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Après-midi avec ma belle-fille – Chapitre 1




Bonjour a tous ; pour faire une brève présentation : Gabriel, 37 ans ; je vis au sein d’une famille recomposée depuis 16 ans avec ma conjointe Christine, 45 ans, et ses enfants (Jérôme et Julie, 18 ans, et laîné Florent, 21 ans). Nous formons une famille sans histoire.

Tout a commencé il y a un an.

Ce jour-là, ma femme qui doit passer des examens médicaux ne juge pas nécessaire que je l’accompagne. Elle devine mon inquiétude, mais je la laisse partir seule. Les garçons sont partis pour le week-end chez leur copine ; je me retrouve seul avec Julie, ma belle-fille.

J’embrasse ma femme avec fougue, avec cette habitude de la prendre dans mes bras, de toucher son joli cul que j’admire ; c’est une très belle femme, blonde, de jolis seins biens tendres, un corps qui laisse sûrement rêveurs bon nombre d’hommes, et notre complicité fait face à toute les épreuves de la vie : le couple parfait pour beaucoup de nos amis.

Il fait chaud ; normal en plein mois de juillet. Julie vient de recevoir les résultats des épreuves passées pour devenir fleuriste. Elle a enfin trouvé un métier qui lui plaît et souhaite aller au-delà du bac pro ; d’ailleurs, ce sera fêté en même temps que son anniversaire pour ses 18 ans la semaine suivante, en plus de celui de son frère jumeau.

Ma belle-fille me demanda si ça me dit, une baignade dans la piscine ; n’ayant pas d’autre idée en tête, jaccepte. Nous partons nous changer.

J’enfile un boxer de bain et sors de la chambre conjugale et Julie quelques secondes plus tard de la sienne. Je l’avoue ; cette fillette devenue jeune femme, que j’ai vue grandir pendant toutes ces années, la voir devant moi dans un joli bikini bleu à petites fleurs blanche, ses belles fesses rebondies, sa poitrine qui prend vraiment de belles formes, je suis surpris dêtre attiré par son physique, de la désirer : aussi belle que sa mère, copie conforme, attirante et sexy.

Cette pensée ne dura que quelques secondes, mais je ressens l’envie que ma femme revienne afin de la satisfaire et je suis entre frustration et excitation (nous n’avons pu faire l’amour la veille à cause de son examen médical, mais j’ai eu droit à une fellation comme j’aime).

Julie passe devant moi dans ce couloir étroit, et bien que je me plaque contre le mur pour la laisser passer, je sens son parfum, le même que celui de sa mère, et le frôlement de ses fesses contre moi, au-dessus du sexe, ne calme pas mon excitation. Oui, il fallait vite que sa mère revienne. Je n’ai jamais eu de pensées sexuelles envers la fille de ma concubine, mais entre l’odeur et la vue de cette copie conforme de ma femme, ma température ne fait que monter en flèche, et ce n’était pas la seule chose qui montait

Je suis Julie jusqu’à la piscine ; j’essaie de calmer mon érection naissante dans ce boxer qui devient trop serré à la vue du dos et des fesses de ma belle-fille, au soleil dans ses cheveux châtains qui se balancent, aux mouvements de ses jambes. Je la regarde ; elle est sportive et a de magnifiques jambes qui finissent par un cul un peu large taille 40 mais bandant. Mon érection se prononce encore un peu plus mais je n’ai aucune envie de me masturber : je veux garder l’excitation pour Christine à son retour. J’imagine lui faire l’amour : grosse erreur, et mon sexe me le fait savoir ; impossible de stopper l’érection.

Julie passe ses mains dans le bas de son maillot, sur les fesses pour le remettre correctement. Je vois une partie de sa chair rebondie et une partie de sa raie ; malgré que je n’aie jamais pensé à sauter ma belle-fille, je la trouve belle, attirante. Nous arrivons à la piscine.

Julie et moi jouons, nageons. On s’éclabousse, on se coule ; bref, comme nous le faisons depuis que je lui ai appris à nager. Mon excitation a disparu et, par jeu, je me place derrière elle et je la prends dans mes bras pour la soulever et la jeter à l’eau : elle adore ça depuis toute petite.

Aujourd’hui, la sentir contre moi, son dos contre mon torse, un bras en dessous de ses seins, l’autre sous ses fesses aussi tendres que celles de sa mère, me fait revenir l’excitation ; je me jette en arrière et la fais basculer au-dessus de moi. Je pense la mettre sur mes épaules la prochaine fois pour sentir son entrejambe sur ma nuque, par jeu, par envie, parce que je suis excité.

