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Belle fille(s) – Chapitre 7




Belle fille 7

Laetitia, que j’ai sodomisée il y a peu, est montée faire sa toilette intime et se changer, nous laissant seuls, Aurélie mon amour et moi.

Je demande à ma jeune amante :

« Dis-moi Aurélie, pourquoi me pousses-tu dans les bras de ta soeur, tu sais que tu peux me demander tout ce que tu veux, je marcherais dans le feu si tu me le demandais, mais j’aimerais bien savoir quand même ! »

« Pour plusieurs raisons. D’abord c’est un marché avec elle, elle va nous laisser seuls au moins jusqu’à demain soir, pour repartir ensuite. Mais surtout, il faut que tu saches que depuis que nous sommes petites, nous rêvons de toi, tu connais notre complicité, et bien depuis longtemps nous partageons, ma sur et moi, l’envie d’être dans tes bras ! »

« Je Je ne comprends pas ! »

« Et bien, on te regardait, on faisait des commentaires sur ton corps. On te détaillait, surtout quand tu étais en slip.

On jouait aussi à faire semblant’ ! Laetitia me serrait dans ses bras comme tu l’aurais fait, ou bien, elle me donnait la fessée comme si c’était toi. Et on changeait les rôles la fois suivante. »

« Mais Moi, c’est toi que j’aime ! Je ne veux pas être partagé entre vous deux ! Déjà que je ne sais pas comment agir avec votre mère ! »

« Ne t’inquiètes pas ! Rêvons ensemble et vivons l’instant présent ! »

C’est ma mignonne qui me donne une leçon de philosophie. J’en reste bouche bée et admet en l’enserrant contre moi. Comme nous sommes encore nus tous les deux, le contact direct de nos peaux se révèle extrêmement agréable et nous en jouons en nous effleurant.

Laetitia nous rejoint, avant de nous quitter, elle nous dépose une bise sur les lèvres et dit :

« Je vous laisse les amoureux ! Et toi, Papou, c’est quand tu veux  »

Pour la réprimander, je lui donne une petite claque sur la fesse qui la fait minauder avant de s’en aller.

Après tous ces ébats, j’ai besoin de me rafraîchir. Aurélie et moi décidons de prendre une douche ensemble. Quand je lui dit, qu’auparavant, je dois faire pipi, elle me prie d’attendre et de la rejoindre dans la cabine où l’eau coule déjà .Ce qui me donne encore plus envie. Je vais devoir me retenir le plus possible!

Aurélie dévie le jet d’eau et me savonne le torse avec tendresse. Quand elle arrive à mon bas ventre, je lui signale que je suis sensible de cet endroit en serrant les cuisses.

« Si tu dois faire pipi, vas-y, libère-toi ! »

Elle tient mon sexe pointé vers son ventre. Je la dévisage, totalement déconcerté.

« Mais ! Je ne vais pas faire ça ici ! »

Elle appuie sa main sur mon pubis, tout en me décalottant le gland. Elle m’implore presque :

« Vas-y, fais-le pour moi ! »

Très intimidé, je me force et un petit jet d’urine sort de mon méat. Elle semble satisfaite et me dit :

« Aller, encore ! »

Je libère ma miction sur son ventre tout d’abord, puis elle dirige ma lance pour s’éclabousser la poitrine, les jambes, se baisse pour s’arroser le visage, elle ouvre même la bouche.

Je ne me contrôle plus du tout, j’ai l’impression de pisser des litres dont elle prend une douche.

Jamais je n’aurais pensé faire ça un jour. J’avais vu un film porno sur ce thème et ça m’avait dérangé. Je n’avais pas regardé la suite, un peu écoeuré. Là, je viens de faire une chose incroyable, si nouvelle pour moi que j’en éprouve de l’émoi.

Tandis que ma chérie se rince, elle ne lâche pas mon sexe qui prend vigueur.

Elles vont m’essorer, mes (belles) filles !

