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Comment j'ai pu sauter Surloca Zillon – Chapitre 2




Rocky se retire de son vagin, puis la remet debout : « Penche-toi en avant, et écarte tes cuisses ! Je veux voir comment est ton cul ! »

Rocky et Manu se penchent, puis lui écartent les fesses : « Voyons comment est le petit trou de Surloca… Ils voient un cratère de teinte violacée avec une petite fente au milieu :

« Bon à enculer, ça ! » dit Rocky, en passant son index sur les bords du cratère. Puis, se tournant vers Manu :

« On va la préparer un peu ! » Il se lève et va chercher le petit sac amené avec lui. Il en sort un vibromasseur de bonne taille, et le tend à Manu :

« Tu lui fourres ça dans la chatte, aussi loin que tu peux et tu mets les vibrations à fond ! Et en même temps tu lui excites son clitoris ! J’ai peut-être une grosse bite, mais elle a un gros clito aussi, la cochonne ! Moi, je vais m’occuper de son cul ! »

Il prend en main un autre vibromasseur de plus petit calibre. Surloca patiente, tandis que des gouttes de cyprine sourdent de sa vulve. Puis Manu met son vibro à la puissance maxi avant de l’enfoncer dans le vagin de Surloca qui, assez vite, ressent les prémices de l’excitation.

En même temps, Rocky lui écarte les fesses et posant la pointe de sa langue sur le cratère anal, se met à le léchouiller.

Puis, il lui enfonce un doigt, puis deux dans son petit trou. Au bout d’un moment, il retire ses doigts et lui enfonce le vibromasseur dans le cul. Elle se crispe un peu en sentant ces vibrations envahir son anus. Puis les gémissements montent, puis les cris. Bruyante, la Surloca ! Ce qui a le don de les exciter un peu plus ! Manu tourne le vibromasseur dans son vagin tout en roulant le clitoris entre le bout de ses doigts.

« Putain ! Rocky ! Ce qu’elle mouille ! La salope ! » le sergent s’excite et Rocky décide :

« Bon, on va la prendre avec nos bites ! Toi, son cul et moi, son vagin ! Et debout, en plus ! »

Rocky la prend par le haut des cuisses et la soulève c’est qu’il est baraqué, le mec !- et l’empale sur sa bite. Puis Manu passe derrière elle, parvient à lui enfiler sa bite dans le cul et aide Rocky à la soutenir, en lui passant ses mains sous les aisselles. Elle ne touche pratiquement pas terre.

« On y va ? T’es prêt ? » demande le lieutenant. Il donne le premier coup de bite dans le vagin. Puis le sergent l’imite. Surloca grimace en sentant cette queue lui forer littéralement le cul. L’attelage ainsi formé est délicat à maintenir et dans les faits Rocky, qui a littéralement empalé la fille à l’avantage du ramonage, alors que Manu doit l’enculer avec parcimonie. Mais ainsi, elle a plutôt l’air d’un pantin de chair embroché par ses deux orifices.

Elle se met à gémir, d’abord doucement, puis de plus en plus fort, au fur et à mesure que le ramonage, parfois alterné, se poursuit et même s’amplifie. A un moment, le sergent parvient à se saisir du gros vibromasseur, et soulage sa position, un peu inconfortable, en fourrant l’anus de Surloca avec celui-ci. Elle pousse un cri, mais son cul déjà ouvert par sa queue, accueille le vibro sans trop de difficultés. Du coup ça permet à Rocky de pouvoir la ramoner plus fort, Manu se contentant de maintenir le vibro, au maximum de sa vitesse dans l’anus de la demoiselle.

Totalement empalée, le corps secoué par les puissants coups de bite du lieutenant, Surloca gémit, couine, sans retenue. Ses trous sont littéralement ravagés :

« Putain ! Chienne ! Tu vas jouir, ma salope ! Mais tu vas jouir !! » Le lieutenant ne peut plus se retenir ; il largue son foutre dans le vagin de Surloca qui maintenant crie comme une possédée. Excédé de ne pas parvenir à la faire jouir, il la repose sur le sol et aussi sec, il lui refourre un vibro dans son vagin tandis que Manu continue de lui exciter le cul. Puis, cette fois, il lui saisit le clitoris avec le bout de ses doigts et se met à le triturer, le masturber. De son côté, Manu lui titille les tétons.

L’excitation de la demoiselle reprend de plus belle, puis va crescendo, tandis que les deux hommes s’acharnent sur ses orifices, son clitoris et ses seins :

« Salope ! Tu vas jouir ! Jouis donc, garce ! » elle gémit, elle glousse, puis elle émet une sorte de plainte rauque. On voit son ventre se contracter et la cyprine gicler, avant de couler sur ses cuisses. Elle a enfin joui ! Mais aussitôt elle bascule en arrière. Le sergent n’a pas le temps de la retenir et elle glisse sur le tapis.