Pas le temps ; quand elle revient à la surface de l’eau, son haut de maillot de bain a disparu. Elle rit, elle est heureuse, et ne s’est pas rendu compte de la situation, de l’eau plein les yeux. Je ne peux plus détacher mon regard de sa poitrine, de beaux seins plus gros que ceux de sa mère. Je vois ses tétons raides et bien épais ; je vois ma femme en elle, je n’en peux plus. Julie s’aperçoit qu’il n’est plus là et lâche un "merde" ; même sa voix me fait de l’effet. Par réflexe habituel, je me retourne, gêné et tente de chasser à nouveau l’excitation que je sens grandir dans mon boxer et l’envie folle d’aller me masturber dans la chambre.

Tu l’as perdu dans l’eau, donc il est pas loin.

C’est bon, je le vois, il est à côté de toi. Tu me le passes ?

Pas de soucis.

Je me laisse guider par Julie, toujours de dos, de peur de trahir mon érection et qu’elle s’en aperçoive. Je recule, encore guidé par ma belle-fille, qui en joue pour me faire aller où elle veut dans la piscine, course-poursuite aveugle mais amusante.

Sentir ce morceau de tissu dans ma main, la forme des bonnets, la douceur, j’imagine ses seins dedans, je le caresse ; ça rend mon érection plus intense encore, je lui tends son haut de maillot, qu’elle ne prend pas immédiatement.

Tu as l’air gêné, mon Gabinou.

Pourquoi donc, ma petite Princesse ?

(vieilles blagues entre elle et moi, ces surnoms)

Quand Maman et moi sommes devant toi pour un avis sur nos vêtements, notre style ou n’importe quoi, tu réponds toujours qu’on ressemble à deux surs ou deux jumelles ; donc me voir seins nus ne devrait pas te gêner sils ressemblent a ceux de Maman. Alors pourquoi rester dos à moi ?

Toujours dos tourné à ma belle-fille et à sa ravissante poitrine, je ne trouve rien à dire. Je la sens prendre son haut de maillot, à mon plus grand regret ; c’était doux et excitant de l’avoir senti dans la main.

Je ne sais pas quoi te dire, ma Petite Princesse. Je t’ai vu toute petite, je t’ai vu grandir ; on joue souvent ensemble, et je sais que je suis comme un père pour toi. Ce serait déplacé que je te regarde en te rendant ton maillot : ce serait comme si je te matais, tel un vicieux.

Elle remettait le haut. Je l’entendis râler à essayer de l’accrocher ; j’espère qu’elle va me demander un coup de main. Je fantasme à l’idée de l’entendre me le demander ; mon sexe aussi d’ailleurs : j’ai l’impression que mon boxer a rétréci, c’est agréable et douloureux en même temps.

Voilà, c’est bon.

Merde, adieu le fantasme de toucher sa peau en l’aidant à remettre son maillot. Je suis à peine retourné pour lui faire face et paraître comme si mon érection n’existe pas, cachée faiblement par l’eau.

Mais joie de découvrir que cette fameuse attache est située sur le devant, quand elle se détache à nouveau et me laisse le plaisir de revoir ces beaux seins, quelque peu cachés par les bonnets écartés ; et, à ma grande surprise, Julie l’enlève complètement.

Merde et re-merde ! Bon, pas grave. En parlant de jeu, ça te dit qu’on aille en faire un ?

Ne pouvant plus enlever mon regard de ma belle-fille, seins nus, si attirante comme l’est sa mère, je me force à la regarder dans les yeux : beau regard marron clair contrastant avec les yeux verts de ma femme ; j’accepte.

Elle me regarde ; je ressens comme une tension palpable. Elle me dit qu’elle ne le remet pas pour faire les trois mètres qui nous séparent de la maison ; je deviens fou, mon cerveau chauffe, mais je n’ai pas le droit : j’ai toujours respecté les enfants de ma femme ; je ne veux pas trahir cette promesse faite il y a quinze ans suite à une vieille histoire de famille dont Christine connaît les faits.

Allez, on sort ?

Elle sort de la piscine la première, seins nus ; je ne peux cesser de la mater. Elle s’éloigne, son cul rebondi devant mes yeux : je bande à mort dans mon boxer, mais je veux chasser cette idée de ma tête avant de sortir à mon tour. Julie me sort de mes pensées fantasmatiques quand elle se retourne et me dit :

Tu viens ?

J’ai oublié de prendre une serviette ; tu m’en apportes une, s’il te plaît ?

Heureusement que j’ai la mienne.

Elle me l’apporte. Je vois ses seins, son ventre ; son bas de maillot laisse deviner les lèvres de son sexe. Elle attend sur le rebord de la piscine ; j’en peux plus, je bande a mort, je vais trahir mon érection. Je prends mon courage à deux mains et sors rapidement pour lui prendre la serviette des mains.

