Avec Virginie, nous avons fait quelques achats coquins. Nous sommes allés dans un sex shop pour pimenter nos ébats et cela semble prometteur vu les choix de ma chérie. Elle a craqué sur un énorme gode, puis sur un deuxième tout aussi gros mais plus long et plus flexible de manière à pouvoir enfiler ses deux extrémités, ils appellent ça un double dong. Parti dans l’élan, nous avons pris les deux. À cela est venu s’ajouter un plug anal, un uf vibrant avec sa petite télécommande et une paire de menottes. La soirée s’annonce chaude et nous nous dépêchons de rentrer.
Une fois arrivé dans notre studio, nous filons dans le lit qui se trouve séparé du salon par un simple rideau. Notre attention se porte tout particulièrement sur le double gode et Virginie se retrouve nue en un éclair à sucer les deux bouts de cet engin de plastique. Elle est belle quand elle a ce regard de chienne. Très vite nous nous retrouvons en « tête à queue », Virginie s’acharnant à faire coulisser ma bite au plus profond de sa bouche et moi la pilonnant par ses deux orifices. Elle pousse des grognements de plaisir étouffés.
Tu aimes ça te faire prendre en double???
Ho ….. oui….. c’est trop bon ! Défonces moi !
Une bite dans chaque trou, tu m’excites ma chérie je ne vais pas tenir longtemps
Oui trois bites pour moi mais le jus d’une seule, je veux que tu m’en mettes partout.
Ces mots cochons dans la bouche de Virginie me font l’effet d’une bombe et j’explose quelques secondes plus tard dans sa bouche et sur son visage. Elle part dans un orgasme violent en étalant la grosse traînée de sperme qui ruisselle sur sa joue. Elle si réservée d’habitude, s’est lâchée, elle se retrouve avec le visage et les seins collants de sperme.
Ça t’as plu ma chérie ??
Oui, c’était trop bon, j’étais remplie de partout, c’était tout nouveau comme sensation pour moi et j’ai pris un pied fabuleux.
Imagines, si c’était des vraies, ça changerait du plastique, lui dis je d’un air provocateur.
Ça va pas non ?? Je suis bien avec toi, tu n’as pas besoin d’appeler du renfort pour me faire jouir, déjà qu’on ne se voit pas beaucoup avec ton boulot, je ne suis la femme que d’un homme.
Tu as pourtant aimé te sentir remplie de partout, tu semblais même déçue que le double gode ne puisse pas éjaculer ?
Pfff !! C’était dans le feu de l’action, j’ai dit ça comme ça.
Dommage.
Ho arrêtes Jean.
Nous n’en avons pas reparlé, depuis ce jour. Mes absences dues à mon emploi du temps chargé font que ma chérie se retrouve souvent seule dans notre petit studio. Le soir quand on se téléphone, elle sort parfois quelques ustensiles coquins pour pimenter la conversation, curieusement, le double dong n’est jamais mentionné. Souvent je me retrouve avec des photos ou des vidéos de ma coquine dans ma boite mail, je dois faire attention à ne pas maladroitement cliquer sur ces messages en pleine réunion. Quand je rentre, elle se jette sur moi comme un fauve sur une proie.
Un soir ou je revenais de déplacements avec deux collègues, il devait être dans les trois heures du matin, je les ai invités à boire un café car ils avaient encore un peu de route à faire. Ma chérie savait que je rentrerai tard donc elle dormait. Mes collègues, connaissant le studio, se sont installés au salon pendant que je préparais le café. Au moment de les rejoindre, ils semblaient gênés. L’un deux lisait un mot laissé sur la table, certainement un petit mot doux de ma Virginie. N’étant pas vraiment cachottier, je le laisse finir sa lecture puis je le lis à mon tour.
« Mon chéri, te rappelles tu de cette fois ou tu m’as soumis l’idée de changer mon double gode contre deux vraies bites ?? Sur le moment, j’ai voulu paraître choquée mais j’y ai souvent repensé secrètement. Quand tu n’es pas là, je m’amuse seule avec Monsieur double dong en m’imaginant avec plusieurs hommes. J’aimerai beaucoup qu’on rejoue à un de nos petits jeux coquins quand tu rentreras. Tu me trouveras nue dans notre lit, je me suis attachée au barreaux du lit avec mes menottes. Pour me réveiller, tu pourras jouer avec la télécommande de mon uf vibrant qui est sur la table. Tu pourras faire ce que tu veux de moi, je suis à toi mais ensuite j’aimerai beaucoup que l’on reparle de ce fantasme. J’en ai très envie. Ta petite chérie. »
A peine ai je eu le temps de finir la lecture du mot doux, que jentends Virginie gémir faiblement de l’autre coté du rideau. Mon collègue Luc a le doigt collé sur le bouton de la télécommande de luf vibrant de ma chérie. Je suis partagé entre colère et excitation, Luc et Romain sont deux coureurs de jupons, ils connaissent Virginie pour l’avoir croisé quelques fois. Je décide de laisser faire les choses. Je leur fais un clin dil complice et leur fais comprendre de ne pas parler. Je passe derrière le rideau. Je bande les yeux de Virginie pour donner un peu plus de piment à cette situation qui m’excite terriblement puis ouvre le rideau entièrement. Mes deux complices improvisés sont devant un spectacle étonnant. Ma femme est nue, les mains liées au dessus de la tête, se tordant de plaisir dans un demi sommeil. Luc s’acharne sur le bouton de la télécommande, Virginie gémit distinctement. Je fais signe à Romain de s’approcher. Mon sexe me fait mal donc je m’agenouille à côté de ma chérie et baisse mon pantalon. Je pose ma bite sur la joue de ma chérie, Romain nous a rejoins et se place de l’autre côté. Il sort son sexe qui est de bonne taille et le pose sur la bouche entrouverte de Virginie. Luc s’est installé au bout du lit et agace l’uf vibrant. Virginie a replié ses jambes sous l’onde de plaisir qui la traverse. Je crois qu’elle est en train de se réveiller……