À sa sortie du lycée, Julie voulut éviter de croiser trop de monde sur le chemin de sa villa. Elle choisit donc d’emprunter un sentier forestier peu fréquenté le soir et quelques petites ruelles désertes pour rentrer chez elle.
Le visage couvert du sperme du son professeur des technologies, la jeune lycéenne espérait de tout cur ne croiser personne qui puisse profiter de l’état de son visage pour lui demander un quelconque service sexuel.
Par chance pour elle, Julie arriva chez elle sans encombres une demi-heure plus tard, soit dix minutes de plus que si elle avait pris le bus depuis l’arrêt du lycée. Lorsqu’elle rentra, Julie constata l’absence de son père, probablement retenu à son travail par une quantité impressionnante de paperasse urgente.
La jeune lycéenne mit à profit l’absence de son père pour s’essuyer le visage dans la salle de bain. Après s’être assurée que toute trace de sperme avait disparu de son visage, Julie alluma le téléviseur et se mit à regarder un épisode de "Friends" en attendant le retour de son père.
Celui-ci arriva environ une heure plus tard. Julie éteignit le téléviseur et alla saluer son père.
« Bonsoir, papa.
— Bonsoir, Julie. Ça va? Tu m’as l’air bizarre. Il s’est passé quelque chose?
— Non, rien. Je suis juste un peu fatiguée. Je vais aller me coucher. Bonne nuit, papa.
— Bonne nuit, Julie»
La jeune fille embrassa son père et monta dans sa chambre. Elle s’allongea sur son lit et se mit à pleurer abondamment, la tête entre ses mains. Elle voulait dire la vérité à son père mais elle craignait les représailles de ses tortionnaires s’ils apprenaient qu’elle avait parlé. Julie décida donc d’essayer de dormir avec l’image d’un week-end tranquille avant de retourner au lycée et de subir une énième humiliation. Malheureusement pour elle, son week-end ne serait pas de tout repos. Et, au fond d’elle-même, elle le savait.
Un étage en-dessous, le père de Julie regardait tranquillement un match de football quand le téléphone sonna. Il se précipita sur le combiné pour décrocher le plus rapidement possible de peur de réveiller sa fille qu’il croyait endormie.
« Monsieur Jouannot?
— Oui?
— Bonsoir. C’est M. Delfosse, le proviseur du lycée. J’appelle pour les cours d’appui de Julie. Je pense que, finalement, votre fille sera mieux chez moi. Elle pourrait apprendre en tandem avec ma fille Camille. Croyez-moi, les adolescents apprennent beaucoup plus facilement lorsqu’ils travaillent avec un ami.
— Je vous fais confiance. Si c’est ce qu’il y a de mieux pour Julie, c’est d’accord.
— Parfait. Je passerai la chercher demain matin vers 10h.
— D’accord. Merci, monsieur.
— C’est normal. Passez une bonne soirée, M.Jouannot.
— Bonne soirée à vous aussi. Au revoir.»
Le lendemain, Julie se leva de bonne heure car elle avait passé une très mauvaise nuit. Ses rêves ou plutôt ses cauchemars avaient été ponctués par les humiliations qu’elle avait subies au cours de ces vingt derniers jours. Elle s’étaient revue en train de sucer le proviseur dans son bureau puis le prof de sport dans son vestiaire en passant par la séance de pénétration pendant le cours de biologie durant laquelle tous les garçons de sa classe l’avaient pénétrée et éjaculé sur son corps et, pour finir, le prof de biologie lui enfoncer le gode dans le vagin après lui avoir fait boire un verre rempli du sperme des garçons qu’il avait récupéré et vidé un autre sur son corps, la faisant crier de douleur sous les éclats de rire de ses camarades.
La jeune femme se prépara une tasse de café et une tartine avec du Nutella. Son père entra dans la pièce, le sourire aux lèvres. Lui, au moins, avait bien dormi.
« J’ai une nouvelle à t’annoncer, Julie. Ton proviseur a appelé hier soir. Il propose que tu ailles étudier chez lui avec sa fille Camille. Je lui ai dit que tu irais. J’ai fait ça pour toi car je veux que tu réussisses ton année. Et le proviseur aussi. Il passera te prendre à 10h.»
Julie hocha la tête. Son intuition ne l’avait, hélas, pas trompée. Dans deux heures, elle partirait chez son proviseur pour une nouvelle humiliation qui ne ferait que la rabaisser davantage bien que, pour elle, cela fusse difficilement possible au vu du parcours qu’elle avait enduré.
Anticipant le souhait du directeur, la jeune lycéenne s’habilla de façon sexy avec un débardeur blanc et une mini jupe assortie sans mettre de sous-vêtements en-dessous. Julie eut ensuite tout juste le temps de faire sa toilette avant d’entendre la voiture du proviseur stationner devant la villa.
