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Perte de contrôle – Chapitre 6




Je cru Maîtresse sur parole que cette phase de dressage dans la cave dura 5 semaines. Jai perdu le compte dès le premier soir, la lumière ne pénétrant pas dans ma cave au sous-sol. En fait le dressage commença après ces 5 semaines, après avoir été systématiquement cassé, avoir perdu tout espoir et tout contrôle, et avoir accepté, pas seulement dans ma conscience, mais dans chacune des cellules de mon corps que je Lui appartenais.

Maîtresse savait par mes confidences que personne ne sinquiéterait. La période était idéale, je venais de vendre ma dernière entreprise, je navais pas vraiment dami, était pas du tout famille, et vivait surtout pour le BDSM. Mes soumise quittées comme Elle mavait imposé de le faire, ma fille à lautre bout du monde, rien ni personne ne pouvait plus arriver.

Ces 35 journées passées dans le noir et la soumission furent terriblement douloureuses. Les médicaments mempêchaient de penser vraiment, me faisant sentir incroyablement bien. Maîtresse me les administrait deux fois par jour ainsi quune piqure quElle me faisait, sans rien mavoir dit de ce dont il sagissait. Je passais la majeure partie du temps à rêvasser doucement à ma condition desclave, attaché dans la cage dans des positions qui étaient de plus en plus inconfortables. Comme si limagination de Maitresse souvent aidée de Maître saffinait de jour en jour. Lorsque jentendais Leurs pas, cétait le bonheur de Les revoir qui métreignait, ainsi que le soulagement dêtre libéré de la position qui me torturait les muscles. Pourtant cétait à chaque fois de nouvelles souffrances qui mattendaient.

A chaque visite jétais sévèrement corrigé. Je ne comptais plus les coups, ni ne surveillais les instruments quIls utilisaient, concentré sur les souffrances qui saccumulaient de jour en jour, rendant mon corps comme une grande plaie à vif. Le plus souvent ma bouche était obturée par le bâillon gonflant quIls affectionnaient, sans doute car il était très difficile à porter, tout comme le bâillon gode senfonçant profondément dans la gorge. Je portais lun et lautre de façon presque continue : la douleur dans la mâchoire sétait peu à peu atténuée, mais lorsque jétais sans bâillon je ne pouvais plus refermer ma bouche, la sensation était fort étrange. Bâillonné donc, jétais ligoté aux anneaux fixés dans la cave, afin de pouvoir être battu recto comme verso. A chaque fois un traitement particulier avait été réservé à mes couilles.

Quelques jours après mon entrée en dressage, Maitre mavait vissé autour de la base des couilles des anneaux détirements. Les couilles étaient poussées vers le bas, et étaient fortement comprimées. Les coups de cravache ou de paddle était alors très traumatiques, ce qui narrêtait ni lUn ni lAutre, jouissant de me voir ainsi tressauter. Lécartement des couilles et de la base était agrandi chaque jour dun tour de vis, provoquant de nouvelles douleurs, une sensation de déchirement et de brûlure venant se rajouter à la douleur au fond du ventre maintenant permanente. Jétais moi-même fasciné de voir mes couilles se rallonger ainsi, elles devenaient plus longues que le souvenir que javais de mon pénis en érection. Une fois, alors que jétais ligoté au-dessus de la cage, les jambes ramenées sur les épaules, offrant toute mon anatomie à mes Propriétaires, Maîtresse samusant à Se pénétrer avec mes couilles ainsi étirées et qui formaient un pénis de bonne dimension. Ce fut une sensation incroyablement douce bien que très douloureuse, et je La sentis jouir de la souffrance quElle me procurait. Pour me punir du plaisir que javais eu malgré Elle, Maitresse me laissa dans cette position, après avoir attaché les couilles à un anneau, en tirant de toutes Ses forces pour que la tension soit pour moi insupportable. Je hurlais en vain dans mon bâillon, tandis quElle sortit en éteignant la lumière et en me laissant un temps indéfini à comprendre que tout plaisir même furtif devait se payer dune longue et profonde souffrance. Comme je La désirais. Jaurais tout fait pour Elle. Jallais tout faire pour Elle, mais plus jamais je ne pourrais La posséder, je le savais très bien.