Pas assez vite : je peux voir ses yeux se baisser sur mon boxer. Je fais de même, et je m’aperçois que le gland est à l’air ; mon sexe est raide et le malaise m’envahit. Jai honte, ça devient gênant avec sa fille, très gênant, mais énormément excitant par la même occasion. Drôle de situation

Attends, je vais te sécher le dos, retourne-toi !

Je fuis son regard, aussi gêné que le mien, mais le sien semble curieux. Je me retourne, replace mon sexe correctement dans mon boxer. L’envie est forte, mais je me vois mal me masturber pendant que Julie me sèche le dos. Je sens la serviette guidée par ses mains parcourir mon dos ; j’en frissonne. Je sens ses mains toucher ma peau parfois, ça relance mon sexe à chercher l’air libre à nouveau.

La douceur de sa mère, me dis-je mentalement. Pourquoi elle n’est pas à la place de sa fille ? On aurait sûrement commencé à faire l’amour dans la piscine avant de finir sur la terrasse ou dans l’herbe, à l’abri de tous. Cette pensée relance mon envie de me faire jouir dommage : ma femme aura moins ce soir avant de faire cette partie de jeu de société où l’on doit acheter des propriétés.

Voilà, tu es tout sec dans le dos. Pour le reste, tu te débrouilles ; à ton tour de me sécher.

Je me retourne pour lui faire face et vois un sourire se dessiner sur ses lèvres, malicieux et taquin, celui qu’elle a quand on se taquine. Je lui prends la serviette des mains ; jetant un rapide coup d’il à son corps, je remarque ses tétons durs et gros, douce copie conforme. Je me surprends à penser que j’aimerais les lécher, les sucer, les faire rouler entre mes lèvres et mes doigts Je soupire.

Retourne-toi, Princesse.

Je la sèche. Je vois ses seins agités sous les mouvements de mes mains : mon érection n’est pas près d’être calmée ! Perdu dans mes pensées à la vue de ses beaux seins pris de secousses, je perds l’équilibre et me retrouve collé contre elle, le sexe tendu dans mon boxer collé à ses fesses encore mouillées. Je n’ai pu tenir plus longtemps et éjaculai en silence, surpris mais très excité par la situation, avant que la honte ne revienne. Je vois mon gland ressorti de son emprise en tissu ; j’ai éjaculé sur ma belle-fille juste au-dessus de ses fesses ! Je nen laisse pas échapper un autre, malgré l’envie. Je suis pétrifié à la vue de mon gland sorti et de mon liquide chaud qui descend lentement vers les fesses de Julie pour couler le long de sa raie et disparaître dans le bas de son maillot.

Excuse-moi, petite princesse, j’ai trébuché ; te voilà séchée.

Merci, mon Gabinou.

J’essaie de faire comme si rien ne s’était passé, mais la chaleur de mon sperme a dû se faire sentir. Elle retourne la tête et me fait un sourire, je regarde ses lèvres ; maintenant, j’ai envie de l’embrasser. Je me sens comme un pervers, un vicieux, encore honteux d’avoir joui silencieusement sur ma belle-fille.

Elle me prend la serviette des mains, toujours en me souriant, avec son regard qui me chauffe. Elle est si belle ! Je ne l’ai jamais vue comme une jeune femme, mais comme ma fille ; ça me fait bizarre Je la regarde se sécher, et je profite qu’elle tourne la tête pour "enfermer" une bonne fois pour toutes ma verge encore bien dure.

Elle se penche pour s’essuyer les jambes, révélant son cul. Elle est à quelques centimètres de moi, elle a vu mon gland ; tant pis sil décide de ressortir de mon boxer ! Je me mets à penser que je pose mes mains sur ses hanches, sur ses côtes, et que je la pénètre ; je sens une montée de plaisir et jouis une seconde fois silencieusement, dans mon boxer cette fois.

Elle me tend la serviette, toujours en souriant. M’a-t-elle vu faire ? A-t-elle vu ma queue gonflée dans mon boxer ? Je m’en fous, maintenant ; j’ai presque envie qu’elle la voie, qu’elle le prenne.

Sèche-toi, je vais préparer le jeu ; tu veux un café ?

Non merci. Je veux bien une bière, par contre.

Alors deux bières pour une princesse et son prince Gabriel !

Ça ma surpris car jamais elle ne m’a appelé ainsi : toujours Gabe ou Gaby pour m’embêter. Je la regarde rentrer dans la maison ; entre excitation, soulagement et honte, je finis par rentrer à mon tour quelques instants plus tard.

Je remercie Lioubov pour son aide précieuse.

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