La jeune lycéenne sortit accompagnée de son père. Les deux hommes se serrèrent virilement la main et Julie monta dans la voiture du proviseur. Le père de Julie adressa encore quelques remerciements polis au proviseur avant que celui-ci ne prenne congé et ne parte en compagnie de Julie.
Dès qu’ils se furent suffisamment éloignés, le proviseur commença à caresser l’entrejambe de Julie. Mal à l’aise, la jeune femme prit sur elle, se préparant ainsi psychologiquement à l’enfer qu’elle allait subir une fois arrivée chez son tortionnaire.
« Alors, Julie? J’espère que tu n’as rien mis sous tes vêtements car je déteste perdre mon temps avec la lingerie.
— Non, monsieur… Je… n’ai rien mis.» répondit Julie d’une voix tremblante.
— Très bien…»
La voiture du proviseur finit par stationner une heure plus tard devant une superbe villa blanche entourée par une vigne sur trois de ses côtés. Le directeur sortit de la voiture et ouvrit la portière arrière du côté de Julie pour l’en sortir sans ménagement.
« Avance.» lui ordonna-t-il.
Apeurée, la jeune lycéenne marcha d’un pas craintif devant le proviseur qui fermait la marche.
Après lui avoir fait monter un escalier menant au perron de la villa, le proviseur ouvrit une porte fenêtre donnant dans la salle de séjour de la maison et annonça son arrivée et celle de Julie.
« Coucou, les filles! Votre surprise est arrivée.»
Aussitôt, des bruits de pas se firent entendre et Camille arriva complètement nue dans la pièce accompagnée de deux autres filles également nues. Toutes deux anciennes copines de Julie.
Les trois filles éclatèrent de rire en voyant Julie.
« Je m’attendais à la voir déjà à poil, pute comme elle est.» railla Camille.
Les deux autres éclatèrent de rire et l’une d’elles donna réplique à Camille.
« Moi, je trouve ça normal. Elle ne veut que des hommes. Or, nous n’avons pas de bite entre les jambes qu’elle puisse se mettre dans la chatte.»
Les trois filles pouffèrent de rire et le proviseur intervint.
« À ce que je vois, votre surprise vous plaît. Bon, qu’attendez-vous pour la mettre nue?»
Sans se faire prier, Camille et ses copines s’emparèrent de Julie et se mirent à la déshabiller. En moins de dix secondes, les trois filles avaient mis leur soumise à nu. En voyant "Julie, pute de l’école" inscrit sur la poitrine de Julie, le proviseur et les trois filles ne purent réprimer un immense éclat de rire.
« Ah… Décidément, je commence à adorer ce professeur des technologies! Pas vous, les filles?» demanda le proviseur.
Camille et les deux autres hochèrent la tête et, sans autres, s’attaquèrent à Julie. Après l’avoir fait tomber au sol, les trois filles prirent leur soumise par les bras et les jambes et la mirent à quatre pattes sur la table basse du salon sous les yeux satisfaits du dirlo qui s’était déshabillé et avait commencé à se masturber.
« Papa, va chercher les ficelles. Elodie, Manon, tenez-lui les bras et les jambes.» ordonna Camille.
Élodie et Manon maintinrent fermement Julie sur la table tandis que Camille s’était assise de tout son poids sur le dos de la soumise en attendant l’arrivée de son père avec les ficelles.
Le directeur revint quelques secondes plus tard avec quatre longues ficelles. Il attacha ensuite Julie par les poings et les pieds à la table. Camille se releva et les trois filles sortirent des cravaches et des godes de l’un des tiroirs.
Camille et les ex-amies de Julie se placèrent de part et d’autre de celle-ci et la ruèrent chacune à leur tour de coups de cravache en rigolant de ses cris de douleur devant le proviseur tranquillement assis dans son fauteuil en train de se caresser.
Manon abandonna sa cravache sur le sol et vint se placer face à Julie, son sexe arrivant à la hauteur du visage de la pute du lycée. Instinctivement, Julie approcha sa langue de la chatte de Manon et se mit à la lécher de bas en haut en donnant à chaque va et vient un puissant coup de langue sur le clitoris de sa maîtresse pendant que Camille et Élodie lui fouettaient le cul, la faisant gémir de douleur.
Manon finit par jouir rapidement sous les coups de langue de Julie. Elle céda ensuite sa place à Élodie. La jeune femme se positionna à quelques centimètres du visage de la soumise tandis que Manon avait récupéré sa cravache et s’était remise à fouetter le fessier et le dos de Julie.
Savourant les cris de souffrance de Julie, Camille ouvrit un tiroir de la table et en sortit un vibromasseur. La fille du proviseur actionna le sextoy et le fit jouer le long du sexe d’Élodie.
