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Le cadeau d'anniversaire – Chapitre 1




Bob, vingt-huit ans, est Marié à Victoria, superbe blonde de vingt-quatre ans, depuis trois ans. Le couple s’entend à merveille.

Aujourd’hui, ils reçoivent Sandra, sour cadette de Bob, jolie brune qui va fêter ses vingt ans.

Au repas de midi, la conversation s’oriente sur ce que Sandra aimerait recevoir comme cadeaux.

-Tu veux que je t’offre quoi pour ton anniversaire? Demande Bob. Un trou, ça se fête.

La réponse tombe brutalement, sans équivoque.

-Une nuit avec ta femme, répond Sandra.

Bob éclate de rire.

Victoria, à la cuisine, et qui a entendu, laisse tomber une assiette, qui se brise sur le carrelage. Elle a compris que Sandra ne disait pas ça sur le ton de la plaisanterie.

-Mais ça va pas, dit-elle en revenant. Je suis pas lesbienne. Tu dis rien Bob.

-Mais elle rigole, poursuit-il, n’est-ce pas?

-Pas du tout, reprend Sandra, je suis sérieuse, ça fait longtemps que j’ai envie de coucher avec ta femme.

-Bon, passons à autre chose, propose Bob.

La journée se termine et Sandra rentre chez elle. On ne sait pourquoi, un léger sourire apparait sur ses lèvres. Elle a lancé un pavé dans la mare.

Le soir, le couple se couche vers minuit. Bob aventure une main vers la chatte de sa femme.

-Tu es toute mouillée, remarque-t-il, envie d’un petit câlin?

-Oh non, mon amour, refuse Victoria, pas ce soir, je me sens fatiguée. Demain c’est dimanche, ça ira mieux.

-Comme tu veux, répond Bob, j’insiste pas. Allez, bonne nuit ma chérie.

Bob se réveille à six heures du matin pour aller aux WC.

Victoria n’est plus dans le lit. Il la retrouve dans le salon, allongée sur le canapé.

-Ben, ma chérie, ça va pas, qu’est-ce-que tu fais là. Fallait m’appeler.

-J’arrivais pas à dormir, répond Victoria, j’ai pris un café, tu en veux un?

Bob trouve sa femme bizarre.

-C’est pas la proposition de ma sour qui t’as troublée par hasard.

C’est vrai que Sandra a éveillé des sens chez Victoria inconnus jusqu’alors.

-Si, répond-elle, j’y ai pensé toute la nuit. J’imaginais même la scène.

-Mais, lâche toi ma chérie, si tu en as envie. Je préfère que tu me trompes avec une femme qu’avec un homme. Alors si tel est ton désir, tu dois le faire.

Victoria se met à pleurer.

-Oh mon amour, quel gentil mari tu es, tu resteras l’homme de ma vie.

Le soir de l’anniversaire, une vingtaine d’invités sont réunis autour d’un buffet. On chante, on danse, mais aussi on boit. Sandra a reçu plein de cadeaux. Sauf celui de son frère.

La fête se termine aux alentours de une heure du matin.

Sandra regagne sa chambre, et se couche.

Elle commence à s’assoupir, quand elle sent une présence se glisser dans le lit.

Elle sursaute et allume le chevet.

-Victoria, mais tu…

-Je t’apporte ton cadeau, ma chérie.

Victoria enlève sa chemise de nuit, dévoilant une plastique superbe.

-Maman, s’extasie Sandra, que tu es belle, quel corps.

-Il est à toi cette nuit, répond Victoria.

Sandra ne se démonte pas. Elle saisit sa belle sour par le cou, et l’embrasse. L’autre main glisse sous le drap, à la découverte du sexe. Victoria est épilée de frais.

Sandra fait courir un doigt entre les lèvres, pénètre légèrement, puis ressort pour taquiner le clitoris.

Victoria commence à se cambrer, bras et jambes écartés.

Elle veut se soumettre à Sandra.

-Vas-y ma chérie, gémit-elle, joue bien avec ma fente. Je savais pas que c’était aussi bon.

-Tu vois que tu te régales, hein? Petite salope. Ta chatte est toute mouillée là, sale pute. Oh, mais pourquoi tu bouge ton cul?

-Tais toi, continue, parle moi mal encore, vas-y.

-Mais la bordille aime se faire doigter, et ce petit bouton tout excité, tout sale.

Victoria attrape Sandra par les cheveux, et lui prend la bouche. Son corps est pris de spasmes.

Sans retenu, elle hurle son plaisir, sans se soucier si quelqu’un peut l’entendre.

-Ha..ha..oui, comme ma petite chatte se régale, oui, vas-y pince mon bouton, s’il te plait. Quelle pute je suis. Comme tu me gouines. haaa.

Dominatrice, Sandra caresse les seins de sa belle sour, un sourire vainqueur sur les lèvres.

-Tu as aimé, demande-t-elle.

-Si j’ai aimé, j’ai jamais joui comme çà. Comme tu m’as chatté, vilaine.

-Tu en veux encore, propose Sandra. Tu veux que je te fasse voir ce que je peux faire à ton minou. Tu veux que je m’occupe de ton petit trou aussi.

-Oui, oui, ma chérie, sens comme mon corps en redemande.

Sandra ouvre le tiroir de la table de nuit, et sort deux godes. Un d’assez bon calibre, et un , disons, moyen.

-Hum, c’est pour moi tout çà, se réjouit Victoria. Nique moi, vite.

-Tu as pas fini de couiner, petite garce. Non seulement je vais te niquer, mais je vais aussi t’enculer, jusqu’à ce que tu me supplie d’arrêter.

Victoria passe une nuit torride. Les godes la pénètrent brutalement par tout les orifices. Elle crie, elle pleure, mais, surtout, elle jouit.

C’est au cours d’un long baiser, qu’elles se promettent de remettre ça.

Epuisée, les yeux cernés, Victoria rejoint son mari.

Il est six heure du matin.

Mine de rien, elle aura mis quatre heures pour offrir son cadeau.

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