je ne suis pas une sado.

-Comme tu veux ma belle.

Ça alors je ne mettais même pas rendu compte qu’elle m’avait enlevé les menottes, je devais vraiment être dans uns état second plein de plaisir. Tout d’un coup le peu de lumière que laisse filtrer le bandeau s’obscurcit, je sens quelque chose de mou et de chaud sur mon visage mais aussi d’humide au niveau de ma bouche. Une odeur assez forte s’en dégage mais je ne dis rien même si je commence à comprendre, Élodie dit alors:

-Vas y Laurete entraine toi, suce le comme si ton avenir en dépendait, lèche lui les boules comme si c’était ton chocolat préféré ! Moi pendant ce temps je vais me faire plaisir avec mon cousin qui m’est totalement dévouée.

Je sens alors Laurete prendre mon sexe et le lécher doucement ce qui me refait bander aussi tôt, elle le lèche ainsi durant quelques secondes puis met le gland dans sa bouche et en fais le tour avec sa langue comme on le fait avec une glace, c’est divin. Néanmoins Élodie me donne un ordre qui me plait beaucoup:

-Lèche moi Romain et fais moi jouir sinon tu ressortiras de cette chambre sans rien d’autre.

Je suis très excité, je n’ai jamais fais de cunni mais je fantasme dessus depuis fort longtemps. Je tire alors la langue doucement et sens ses lèvres, je descend légèrement et trouve enfin le clitoris, je commence à le lécher avec délicatesse et entend alors Élodie gémir comme elle le faisait lors de mes massages. Pendant que je m’exécute sur le clito dÉlodie, Laurette elle s’assure que son avenir sera radieux, elle me suce tellement bien et profondément n’hésitant pas à laisser ma bite au fond de sa bouche durant quelques secondes. Laurete est vraiment devenue une experte en peu de coups de langue et le plaisir commence à monter dans mon bas ventre comme tout à l’heure.

Moi pendant ce temps je décide d’aller explorer le reste de la zone interdite de mon autre cousine, j’ai de la chance car elle est toute lisse il n’y a pas un seul poil. Je la lèche donc sur tout la longueur et de plus en plus vite, je l’entend gémir et respirer de plus en plus fort, elle se met alors à faire des va et vient avec ses hanches décidant de son rythme, je n’ai juste à sortir la langue. Elle accélère progressivement et je m’applique avec beaucoup d’attention, sa mouille se mélange à ma salive et n’a pas un mauvais goût, ses gémissements se font alors nettement entendre et elle met même à parler:

-Humm…. oui c’est bon lèche moi….. continue…..vas y là……

Elle m’excite énormément je n’ai qu’une envie c’est la prendre à quatre pattes comme une salope, elle et son petit trou. Laurete quant à elle fait vraiment des miracles mais je sens que la libération n’est pas loin, je prend alors sa tête et lui inflige le même traitement qu’à Élodie, elle ne rechigne et cela semble même l’encourager. Je guide Laurette et en même temps je fais un cunni à Élodie c’est vraiment le rêve, en parlant dÉlodie son rythme est encore plus rapide et elle commence à crier légèrement mais continue à accélérer, sa mouille envahit ma bouche et ma langue ne sait plus ce qu’elle lèche. Soudain elle crie fortement en allant encore plus vite:

-Je viens ! Je viens ! Ah oui c’est bon, lèche encore. Je viens !

Elle s’arrête alors de bouger, pousse un grand soupir et s’enlève de mon visage mais s’assoit sur mon torse je peux sentir son minou dégoulinant de plaisir, elle me dit d’un ton très doux et sensuel:

-Merci c’était vraiment génial, je n’ai jamais ressenti autant de plaisir tu as bien mérité ta récompense.

Elle m’embrasse alors très langoureusement durant un bon bout de temps, ce baiser est vraiment magnifique mais pendant ce temps Laurete continue de me sucer avec mon aide mais je vais éjaculer très bientôt. Je me retire alors du baiser et dit alors presque affolé:

-Je viens, arrête toi !

Cependant elle n’arrête pas, elle accélère même et me suce en s’appliquant, je comprend alors qu’elle souhaite que j’éjacule dans sa bouche. Je prend alors sa tête à deux mains et la bloque mon sexe toujours dans sa bouche, je fais alors des va-et-vient à l’intérieur assez rapide et profond, sa langue joue avec ma bite, mon sperme arrive et j’accélère encore le mouvement de mon bassin mais Laurete semble vouloir se retirer et essaye d’enlever sa tête. Je la tiens fermement, ça m’excite encore plus de savoir que je la retiens de force, je culbute sa bouche avec force et me libère soudain au fond de sa gorge, d’importante quantité de sperme coule maintenant dans sa bouche. Je me retire et entend Laurete tousser et elle dit alors:

-Je préfère quand même le chocolat au sperme.

Des spasme m’envahissent le corps, je n’avais jamais autant éjaculer et je sens que ça continue d’ailleurs Élodie se dégage de mon torse et une petite langue me lèche le bout du gland surement encore plein du liquide blanc. Cependant elle n’était pas contente et dit à Laurete:

-Tu n’aurais pas du faire ça, regarde il est tout mou maintenant.

-Ne t’inquiète pas j’ai de la réserve il suffit juste de remettre le moteur en marche.

-Parfait je m’en occupe, toi va tester la langue de notre cousin, tu m’en diras des nouvelles.

Quelqu’un se met alors sur moi, surement Laurete, je tire la langue pour explorer les lieux et sens une odeur de mouille, elle doit être toute excitée, je trouve son clitoris et au dessus se trouve quelques poils mais ce n’est pas gênant. Je commence alors à lécher le bouton magique et après seulement 3 coups de langue elle gémit légèrement, elle est sans doute très sensible à ce niveau, je met à visiter ses lèvres et pénètre ma langue à l’intérieur et là un gémissement plus appuyé se fait entendre et la mouille plus abondante.

Elle a vraiment un bon goût, je prend plaisir à la lécher rapidement, lentement, appuyé et très légèrement, elle ne parle pas mais des gémissements aigus se font entendre, c’est terriblement sexy. Pendant ce temps Élodie a remis d’aplomb mon sexe et se frotte dessus très certainement avec son minou car ma bite peut sentir ses lèvres mouillées et son clito, elle gémit aussi mais moins fort, ses frottements s’accélèrent et les sensations sont divines. Je réalise que mes deux cousines sont nues sur moi en train de gémir mais j’en veux plus, je lève mes mains et saisit les seins de Laurete, sa poitrine m’a tant fait de fois fantasmé, je les palpe, les pétrit et je joue avec ses tétons tout durcis.

Elle se met alors à crier et j’accélère mes mouvements de langue sur son clitoris et je malaxe ses seins bien fermes, ses hanches bougent alors comme Élodie tout à l’heure. Elle mène le rythme et celui-ci est très soutenu, sa mouille coule dans ma bouche mais j’aime ça, je caresse ses seins énergiquement et elle se met à crier:

-Vas y lèche moi !!! Je viens !! C’est bon…. Huummmmm!

Elle s’arrête alors de bouger et Élodie arrête de se frotter à moi et nous dit à tous les deux:

-Les choses sérieuses commencent.

Related posts

Plaisirs avec grosses queues – Chapitre 1

historiesexe

SOUMISE EN WEBCAM – Chapitre 1

historiesexe

Attachée – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .