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L'étalon aiguille (Tome 3) – Chapitre 10




"On se retrouvera"

Phil avait décrété que je n’avais plus le droit de penser aux "retrouvailles" avec Lydie/Eddy avant le Samedi midi. Mais au fur et à mesure que le temps passait, j’avais de plus en plus de mal à donner le change. Je ne réussis même pas à profiter de la "sieste crapuleuse" dont Tiff’ eut l’idée après le déjeuner : pour la première fois depuis que nous nous connaissions, je n’atteignis pas l’orgasme.

Un peu avant 18 heures, Phil et Tiffanny finirent par céder à mes suppliques, et nous partîmes chez Lydie.

Phil trouva une place à 100 mètres à peine de l’immeuble cossu où elle habitait. Au moment de descendre de la voiture, je me sentis soudain paralysée.

— Eh Sam ! Tu dors ou quoi ?

— Non, non, mais, C’est trop dur, je peux pas !

— Eh ! Oh ! Ça fait des jours que tu attends ça, tu vas pas reculer maintenant, non ? De toutes façons, tu l’as dit toi-même, il faut que tu le récupères "ton super futal de la mort qui tue" !

Tiffanny me prit la main pour m’aider à sortir. Dans l’ascenseur, mes doutes me reprirent.

— Et si c’est Eddy qui ouvre ? Ça veut peut-être dire qu’on ne peut plus faire marche arrière que c’est foutu que je suis condamnée à rester une nana

— Et si, et si

— Oui, Sam, Tiff’ a raison ! Tu connais le proverbe "Si ma tante en avait"

— Celle-là, mon chéri, tu aurais peut-être pu l’éviter !

— Excuse-moi, je te jure que je ne l’ai pas fait exprès. N’empêche que de toutes façons, maintenant, on est là, et d’une manière ou d’une autre, les choses vont évoluer, avec Lydie ou avec Eddy, on s’en fout. Allez, courage

Il déposa un rapide baiser sur mes lèvres, en fit autant à sa femme et sonna à la porte. La surprise se peignit sur le visage de Lydie quand elle reconnut mon "frère d’âme".

— Philippe ! Bonjour Qu’est-ce qui me vaut cette surprise ?

— On peut rentrer ? Je n’aime pas discuter sur les paliers, et en plus, c’est un peu compliqué !

— Si tu veux. Entrez, je vous en prie

Elle s’effaça, autant pour nous laisser passer que pour nous examiner Tiff’ et moi. Elle s’attarda sur les Versace et la jupe asymétrique en agneau que portait Tiff’ sous son maxi-manteau de cuir. Au moment où je passai devant elle, je devinai en croisant son regard qu’elle venait de tout comprendre. Il faut dire que je portais l’intégralité des vêtements qu’elle m’avait laissés en quittant "Le bout de la nuit" une semaine plus tôt. Elle attendit néanmoins que nous soyons tous les quatre installés au salon pour ouvrir la bouche.

— Bon, OK Je vois ce que c’est Quant à vous, je suppose que vous êtes l’épouse de Philippe?

Pour seule réponse, Tiffanny hocha la tête. Lydie se tourna alors vers moi.

— Sam, c’est bien ça, hein ?

— Bien, c’est déjà ça, à défaut de mon numéro de téléphone, tu te souviens au moins de mon prénom ! Tu te rends compte que

— Sam, non Laisse la parler d’abord. Elle t’a reconnue, je suppose qu’elle devine ce qui t’amène, ça sert à rien que tu pètes un boulon maintenant, ça ne fera pas avancer le schmilblic !

— Y a pas de "non Sam" qui tienne. Attends, t’as vu ce qu’elle m’a fait ?

— Sam !!!

— Merci Philippe. Bon, alors je vais commencer par là : excuse-moi, Sam Je suis désolée, c’est vrai que j’ai agi un peu égoïstement, sans penser aux conséquences pour toi, mais

— "Un peu égoïstement" !!! Tu te fous de ma gueule?

— Sam !!!

Elle marqua une pause, secoua la tête et reprit.

