Ma femme est forte, mais c’est une bombe 5
Résumé: Après notre rencontre, Zoé et moi n’avons pas tardé à succomber à la passion des sens. Elle m’a reçu dans son logis et m’a offert une fabuleuse jouissance entre ses seins et sur elle avant de me dévoiler sa collection de jouets. Une longue douche s’impose après ce premier round.
Encore un peu sonné, je rejoins Zoé dans sa vaste douche. Elle se tient devant moi, nue, incarnation vivante de la volupté. Nos regards sont verrouillés l’un à l’autre, et les sentiments que nous ressentons l’un pour l’autre se reflètent dans nos yeux. Cet échange dure un long moment et est porteur d’avenir entre nous. Elle me tend finalement la main et me tire vers elle. Nous nous serrons l’un contre l’autre et échangeons un long baiser sensuel. Je sens qu’elle s’agite contre moi et je m’apprête à lui demander ce qu’elle fabrique dans mon dos quand le jet d’eau se met en marche, m’apportant la réponse. Elle s’interrompt quelques instants et me susurre qu’elle a toujours eu envie d’un long baiser sous la pluie avec toutes les scènes cultes vues au cinéma.
Je lui souris et lui confie que j’ai dû voir les mêmes scènes !
Nous nous embrassons encore un peu en mode tendresse et puis stoppons le jet d’eau pour nous savonner mutuellement.
C’est un jeu sensuel que nous faisons durer, chacun parcourt le corps de l’autre avec ses mains pleines de savon et en profite pour caresser, taquiner certaines parties du corps aimé de l’autre.
Elle m’attrape les bourses et glisse ses doigts plus bas, me taquinant rapidement les fesses avec un sourire lubrique pendant que je tire ses pointes de seins entre mes doigts jusqu’à les faire rougir.
Enfin, une fois tout couvert de bulles, elle règle le jet sur pulsé et me rince partout en prenant bien son temps pour me regarder. C’est ensuite à mon tour et, comme elle, je m’amuse a bien insister sur son entrejambe et ses fesses. Ses réactions me font penser à certaines choses et son petit sourire m’indique qu’elle a bien saisi à quoi je pensais.
On sort ensuite de la douche, et on se sèche mutuellement avec des serviettes chaudes et bien épaisses.
On s’allonge sur le lit, l’un enserrant l’autre et on se câline tendrement, nous avons tout le temps pour nous et voulons savourer ces moments si forts. Enfin, je reprends la parole entre deux petits câlins.
Ma petite Zoé n’a-t-elle pas parlé d’un porno il y a un moment ?
Il me semble que j’ai évoqué cette idée maintenant que tu m’en parles. J’ai une bonne collection.
Super. Je te laisse choisir.
Elle se lèvre et va brancher un disque dur à son grand écran juste en face du lit, m’offrant la vue de son postérieur enrobé si érotique
Je sais que tu me mates mon salaud.
Hé mon petit doigt me dit que cela te plaît.
J’avoue. Et puis plus timide. – Mon cul te plaît vraiment ?
Elle s’est retournée pour revenir vers moi une fois les branchements faits et sa petite moue est adorable.
Oui vraiment ; tu es très excitante et il me fait envie.
Envie de quoi mon chéri ?
Caresse, mordiller, taquiner, peloter, embrasser, câliner…
C’est tout ? Son air coquin libère ma parole.
Oh, non. J’ai aussi envie de té léchouiller, taquiner ton petit cul avec ma langue avant de te sodomiser.
Voyez-vous cela, tu veux me prendre par-derrière. Monsieur voudrait sodomiser Madame.
Seulement si Madame le désire.
Elle revient se blottir contre moi et me murmure à l’oreille.
Tu serais le premier mon chéri, car en dehors de mon petit gode, jamais personne ne m’a prise par-derrière.
Ce doux aveu me fait redresser la tête, euh pardon le gland.
Elle me sourit en voyant ma queue reprendre de la vigueur.
Et avec toi j’ai très envie d’essayer. Mais d’abord, on va se mater un bon gros porno mon petit vicieux.