Impuissante, Julie regardait, les larmes aux yeux, celle qui avait été son amie se faire branler par Camille en endurant les coups de cravache de Manon.
Au bout de quelques allers-retours de Camille sur sa chatte, Élodie finit par jouir dans un râle de plaisir, giclant toute sa cyprine sur le visage de Julie sous les rires du proviseur et des deux autres filles.
Élodie adressa un sourire méprisant à Julie et reprit sa place derrière la soumise tandis que Camille s’était cambrée devant la pute du lycée, lui donnant son cul à lécher.
Sous les coups de cravache de ses deux ex-copines, Julie léchait le cul de Camille, les larmes aux yeux, retenant difficilement celles-ci de couler le long de son visage.
Tout à coup, la voix du proviseur se fit entendre.
« Allez, les filles! Je ne veux pas jouir en en me branlant comme un gamin. Préparez-moi cette salope.»
Dans un soupir triste, Camille, Élodie et Manon reposèrent leurs cravaches et attachèrent leur godes autour de leur taille. Les trois filles et le proviseur se positionnèrent en file indienne derrière Julie. La première à passer fut Manon. Elle saisit son gode d’une main et écarta les fesses de Julie de l’autre. La jeune femme enfonça ensuite lentement son gode dans l’orifice de la soumise, la faisant hurler de douleur.
Sans se laisser attendrir par les hurlements de Julie, Manon poursuivit ses puissants va et vient dans l’anus de la pute du lycée. La jeune femme sortit ensuite de l’orifice anal de Julie et pénétra violemment cette dernière.
Au bout de dix minutes, lassée de ce petit jeu, Manon céda sa place à Élodie. À l’instar de sa prédécesseure, celle-ci sodomisa Julie avant de la pénétrer mais, dilatée par le premier gode, la soumise souffrit moins sous les coups de butoir d’Élodie.
Camille succéda ensuite à Élodie. Elle portait entre les cuisses le plus gros des trois godes. Savourant le plaisir de baiser sa rivale avec un engin comme son gode, la fille du proviseur caressa l’anus de Julie du gland de son gode avant de la pénétrer violemment. Peu habituée à prendre aussi gros, Julie hurla une nouvelle fois de douleur pour le plus grand plaisir de ses quatre tortionnaires.
Camille sortit du cul de Julie et la pénétra sans ménagement, la faisant encore une fois crier de souffrance. La fille du proviseur poursuivit ses va et vient dans la chatte de la pute du lycée durant cinq minutes avant de laisser son père s’amuser avec Julie.
Le proviseur amena sa queue à l’entrée du cul déjà bien dilaté de Julie et poussa. Son sexe pénétra l’anus de la soumise avec une facilité déconcertante. Le proviseur saisit Julie par les hanches et continua à la pilonner en lui donnant de temps à autre une claque sur les fesses sous les rires de Camille et ceux de ses amies.
Le dirlo se retira de l’anus de Julie pour pénétrer sa chatte dégoulinante de mouille. Ce qu’il ne manqua pas de faire remarquer.
« Regardez. Notre salope mouille! Elle adore être humiliée!»
Les trois filles éclatèrent de rire tandis que Julie tentait tant bien que mal d’empêcher des larmes de honte couler sur ses joues. La jeune femme se sentait honteuse de la réaction de son organisme. Elle aurait voulu être plus forte pour pouvoir se sortir de sa situation de soumise mais elle était trop faible et trop malheureuse pour se battre. Tout ce qu’elle pouvait faire, c’était subir et profiter des seuls moments de répit qu’on lui laisserait.
Le proviseur enfonça son sexe dans celui de Julie et y fit de puissants va et vient jusqu’à la jouissance sous les encouragements de sa fille et des deux autres.
« Allez, papa! Baise-la fort!!!» criait Camille pendant que Camille et Manon scandaient le nom du proviseur.
Les mots de sa fille et l’ovation que lui faisaient les deux autres ne tardèrent pas à faire monter le sperme dans son sexe. Le proviseur se retira de la chatte de Julie et, dans un râle de plaisir, éjacula sur les fesses et l’anus de Julie sous les applaudissements et les rires des trois filles.
Apaisé par sa jouissance, le proviseur proposa à Camille et à ses amies de demander au père de Julie si celui-ci était d’accord de laisser sa fille dormir chez eux. Les trois filles acceptèrent de suite et le proviseur décrocha le téléphone de la maison pendant que Camille, Élodie et Manon mettaient un bâillon sur la bouche de Julie.
« Bonsoir, M. Jouannot. Ma fille Camille aimerait beaucoup inviter Julie à dormir chez nous. Comme votre fille ne savait pas si vous aviez des projets pour demain, je voulais savoir si pour vous, il n’y avait pas de problème. Moi, je suis d’accord.