— Excusez-moi, je crois qu’on a pas mal de choses à dire; Vous voulez peut-être boire quelque chose ? En tous cas, moi, oui, je crois que ça m’aiderait et que je vais en avoir besoin

— Je veux bien un petit "jaune" si tu as

— OK, et pour vous ?

— Vous avez du rosé ?

— Rosé ! OK, ça roule Et toi Sam ? Oh non ! Attendez, j’ai une idée Encore mieux. Champagne, ça vous dit ? On enterre la hache de guerre avec des bulles, qu’est-ce que vous en dîtes ?

Philippe nous lança un regard interrogateur. Tandis que je lui renvoyai une mine renfrognée, Tiff’ fit un effort sur elle-même et acquiesça.

— Bon, ne bougez pas, je reviens. Installez-vous confortablement Faites comme chez vous !

Tiffanny me prit dans ses bras.

— Allez Sam, après tout Fais un effort. Elle t’a déjà demandé pardon, ça fera de mal à personne de laisser retomber un peu toute cette tension. Tu ne crois pas ?

— Tiff a raison ! On peut boire une coupe et écouter ce qu’elle a à nous dire sans s’engueuler

— Mais je m’en fous complètement de ce qu’elle peut vouloir nous raconter. Je veux juste récupérer mon pantalon et  ma virilité par la même occasion Après, on se tire, et j’essaie d’oublier cette histoire de dingues.

Philippe se laissa tomber dans un fauteuil et Tiff et moi nous installâmes côte à côte dans le canapé. Quand Lydie revint et qu’elle déposa le plateau sur la table basse, j’avais réussi à prendre sur moi et à me calmer. Elle nous tendit à chacun un verre et s’assit juste à côté de moi, sur l’accoudoir de la banquette.

— Bon Allons-y ! Je Je reconnais, c’est vrai, c’est pas franchement cool ce que je t’ai fait. Mais, à ma décharge, je te dirai que j’ai agi sur un coup de tête et que je n’ai pas réfléchi aux conséquences.

Elle avait posé sa main gauche sur ma cuisse et se servit de la droite pour faire pivoter mon visage vers le sien avant de continuer.

— Je suis une impulsive, moi, Sam. Si on me fait du mal, je me retourne et je mords, tu comprends ? Après seulement, j’analyse et  je réfléchis !

— Ah ouais ? C’est pour ça que tu t’es empressée de me téléphoner ! Pour me dire tout ce que tu avais "analysé et réfléchi" !

— Désolée, mais j’ai été moi-même dépassée par les événements. J’ai préparé ma vengeance et je n’ai plus eu le temps d’atterrir ! Mais je te jure, ce qui s’est passé, c’est fou, c’est une histoire dingue ! Tu sais, ce pantalon, il a vraiment des pouvoirs magiques ! Non, non, ne rigole pas, je crois qu’il n’y a pas d’autres mots Il m’a permis de vivre des trucs vraiment incroyables. Laisse-moi te raconter.

— J’en ai rien à foutre de ton histoire

— Bon, OK, j’ai eu tort, mais je me suis excusée, non? Tu veux quoi de plus? Que je me mette à genoux, que je rampe devant toi?

— Tu as raison, c’est vrai ! On n’a rien à se dire. Allez, va te changer et rends-moi mon cuir, le reste, tu peux même le garder, je m’en fous. Rends-moi juste le futal et je me casse

Tout en parlant, je m’étais levée. Tiffanny me prit la main. Je me retournai vers elle

— Quoi? C’est bien ce qu’on avait dit, non? On venait, je récupérais ma vie de mec et on rentrait, non?

— Calme-toi, honey C’est bien ce qu’on avait dit, mais

— Oui, et puis moi, au risque de paraître curieux, j’aimerais bien que Lydie nous raconte "les trucs vraiment incroyables".

Tiff me fit me rasseoir et Lydie entreprit alors de nous raconter son histoire.

C’est dans la peau d’Eddy qu’elle s’était réveillée à mes côtés vers six heures et demie. Il lui avait fallu quelques secondes pour se souvenir de ce qui s’était passé et se convaincre qu’elle n’avait pas rêvé.