Surloca est étalée, pantelante, sur le tapis du salon, dans la lumière, les bras en croix.

« Rocky, on a peut-être été un peu fort, non ? » Le sergent a l’air inquiet.

« En tout cas, ta Surloca, elle a son compte ! » répond le lieutenant, en se penchant sur elle. Puis donnant une tape dans le dos de Garcia :

« Veinard ! Tu vas pouvoir dormir tranquille un bon moment ! »

« Faudrait quand même la coucher… elle ne va pas passer le restant de la nuit, ici ! » suggère le sergent.

A eux deux, ils aident Surloca à se relever, péniblement et la traînent presque jusqu’au lit. Une fois couchée, elle semble s’apaiser avant de s’endormir.

« Waouh ! Dix heures ! J’me tire, moi, je prends mon service à sept heures demain matin ! »

Le lieutenant achève de se rhabiller et part aussitôt.

Le sergent revêt son pyjama avant de se glisser sous la couette. Avant de s’endormir, il se remémore les évènements de cette journée extraordinaire. Puis tente de trouver le sommeil, sans y parvenir, tant il se sent excité :

« Quelle aventure ! Un truc pareil, ça ne s’oublie pas ! » pense-t-il.

« Il faudrait que je partage ce que j’ai vécu, pour prouver que je n’ai pas rêvé, avec des personnes discrètes, dignes de confiance quoi ! Pas le caporal Reyes, en tout cas ! Ce bavard impénitent. Il ne faudrait pas deux heures pour que tout le commissariat soit au courant !

En fait, le sergent a deux noms en tête : Teresa March, la secrétaire administrative, seule femme en poste, et le capitaine Eddy.

« Ah ! Teresa ! Elle est là depuis six mois. Une jolie brune bien proportionnée avec des yeux d’un bleu profond. On sait qu’elle est la fille d’un médecin et qu’elle a trois autres surs.

Son arrivée a provoqué une petite révolution : une femme dans un commissariat ! Dès le début, le commandant Wolf l’a pris sous son aile ; précaution utile avec tous ces mâles qui avaient un prétexte pour venir rôder près de son bureau.

Les choses ont commencé à se gâter quand elle a trouvé des petits mots, discrètement placés sous le pied de sa lampe de bureau. Comment arrivaient-ils jusque-là ? Mystère. Pas des petits mots doux : du brutal. Les premiers venaient d’admirateurs, du style :

« T’as un beau cul, tu sais ? » ou « Tu dois avoir de sacrés beaux nichons ! » et même : « Avec les jolies jambes que t’as, tu pourrais porter des minijupes. Moi ça me plairait bien ! »

Puis est venu le tour des vantards :

« J’ai une grosse bite… ça te dit ? » ou alors « Ma queue fait vingt-cinq centimètres, tu veux la voir ? » et la meilleure « J’ai une bite de trente centimètres sur quinze. Si tu pouvais me branler ? » Putain, prendre la circonférence pour le diamètre !

Teresa a estimé que les bornes étaient franchies, quand elle a reçu des messages très explicites, et très imagés, vous vous doutez bien :

« Tu veux ma courgette dans ton abricot juteux ? » et celui-ci, qui a tout déclenché :

« J’aimerais tremper mon gros concombre dans ta moule baveuse ! »

Alors, là, Teresa, elle a trempé… sa plume dans le vitriol et elle a adressé une lettre bien sentie au colonel Xavier Story, chef de la police de San Antonio ! Himself ! Et ça n’a pas traîné ! Cinq jours plus tard, Le colonel Story débarquait au commissariat.

Il l’a carrément fait fermer durant une bonne demi-heure pour nous réunir, tous, dans la salle de répartition. Une fois tous entrés, nous étions les uns sur les autres (ben oui), la pièce n’étant pas assez grande pour nous accueillir dignement. Il est monté sur une table et il nous a fait un petit discours, bien senti aussi :

« Messieurs, ce que j’ai appris… c’est du propre ! Cependant pour maintenir l’honneur de la police de San Antonio, nous allons laver notre linge sale, en famille ! Aussi, j’ai décidé, pour le moment, que les actes répréhensibles qui ont été commis ici, soient désormais passibles de quinze jours de suspension de fonction… et si le coupable ne se dénonce pas lui-même, eh bien le commissariat sera fermé quinze jours, et le motif de la fermeture sera affiché sur la porte d’entrée ! » a-t-il ajouté avec un sourire mauvais.