— …
— Ah, oui, d’accord. Vous avez avancé votre rendez-vous chez le médecin à demain matin avec Julie? Je comprends. La vie est faite d’imprévus. Bon, je vous la ramène vers quelle heure?
— …
— Dans une heure? Bon, très bien. Ma fille sera déçue mais je comprends pourquoi vous faites tout cela. Après tout, je suis père moi aussi. Bonne soirée, M.Jouannot.
— …»
Intérieurement, le proviseur fulminait. Ce M.Jouannot, père inquiet pour sa fille, contrecarrait ses plans. Il souhaitait garder Julie une journée de plus pour pouvoir s’amuser davantage avec elle. À regret, il annonça à Camille et à ses amies que Julie ne pouvait malheureusement pas rester. Les filles poussèrent un soupir triste et détachèrent Julie après lui avoir retiré son bâillon.
« Tu peux dire un grand merci à ton père. Grâce à son inquiétude, il te veut à la maison dans l’heure qui suit et nous empêche ainsi de finir ton calvaire ici. Profite bien de ce dimanche pour te reposer car, à l’école, nous n’allons pas te rater. Et maintenant, rhabille-toi. Les filles, essuyez-lui le visage pour que son emmerdeur de père ne se doute de rien.» ordonna-t-il.
Camille et ses amies s’exécutèrent et, à peine Julie fut-elle rhabillée que le proviseur la prit par le bras et l’amena de force dans sa voiture. Durant tout le trajet, le proviseur roula sans adresser la parole à Julie, trop occupé à ruminer sa colère et sa déception.
Au bout d’une heure de route, la voiture du proviseur arriva devant la maison de Julie. Le proviseur sortit de la voiture, ouvrit la portière et la tira sans ménagement de l’habitacle.
« À lundi, salope.» lui dit-il avant de repartir en trombe.
À la fois soulagée d’être rentrée et terrifiée par ce qu’elle allait subir après ce week-end, Julie monta les escaliers qui menaient à sa résidence. Lorsqu’elle ouvrit la porte, son père vint la saluer et lui demanda comment s’était déroulé le tandem avec Camille. La jeune lycéenne répondit que tout s’était très bien passé et prétexta la fatigue afin d’esquiver la conversation.
Seule dans sa chambre, Julie pleurait sans honte. Qu’avait-elle fait pour être traitée ainsi par ses professeurs et ses camarades? Elle avait la chance d’être jolie et attirante mais était-ce une raison pour qu’on la traite ainsi? Non, Julie ne comprenait pas. Tout ce qu’elle savait, c’était qu’elle n’en pouvait plus et qu’elle donnerait n’importe quoi pour que son cauchemar s’arrête.
Julie pleurait toujours en silence en repensant à tout ce qu’elle avait subi durant ce dernier mois. En l’espace d’un mois, elle était passée de la jeune femme respectable promise à un bel avenir à la salope condamnée à satisfaire les besoins sexuels de tout son lycée. Elle se sentait à présent souillée et sans valeur.
Ne pouvant supporter ce sentiment plus longtemps, Julie courut à la salle de bain et se déshabilla en vitesse. La jeune lycéenne entra dans la cabine de douche et se nettoya du sperme du proviseur dont elle ne pouvait plus supporter l’odeur et l’aspect.
Après avoir enlevé toute trace du sperme du proviseur, Julie remit des vêtements propres. Ce simple geste lui donnait une explicable sensation de dignité comme si elle quittait sa condition de pute du lycée pour redevenir l’ancienne Julie. Mais, malheureusement pour elle, les lettres écrites sur sa poitrine par son professeur des technologies avaient survécu à sa douche et lui rappelaient douloureusement sa situation.
Soudain, alors qu’elle allait mettre un T-shirt, la porte de la salle de bain s’ouvrit. Surprise, Julie se retourna et vit son père, lui dévoilant par mégarde sa poitrine souillée par le feutre du professeur des technologies. À la vue de ces mots, le père de Julie devint rouge tomate et ordonna à sa fille de se rhabiller et de tout lui raconter. Julie s’exécuta et rejoignit son père dans le salon.
La jeune lycéenne lui raconta ensuite tout en détail de la façon dont elle était devenue la soumise du proviseur et du lycée tout entier en passant par le contrôle durant lequel les garçons l’avaient baisée sous les yeux des filles qui prenaient des notes. Elle lui raconta l’épisode des verres de sperme et du gode et la séance de gadgets avec son professeur des technologies.
D’abord abasourdi par ce qu’il entendait, le père ne réagit pas. Puis, reprenant ses esprits, il prit sa fille dans ses bras pour la réconforter.
« C’est fini, ma chérie. Cette ordure va payer pour avoir abusé de toi et de ma confiance.» lui dit-il.
À présent, Julie reprenait espoir.