— Je t’ai regardée, Sam, tu dormais là, juste à côté de moi, et moi, je bandais comme un taureau ! Je me souvenais de ce qu’on avait fait tous les deux, de ce moment où tout avait basculé, à cause de toi, oui, à cause de toi ! Juste parce que le mec avec qui je partageais une baise d’un soir s’était mis à rêver d’enfiler mes genouillères, mon manteau de cuir et de finir de me sauter en changeant de sexe ! J’avais envie, j’avais la gaule, ça me faisait trop drôle, tu peux pas savoir ! J’étais prête à te refaire l’amour pour te réveiller, et soudain, j’ai repensé comment on en était arrivé là, pourquoi tu m’avais réconfortée et empêchée de quitter le "Bout de la Nuit". J’ai revu cette scène, ce connard de Simon et cette grosse salope de Juliette. Ça a coupé tous mes élans et je te jure que c’est vrai, pendant une bonne demi-heure, je n’ai plus pensé qu’à ça : je voulais me venger, il fallait que je trouve quelque chose, quelque chose qui fasse qu’ils s’en souviennent pour toujours tous les deux ! Ça ne me suffisait pas de larguer Simon et de tout raconter à Henri, je voulais qu’ils en prennent vraiment plein la gueule elle et lui. Je crois que c’est à ce moment-là que j’ai commencé à penser que je pouvais tirer profit du fait d’être devenue un mec. Je me suis d’abord dit que ça me permettrait d’aller lui casser la tête et puis je me suis dit que c’était trop "petit joueur", que je pouvais faire mieux.

Voulant détendre le climat, Phil intervint alors dans la discussion :

— En plus, c’était pas forcément gagné d’avance, d’abord parce que je ne suis pas sûr que tu aies une grande habitude des bastons, et puis surtout parce que d’après ce que Sam nous a dit, ton Simon, il était plutôt du genre "Julot les gros bras" !

— C’est pas "mon" Simon Enfin, en tous cas, je gambergeais grave, croyez-moi, je n’arrêtais pas de me dire "je leur garde un chien de ma chienne à ces deux-là" ! Et petit à petit, mon plan s’est mis en place. En fait, c’est cette expression en fait qui m’a donné l’idée, "un chien de ma chienne" : j’allais les punir par où ils avaient pêché !

— Je te savais pas aussi biblique, ma vieille !