Javais le droit de manger une fois par jour, une gamelle proche de celle de la première soirée. Cétait chaque fois un peu la surprise de ce que je pourrais trouver flottant dans Leur urine, et bien conditionné, je nhésitais plus jamais à me précipiter la tête dans la gamelle et à tout avaler. La plupart était des restes assez peu reconnaissables, parfois des morceaux demballages restaient, de plus en plus de fruits pourris, jétais certain que Maitresse les laissait pourrir exprès et je Lui en étais reconnaissant. Bien conditionné, je ne réagis pas lorsquune gamelle contint, trônant en son centre, un tampon usagé de Maitresse. Du moins je le supposais. Je me demandais si jétais censé le manger. Javais trop peur dhésiter, aussi je commençais à laper tout autour, le liquide étant déjà bien imprégné de Son déchet. Jaurais du trouver cela répugnant, mais je navais plus de jugement, jétais totalement abruti et totalement asservi déjà, et je léchais doucement le coton imbibé. Maitresse me regardait intensément, aussi je continuais sans faiblir. Ce fut difficile à avaler, il fallut le déchiqueter, mais jy arrivais malgré tout. Pour la première fois je reçu un compliment, et cela me remplis de joie. Je frétillais comme un chien et ayant reçu son autorisation, je baisais respectueusement Ses chaussures. Maitresse me permis alors de prendre le reste de la bouteille de Son urine du matin, qui me permis de me désaltérer. Jétais maintenant capable de reconnaître Maitresse de Maître à leur gout et à leur concentration différente, et je gardais ce goût en bouche, le goût de mes Maitres qui menveloppait tout le reste de la journée, plein de bonheur dêtre ainsi possédé, et de recevoir de Leur part tant de marques dintérêt. Personne ne sétait ainsi occupé de moi et cela devait être une charge bien lourde pour eux. Je voulais leur faciliter le plus possible la vie.

Pendant de longues période attaché de façon inconfortable ou simplement à 4 pattes dans cage comme un animal, Maîtresse fixait à mes oreilles un casque avec Ses paroles en boucle. Pris par la manque de nourriture, les opiacés, le manque de sommeil, cétait un mantra incroyablement fort, je La visualisais et mimprégnais de chaque ton de sa voix, chaque inflexion devenait pour moi un trésor. Son mépris pour moi me semblait chaque jour plus justifié et je ressentais une chance infinie mais fragile à ce quElle accepte ainsi de soccuper de moi, il me fallait être à la hauteur, aussi jacceptais facilement tout ce quElle mimposait, ces piqures, ces cachets dont la dose avait doublé, et toutes ces souffrances. En particulier ma chatte comme Maitre lappelait pour me convaincre que je nétais quune femelle.

Je suis resté plusieurs jours avec le premier plug 24/7, jusquà ce que mon cul shabitue à sa présence si envahissante. Je neus pas le temps de vraiment profiter du répit car déjà Maitre décida de me passer au diamètre supérieur. Malgré ma stupeur, je ne pouvais rien faire, sinon sentir Ses doigts qui mouvraient progressivement le cul. Lorsquil posa contre mes cuisses le nouvel engin, jamais je ne cru quil pourrait rentrer. Et ce fut de fait vraiment difficile, jeus limpression que mon anus était déchiré et je pleurais longuement dans mon bâillon, me concentrant pour détendre mes muscles et laisser lenvahisseur faire son travail décartèlement. Le plug percé en son centre avait un bouchon que Maitre retira. Lengin était si large que Maitre pouvait introduire tout son sexe par le trou central, sans que je ne sente rien. Maitre me dit que je serais une bonne truie et que je pourrais ainsi me faire monter par les ânes de Sa propriété. Cette sensation de sentir Maitre me pénétrer mais ne rien sentir, était très étrange, jamais je navais eu ce sentiment dêtre béant et ainsi si fragile. Naurait été la douleur, jaurais sans doute beaucoup apprécié. Cest ce jour-là que Maitresse décida de doubler les doses dopiacés, Elle voulait que je sois complètement conditionné à ma nouvelle place.

Il ny eu pas que mon cul qui fut ainsi maltraité. Sans que je comprenne bien pourquoi, mes bottines qui navaient pas quitté mes pieds depuis bien des jours, furent remplacées par dautres aux talons encore plus grands, puisquelles faisaient 15 cm de talon. Lintérêt méchappait un peu puisque je ne marchais quasiment pas, même si me tenir debout pour subir les sévices et les tortures de Maitresse et Maitre était alors très difficile et pénible. Ce nest que lorsque Maitresse menfila mes ballet boots définitives quElle mexpliqua quainsi mon pied et ma voute se transformaient progressivement pour shabituer à cette position totalement contre nature. Souffrance que javais infligée si souvent, arguant de la beauté du corps féminin qui en résultait. Mes pieds étaient vraiment douloureux, et ne pouvoir les toucher, ni même les gratter était très pénible. Je ne les reconnaissais pas dans ces ballets boots noires brillantes, et je ne savais pas marcher avec. Maitresse me promit que japprendrais à marcher avec, que je naurais pas le choix, et que je saurais même courir avec si Elle men donnait lordre. Elle avait bien sur raison. Je narrivais pas à penser ma situation, enfermé dans ma cave, mon appartement envahi par Maitresse et Maitre, et ma vie totalement disloquée par un désir sexuel finalement bien trop excessif. Souvent la nuit jaurais voulu que cela cesse, je pleurais sur moi-même, mais je me savais vaincu. Je navais aucun pouvoir, aucune force, ma puissance mabandonnait. Je sentais mes muscles samollir sans que je puisse rien ny faire, et même ma pensée était en lambeaux. En comparaison, Maitresse était chaque jour plus belle, flamboyante, supérieure, cétait très frappant. En quelques jours, quelques semaines, sa situation personnelle et professionnelle changea du tout au tout.