Puis il a fait approcher Teresa : « Je veux que vous tous, ici, en parlant de Teresa March, affirment, haut et fort, qu’ils la savent honnête ! »

Depuis, c’est le calme plat. Le plus drôle, c’est que ceux qui sont amenés à passer devant le bureau de Teresa, change de côté ! On est jamais trop prudent…

Et le capitaine Eddy… un sage, celui-là, pas loin de la retraite. Son job, c’est le démantèlement des maisons de jeux clandestines et des filières de trafic de stups. Un personnage qui détonne dans ce milieu un peu frustre : figurez-vous qu’il lit le New York Times et qu’il est lettré au point de pouvoir lire Cicéron dans le texte, s’il vous plaît ! J’aimerais bien le connaître, ce Cicéron…

En tout cas, aucune comparaison possible avec le commandant Wolf et sa collection complète des aventures de Tarzan, ou même avec Teresa, dont la lecture favorite serait le Journal de Mickey ! Ouais… plutôt propos de mauvaises langues, non ?

Eddy, on lui a trouvé un surnom. Depuis le jour où il nous a affirmé qu’il ne dormait que d’un il. J’y crois qu’à moitié… on voit bien qu’il a deux yeux ! Et comme il se déplace d’un pas lent dans les couloirs, on l’a appelé : « Lent cyclope » vu que les cyclopes n’ont qu’un il, pas vrai ?

Et la meilleure, vous savez ? Eddy est végétarien ! Au milieu de ces viandards de Texans ! Je me demande comment il fait…

En tout cas, lui il saura m’écouter ! Il a eu des aventures sentimentales à la pelle… et pas seulement sentimentales, vous m’avez compris !

Soudain, le sergent Garcia sent une main lui palper le sexe : « La Surloca ! Le volcan qui se réveille… faudrait qu’elle se calme, celle-là ! Je n’ai vraiment pas envie d’arriver au bureau sur les genoux ! »

Driiiiiinng ! (plusieurs fois) : « Merde ! Le téléphone ! Qui peut appeler à cette heure-là ? »

Le sergent Garcia se redresse dans son lit. Ce n’est pas le téléphone, mais la sonnerie du réveil, cette foutue sonnerie aigrelette, qui le somme de se lever. Il se tourne… Surloca ! Envolée, disparue ! Y’a même plus sa marque sur l’oreiller. Cette main, alors ?

Le sergent Garcia était en train de se masturber !! En manque, lui aussi ?

Il se lève d’un bond. Il la cherche partout. Il passe même l’appartement au peigne fin. Réflexe professionnel. Les toilettes, elle est dans les toilettes ! Il en est sûr ! La porte est presque fermée. Il imagine déjà la scène, quand il va ouvrir la porte :

« Alors, mon loup ? On veut voir comment je pisse ? T’es un vicieux, toi ! »

Mais les toilettes sont désertes… Le certificat d’identité provisoire ! Dans le tiroir de la table de nuit, il l’a mis à cet endroit, il en est sûr ! Le tiroir est vide. Il va à la porte d’entrée. Elle est fermée à clé et la clé est dans la serrure. Et le double est bien en place.

Le sol semble se dérober sous les pieds du sergent. Il fait un cauchemar… Il va se réveiller, et il va entendre Surloca…

Un sifflotement lui parvient du couloir de l’immeuble. Il le reconnaît ! C’est le sergent Rick Horey qui se rend à son travail. Un peu un ami, forcément, entre sergents. Un jour, il lui a dit que quand il sifflotait, c’est qu’on allait avoir une belle journée. D’habitude, à ce moment-là, le sergent Garcia est en train de prendre son petit-déjeuner. Il est en retard…

Pourtant le sergent s’accroche à sa lubie. Il va appeler le lieutenant Siffredo, et il lui confirmera qu’ils ont, tous les deux, baisé Surloca… A quoi bon ? Si c’est vrai, le lieutenant va lui répondre un truc, du genre :

« Putain, Manu ! Tu l’as tellement baisée que t’as perdu la mémoire ! » Et si ce n’est pas vrai :

« Oh ! Manu ! Tu te sens bien ? Tu devrais consulter un médecin, hein ? J’ai pas bougé de chez moi, hier soir ! »

Maintenant, le sergent se souvient qu’il a pris un somnifère avant de se coucher. Et il n’y a jamais eu de Surloca… seulement un rêve, mais quel rêve !

En buvant son café, le sergent Garcia se dit que désormais il sera plus attentif envers les plaignantes, surtout ! Des fois qu’une Surloca, une vraie, apparaîtrait…

Mais il ira quand même rendre visite à Teresa. Il osera, peut-être, lui dire qu’elle a de beaux yeux. Et elle lui sourira. Que voulez-vous, c’est un romantique, le sergent Manuel Garcia…

FIN

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