— Moi, biblique? On dirait vraiment pas qu’on travaille ensemble tous les deux, dis donc ! Mais arrête de m’interrompre tout le temps, tu veux? Je me suis d’abord dit que je n’avais qu’à profiter de la "braguette magique" comme tu dis, Sam, pour par exemple, baiser Juliette devant son mec et son amant, mais j’ai trouvé encore plus vicieux Le lendemain midi, tout était en place et le spectacle a commencé, et je l’ai eu ma vengeance ! Le soir venu, je suis retourné du côté de chez Henri et Juliette, et, grâce à un petit coup de main baladeuse bien placée, elle est sortie de chez elle pour se rendre dans un quartier chaud de Genève. Le hasard fait tellement bien les choses, (n’est-ce pas?), qu’elle s’était encore fait son look "total pouff’", avec ses bottes à bouts pointus et sa mini en cuir ! Elle est allée dans l’arrière-salle d’un restau et je l’ai suivie. Elle ne pouvait pas me reconnaître, d’abord parce qu’elle ne pouvait pas se douter que Lydie était devenue Eddy, mais aussi et surtout parce que je n’avais pas décidé qu’elle me reconnaisse. Une dizaine de personnes étaient réunies pour fêter un anniversaire. J’ai mis une pièce dans le juke-box et j’ai choisi "You can leave your hat on", mais croyez-moi tous les deux, et Sam pourra vous le confirmer, Juliette, elle n’est pas gaulée tout à fait comme Kim Basinger ! Quand la musique qu’ils avaient programmée s’est arrêtée et que la voix de Joe Cocker a empli la salle, elle est montée sur une table et elle a commencé à danser. Au bout d’à peine une minute, elle a s’est mise à passer ses mains sur ses cuisses et à retrousser petit à petit le cuir de sa jupe pour exhiber ses gros jambons; ensuite, elle a défait un bouton, puis deux, puis trois de son chemisier, et finalement, elle l’a envoyé au visage d’un des convives. Quand elle a fait pareil pour son soutif, les mecs ont commencé à se lâcher et à tendre les mains vers ses mollets. Quand Britney Spears a remplacé Joe Cocker, les gars se sont levés tout autour de la table, et se sont mis à tendre les bras vers elle, ils lui tripotaient les mollets, les cuisses, ils arrivaient même à passer de plus en plus souvent leurs paluches sous sa jupe et à lui peloter les fesses. Comme elle ne faisait rien pour les arrêter, ils y sont allés de plus belle, sauf deux couples qui se sont fait la paire. Un des garçons a sorti sa queue et a appelé Juliette; elle s’est approchée de lui, s’est agenouillée sur la table et l’a pris en bouche comme il lui demandait. Son copain à côté de lui a alors carrément mis sa main dans sa culotte et les deux filles ont baissé le futal des quatre derniers garçons. Ils étaient tous tellement excités que quand Diana Ross a entamé "Hot stuff", ils l’ont couchée sur la table et lui ont complètement enlevé sa mini-jupe. Ils étaient à six mecs et deux nanas et je vous jure que ça a été un sacré "gang-bang" ! Pendant que celui qui s’était déjà fait un peu sucer l’a pénétré comme ça, à l’arrache et sans même lui enlever complètement sa culotte, les deux qui avaient déjà leur matériel à l’air se sont mis à hauteur de son visage, chacun d’un côté. Elle a pris leur queue dans la main et les a branlés. La fille blonde qui paraissait la plus allumée est alors montée à son tour sur la table. Debout sur la table, elle a enlevé son jean patte d’eph’ et son string sans même retirer ses bottes, puis elle a posé ses genoux sur les épaules de Juliette et s’est fait bouffer la chatte comme ça. Elle a alors demandé à un des quatre garçons de la rejoindre et l’a sucé pendant que cette grosse vache continuait à lui brouter le minou. Quand le gars qui baisait Juliette a lâché sa purée en soufflant comme un phoque, la fille s’est relevée; elle a dit au mec qu’elle venait de faire monter en pression à force de le sucer de prendre la place de son copain. Puis elle s’est ravisée et lui a dit de se coucher sur le dos et de prendre Juliette dans la position du missionnaire. Et comme vous pouvez vous en douter, elle en a fait venir un autre pour la prendre par derrière en même temps. Juliette à gueulé comme une vache au moment où il a commencé à la sodomiser, puis ses cris sont devenus des encouragements, elle lui disait des trucs du genre "vas-y, mets la moi profond", "défonce-moi la rondelle", "oui, je suis ta salope à toi", baise-moi bien", etc La fille lui a alors dit qu’elle connaissait le moyen de la faire taire et un des mecs lui a fourré sa pine dans la bouche.

— Et toi, tu restais là, impassible? J’ai du mal à y croire quand même. Parce que le peu de temps où j’ai connu Eddy m’a suffi pour réaliser que c’est "un pointu" comme disent les gens d’ici !

— Au départ, je me contentais de filmer le tout, mais c’est à peu près à ce moment-là que la deuxième fille s’est approchée de moi et a proposé de me faire une "gâterie" !

— Et qu’est-ce que tu lui as dit?

— "Après tout, pourquoi pas, mais laisse-moi mon pantalon" ! J’ai baissé moi-même ma fermeture éclair en pensant que je voulais attendre que la partouze soit finie pour lui éjaculer dans la bouche Bref

— Et tout ça, c’est toi qui l’avais mis en scène si j’ose dire?

— Plus ou moins Je veux dire que tout ce que je voulais, c’est qu’elle se fasse baiser comme une chienne en chaleur par plusieurs personnes à la fois, pour qu’Henri la considère vraiment comme une salope, qu’il soit dégoûté d’elle !

— Mais il n’était pas là pour le voir?

— Lui, non, mais le caméscope numérique que j’avais acheté le matin même, si ! C’était ça aussi ma vengeance, je voulais filmer la scène et être présente quand Henri la découvrirait en même temps qu’une autre surprise !

— Quelle surprise?

— Ah, ça, c’est le prochain épisode. Mais, attends, laisse-moi boire un coup avant de continuer.

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