Bien sur Elle habitait maintenant une grande maison au cur de Paris, disposait dun compte en banque très fourni par mes années de labeur dans lequel Elle nhésitait pas à taper pour Son plaisir. Mais Son assurance, et surtout la découverte de Son pouvoir et de Son vouloir lavait transformé dans Son attitude, la rendant plus sereine, posée, forte, puissante et surtout irrésistible. Et moi je succombais totalement à Son charme. Elle avait toujours été magnifique, javais adoré Ses formes délicates, Sa peau douce et mate, Ses petites seins adorables, Son corps musclé. Maintenant cétait la panthère qui sétait révélée qui me subjuguait, cette énergie et vitalité mise à ma détruire qui mattirait. Jamais personne ne sétait occupé de moi, et là jétais servi. Je navais pas besoin du syndrome de Stockholm pour être fou amoureux.

Jétais allongé sur le ventre au-dessus de la cage, les croisillons rentraient dans la peau de mes cuisses, mon ventre étant protégé par le corset que Maitresse mavait changé pour la seconde fois. Le dressage nétait pas encore terminé et javais déjà perdu les 10 centimètres imposés, plus par perte de poids que par contrainte, même si mon dos était réduit en miette par la tension permanente. Dans cette position, mes couilles étaient étirées vers le plafond par une corde coulissant dans un anneau. La tension était très forte et la peau me brûlait, jétais ainsi au moins depuis une douzaine dheures. Mes tétons passaient au travers des mailles de la cage, pincés par des pinces crocodiles, elles même attachées aux pieds de la cage. Jétais étiré par les bras attachés dans le dos et au plafond, les couilles à ce même plafond, et les tétons ramenés au sol, je trouvais à peine mon souffle dans le bâillon très durement gonflé.

Il y eut beaucoup de bruits dans les couloirs du sous-sol, Maitresse ouvrit la porte, la lumière méblouit. Elle posa une coupelle près de ma tête et je Lentendis dire que cétait 5 euros la pipe, quils pouvaient se lâcher soit dans ma bouche, soit sur mon visage, et que cétait 5 minutes maximum. Je compris que dans cette position difficile, jallais être mis à labattage par ma bouche de truie. Le premier que je vis était un grand black, assez âgé, qui sapprocha après que Maitresse meut dégonflé le bâillon. Ma bouche restait grande ouverte, sans doute stupidement, mais jétais incapable de la refermer. Sa queue était molle mais déjà dune taille considérable. Il lintroduisit dans ma bouche baveuse, et je me mis à le sucer avec application. Cétait la première queue autre que celle de Maitre que je suçais, et je mimaginais la Sienne. Malgré louverture de ma bouche, jeus du mal à le lécher tant il devint gros. Heureusement il lâcha rapidement son foutre que je gardais dans la bouche pour montrer à Maitresse. Celle-ci me flatta le flanc comme à un chien, me disant que cétait bien et que je devais avaler. Il demanda sil pouvait pisser sur la salope, mais Maitresse refusa, moins pour me protéger mais pour que les autres aient envie de baiser ma bouche. Je les vis alors alignés, avec leur queue prête à me décharger dessus ou dedans, jallais prendre plus de queue en une seule fois quune salope dans toute sa vie. Jétais sans réaction, totalement annihilé, cela ne me semblait pas juste, mais au contraire très avilissant, dégradant. Je me demandais si Maitresse voudrait encore de moi après cela, si je ne La dégouterais pas définitivement. Mais déjà le second approchait, et je perdis rapidement le compte, tant ils allèrent vite. Je nouvrais plus les yeux englués du sperme qui séchait, ma bouche restait à disposition, ma langue toujours en mouvement pour lécher et aspirer leur désir.

Quand le dernier eut fini, Maitresse leur donna lautorisation de se soulager sur moi, avec obligation pour moi de boire tout ce que je pourrais avaler. Ils samusèrent à viser ma bouche, et moi à me désaltérer sous ces jets chauds et puissants qui finirent de me faire sentir comme un moins que rien. Les flashs crépitaient, je navais plus aucune intimité, ni aucune existence. Le noir se refit, me laissant dans la même position, mais la bouche vide cette fois-ci. Maitresse revint quelques heures plus tard, me disant quElle avait été très contente de mon comportement, et que je Lavais prodigieusement excitée. Ils avaient fait lamour avec Maitre longuement après le départ des ouvriers, et Elle me dit que les cinq semaines de mise en condition étaient maintenant passées et quil était temps que je sois éduqué à Son service et que je continue à subir les transformations quElle rêvait pour moi. Je me sentais aux anges, quel bonheur de lentendre ainsi. Maitresse mavoua que cela Lui manquait mes cris de douleur, quElle adorait se masturber en me voyant me tordre de douleur, et quElle me voulait ainsi à Ses côtés. Il était de me sortir de mon cachot qui avait détruit toute ma volonté, je nétais plus quun petit toutou aux pieds de Maitresse, sans plus aucun libre arbitre.

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