C"est quoi comme histoire ?
Surprise surprise.
OK, alors je savoure avec toi.
Allongé sur le dos, la tête sur un gros oreiller, mon bras gauche autour de son cou, un sein posé sur ma poitrine, sa jambe gauche en travers de ma cuisse, une légère humidité contre ma peau me renseigne sur son état et mon sexe à demi bandé la renseigne sur le mien.
Le film commence et même si le scénario est assez mince, il y en a un. Une jeune femme accepte un premier emploi et découvre la face cachée de l’entreprise avec ses turpitudes sexuelles. Au fil de l’histoire et alors qu’elle s’est prise de passion pour le chef d’un autre service, avec qui elle ne cesse de se disputer avant de finalement se retrouver coincés tous deux dans la même chambre d’hôtel ou ils finiront pas se séduire et mettre en pratique tout ce qu’elle aura vu ou appris auparavant.
Le film est, je l’avoue assez prenant, les acteurs pas trop mauvais lors de leurs scènes non sexuelles et les scènes de sexe bien filmées. Les participantes (ben oui je suis un homme !) sont très jolies et ont des regards plein de vice. La scène saphique entre notre héroïne et une employée d’hôtel est sexy à souhait et la scène finale entre les deux ex-concurrents est franchement réussie.
Mais ce qui est surtout réussi c’est la montée de l’excitation entre nous. Car vous vous doutez bien que nous ne sommes pas restés insensibles ! Caresses, frottements lascifs, baisers appuyés, sa main est venue en coupe sous mes burnes, visiblement elle adore sentir mes soubresauts quand elle me dépose un bisou ou taquine mes tétons de ses dents. Ma main gauche est venue se poser son son sein et je taquine doucement la pointe bien érigée. Ma cuisse est bien humide de sa cyprine qui coule de sa petite chatte collée dessus.
De temps à autre, je plonge mes doigts dans son intimité, la caresse un peu puis lèche mes doigts ou les lui fais lécher,
Hmm c’est bon.
Tu dégustes souvent ta mouille ma chérie. ?
Oh, oui, j’adore ça. Très rapidement quand je me caressais j’ai commencé à savourer ma propre liqueur et là, quand c’est toi qui me sers… Oh putain, je t’aime mon petit vicieux.
Allez on se reconcentre.
Le jeu est évidemment de rester concentré sur le film, mais c’est difficile, car elle aussi de temps en temps s’amuse à griffer mon gland avec l’ongle de son index et m’adresse à chaque fois un sourire plein de promesses
Nous échangeons de longs baisers enfiévrés et évidemment ma queue est maintenant bien tendue et sa chatte totalement mouillée. Pourquoi ne pas avoir joué les scènes en direct ? Nous avons le temps, sommes des spectateurs respectueux de l’uvre. Et surtout c’est excitant de se retenir, de s’exciter mutuellement, de faire monter la tension.
Le film fini, je lui certifie qu’il était très bien et elle me confirme qu’elle s’est souvent touchée sur les différentes scènes.
Toutes ?
Oui, j’ai fantasmé sur toutes les scènes…
Et devant mon air gourmand, elle rajoute : – Ça t’ouvre des perspectives, j’imagine ?
Une scène lesbienne, une scène à trois, des consignes de masturbation, du naturisme, de la soumission… quel mec ne s’exciterait pas quand tu lui avoues "ingénument" que tout te fait mouiller ?
A propos de mouiller, goûte-moi ça fait-elle en me tendant ses doigts humides de son excitation.
Je la regarde dans les yeux pendant que je suce ses doigts, tous les deux pensant à la même scène ou l’héroïne prend son concurrent au gode ceinture.
Oh, putain je t’adore mon salaud !
Et de badigeonner le visage de sa mouille avant de me donner de grands coups de langue pour me déguster.
On reprend notre souffle après cet interlude d’une obscénité rare, encore haletants.
Alors quelle scène tu veux rejouer ma Zoé ?