Faire l’amour sous la douche n’est pas aisé, eu égard à l’exiguïté du lieu, aussi sort-elle de la cabine et m’attend ruisselante, cambrée, accoudée face à une vasque et me fixant dans le miroir. Aucun préliminaire, je suis en elle pour calmer son impatience. Si au début, elle me regarde dans le reflet, elle finit par poser sa joue sur ses coudes croisés et me laisse l’aimer.

Nous ne cherchons pas l’orgasme, juste une union passagère, mais pleine de charme.

Un peu plus tard, une fois tous deux habillés, nous allons nous câliner dans le canapé. Je lui pose la question qui me trotte dans la tête :

« Ma chérie, pourquoi as-tu voulu que je fasse ça, tout à l’heure ? »

« Quoi, le pipi ? C’est amusant non ? Tu as déjà fait ça ? Avec Laetitia, on l’a fait souvent dans la baignoire, face à face, et il n’y a pas si longtemps que ça d’ailleurs! »

« Tu ne trouves pas ça dégoûtant ? »

« Non ! C’est érotique au possible ! Et puis on se rince tout de suite Tu voudrais essayer avec moi? »

« Je Je ne sais pas  »

Je réalise combien je suis pris au piège de mon éducation, des règles, de la morale. Toutes ces valeurs, je les balaie chaque jour, alors pourquoi ne pas me laisser guider par cette jeunesse qui coule à nouveau dans mes veines. Remettre à zéro mes préjugés et profiter intensément de la vie, voilà ce que je désire au fond.

L’amour que j’éprouve pour ma jolie blonde est si intense, que je me sens revivre et tout accepter d’elle !

Ce que je lui avoue 

Elle réplique :

« Oh mon amour, comme ça me fait plaisir ce que tu dis-là ! Tu concrétises mes rêves, tu es mon homme, mon protecteur, mon amant, mon chéri, mon fiancé, mon  »

« Je suis marié ma chérie, et Avec ta mère de surcroît. Mais, je peux te le jurer, c’est toi que j’aime ! »

Nous nous serrons l’un contre l’autre et je lui résume la conversation que j’ai eue avec Brigitte. De toutes les péripéties de sa tante et l’informe qu’ils vont sortir ce soir, avec Maxime, son cousin. Elle se renfrogne et murmure un Mouais, quel connard celui-là !’.

Je n’insiste pas et préfère la serrer tendrement dans mes bras.

Alors que nous pourrions batifoler, nous préférons sortir cet après-midi. Je la tiens enlacée en marchant dans les rues piétonnes de la ville. A cette occasion, nous croisons une de ses amies et elle me présente comme son copain’. La fille me dévisage et s’indigne presque de notre différence d’âge. Je remarque, toutefois, briller ses yeux d’envie, voire de jalousie envers ma fille.

Après l’achat de nombreux articles plus sexy les uns des autres, nous nous attablons à une terrasse, côte à côte, main dans la main, à regarder passer les gens, tout en faisant des commentaires imbéciles qui nous amusent.

Puis, nous allons faire des courses, comme un couple ordinaire. Je ne peux m’empêcher de lui glisser la main sous la jupe quand elle se penche pour poser un sac dans le coffre de la voiture. Elle me laisse agir et semble même satisfaite que je fasse cela en public, en outre sur le parking du supermarché.

Elle me propose de nous arrêter quelque part sur le chemin du retour, mais il faut y renoncer compte tenu des produits frais que nous venons d’acheter.

Une fois, les achats rangés, elle se retourne vers moi et je l’enlace pour un long baiser. Je la soulève du sol pour la poser sur la table de la cuisine. Sa culotte à peine enlevée, je plonge ma bouche en quête de son bouton et me mets à le sucer avec ardeur. Je glisse ma main pour la pénétrer d’un doigt et de l’autre main cherche son sein pour le palper.

J’adore lui faire une fellation de son clitoris bien dur. J’y roule ma langue dardée et, peu de temps après, elle m’abjure d’arrêter, que c’est trop fort !

