Putain ! Ils me font tous chier ! s’écrie François dans sa grande chambre de l’Elysée , en consultant les journaux du soir qui font des gorges chaudes de ses déboires avec Valérie ..
23 h 00 , un dernier regard distrait sur les sondages qui n’en finissent pas de chuter…
Ah les cons, ils ont pourtant voté pour moi !!!
Je n’ai pas sommeil ! Ça me fait pourtant des sacrées journées …lever à 5 h et visites , serrage de mains , dépôts de gerbe, réunions politiques ! Il faut être partout et on remarque toujours là où je suis pas ! Pas fatigué , le pouvoir est un puissant stimulant et aphrodisiaque !
Et l’esprit divague …allongé tout habillé sur son lit de monarque , il ferme les yeux ….
Ah Julie comme tu étais belle mardi dernier , invitée par mes amis du showbiz, ils t’avaient mis à côté de moi à table, j’étais très intimidé , et tu ne me quittais pas des yeux .
Un président a t’il le droit de cuissage sur tous ses sujets ? Quelle question inattendue tu m’as glissé dans l’oreille en partant ! Et griffonnés sur une feuille un numéro de téléphone et une adresse que tu as habilement déposé dans ma poche .
Comment puis je lui plaire ? Elle , à la fleur de l’âge, si élégante , pétillante , des yeux de braise , un corps mince et souple presque félin …et moi 60 ans passés petit , dégarni , bedonnant …
Et puis merde !!
Lucien ! Lucien où est il fourré l’animal ?
Lucien c’est son petit fainéant de neveu , 16 ans , confié à son tonton pour les vacances scolaires et pour lui faire un avenir !
Oui ! Tonton qu’est ce qui arrive ? Un attentat ? Des islamistes ? La révolution ?
Non petit con ! Pas encore ! Donnes moi les clefs de ton scooter !
Quoi ?
Les clefs de ton scooter !
Mais ….
Je te rappelle que c’est moi qui l’ai payé ! Et j’en ai besoin juste pour ce soir !
Bon d’accord ! Mais tes gardes tu leur diras quoi ?
Avec ton casque et un jeans , ils me prendront pour toi !
Donnes vite les clefs !
Ok ok les voilà , mais moi j’ai rien vu !
Vas te coucher et voilà 100 pour ton silence .
La nuit les couloirs du palais sont étrangement silencieux …et ce ne sont pas les tennis qu’il a chaussés qui risquent de le faire remarquer ! Dans la cour de derrière le scooter est garé près du mur, François enfile son casque , démarre , et passe en trombe devant le planton ensommeillé .
Ah ! Quelle sensation de liberté de rouler dans les rues de Paris la nuit …redevenir monsieur "tout le monde"
30 minutes plus tard il arrive rue du cirque , ca s’invente pas , et le spectacle peut commencer !
La rue est déserte , il appuie sur l’interphone de l’immeuble .
C’est moi .
2eme étage porte gauche crache le haut parleur nasillard !
Il gravit les marches d’un pas rapide et le voilà le doigt sur la sonnette …
La porte s’ouvre sur un salon sobre décoré avec goût , une douce lumière nimbe l’atmosphère de la pièce et le déshabillé de Julie .
-Quelle chance ! Mon Président vient m’honorer de sa visite !
Pour t’honorer , je vais t’honorer ma petite salope ! pense François !
-Après tu ne diras pas que j’ignore les intermittents du spectacle !
-Excusez moi François , vous permettez que je vous appelle François ?
-Mais bien sûr mon amie ! Et tu peux même me tutoyer dis je en riant et découvrant mes dents jaunes d’ancien fumeur !
-En fait j’allais me coucher, je termine le tournage du film de Tavernier et je suis épuisée !
-Tu m’offres un verre Julie ?
-Bien sûr j’ai du martini ça te va ?
-Parfait !
-On the rock ! Dit elle en posant le verre sur la table basse .
-Viens t’asseoir près de moi et racontes moi ta vie !
-Ma vie ! Oulala ! C’est compliqué ! Je suis en plein dans la politique en ce moment , le film c’est "quai d’Orsay " pour te dire !
-Tu aimes le pouvoir ?
-J’adore !! Dit elle en se rapprochant ..
-Franchement je te plais ?
— Oui j’aime tout de toi , même ton côté maladroit décalé , tu as un charme fou …et je suis sur que tu es un bon amant !
François est cramoisi , une grosse erection déforme son pantalon et ses mains tremblent , il se jette sur Julie renversant la table basse , le martini …ses lunettes sont portées disparues et c’est à tâtons qu’il déshabille la groupie .
Heureusement pas de sous vêtements sous le déshabillé , et ses beaux seins blancs libérées de leur emballage de soie sont vite happés par la bouche présidentielle .
-Ah Julie ah Julie que tu es charmante !
-Même tes discours intimes sont chiants ! Tu le fais exprès ?
Tu as pourtant de beaux arguments …dit elle en baissant son pantalon , découvrant un sexe tendu de belle dimension .
— Suces moi ! J’en rêve depuis que j’ai vu tes lèvres !
Pas de problème Président ! J’ai rarement été recalée à l’oral pour mes examens !
Et Julie prend le membre et ses parties tour à tour dans sa bouche experte , jouant avec sa langue la plus vivante possible .
Pendant ce temps François explore l’arrière train de sa partenaire , mettant ses doigts partout , comme un enfant turbulent qu’il n’a jamais été .
Soudain elle se redresse …
— Prends moi !
Après avoir bien mis son nez dans son minou et humecté tous les orifices à sa portée ..
— vPrépares toi à la saillie présidentielle !
— Arrêtes tes conneries ! Viens ! Hurle t elle !
Le voilà entre ces jambes écartées , cette fente béante offerte ….
Ça vaut quand même le coup d’être Président se dit il en pénétrant brutalement sa nouvelle conquête !
Mais c’est pas vrai ! Tu te trompes de trou ! Tu es vraiment con ! Tu m’as défoncé mon petit trou !
Excuses moi ! Bredouilles François en rectifiant son tir .
Après quelques va et viens , il lève la tête , les yeux exorbités les joues gonflées , et pousse un cri rauque en déversant des flots de sperme accumulés depuis de nombreuses semaines de privation.
Il reste affalé sur le ventre de Julie, un sein dans une main ,comme un bébé rassasié après la tétée .
Celle ci lui caresse les cheveux tendrement .
C’est pas grave mon matou, tu me baiseras mieux la prochaine fois ..