Elle reprend la télécommande et reviens à la scène ou l’actrice principale se fait initier à la sodomie et me fixe d’un regard lourd de sens.
Hmm, bien choisi, je vais essayer de me montrer digne de ton choix…
Elle se met à quatre pattes, m’offrant son postérieur qui, bien qu’enrobé est ferme et surtout très attirant.
Face à l’écran et au film qui défile, elle se mord les lèvres, vivant déjà par anticipation ce qui va suivre et laissant le dialogue aux acteurs.
Je la caresse doucement savourant la vision de son fessier offert, elle suit les directives du film et s’écarte les fesses, m’offrant toute son intimité la plus secrète et je vais lui faire une feuille de rose délicieuse pour elle et pour moi tant son excitation est palpable, je l’écarte afin que, comme l’actrice elle puisse se caresser tout son soûl.
Hmmm vas-y prends moi…
Elle connaît les paroles par cur et je me place derrière elle, regardant le film et elle, posant mon gland durci contre sa rosette qui palpite. J’entre lentement en elle, tout comme l’autre à l’écran, voir son petit trou s’écarter, voir celui de l’actrice s’ouvrir. Entendre l’actrice gémir, entendre les gémissements de Zoé…
J’entre doucement en elle, je sens ses soubresauts, sa tension, la laisse doucement s’habituer à mon calibre qui est quand même bien plus large que son petit gode et quand je la sens détendue, commence un petit va-et-vient doux et régulier.
Ensuite ?
Ensuite, le film et la réalité commencent à diverger, les soupirs de Zoé couvrent ceux de l’actrice, mon rythme diffère aussi,, mon bas-ventre claque contre ses fesses, et on commence à adapter notre texte
Hmmm, continue ça me chauffe, c’est de plus en plus bon.
Bon sang que t’es belle offerte, touche-toi bien ma chérie.
Je ne regarde plus que vaguement l’écran, focalisé sur ses somptueuses fesses qui viennent désormais à ma rencontre quand j’avance mon bassin
Oh, putain tu me remplis mon salaud, j’i, j’ima… J’imaginais pas ça… aussi… aussi intense.
Ton petit cul est chaud, tu me serres la queue, c’est dingue.
J’adoore, j’adoooore.
Branle-toi,
Ta chérie se branle, ta Zoé, se touche pendant que tu la prends.;
Je te prends comment ?
Par… Par derrière, tu me sodo… tu me sodomises et c’est boon.
Bon, sang tu bouges tu m’excites ma chérie, si chienne.
Redis-le-moi, redis-le-moi.
Si là je n’ai pas compris qu’elle adore les mots, c’est que je suis bouché !
je te défonce ton petit cul ma chérie, je t’encule.
Encule-moi fort !
Elle se lâche complètement et je fais sortir ma queue tendue à bloc de toute sa longueur avant de la reprendre totalement
Oh, oui, oh oui, c’est boon, c’est boon.
C’est bon… de quoi ?
C’est bon de se faire enculer, oh putain c’est bon.
J’augmente le rythme, j’ai l’impression de chauffer de partout, je vois la sueur couler sur son dos, la rosée couvrir son corps
Bouge ma chérie je vais pas tarder.
oh, oui, j’adore, je vais jouir là… lâche-toi mon salaud !
Prends tout dans ton cul, petite chienne, fais je en jouissant dans un cri puissant.
Elle se tétanise et part dans un long cri sourd, étouffé, car elle mord l’oreiller pour ne pas hurler tant c’est intense/
Je me sens me vider dans son petit trou, me sens aspiré
Elle s’écroule à plat ventre et je suis son mouvement en me déportant vaguement, ma queue toujours fichée en elle
On souffle tous les deux et comme je bouge un peu, elle lâche : Non, reste, reste en moi,
Je lui mords légèrement la nuque comme un lion sur sa lionne, comme un homme amoureux qui marque son territoire
Doucement je sens mon sexe dégonfler, et finalement je m’affale contre elle, on se regarde, on se sourit et elle me dit
Il y a encore plein d’autres scènes…
A suivre…