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Maman regarde du porno – Chapitre 1




Je n’arrive pas à dormir, il fait trop chaud, je me lève pour boire un verre d’eau.

En passant dans le couloir, j’entends le son de la télé, intrigué, je m’avance, la porte du salon est ouverte, j’entre doucement, j’aperçois maman sur le canapé, sa jupe est relevée jusqu’à sa taille, sa culotte est sur le sol.

Elle regarde un film porno qui a l’air très excitant.

Dans sa main, un gode de bon diamètre qu’elle fait disparaître et réapparaître dans sa vulve à un rythme soutenu.

Sa bouche est entrouverte, il y en sort quelques faibles gémissements qui me donnent des frissons, ses yeux sont écarquillés, sa langue passe plusieurs fois sur ses lèvres charnues.

Soudain, elle saisit d’une main le vibromasseur qu’elle avait déjà préparé à l’avance sur le canapé et l’appuie fortement sur son clito, de l’autre, elle agite le gode qui est planté profondément en elle, elle lui fait faire de violents va-et-vient.

À chaque enfoncement de l’engin, elle grogne.

Brusquement, elle se cabre en enfonçant le gode bien à fond, elle appuie le vibro sur son clito comme pour le faire éclater.

Sa bouche est déformée par un rictus atroce, en giclant, elle pousse un cri terrible qui me fait sursauter, la puissance du jet est tel que le gode est expulsé de sa chatte.

Le vibro voyage sur son bouton qui a triplé de volume, elle pousse des cris rauques à chaque giclée.

Moi, j’ai la main sur mon boxer, ma bite me fait mal, je la caresse doucement à travers le tissu, je ne peux m’empêcher de la sortir et de la branler en regardant maman reprendre son godage intense. Elle s’avance sur le bord du canapé, elle pose le vibro sur son anus.

J’ouvre bien grand les yeux, elle pousse sur l’engin en forme d’ogive qui commence à pénétrer l’anneau ridé, il l’avale doucement.

Le vibro s’enfonce de plus en plus loin dans la gaine étroite.

Le jugeant assez loin en elle, maman actionne la vibration à son maximum.

Son corps s’agite, ses gémissements sont entrecoupés par des :

Oh ah huuuuuuuuum !

Moi, je pousse un cri lorsque mon sperme gicle sur le sol.

Maman sursaute et rabat sa jupe, elle me regarde :

Mon chéri, ça fait longtemps que tu es là ?qu’elle bègue.

Oui assez, maman, je t’ai vue te faire plaisir !

Elle tente de se justifier maladroitement.

Je ne sais pas ce qui m’a pris, sûrement le film qui m’a excitée!

C’est pas grave maman, moi aussi, en te regardant, j’ai pris du plaisir !

J’ai toujours ma bite dans la main, je m’avance.

Maman, très gênée, retrousse sa jupe et tente d’arrêter les vibrations de l’engin.

Non, tu as commencé, il faut finir !

Elle me regarde, étonnée, puis soupire, elle fait faire quelques va-et-vient au gode qui est enfoncé dans sa chatte.

Je me penche et enfonce un peu plus loin le vibro qui lui chatouille la gaine anale.

Maman se cabre légèrement.

Ma bite est toujours tendue, maman la regarde et dit :

La nature t’a gâté mon chéri !

Fièrement, j’agite ma queue sous son nez.

La vibration fait son effet, maman s’agite sur le canapé, je retire le gode qu’elle a dans la chatte, frotte ma queue contre sa vulve dégoulinante.

Non non, mon chéri, je suis ta maman, nous ne devons pas faire ça !

C’est mieux que de te goder seule non ?

D’ailleurs, tu en meurs d’envie ! que je rétorque.

Le vibro la fait délirer, elle souffle fortement, s’accroche à ma taille.

Je donne un léger coup de reins, ma bite s’enfonce aisément jusqu’aux couilles.

Elle pousse un :

Ah ouiiiiiiiiiii !

Lorsque mes couilles lui battent les fesses, je saisis ses hanches et commence une chevauchée infernale, mes coups de reins sont violents, maman s’accroche à moi, elle geint à chaque enfoncement de mon mandrin en elle.

Ma bite coulisse aisément dans sa gaine lubrifiée par l’abondante cyprine qu’elle produit.

Maman râle de plus en plus, elle se raidit et pousse un cri de jouissance, son corps tremble, elle est agitée de spasmes.

Je la pilonne encore un bon moment pour qu’elle jouisse à nouveau.

Elle grogne, passe sa main sous sa cuisse, saisit le vibro et lui fait faire un va-et-vient terrible.

Je retire ma bite de sa fournaise, et la regarde envoyer plusieurs giclées de cyprine sur le sol.

Sa bouche est déformée par les jouissances successives.

Je lui présente ma bite, elle se jette dessus voracement et l’avale, elle la tète goulûment, elle me presse la queue comme pour en extraire le jus qui regorge dans mes couilles.

La succion est délicieuse, je geins comme un animal.

Maman jouit encore, le vibro la vide de sa substance visqueuse, elle halète en tétant ma queue.

Je la repousse, déçue, elle grogne.

Je retire brusquement le vibro de son cul et plante ma bite.

Oui oui encule maman mon chéri oooooh c’est trop bon !

Je le défonce sauvagement avec ma bite veineuse gorgée de sang, les coups de boutoir la font râler de plaisir.

Plus fort, mon chéri, plus fort, vas-y, casse le cul à maman !

Je redouble mes assauts, maman se cabre et gicle sur mon ventre et mes couilles.

Je continue de la ramoner, je me raidis et déverse en elle toute la semence qui est en moi.

Comme ta semence est chaude, mon chéri, remplis encore maman !

Donne-moi ta queue que je la vide, je veux avaler ton sperme, donne mon chéri, donne.

Je sors ma bite gluante et lui donne à sucer, c’est avec des coups de langue rapides qu’elle nettoie toute la hampe, elle passe plus de temps sur mon gland.

Elle suce le cèpe comme une professionnelle, sa langue titille le frein de nombreuses fois, elle tète jusqu’à ce que je lui remplisse la gorge de mon sperme épais.

Maman se délecte de ma semence, elle ne men crache pas une goutte, au contraire, elle avale tout.

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