Je n’écoute pas et poursuis mes actions conjuguées de mains et de langue. Quand elle jouit, elle me broie presque la tête entre ses cuisses serrées et tressaute sur la table de plaisir.

« Oh mon amour, comme tu t’y prends bien ! Mieux que Laetitia, même !»

Je suis flatté par ses paroles, car avec mon épouse, ça ne lui fait pas le même effet.

Après le dîner, nous montons dans ma chambre. Elle me propose alors de m’allonger nu sur le lit et me demande de l’attendre. Quelques minutes plus tard, elle revient avec des bouts de corde et me dit qu’elle souhaite m’attacher aux pieds du lit. Je trouve la situation excitante et me mets à bander quand elle me lie les poignets, bras écartés. Je reste allongé en croix tandis qu’elle repart. Mon érection retombe et je commence à trouver que ça dure un peu trop.

A son retour, je ne regrette pas qu’elle ait pris son temps.

C’est une femme très maquillée, vêtue de sous-vêtements ultra sexy, elle a des souliers à talons hauts qui la grandissent de dix centimètres au moins. Elle s’approche de moi en roulant des fesses, très provocatrice. Elle est encore plus charmante, si c’est possible.

Elle se penche, m’embrasse et me souffle à l’oreille :

« J’ai une surprise pour toi. Tu vas te laisser faire ! »

Sa main glisse sur mon torse, effleure mon membre et caresse l’intérieur de ma cuisse, pour revenir frôler mes testicules avant de plonger sur mon illet, qu’elle taquine du bout du doigt.

Elle se relève, s’assied au plus près et se badigeonne le doigt de lubrifiant.

« Ce soir, c’est moi qui vais te prendre ! »

« Mais enfin, Aurélie, que vas-tu faire ? »

« Tu aimes ça, ne me mens pas ! Je m’en suis rendue compte, tu sais !»

Joignant le geste à la parole, son doigt me pénètre, écarte mon sphincter et m’envahit.

Mon érection revient et, quand ma chérie va et vient, c’est un barreau d’acier que j’ai entre les jambes. C’est vrai que j’aime cette caresse si spéciale. Je me soulève les fesses au maximum pour mieux la ressentir Elle introduit un deuxième doigt et ça me fait mal. Maintenant, avec plus de lubrifiant, je me laisse prendre totalement.

Elle va très profond puis ressort ses doigts en les tournant et les écartant.

De l’autre main, elle me saisit la verge qu’elle porte à sa bouche. Désormais, elle me sodomise sans retenue et me suce avec passion.

« Oh ma chérie, c’est trop bon, arrête-toi et viens sur moi ! »

« Alors tu les aimes mes doigts dans ton petit cul ? Tu aimes que je t’encule ? »

Elle est grossière, mais ça m’excite encore plus, un verrou supplémentaire de ma moralité est en train de sauter !

Elle prend une position adéquate pour aller et venir à un rythme et amplitude croissants. Elle me gobe tout en s’activant et je finis par éclater dans sa bouche. Elle se relève et vient m’embrasser de sa langue chargée de ma semence. Elle repousse le tout dans ma bouche et se redresse pour me regarder déglutir mon jus chaud.

« Ça t’a plu on dirait ! »

« Tu sais, c’est nouveau pour moi, je n’en ai jamais éprouvé le besoin auparavant. Pourquoi veux-tu cela de moi ? Boire du sperme, me sodomiser, tu veux que je sois gay ?  ».  

« Oh non ! Ce que je souhaite, c’est que tu oses, ou plutôt, que nous osions faire des choses inhabituelles. Tu ne fais pas ça avec maman, pas vrai ? »

« Euh Non, c’est vrai. Et puis J’accepterai tout de toi, mon amour ! »

Décidément, je me découvre d’heure en heure avec ma jeune maîtresse. Je n’éprouve aucun remord, ni scrupule, à être éduqué sexuellement, par celle que j’ai éduquée si paternellement.

Que va-t-elle encore inventer ?

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